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n° 15392Fiche technique18014 caractères18014
Temps de lecture estimé : 11 mn
12/01/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  Une jeune femme réalise son fantasme de vivre une relation sexuelle avec trois hommes.
Critères:  hhh fhhh vidéox facial fellation cunnilingu 69 pénétratio double sandwich journal -fhhh
Auteur : Fwm  (fwm@gmx.fr)      
Comme vous et moi... ou presque !

Sabrina était comme vous et moi. Enfin, un peu plus comme vous : moi, je suis un homme. Mais elle me raconta il y a quelque temps, la nuit où elle put enfin réaliser son fantasme. Sabrina n’était pas du genre à cracher sur la vie. Et parce que généralement un orgasme, c’est meilleur avec un sexe qu’un vibromasseur, elle avait tout compris sur la façon de parler aux hommes, de se faire aller avec eux. Son fantasme, il n’avait dans le fond rien de si extraordinaire : elle voulait s’offrir pour la nuit à trois hommes. Sans complexes, sans peur. Elle savait que son sexe se contracterait sur un superbe pieu dressé grâce à la violence des coups de boutoir de celui qui n’aurait aucun mal à la prendre en levrette par la voie de derrière. Elle n’attendait qu’une seule autre chose de cette soirée : qu’elle ne soit pas trop essoufflée, au point de ne pouvoir sucer le troisième homme qu’elle avait invité. Mais cette nuit alla bien au-delà de ses espérances. L’intrigue qui suit est son histoire, et je n’ai aucune raison de ne pas y croire.


Elle appréhendait légèrement. Je la connaissais assez pour savoir qu’elle avait parcouru le corps de bien des hommes. Non, je peux vous l’assurer, elle n’était pas de celles que l’on qualifie vulgairement de fille facile, ces filles qui vous allument, font semblant de vous porter de l’intérêt dans le seul but d’obtenir leur propre satisfaction sexuelle. Elle, elle annonçait tout haut la couleur, et tout de suite. À prendre ou à laisser. Moi, je vous dirais bien de la prendre, et dans tous les sens. Mais ce soir-là, trois d’un coup, elle savait qu’elle aurait fort à faire. Et puis, elle n’avait comme expérience que les films pornos qui l’avaient émoustillée. Alors ce soir, capote et lubrifiant à volonté sur la table de nuit.


Elle avait prévenu les trois hommes qu’elle avait déjà mis dans son lit : elle voulait être envahie, mais sans violence, par les trois hommes. Ils devaient être bestiaux mais sans la violenter. Elle n’était pas là pour être transformée en marchandise sexuelle de porno de bas étage où les filles sont droguées pour être violées. Pour le reste, elle verrait le moment venu.


Et le moment était enfin venu. Le soir où elle allait connaître le plaisir de tous les bords et en même temps. Comme de bien entendu, les trois hommes arrivèrent à l’heure, à la minute près. Une petite bise chacun ? Non, une grosse pelle et une vérification pour voir si les attributs de ces messieurs étaient à la bonne place.





Le show commença.


Le premier, Benoît, était plutôt grand, mince, le teint halé, musclé. Une vraie caricature de beau gosse. Le deuxième, Mathieu, 1,90 m et 19 centimètres, black. Le troisième était Éric ; il n’avait pas de spécificités physiques bien particulières, mais savait y faire avec les femmes : c’est bien seulement ce qui comptait ce soir-là.


Un baiser fougueux du premier, un sexe collé dans mon dos, le troisième qui, tout en me caressant un sein, aurait bien voulu lui aussi, conquérir mes lèvres. Les corps se frottaient contre moi. Six mains pour deux seins, trois bouches pour souffler le chaud et le froid dans mon cou, trois bouches pour attraper le lobe de mon oreille. Six mains pour retirer le soutien-gorge. Six mains qui font semblant de vouloir me caresser le sexe sans l’oser.


Et que deux mains pour déboutonner trois pantalons, une bouche pour faire durcir trois membres, un visage pour leur laisser le loisir de l’imaginer recouvert de leur sperme. Un cul pour sentir trois pieux battre entre mes fesses tandis que deux mains pincent le bout de mes seins de cette façon si ferme et si douce à la fois, de celle qui me rend toute chose, toute docile tant j’aime ça.


J’avais les yeux fermés. Je les embrassais tour à tour sans savoir qui j’embrassais. Mes mains caressaient les deux membres déjà bien durcis qui se faufilaient le long de mes fesses, bientôt dans mes fesses. Mais là aussi, les rôles changeaient vite ; j’avais l’impression d’être en pleine danse, tournant au gré des bouches et des sexes qui s’offraient à moi. Enfin, déshabillée, leurs mains venaient à moi sans ménagement. Je tenais debout parce que leurs corps se serraient contre moi, sinon j’aurais déjà vacillé. Ils étaient forts, mes hommes, parce que je sentais le désir faire battre leur sexe sans ménagement. Ils m’auraient bien baisée comme une chienne dans l’instant, mais je voulais que l’excitation monte ; je pensais m’agenouiller pour les sucer tous les trois ensemble. Mais trop tard : je me sentais partir, plus par le contact que par les caresses. Preuve du plaisir intense que je prenais à être l’objet de ces trois hommes.


Tandis que leurs caresses continuaient, j’avais des flashes plein la tête. Je me voyais déjà dans le lit avec ces trois hommes, prise en étau comme dans une scène des plus classiques du porno. Je m’attendais à plein de choses durant cette nuit, y compris être cette chienne en chaleur défoncée par deux bites tandis que mon visage ruissellerait du sperme du troisième. Cette vision de moi-même, abandonnée au plaisir, je l’ai eue au même instant qu’un doigt – mais lequel ? – eut raison de mon point G. J’eus enfin mon premier orgasme, debout entre ces trois hommes qui me retenaient. Étourdie, chancelante, essoufflée, j’étais à leur merci. À la condition que cela soit pour mon plaisir : on peut me forcer la main dans un lit, mais pas me violer. Et ils me forcèrent la main de fort belle manière, profitant de ma semi-conscience pour m’allonger sur le lit.


Mais Éric était déjà allongé, lui. C’est par réflexe que je m’introduisis son sexe en moi, alors même que je continuais à crier, tant le plaisir que je venais d’avoir m’avait chamboulée. Mes cris se turent avec ses baisers. Oh non, il ne voulait pas me faire la démonstration d’une preuve d’amour ; il voulait juste retenir mon cri lorsque Benoît et ses 19 centimètres se sont fourrés tout au fond de mon cul sans même que je prenne conscience que l’on allait m’enculer. J’ai hurlé, bien sûr, mais pas du même hurlement que précédemment. Une douleur fulgurante qui se mua presque aussitôt en une vague de plaisir.


Les allées et venues de mes hommes aidant, je commençais à pousser des cris au rythme de la pénétration, mais le sexe de Mathieu vint interrompre ce manège verbal. J’avais déjà sucé un homme pendant que mon sexe servait de très bonne raison à un homme de se vider les couilles. J’aime n’être qu’un sexe pour un homme ; mais là, force était de constater que c’était plus délicat. Pomper un homme, je sais faire. Le lécher avec délicatesse, souffler un fin filet d’air frais sur sa bite chaude pour la faire lever, je sais faire. Mais de la délicatesse lorsque je suis ballottée par deux bites qui me pistonnent, c’est moins évident. Pour l’instant, je léchais sa verge et son gland plus que je ne le pompais. D’un autre côté, j’ai toujours préféré un pieu dressé à une feuille morte.


J’étais en train de me faire enculer de façon classique, l’homme derrière moi – Benoît, si j’ai bien suivi – balançant mon bassin le long du sexe qui me pénétrait ; quel pied d’être l’objet d’un plaisir m’envahissant de plus en plus ! Même si j’avais voulu trois hommes pour moi, je dois avouer que c’est plus le troisième gars qui jouait de son sexe avec moi que moi qui jouais avec son sexe. Mais vu le plaisir qu’il prenait à se masturber dans ma bouche, il semblait sur un petit nuage. Je ne réfléchissais plus, me laissant porter par cette sensation grisante de sentir mes fesses se serrer à chaque pénétration. Douleur et plaisir à la fois : j’avais l’impression que mon cul allait sortir de moi à chaque fois. C’était intensément bon. Bon parce qu’obscène, bon parce qu’intéressant, parce que je ne contrôlais plus rien. Sans même que je m’en rende compte, les positions avaient changé. Benoît était toujours en moi, mais j’étais allongée dos contre, les cuisses grandes ouvertes aux coups de boutoir d’Éric qui, tout en m’enfonçant son pieu, enfonçait en moi la bite en train de m’enculer. La sensation de ce deux sexes si proches l’un de l’autre sans se toucher, du poids de ces deux corps contre moi, de se sexe si long que j’avais l’impression qu’il me traversait le corps.


Je n’en pouvais plus. Mon corps se résumait à l’essentiel : un vagin, un cul et une bouche pour crier lorsqu’elle n’était pas pleine. Je voulais de la bestialité ; j’étais servie. Mais j’espérais bien qu’il y aurait une suite à cette scène. Déjà, je sentais que le premier acte allait se terminer rapidement. Mon bassin, tenu par-dessus et par-dessous, mon corps défoncé des deux côtés, je n’avais pas la force, et ne voulais pas l’avoir de refuser quoi que ce soit à quelqu’un. J’ai toujours rêvé d’une éjaculation dans la bouche alors même que je n’aime pas le goût du sperme. Mais là, c’était différent : je le voulais. Et lui aussi, sans aucun doute. Ne pouvant le sucer à cause de la force de mes amants, il se masturba jusqu’à déposer son sexe sur mes lèvres, m’inondant la bouche et le visage de son sperme. Mes cris incessants m’empêchaient de le nettoyer avec mon talent habituel, mais c’était si bon de sentir la puissance des deux autres dans mon ventre tandis qu’un homme avait déjà joui avec moi…

Surtout qu’il y avait une chose qu’ils ne pouvaient qu’ignorer dans cette chambre : c’est la petite caméra que j’y avais dissimulée pour garder trace de cette soirée.


Enfoncée avec la puissance d’un marteau-piqueur sur un pieu qui démolissait mon arrière-train, j’avais la tête penchée en arrière, les yeux fermés, sentant le sperme couler lentement le long de mon visage. J’étais en extase ; je sentais que le moment venait pour eux. Moi, j’étais déjà dans un état d’orgasme permanent. Mon anus sentait que le sexe qui me pénétrait se gonflait de façon de plus en plus précipitée, augmentant encore la pression sur ma rondelle qui allait exploser. Quel soulagement lorsque je l’ai senti jouir ! Quel soulagement de pousser ce cri mêlé de plaisir et de douleur face à l’ultime pénétration plus profonde que les autres ! Une éjaculation qui semblait ne plus finir, qui me déchirait les entrailles tout en me faisant jouir encore plus intensément, si cela était encore possible.


Ma chatte n’était pas oubliée dans cette débauche de plaisir. Il redoubla d’intensité, ne voulant pas rester derrière ses camarades qui avaient déjà joui ; il voulait tout de suite. Des coups longs, longs, de son sexe puissant qui continuaient à faire vivre le sexe dans mon cul qui ne débandait plus. Il ne pensait pas à mon corps, mais celui de derrière jouait avec mes seins. Un cri ininterrompu eut raison de moi ; mon corps était agité de soubresauts et je sentais que le sien aussi. Il allait enfin jouir dans mon ventre ; mon corps serait enfin le réceptacle du plaisir de trois hommes en même temps. Mais il me surprit : d’un geste habile, sans que je ne voie rien venir, il est venu décharger son plaisir sur mon visage hurlant, ruisselant encore du sperme de mon premier homme. J’étais littéralement douchée par les jets de son sperme que je recevais tout en hurlant.


Mais déjà des mains caressantes me firent comprendre que ce n’était que le début de la soirée.

Je vous laisse imaginer leurs sourires, le plaisir que ces hommes avaient eu à dominer une femme, à se partager une fille chaude comme la braise, à se faire pomper, à enculer mon derrière offert à leur fantaisies, à jouir sans question sur mon corps et dans ma bouche. Au lit, je les connaissais. Au lit, ils me connaissaient aussi. Et ils se préparaient à m’offrir une de mes envies cachées, mais d’une manière que je n’aurais pas imaginée.


J’ai toujours eu envie de voir deux hommes se prendre devant moi. La puissance d’un corps d’homme s’oubliant entre les cuisses d’une femme, j’ai toujours trouvé cette image excitante. Alors, deux hommes ensemble, c’est ma main droite qui prend le contrôle de mon corps jusqu’à la fin du spectacle. Benoît déjà rentrait en moi. Sans permission, sans préliminaire pour ainsi. Comment faisait-il pour rebander aussi vite ? Certes, nous nous étions un peu caressés ; mais de là à me posséder à nouveau aussi vite, c’est exaltant ! Après un violent trio, un homme seul qui me touche et me pénètre… C’en était apaisant et je fermai les yeux de volupté au contact de son sexe dans mon vagin. C’est ainsi que je ne vis pas arriver le deuxième qui s’installa derrière lui et, d’un coup, l’encula.


Je ne le vis pas sur le coup ; je le compris à la façon dont l’onde de choc de la pénétration anale avait roulé jusqu’à moi. Un homme se faisait sodomiser pour pouvoir me baiser : je crus atteindre le septième ciel, c’était trop d’honneurs. Mais pas assez pour ces messieurs car le deuxième se fit enculer à son tour par le dernier. Un cri commun déchira les murs de la chambre. C’est alors que j’ai rouvert les yeux pour voir deux hommes se faire enculer sous mes yeux. Une double sodomie qui m’offrait les coups de boutoir qui me transperçaient. Une situation particulièrement excitante pour le sexe qui venait en moi et que je trouvais extraordinaire. Je ne leur connaissais pas de goût pour la sodomie, autre part que dans mon cul en tout cas. Chaque coup de reins du premier homme entraînait un coup de reins réflexe dans l’anus de celui qui me pénétrait. Une contraction réflexe qui le faisait hurler de douleur anale et de plaisir sexuel. Je jouissais encore d’une telle situation où ils étaient devenus mes jouets sexuels. J’aime me faire défoncer ; j’étais servie. Mais c’était jouissif pour d’autre raisons cette fois-ci : pour le spectacle surprise que l’on m’offrait. Un pied d’enfer, même si je n’avais pas eu d’orgasme.


Après avoir été défoncée comme une chienne – désolée, mais ça m’excite – il me fallait reprendre mes esprits et cette pénétration moins violente était exactement ce dont j’avais besoin. Mais j’en voulais encore. Je voulais encore sentir deux sexes se frotter en moi ; je voulais, pour la première fois de ma vie, que ma bouche se remplisse de leur jouissance. Je voulais être jetée sur ma table en bois, attachée et littéralement violée. Je voulais perdre connaissance par l’extase et ne tardai pas à être servie.


Il ne restait plus que Benoît en moi. Allongée, les jambes à l’équerre, plongée dans le noir total, je devinai à la façon dont il me pénétrait qu’il était les genoux écartés sur le lit. Une puissante pénétration qui, parfaitement rythmée, faisait monter crescendo mon plaisir. J’en étais déjà bien sûr à crier quand il ressortit de moi pour mieux se positionner. C’est ce que je crus, jusqu’à ce que je comprenne qu’en fait il s’agissait d’Éric, vite remplacé par le dernier. Les courtes interruptions, le temps de changer de partenaire, me permettaient de rester à la limite de l’extase sans jamais la franchir. Au deuxième tour déjà, ils se faisaient plus pressants, changeant les positions ; j’étais allongée sur le dos, sur le corps d’Éric quand Benoît vint se présenter à moi. Je pouvais le voir grâce à un brin de lumière dans le couloir. Je me relevai pour faire passer le sexe de mon vagin à mon cul pour que Benoît me prenne à nouveau. Après tout, j’étais là pour être baisée par ces trois hommes… Mais on me fit bien comprendre de ne pas bouger.


Ce deuxième sexe se présenta à mes lèvres, glissant jusqu’au clitoris, me chatouillant légèrement, faisant mine de me pénétrer pour mieux reculer afin de m’exciter, et enfin me prendre comme si de rien n’était. Mais j’avais deux sexes en moi, dans ma chatte. Le plaisir ne tarda pas à me submerger et j’étais presque folle de tant de plaisir, je ne me contrôlais plus. Je me laissais complètement faire, le visage et ma bouche dociles offerts à mon dernier compagnon. Reposant sur le ventre du premier, jambes bien écartées pour le deuxième, je ne me contrôlais plus et j’étais à la limite de perdre connaissance. Quel délice !


Combien de temps cela dura-t-il, je ne saurais le dire. Je me souviens seulement après avoir senti mes hommes venir se déverser dans ma bouche pendant que mon corps sautait toujours des convulsions de mon dernier orgasme. J’avais toujours aussi peur de recevoir plusieurs éjaculations dans la bouche que cela me faisait fantasmer. Je ne me posai cette fois-ci pas de question. Ma bouche grande ouverte reçut le puissant jet du premier ; pas le temps d’avaler que le deuxième en mettait sur tout mon visage. Le troisième se présenta à moi : je le suçai quelques secondes avec encore la jouissance des deux premiers dans ma bouche. Leur sperme ressortait au fur et à mesure de l’éjaculation du dernier.


Je leur offris en remerciement de cette baise mémorable le plaisir de me voir jouer de leurs trois spermes tandis que mon corps s’agitait toujours de son orgasme.




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