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n° 15421Fiche technique20017 caractères20017
Temps de lecture estimé : 12 mn
26/01/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  Après la fifille, la maman...
Critères:  fh soubrette facial fellation fdanus fsodo journal confession
Auteur : Justinsolo            Envoi mini-message

Série : La mère et la fille

Chapitre 02
La soubrette

Résumé de l’épisode précédent :


Se faire la mère et la fille est un fantasme que j’ai eu le plaisir d’assouvir récemment. Je vous ai raconté, dans le premier épisode, « La fille qui aime les Porsche et les jacuzzis… », comment j’ai eu la fille. Voici comment j’ai eu la mère…

J’espère ajouter un troisième épisode : la mère et la fille en même temps, mais hélas ce n’est pas encore fait…








La soubrette



Voici bien deux heures que je suis levé. Je suis très matinal, il est huit heures, le jour se lève à peine ; et pourtant la sonnette retentit… Je n’attends personne… Je jette un coup d’œil sur l’écran de l’interphone. C’est une femme qui m’est inconnue…



J’avais totalement oublié que la petite de la salle de sport que j’ai enculée dans le jacuzzi voici trois jours, m’avait demandé si j’avais besoin d’une femme de ménage. Et voici la maman qui pointe son nez…

Je lui ouvre la porte. Elle est assez grande, en jean et doudoune. Elle me semble mince. Et sa ressemblance avec sa fille est assez frappante. Elle a un assez joli visage, trop et mal maquillé entouré de boucles blondes issues d’une mauvaise teinture.

Elle entre et pose un sac sur le sol.



Nous passons dans la cuisine



Même voix et même accent que sa fille



En fait le vendredi je travaille à la maison et ça m’arrange d’être présent, cela m’évitera de recompter les cuillères en argent…



Nous faisons rapidement le tour. Elle est visiblement bluffée par la taille de la maison et de par la déco. Nous arrivons à la véranda et elle s’exclame :



J’espère qu’elle n’a pas fait trop de confidences…



J’ai dû travailler deux bonnes heures tranquillement. J’entends parfois les bruits que fait ma nouvelle femme de ménage et je l’entends chantonner assez faux des rengaines à la mode. Je décide qu’il est temps de marquer une pause et d’aller boire un verre d’eau à la cuisine.


Lorsque je fais irruption dans le salon je reste coi. Je n’ai pas une femme de ménage mais une soubrette ! En effet, elle s’est mise en tenue de soubrette. Enfin, ce qu’elle croit être une femme de ménage dans son monde. Elle est en bas noirs, des Dim up qui s’arrêtent là où débute sa jupe noire. Il faut dire qu’elle fait les carreaux, qu’elle a les bras levés et que du coup sa jupe courte cache à peine le bas de ses fesses ! Elle porte un chemisier blanc et un tablier blanc également.

Elle n’est pas mal faite du tout si on aime les femmes minces. Très minces. Mais l’ensemble n’est pas si mal nonobstant la décoloration excessive de ses cheveux et la qualité médiocre des vêtements.

Elle me voit dans la vitre et se retourne. Je dois avoir l’air un peu ahuri par sa tenue car elle éclate de rire.



Elle se cambre, lisse le tablier, faisant saillir une poitrine plus volumineuse que celle de sa fille et fait un tour sur elle-même.



Elle rit de bon cœur. Elle a un rire agréable et communicatif.



Nous passons à la cuisine et je sors deux bières.



Nous vidons nos bières à même le goulot car elle a repoussé le verre que je lui avais proposé. Nous sommes côte à côte accoudés au comptoir qui sépare la cuisine américaine de la salle à manger.



En allant vers le frigo, je trébuche. Satanées babouches… Dans mon mouvement ma main s’est posée sur le bas de son dos.

Elle rigole.



D’un geste très naturel elle relève sa jupe et tire sur sa culotte pour me montrer le bas d’une de ses fesses.



Je me penche et pose presque le nez sur sa fesse. Effectivement une marque bleue orne sa fesse très blanche.



Je ramène du frigo deux bières et un glaçon.



Elle relève sa jupe et choisit de tirer sa culote vers le bas. Du coup sa fesse est largement découverte. Je passe le glaçon sur la marque.



En fait je n’en sais strictement rien mais c’est tout ce que j’ai trouvé comme excuse pour tripoter une fesse assez ferme pour son âge. À moitié cambrée pour faciliter ma caresse, elle ne dit plus rien tandis que je décris des cercles autour de son bleu, la main à plat et le glaçon dans la paume de ma main.

Après que le glaçon a fondu, je continue encore un peu car c’est assez excitant. Puis je lui mets une petite tape sur la fesse.



Elle abandonne la sienne et pose sa main sur mon sexe au travers de mon pantalon.



Sa main n’a pas lâché ma queue, elle s’est rapproché de moi et me regarde droit dans les yeux.



J’ai la gorge sèche. Je croasse plus que je ne réponds.



Elle s’agenouille, ouvre ma braguette et extrait mon sexe de mon caleçon d’une main experte. Puis elle commence à me masturber, la tête relevée, les yeux rivés aux miens. Je pose ma bière, relâche ma ceinture et mon pantalon tombe sur mes chevilles. Elle avance les lèvres et tout doucement m’introduit dans sa bouche. Et elle commence une fellation toute en douceur.

Je ne bouge pas. Il y a trois jours la fille me suçait dans le jacuzzi, aujourd’hui c’est la mère dans la cuisine !

Elle a accéléré le mouvement et maintenant elle met les bouchées doubles. Elle introduit presque entièrement ma hampe dans sa bouche. Elles ont des dons d’avaleuses de sabre dans cette famille… Puis elle m’extrait dans un bruit de succion et de nouveau son nez repart à la rencontre des poils de mon pubis. Je vois son crâne avec ses cheveux décolorés et par moment s’y superpose le crâne de sa fille. Laquelle des deux suce le mieux ? Impossible à dire mais elles sont toutes deux efficaces car je sens que je vais bientôt craquer. Elle s’arrête.



Je me débarrasse en hâte de mon pantalon qui m’entravait les chevilles et me rue dans la salle de bain.

Lorsque je reviens, la capote à la main, elle est à plat-ventre sur la table, les jambes verticales les pieds reposant à peine sur le sol. Je remarque sa culotte qui gît près de mon pantalon. Je me précipite sur elle, relève sa petite robe qui dans cette position couvre à peine le bas de ses fesses. Je marque un temps d’arrêt pour admirer ce fessier généreux. Impatiente elle envoie une main dans son dos, se saisit de ma queue et l’amène énergiquement à l’entrée de son sexe trempé.



Je me suis enfoncé sans difficulté dans sa chatte qui en a vu d’autres. Je la pilonne vigoureusement encouragé par les mots orduriers qu’elle profère comme une litanie.



Elle a le même langage que sa fille… Mais c’est très excitant. Au point que je sens le plaisir qui monte brutalement dans mes reins. Elle l’a senti aussi car elle se débat, se dégage et tombe à genoux sur le carrelage face à moi. Elle arrache le préservatif et m’engloutit juste au moment où je me déverse dans cette bouche accueillante.

Comme sa fille, elle avale jusqu’à la dernière goutte.

D’une langue mutine, elle lèche mon gland et le nettoie avec application.



Elle se relève. Sa robe retombe et elle est présentable si ce n’est une certaine rougeur aux joues. Elle va tranquillement en cuisine, néglige de remettre sa culotte et reprend sa bière qu’elle se remet à siroter. Je la rejoins. Je suis en caleçon et décide de rester ainsi. Ensemble, de nouveau côte à côte, nous finissons mos bières.



Je jette un coup d’œil à la pendule. Il est midi.



Elle m’aide à mettre deux couverts sur l’îlot qui dans la cuisine permet de déjeuner à deux voire trois. Je sors du frigo de la charcuterie, des viandes froides, des tomates du fromage et une bouteille de bordeaux entamée de la veille. Ensemble nous dévorons et en discutant de tout et de rien, nous vidons la bouteille de vin. Elle a de nouveau les pommettes rouges.

Devant le frigo je l’interroge sur ce qu’elle souhaite comme dessert.



Elle tend la main et la glisse dans mon caleçon… Je me laisse faire en refermant le frigo. Elle me caresse avec douceur et efficacité et je ne tarde pas à lui montrer l’efficacité de sa caresse. Elle s’interrompt et baisse entièrement mon caleçon.



Elle se lève et me tirant par la queue, m’amène jusqu’au salon où elle me fait asseoir dans un fauteuil en cuir.

Puis, elle déboutonne son chemisier. Je la regarde faire en me masturbant doucement. Son chemisier finit au sol et elle s’attaque à son soutien-gorge qui suit le même chemin. Elle a une poitrine qui tombe un peu, mais qui ne manque pas de charme. Nul doute que sa peau très blanche y fait beaucoup. Elle se cambre, faisant saillir ses seins, puis se dirige, seulement vêtue de sa jupe noire et de son tablier, vers la salle de bain. Lorsqu’elle revient elle pose un préservatif sur l’accoudoir du fauteuil



Elle s’agenouille de nouveau face à moi et je retrouve avec plaisir le refuge de sa bouche où ma queue commence à prendre ses habitudes. Visiblement son but n’est pas de me faire jouir mais de s’exciter car elle suce avec une main qui s’active entre ses cuisses. Enfin, elle attrape le préservatif et le pose sur le sommet de mon gland. En experte, elle le déroule avec sa bouche. Du grand art… Contente d’elle, elle se redresse, me tourne le dos et trousse sa jupe. Je retrouve ses jolies fesses tandis qu’ayant saisi ma queue, elle s’accroupit sur moi et sans tâtonner elle s’empale. Elle est trempée une fois de plus ce qui me confirme ses assertions : elle mouille dès qu’elle suce…

Lorsqu’elle m’a absorbé intégralement et que ses fesses reposent sur mes cuisses, elle marque un temps d’arrêt, le temps dans un soupir d’aise.



La même classe que fifille !

Je regarde son dos où s’étale un tatouage représentant sur sorte de dragon.

Elle commence à monter et descendre sur ma queue. Je ne bouge pas la laissant imposer son rythme. Puis je relève sa jupe pour mieux admirer son cul montant et descendant sur mon sexe. La houle de ses hanches fait son effet et je me sens raide comme la Justice… Mais le traitement d’avant déjeuner ayant entamé mes forces, je me sens capable de résister longtemps à la montée du plaisir. Elle, par contre, semble apprécier cette position car son halètement ne trompe pas… Elle accélère et je participe en venant à sa rencontre à coups de bassin. Elle gémit de plus en plus et bouge de plus en plus vite. Je suis le rythme et dans un couinement, elle interrompt la litanie de ses obscénités pour s’immobiliser, empalée à fond, le corps secoué de spasmes. Je m’immobilise également.



Elle se relève, fait demi-tour, puis face à moi un genou de chaque côté de mes hanches, elle s’empale de nouveau…

Et elle reprend ses mouvements de yo-yo… Cette fois j’ai droit à une paire de seins que se balancent lourdement sous mes yeux. Je m’en saisis. Ils sont doux et les mamelons sont très larges et sombres. Je les agace de mes pouces tandis qu’elle gémit de nouveau en fermant les yeux.

Elle bouge de plus en plus vite, cambrée. J’abandonne ses seins et pose mes mains sur ses fesses. Je les écarte doucement tandis que sa poitrine s’appuie sur mon torse. Un de mes doigts s’aventure et rejoint l’entrée de ses reins ? Son sillon est trempé et mon doigt pénètre dans son cul encouragé par une voix rauque.



Mon doigt entre et sort, bientôt rejoint par un deuxième. Elle encourage toujours la manœuvre jusqu’au moment où elle arrête net ses mouvements, se relève et de nouveau me tourne le dos. Penchée en avant, elle a saisi ma queue et guide mon gland à l’entrée de reins. Puis lentement elle fait pénétrer le gland, s’arrête puis doucement, à petits coup de reins, elle s’empale lentement sur ma queue.



En tout cas, moi, je suis aux anges, dans ce cul serré. Elle reprend ses mouvements de montées et descentes le long de ma bite et égrenant ses commentaires obscènes. La position n’est pas très confortable car j’ai l’impression que je ne la pénètre pas réellement à fond. Je sens mon excitation monter. Puis, d’un coup, pris de frénésie, je m’arrache à ce cul accueillant et la repousse en avant. Elle se retrouve à quatre pattes sur le carrelage, la jupe et le tablier sont entortillées autour de sa taille et son cul est totalement offert.


Je la prends par les hanches tandis qu’elle pose la tête sur le sol faisant saillir encore plus sa croupe. Je pointe mon gland devant son anus encore distendu et m’enfonce de toute ma longueur. Puis je la pilonne de coups de reins vigoureux. Le rythme de ses encouragements obscènes s’accélère et comme elle me demande de lui défoncer le cul, j’accède à ses désirs. Mon rodéo se termine par une montée intense du plaisir dans mes reins. Cette fois-ci elle n’a pas le temps de réagir, je me vide à longs traits dans son cul avec un grognement de plaisir…


Nous avons mis dix bonnes minutes à récupérer, à nous rhabiller. Puis nous avons pris un café et sans mot dire, nous nous sommes remis au travail, elle sur les carreaux et moi dans mon bureau sur mes devis.

En fin d’après-midi, elle a pris une douche en me disant qu’elle essayera le jacuzzi une prochaine fois. Nous avons fait le tour de la maison et sans arrière-pensées je l’ai félicitée pour son travail. Je l’ai payée et elle n’a jamais voulu que je la reconduise. Elle préférait prendre le bus.

Je lui sais gré de n’avoir fait aucune allusion à notre séance de gymnastique suédoise… Nous nous sommes séparés sur une poignée de main et nous sommes donnés rendez-vous pour vendredi prochain. Au programme, les salles de bain, les WC, les carrelages et les carreaux de la buanderie. Plus si affinité…

Depuis je ne pense qu’à une chose : comment faire pour sauter la mère et la fille en même temps…