n° 15395 | Fiche technique | 12935 caractères | 12935Temps de lecture estimé : 8 mn | 12/01/13 |
Résumé: Une jolie blonde croise systématiquement mon chemin, tous les matins, et toujours au même passage pour piétons. Jusqu'au jour où la belle s'arrête à ma hauteur et me fait comprendre ses intentions... | ||||
Critères: fh inconnu noculotte odeurs fellation cunnilingu anulingus pénétratio yeuxbandés confession | ||||
Auteur : Lingam (Du plaisir et des mots... le plaisir des mots) Envoi mini-message |
En Suisse, il n’est pas rare que certaines entreprises, sises quelque peu en-dehors de grandes agglomérations, mettent à disposition de leurs employés un système de transport public afin de faciliter leurs déplacements.
Pour ma part, il y a quelques années de cela, ce « service aux employés » s’est concrétisé par un système de bus, certes fort pratique, mais toutefois passablement contraignant et un peu monotone au niveau des horaires.
Enfin monotone… oui… mais jusqu’au jour où une jolie blonde, élancée, avec un regard plein de malice et une chevelure magnifiquement longue et bouclée, croisa systématiquement mon chemin, tous les matins, et toujours au même passage pour piétons.
Complètement sous le charme dès la première fois où je la vis, mon chemin du matin devint soudain un moment très attendu de ma journée et influençant ma journée : l’avais-je croisée ? Oui et ma journée devenait radieuse, non et ma journée était morne et morose ; nos regards s’étaient-ils croisés ? Oui et je me sentais le roi du monde, non et je devenais insignifiant.
L’intéressant est qu’avec le temps, ce moment de la journée que je me pensais réservé se transforma en un jeu partagé. Dorénavant, les regards se faisaient plus appuyés, plus longs, plus malicieux aussi et les sourires échangés devenaient doucement mais sûrement la règle.
Un beau jour sur le chemin, arrivé au désormais célèbre passage pour piétons, j’eus le plaisir de voir ma complice de jeu sur le trottoir d’en face et en perdis, comme toujours, mes moyens. La seule différence ce matin-là fut que mon manque d’attention – ou plutôt mon attention uniquement portée sur cette si jolie blonde piquante – me fit traverser la route sans même prendre garde au trafic. Ayant mis un pied sur la chaussée je sursautai alors quand un camion freina d’urgence pour ne pas me renverser et assena un coup de klaxon rageur à mon attention. Le cœur battant la chamade, je sautai promptement sur le trottoir et l’accident fut évité de justesse.
En reprenant peu à peu mes esprits, je vis alors que la jolie fille blonde me regardait fixement, l’œil amusé, affichant un large sourire.
Arrivée à ma hauteur, elle s’arrêta et en rigolant, m’assura que jamais personne n’avait pensé à ce moyen pour attirer son attention. Cette entrée en matière finit de me convaincre qu’il fallait absolument que nous puissions faire plus ample connaissance. De plus, de me retrouver si près d’elle, de plonger mon regard dans le sien, d’entendre sa voix acheva de me faire fondre. Très vite et sans réfléchir, je lui proposai d’aller boire un café, ce qu’elle accepta sans hésitation :
Pas besoin de me faire un dessin, ses intentions étaient très claires… et les miennes encore plus !
Le samedi matin, habillé sobrement d’un jean et d’un tee-shirt, rasé de près, les mains moites et le cœur battant, je sonnai à sa porte, un sachet de croissants au beurre frais à la main.
Elle m’ouvrit et me fit pénétrer dans son appartement.
Vêtue d’une jolie robe d’un ton orangé s’accordant parfaitement à la blondeur de sa chevelure, les yeux légèrement maquillés et doucement parfumée, elle me guida jusqu’à son salon. Elle me fit asseoir sur le canapé et sans plus de préambule, me proposa un « petit-déjeuner dégustation à l’aveugle » que je ne pus refuser. Immédiatement elle me banda les yeux, puis me demanda d’entrouvrir les lèvres afin de goûter au premier ingrédient. M’attendant à sentir le goût de pain, de confiture, voire même de café, je fus surpris de sentir s’appuyer contre mes lèvres quelque chose de pulpeux, doux, humide et chaud… ses lèvres ! Quelle entrée en matière ! Certes je m’attendais à un délicieux moment, mais la rapidité de sa démarche me troubla et immédiatement je sentis mon sexe grossir et durcir.
Je lui rendis son baiser qui se fit langoureux et plus appuyé. À nos lèvres se mêlèrent très vite nos langues et notre baiser devint passionné. Nos langues enroulées, je sentais son souffle chaud. J’aspirais sa langue qu’elle darda et enfonça plus profondément dans ma bouche et commençai à la sucer avec de petits mouvements de va-et-vient, comme si je suçais un pénis.
Nos mains n’étaient pas en reste et nous nous déshabillions mutuellement tout en prolongeant ce baiser délicieux. Sa robe glissa rapidement sur le sol et son corps nu s’offrit à mes mains… Coquine ! elle ne portait donc aucun sous-vêtement ! Très vite également, ses doigts habiles avaient fait sauter ma ceinture et dégrafé mon jean ; puis mon tee-shirt et finalement mon boxer tombèrent au sol. Nous étions tous deux entièrement nus, nos bouches soudées et nos corps frémissants sous les caresses de nos mains. Sa peau était d’une douce et chaude, un vrai régal.
Elle me fit m’allonger sur le dos sur le tapis du salon et je la devinai à califourchon au-dessus de moi. Je bandais comme un fou et je sentais ma queue palpiter de désir et le mouillé des premières gouttes de plaisir sur mon ventre. Elle m’ôta enfin le bandeau que j’avais sur les yeux et je pus admirer sa beauté. Son corps mince, ses petits seins mignons aux pointes dressées d’excitation, son ventre plat, ses fesses rebondies et pleines appelant la caresse de mes mains et sa vulve entièrement lisse et déjà luisante de son excitation.
Elle glissa le long de mon corps, déposant au passage de doux baisers sur mon cou, mon torse, mes tétons et mon ventre, avant d’arriver à la hauteur de ma queue. Elle commença par poser ses lèvres sur mon gland, puis je sentis sa langue s’insinuer pour venir donner de tout petits coups de langue sur mon frein, ce qui me fit bander encore plus. Sa langue continua ensuite sa course le long de ma queue, descendant vers mes bourses pleines qu’elle prit ensuite à pleine bouche ; une après l’autre, puis toutes deux en même temps. Je sentais mes couilles aspirées par sa bouche gourmande et ma bite coula de plus belle. Elle remonta ensuite le long de ma hampe et aspira d’un coup mon gland pour commencer à me sucer avec force, tout en forçant ma fente avec le bout de sa langue. Très vite je devais lui demander d’arrêter, par peur de jouir trop vite et je la repoussai doucement, afin de pouvoir me placer à mon tour au-dessus d’elle.
Je l’installai confortablement dans le canapé, puis commençai par un baiser profond. Je sentais le goût de mon sexe sur ses lèvres et sa langue, c’était merveilleux. Je glissai ensuite le long de son cou et m’arrêtai sur ses jolis petits seins, fermes dont je léchais les tétons durcis de désir tour à tour. Je passais ma langue tout autour d’eux, les aspirais, les suçais et les mordillais même parfois ce qui la faisait sursauter de plaisir, veillant toujours à m’occuper d’une main du sein qui ne se trouvait pas dans ma bouche. Je glissai ensuite plus bas et vins m’installer entre ses cuisses, à trente centimètres de sa vulve, histoire de regarder cette fente magnifique et si attirante.
Je posai alors délicatement mes lèvres sur sa fente déjà trempée de son miel. De petits baisers secs sur toute la longueur de son sexe. Puis doucement j’écartai son minou de mes doigts ce qui libéra un filet de cyprine qui coula le long de ses lèvres, avant de continuer sa course sur son petit trou tout mignon et tout serré. Je commençai par darder la pointe de ma langue juste à l’entrée de son vagin, effectuant de petits mouvements de va-et-vient et me régalant de son jus abondant. Puis je remontai, décapuchonnai doucement son bouton délicat et tendu et y passai le plat de ma langue. Un soubresaut de plaisir parcourut son ventre et ses hanches et manqua de me déséquilibrer.
Je pris alors fermement ses hanches dans mes mains, les immobilisai et d’un coup aspirai goulûment son bouton pour le sucer et le lécher avec frénésie. Un seul et unique but à cette manœuvre… lui donner beaucoup de plaisir. Et effectivement ce qu’elle m’avait dit ne tarda pas à se vérifier ; ma bouche collée à son bouton, mes mains tentant de maintenir son bassin immobile, elle se cambra et éclata d’un orgasme puissant qui secoua tout son corps et la fit crier de plaisir.
Il n’y a rien de plus excitant pour un homme que de faire jouir une femme et surtout de l’entendre jouir sous ses caresses. Je restai donc collé à son bouton et continuai à le suçoter, jusqu’à ce que les vagues du premier orgasme soient passées, avant de progressivement et à nouveau accélérer le mouvement et augmenter la succion. À nouveau son corps se mit à trembler et très vite elle fut terrassée par un deuxième orgasme, ses mains plaquées sur ma tête et ses jambes grandes ouvertes pour mieux pousser son bassin vers ma bouche.
Une fois qu’elle se fût calmée et en guise d’interlude, je fis glisser ma langue le long de sa fente, aspirant au passage son délicieux miel et descendis jusqu’à son petit trou, sur lequel je passai ma langue doucement. Petits frémissements de ma belle… qui avait l’air d’apprécier la caresse. Je dardai donc ma langue et poussai pour qu’elle pénètre dans son merveilleux petit cul. Le goût musqué de son petit trou sur ma langue et l’odeur de sa chatte gourmande à mon nez, qui dans cette position frottait sur sa chatte, m’excitèrent d’autant plus que j’avais une énorme envie maintenant de la prendre.
Je me relevai donc et pris ses cuisses à la hauteur des genoux pour écarter ses jambes encore plus, afin que sa vulve soit complètement offerte. Bonne surprise, la belle était très souple et étira ses jambes longilignes de telle façon qu’elle se retrouva quasiment en grand écart face à moi, jambes ouvertes, chatte ouverte, prête à me recevoir. Je posai alors mon gland juste à l’entrée de sa vulve et restai immobile.
Je poussai alors doucement, mais d’un seul coup, toute la longueur de ma pine dans sa fente qui s’ouvrit tout naturellement pour la laisser passer, avant de se resserrer immédiatement autour. Un fourreau doux, chaud et merveilleusement mouillé juste parfaitement adapté à ma queue… un rêve.
Cette sensation était si délicieuse que je restai un instant immobile, planté au plus profond de son ventre, écoutant mon cœur battre la chamade et son souffle devenu court. Puis j’entrepris de sortir tout doucement jusqu’à ce que seul mon gland soit emprisonné dans cette prison merveilleuse. Tout doucement ensuite, j’entrepris de délicats mouvements de va-et-vient, longs, mais lents, avant de progressivement accélérer la cadence et la force de mes coups. Au fur et à mesure, nos souffles devenaient courts et nous gémissions ensemble de plus en plus fort. Bientôt mes coups de reins devinrent puissants et rapides, mon bas-ventre claquant bruyamment contre le sien et mes couilles pleines battant son sexe.
Et moi qui me retenais pour ne pas jouir trop vite, pour lui en donner un maximum, pour la faire jouir jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter…
Jusqu’au moment où me regardant fixement dans les yeux, elle me dit :
Et elle commença à titiller mes tétons de ses doigts agiles, ce qui me rendit fou et fit illico monter mon excitation. N’y tenant plus, je lui assenai encore quelques derniers coups profonds, avant de jaillir de sa chatte et de gicler abondamment et dans un cri de jouissance sur ses seins et son ventre.
Elle passa alors les doigts dans ma semence et les porta à sa bouche.
Et ce disant, elle nettoya tout mon jus de ses doigts, en plusieurs mouvements, pour l’avaler entièrement.
Telle fut notre première rencontre…
D’autres suivirent…
Et feront l’objet, certainement, de prochains récits.