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n° 15407Fiche technique12657 caractères12657
Temps de lecture estimé : 8 mn
19/01/13
corrigé 01/06/21
Résumé:  Les effets de la cigarette.
Critères:  f collègues cérébral revede fmast fgode fsodo -mastf
Auteur : Catmilk      Envoi mini-message
Clope

Pfiou, quelle journée ! Toutes ces réunions à gérer, cette présentation client, et surtout… ce mec.


Il est 21 h et à cette période de l’année, il fait glacial. Je rentre chez moi avec une seule idée en tête : dissoudre onze heures de boulot dans l’eau tiède d’un bon bain ; le pied !

Mon épaule se déleste de cette enclume qu’est devenu mon sac à main, ma veste glisse le long de mes bras pour se poser sur mon lit, et mes talons se libèrent de 16 cm d’aiguilles pour revenir enfin retrouver le doux contact du plancher ciré.

Dans ma salle de bain, toute de porcelaine blanche, bois clair et miroir, j’ouvre à fond les vannes d’eau chaude. Quand la baignoire finit de se remplir, mon tailleur et mes sous-vêtements gisent à ses pieds.


Mon pied droit est le premier à s’aventurer. Chaque centimètre de mon corps qui passe la surface brûlante du bain pénètre dans un autre monde, un monde doux, léger, incroyablement délassant et sensuel. Le haut de mes cuisses passé, l’eau me chauffe le minou suffisamment fort pour créer une chair de poule sur tout le haut de mon corps raidissant instantanément mes pointes de seins.


Je décide d’enfouir ce qui reste de cette journée au fond de la baignoire. Seul mon visage dépasse de l’eau. Je ferme les yeux. Je suis au chaud, nue, en apesanteur dans un corps complètement délassé.




—ooOoo—




Mon esprit revient sur cette journée du type « same shit, another day » et du passage au bar de l’agence avec nos nouveaux clients suite à notre longue négociation de partenariat exclusif.


Et plus précisément sur ce mec, leur commercial.


Il s’était commandé une « vodka-Martini-à-la-cuillère-pas-au-shaker » avec toute la finesse d’un Roger Moore et j’eus du mal à refréner un éclat de rire lorsque le plus sérieusement du monde il me commandait « une-coupe-de-votre-meilleur-champagne ». Il m’avait abordée d’une façon si légère, à la manière d’un Lino Ventura récitant du Dorcel. Il me draguait avec assurance. Je ne me souviens pas exactement de tout ce qu’il m’a dit, mais du haut de son mètre quatre-vingt-dix, bien bâti, il n’y avait pas de place pour l’échec.


Malgré son manque de classe et de tact, son allure massive me fascinait. D’ordinaire, je clos très rapidement les avances de ce genre de type mais là, peut-être était-ce parce qu’avec mon train de vie, on ne m’avait pas abordée depuis longtemps, je ne pouvais m’empêcher de l’observer. Sa bouche était en total contraste avec la lourdeur des propos qui en sortaient et de son haleine de tabac mentholé. Elle était si bien dessinée avec des dents parfaites. Ses mains était énormes, pourvues de doigts épais et musclés, et ne laissaient pas le moindre doute qu’elles devaient régulièrement agripper du kimono, serrer du ballon ovale ou je ne sais quelle activité de contact viril nécessitant des épaules carrées et des étaux à la place des mains. Des mains qui ne laissent pas s’échapper leur proie. Des mains que je sentirais bien contre moi…


Dans mon bain, mes doigts se glissent entre mes jambes et trouvent mon clitoris étonnement ferme et tendu. Je place mon index et mon annulaire autour et tire délicatement vers le haut pour laisser sortir mon clito de sa cachette. Je sens la chaleur de l’eau détendre chacun de mes orifices. Mon majeur vient presser délicatement mon sexe et glisse de bas en haut. Mes genoux sortent de l’eau. Je me caresse doucement. Mes fesses sont bien écartées dans cette position et je sens l’eau chaude entrer un peu dans mon anus. J’imagine les doigts de ce mec s’y introduire. Faire de lents allers-retours. Sentir passer profondément chaque phalange.


Soudain me revient en tête ce moment où, en sortant du bar, je recroisai ce type. Il était sorti fumer une cigarette. Dans un désagréable nuage de fumée mentholée, il m’en proposa une et en profita pour me dire qu’il aimait beaucoup mes seins et mon cul, et me demanda où il pouvait trouver un bar pour passer du bon temps, dans des termes suggérant très clairement que je devais bien m’y connaître en clubs libertins.


Mon Dieu, mais quel beauf !


Terriblement surprise, j’écrasai ma clope à peine allumée et filai rapidement vers ma voiture. Il me rattrapa rapidement, émit des excuses rhétoriques et m’offrit son paquet de clopes en guise de pardon. Je n’avais pas envie de traîner, j’ai pris le paquet, l’ai enfourné dans mon Louis Vuitton, lui ai rendu un sourire rhétorique et suis rentrée chez moi.




—ooOoo—




La chaleur de l’eau commence à se faire de plus en plus discrète, et la pensée des clopes qui se trouvent dans mon sac à main mettent vite court aux caresses. Je me lève, vais dans l’entrée, attrape mon sac et retourne dans la salle de bain.

Je sors le paquet, l’ouvre et en tire une clope. Je ne fume jamais de Marlboro menthol mais pour ce soir, ça fera l’affaire. En reposant le paquet sur le bord du lavabo, je vois qu’il y avait quelque chose d’écrit au Bic.


Besoin d’une belle grosse queue pour la soirée. Suivi de son numéro de portable.


Incroyable… Ce mec ne manque vraiment pas d’air. Aucune chance que ça marche avec moi, ce genre de plan naze.

Et pourtant, je suis là, nue debout devant mon miroir, dans le vague à regarder mon corps athlétique, encore sous l’effet désagréablement excitant de ces quelques mots sur un bout de carton. Il n’avait pas tort, c’est vrai que ma poitrine n’est pas mal, bien ferme tout comme mes fesses. J’allume la cigarette, prends une bonne bouffée et aussi brusquement qu’inattendu, le parfum si particulier de ses Marlboro menthol cristallise instantanément dans mon cerveau l’image de sa bouche, de ses mains… de sa « belle grosse queue ».


Je le vois, grand, une musculature massive et lourde, une sorte d’ours avec une belle bite épaisse entre les cuisses.

Recrachant la fumée, l’odeur de ce nuage fait apparaître dans mon esprit ses deux énormes mains, l’une me pressant un sein et l’autre glisse ses doigts au fond de ma chatte. Je n’en peux plus. Plus je tire sur la clope plus je mouille et plus mon corps se cambre d’excitation. Je pince fort mon sein bien dur d’une main, l’autre s’aventure entre mes fesses, un doigt sur mon petit trou du cul qui se ferme puis s’ouvre, avide. J’me tortille, je suis brûlante… Je tire une taffe…


Il me faut sa queue.


Me revient à l’esprit un sextoy que j’avais reçu par erreur. Le petit vibro discret et design que j’avais commandé avait malencontreusement été remplacé par un godemichet qui nous avait fait beaucoup rire avec mes amies tant ses dimensions sont exagérément grosses. J’avais une fois essayé par curiosité de l’utiliser mais, même avec le gel fourni, ça m’avait fait un peu mal. J’avais renoncé, l’avais rangé et délaissé depuis. Mais là, ce soir… Je tire une taffe… Je le sors du fond de son tiroir et le ventouse au carrelage du mur face au lavabo. Je me penche, clope au bec, positionne le gros gland à l’entrée de mon sexe.


Toute la salle de bain est embuée, moite, et sent le tabac mentholé… Son haleine mentholée… Il est là derrière moi…




—ooOoo—




Toute cette chaleur m’empêche de bander à mon maximum. Je suis debout derrière son cul, des gouttes tièdes perlent le long de ma bite. Elle est penchée en avant et me tend son cul. Mes deux paluches attrapent cette petite salope pour amener sa chatte vers ma queue. Ses abdos se durcissent quand mes mains la serrent bien, elles font presque le tour de sa taille fine. Mon gland disparaît sous ses fesses et durcit au contact de son minou trempé.


  • — Tu t’es foutue de ma gueule tout à l’heure. Tu m’as bien snobé.

Je tire son cul vers moi, faisant entrer le bout de ma bite dans sa fine fente. Je force un peu et son gémissement me fait bien comprendre qu’elle n’a pas l’habitude de ce calibre.


  • — Maintenant petite pute, avec tes mains, écarte bien ta chatte parce que, que ça te plaise ou non, je vais te la rentrer toute entière… Ouais, c’est ça, branle-toi bien l’clito, t’as intérêt à bien mouiller.

Je serre fermement sa taille, impossible qu’elle ne s’en défasse. Et là, je la tire vers moi. Sa chatte est bien tendue mais ma queue y pénètre sans trop de mal, elle mouille à fond la salope… Je la ressors et sens un petit soulagement de sa part.


  • — Ne te réjouis pas trop ma petite !

Et je lui enfonce jusqu’à ce que mes couilles se posent sur ses doigts qui caressent son clitoris. Je la ressors entièrement. Son trou reste ouvert une seconde puis se referme, je la lui rentre violement en entier. La douleur lui fait serrer les dents au travers desquelles s’échappe un cri d’extase. Une de ses mains m’agrippe le poignet pour me signifier d’y aller plus doucement. Je la bourre de coups d’bite, mes couilles frappent fermement son clito tendu.

Sa chatte devenue large et trempée, je m’y sens de plus en plus à l’aise.

Ce qui n’est pas pour lui déplaire.

Ce qui n’est pas pour me réjouir.

Je ralentis, attrape le paquet de clopes, m’en allume une et le repose sur le bord du lavabo.

Je sors ma queue. Bien dure et bien glissante de sa mouille.

Je tire une taffe. Elle tourne la tête vers moi se demandant pourquoi j’arrête.

Avant qu’elle ne se relève totalement, je l’attrape par le cou, la remets fermement en équerre à 90°, ce qui l’oblige à se retenir des deux mains au lavabo pour ne pas tomber. Elle relit mon petit mot : « Besoin d’une belle grosse queue pour la soirée. »


  • — Remets-la, dit-elle.

Sa chatte m’emmerde, je lui fourre mon pouce dans ce petit trou du cul qui me nargue depuis le début.


  • — Attends…

Sa phrase finit au fond de sa gorge quand ma bite lui élargit doucement l’anus rendu bien glissant par toute l’humidité de la pièce. J’le sens se refermer à la base de mon gland et le serrer.


  • — J’vais me branler avec ton fion, maintenant.

Je regarde ma grosse queue s’enfoncer centimètre par centimètre entre ses fesses. Son cul est bien étroit, j’en sens très bien chaque relief. Jamais personne ne s’est aventuré si profondément en elle. Ses mains sont crispées sur la faïence blanche, son corps musclé, tendu, tressaille et se contracte à chacun de mes mouvements. Je fais de lents va-et-vient entre ses fesses moites. Ma queue n’a jamais été si dure. J’accélère. Elle souffle et pousse de légers cris quand mes couilles frappent sa chatte dans un bruit mouillé.


  • — J’vais t’élargir le cul comme personne !

Plus je lui défonce le cul, plus ses doigts accélèrent passant de son clito à son minou.




—ooOoo—




Mon Dieu sa queue me laboure le cul.

Mon clitoris, ultra excité, pointe raide sous mes doigts.


J’entre facilement trois ou quatre doigts dans ma chatte, littéralement inondée.

Ses couilles écrasent mon clito à chacun de ses allers-retours dans mon petit trou transformé en véritable tunnel pour l’occasion. Je vais jouir. Je sens sa queue se gonfler et tressauter à l’intérieur. Il va me remplir le cul de sperme. Je jouis. Il se vide les couilles au fond de moi. Je jouis contre ses couilles. Il se retire, mes doigts caressent et entrent dans mon cul béant plein de foutre… Je jouis.


Je n’ai plus de force, je m’accroupis, laissant mes orifices incroyablement dilatés reprendre leur taille d’origine. Dans le lavabo se consume le reste de la clope menthol que j’avais laissée tomber dans l’action.


Je souris en entendant derrière moi le plic-ploc sur le carrelage des gouttes qui s’écoulent du gode.


Les menthols c’est vraiment dégueulasse.