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n° 15422Fiche technique11345 caractères11345
Temps de lecture estimé : 7 mn
26/01/13
Résumé:  Un voisin vicieux fait chanter ma tante. Mais en bon chevalier blanc j'assure sa défense...
Critères:  fh fplusag oncletante photofilm fellation nopéné init -prememois
Auteur : Justinsolo            Envoi mini-message
Le voisin vicieux



La voix de ma mère m’a interrompu en pleine réflexion sur l’intégrale de Riemann… Une bonne occasion de sortir la tête de mes livres de math, d’autant que le bac est dans trois mois et que j’ai du temps devant moi pour réviser… Je sors de ma chambre et prends le téléphone des mains de ma mère qui me chuchote :



J’aime bien tatie Danielle, la sœur aînée de ma mère. La cinquantaine, blonde frisottée, plutôt bien en chair, elle est amusante, vive, sensuelle et elle rayonne d’une joie de vivre qui la rend attachante. Elle habite à quelques kilomètres de chez nous, en banlieue et j’aime lui rendre visite car elle m’interroge sur mes études, me taquine sur mes supposées histoires de cœur et n’oublie jamais de me glisser un billet ou deux pour compléter mon argent de poche. Bref nous nous aimons bien.




Mercredi à 15 h 45, je suis devant chez ma tante. Je pose mon vélo à quelque distance, en prenant soin de l’attacher à un réverbère. Je suis en jogging et je cramponne mon précieux Nikon D7000 équipé d’un objectif de 28mm. Je l’ai réglé en mode rafale, la batterie est chargée…


À 15 h 55 je suis dans la maison et à 16 h pile, je pousse la porte du salon et je mitraille.

Il y a bien deux personnes dans le salon, mais dans quelle posture… Ma tante est entièrement nue, à quatre pattes, la tête entre les cuisses d’un individu qui est assis dans un fauteuil, le pantalon et le slip sur ses chevilles…


À mon entrée, l’individu, après un moment de stupeur, tente de se relever, extirpant un sexe à moitié mou de la bouche ma tante. Celle-ci se relève, se saisit d’une robe de chambre qui traîne sur le sol et vient se placer dans l’embrasure de la porte, derrière moi, coupant toute retraite à l’homme que je reconnais comme étant son voisin, le vicieux voyeur.


Celui-ci essaie de cacher son sexe et remonte tant bien que mal son pantalon et son slip. Lorsqu’il y est enfin parvenu, il reste au milieu de la pièce les bras ballant et l’air ahuri. Je relâche la pression de mon doigt sur le déclencheur et le bruit de mitraillette de mon appareil s’arrête.

Ma tante s’avance en finissant de serrer la ceinture de sa robe de chambre.



L’homme s’est décomposé devant les menaces de ma tante :



L’homme ne demande pas son reste et d’enfuit prestement. Ma tante porte la main sur son cœur et souffle de soulagement. La tension commence à tomber…



Elle me regarde d’un air inquiet :



Je sors un câble de ma poche et le branche sur le téléviseur. En un rien de temps, la première photo apparaît sur laquelle ma tante, nue, est en train de sucer le voisin…



Nous sommes tous les deux face à l’écran…



Je passe mon bras autour de sa taille puis je laisse descendre ma main sur son fessier dont je sens la chaleur au travers de la robe de chambre.



Ma caresse s’accentue tandis que de mon autre main, je m’emploie à dénouer sa ceinture.



Ça y est la ceinture est tombée et le peignoir entrouvert me permet d’apercevoir sa chatte recouverte d’une toison abondante mais bien entretenue. Visiblement elle prend soin de son intimité…

Hélas, elle reprend ses esprits et se dégage…



Je lui montre le téléviseur :



Elle regarde mon jogging.



Elle saisit mon sexe à travers le tissu.



Elle se laisse tomber à genoux et baisse mon pantalon. Ma verge jaillit, tendue…

Elle s’en saisit et me regarde :



Je réponds d’une voix rendue chevrotante par l’excitation :



Et elle introduit mon sexe dans sa bouche…


Ah quel moment, quelle sensation ! Quelle fierté aussi : une femme me suce. Comme dans les films. Et c’est ma tante ! Je ne suis pas expérimenté mais il me semble que la coquine sait y faire. Sa tête monte et descend régulièrement, je sens la chaleur de sa bouche, sa langue qui virevolte autour de mon gland, une main experte qui me caresse les bourses. Des frémissements annonciateurs du plaisir montent dans mes reins. Elle a dû le sentir car elle s’interrompt. Elle me branle doucement et me regarde :



Je bégaie :



Et elle reprend sa fellation… De la pointe de sa langue, elle titille mon gland, caresse le frein puis enfourne ma hampe dans sa bouche quasiment sur toute la longueur. Lorsque sa tête recule, ses lèvres se serrent autour de ma queue, ses joues se creusent sous l’effet de sa succion, puis elle replonge. Son mouvement n’est plus régulier. Elle accélère, ralentit, s’arrête pour me masturber et au moment où je vais lui demander de continuer, elle replonge, m’évitant de la supplier. Un supplice de Tantale et une sensation inouïe.


Je ne bouge pas. Je n’essaie pas d’aller à sa rencontre. Je reste immobile, bras ballants, la laissant égoïstement faire tout le travail. Je suis sur un nuage…


Mais les plus grands plaisirs ont une fin et de nouveau je sens les contractions annonçant la montée de mon orgasme. Elle serre les lèvres, accélère le mouvement jusqu’à ma délivrance. De sa main elle presse mes bourses accélérant la montée de la sève. Dans un grognement incontrôlé, je me vide à longs traits dans sa bouche si accueillante. Elle garde mon sexe dans sa bouche, serre les lèvres autour de ma hampe et continue son lent va-et-vient en déglutissant plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle ait extirpé la dernière goutte de plaisir.

Puis elle me relâche, finit à petit coups de langue de me nettoyer la queue et la remet dans mon slip avec des gestes doux.



Je suis reparti un peu plus tard après avoir renouvelé mon serment de silence. J’ai les jambes flageolantes sur mon vélo et dans ma poche un billet de 50 euros.


J’ai transféré les photos sur son ordinateur et, à sa demande, les ai effacé de mon appareil. J’aurais pu tricher, je ne l’ai pas fait. Je préfère rester sur le souvenir de ma première fellation. En espérant que bientôt ma tante me montre ses autres talents…