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Temps de lecture estimé : 33 mn
27/01/13
Résumé:  Chargé par une amie commerçante de vérifier ses compte, l'étudiant en apprend beaucoup de l'amie de sa mère.
Critères:  fh ffh fplusag jeunes voir ffontaine fmast hmast intermast fellation 69 pénétratio coprolalie -inithf -fbi -mastf
Auteur : Naipas  (Retraité, j'écris pour le plaisir)      Envoi mini-message

Série : Récits à lire d'une main

Chapitre 04 / 05
Il était une fois

Il était une fois




À l’époque de mes études, j’avais un peu plus de dix-huit ans, ma mère avait une amie qui tenait une petite mercerie de quartier. Josée, qui avait trente-cinq ans, était mariée à un voyageur de commerce mais n’avait pas d’enfant. Son mari était absent la semaine et partait souvent à l’étranger. Il ne rentrait que le vendredi soir. Grande, aux longs cheveux châtain, elle me considérait un peu comme son gamin, car elle m’avait gardé lorsque ma mère avait dû être opérée. Je ne passais pas une semaine sans aller la voir. C’est dire si nous nous connaissions.


À la fin de mes études secondaires, je continuais à fréquenter la boutique et Josée m’avait proposé de tenir ses comptes. Une fois par semaine, je passais mon après-midi à classer les factures et à recopier des colonnes de chiffres dans de grands cahiers. Elle me gratifiait d’un petit pourboire et d’un bon goûter.


Un jeudi, alors que j’étais occupé à vérifier les commandes, elle vint me trouver dans le salon où elle m’avait installé et me proposa une tasse de café. Quand elle revint avec le plateau, je remarquai que, contrairement à son habitude, car elle était assez discrète, elle portait une robe légère, un peu courte pour l’époque et boutonnée sur le devant. Elle n’avait pas fermé les deux derniers boutons du haut et c’est ainsi que, quand elle se pencha pour servir le café, la robe s’ouvrit largement et je pus voir tout le haut de ses seins. Elle s’assit près de moi.


Nous bavardions comme d’habitude de tout et de rien. Elle prenait des nouvelles de ma famille et me faisait l’éloge de ma mère. Josée me demanda soudain :



Ma main tremblait un peu. Elle s’en aperçut.



Je dus rougir, car elle me regardait dans les yeux.



À ce moment-là, la sonnerie du magasin tinta. Josée se leva.



Elle me tendit une revue épaisse en papier glacé. Je l’ouvris et je vis des photos de femmes nues, les cuisses grandes ouvertes et dans toutes les positions. Je me mis à feuilleter avidement, les mains tremblantes. Pourquoi avait-elle fait ça sinon pour m’exciter en attendant son retour ? Je glissai ma main dans mon pantalon sous mon slip et commençai à me caresser. Non content de cela, je déboutonnai ma braguette et sortis ma bite déjà gonflée, autant par la lecture de la revue excitante avec ces femmes nues qui montraient leur chatte que par l’envie d’être vu quand Josée reviendrait. J’étais tellement occupé que je ne la vis pas rentrer. Je sursautai en l’entendant me parler et je dus rougir.



Josée me tend la main et m’attire contre elle. Elle me regarde dans le fond des yeux. Elle s’écarte doucement, prend mes mains, se les pose sur ses seins que je sens fermes et bien ronds à travers le tissu léger de sa robe.



Elle soupire, ferme les yeux pendant que, à son invitation, je continue à la caresser. Elle recule, va se mettre devant le grand miroir du salon. Lentement, elle déboutonne le dessus de sa robe et dénoue sa ceinture. Puis, elle fait glisser son vêtement qui tombe sur le tapis. Sans se retourner, elle glisse sur ses épaules les bretelles de son soutien-gorge qui va rejoindre la robe. Au moment de se retourner, elle plaque ses mains sur ses seins.



Elle les saisit les pose sur ses seins.



J’ouvre les yeux et je vois deux superbes seins, ronds, fermes, avec leurs mamelons rose-brun au centre d’une aréole large comme une petite main de bébé. Mes mains tremblent, mon cœur bat la chamade, je ne sais plus quoi dire, tant j’ai la gorge sèche. Je prends les mamelons entre mes doigts et commence à les rouler. Ils deviennent durs comme de petits diamants. Elle soupire de plus en plus, se serre contre moi, passe sa main entre nous à hauteur de ma braguette et se met à me masser la bite à travers le pantalon. Elle me déboutonne, défait ma ceinture. Mon pantalon tombe et je me retrouve en slip contre son ventre chaud.



Effectivement, je la pousse un peu pour l’écarter. Josée me regarde, se demandant pourquoi, mais je me recule pour mieux la voir. Elle est belle avec ses seins bien plantés dont les bouts tout gonflés ont l’air de me provoquer. Je ne sais quoi faire et elle s’en rend compte. Alors, lentement, elle fait descendre sa petite culotte. Une touffe de poils apparaît, brune et légère. Le slip continue de descendre et tombe sur le sol. Josée n’a plus que son porte-jarretelles et ses bas. Elle écarte légèrement ses cuisses, laissant paraître une petite fente rose, déjà ouverte, d’où pendent deux lèvres longues et fines. Je suis incapable de rien faire. Elle s’approche.



Je me rassieds sur le divan et Josée se plante devant moi. Elle approche ses mains de sa chatte, en écarte les lèvres, et fait saillir un petit bouton tout rose et dur planté au-dessus des lèvres.



De son index, elle le caresse doucement. Elle soupire. Ses yeux se ferment et sa respiration se fait plus courte. Comme un con, je n’ose pas bouger. C’est vrai que le spectacle m’excite au plus haut point. Comme je suis assis, nu sur le divan, ma bite se dresse, bandée et droite comme un bâton mais je n’ose la toucher car je sens mon foutre bouillonner et je serais vite prêt à exploser. Josée continue son manège. D’une main, elle se frotte le clitoris et de l’autre, elle tire sur ses mamelons qui sont devenus comme des cerises.



En effet, comme de petites larmes, des gouttelettes transparentes s’écoulent doucement des lèvres de sa chatte. Je veux me pencher vers elle pour recueillir dans ma bouche cette boisson inconnue, mais Josée arrête mon geste.



J’obéis et m’installe sur la table du living, les jambes pendantes. Tout en continuant à se caresser la chatte et les seins, Josée se penche vers ma pine dressée. Doucement, ses lèvres l’effleurent, descendent le long de la hampe puis remontent vers le gland qu’elles lèchent d’un mouvement tournant ; sa bouche s’ouvre puis se referme sur le gland. Elle me suce, doucement puis de plus en plus fort, enfonçant le membre jusqu’au fond de sa gorge. Je ne sais plus où me mettre. Je suis si excité que je me mets à trembler comme une feuille dans la tempête. Je sens que je vais exploser mais Josée n’en a cure. Elle me suce de plus belle tandis qu’elle accélère le mouvement de ses mains sur son clito et ses mamelons. Soudain, elle se met à râler puis à parler.



Et c’est l’explosion. Mon foutre jaillit brusquement dans la bouche de Josée tandis que celle-ci, tremblant de tous ses membres, s’affale sur moi en râlant de bonheur. Je vois des chandelles partout. Je m’accroche à elle ; ensemble nous roulons doucement sur la moquette. Nous restons un moment dans les bras l’un de l’autre. Je la regarde et je vois couler lentement de sa bouche entrouverte mon jus qui laisse sur le tapis une petite flaque blanche.


Josée est la première à se remettre. Elle avale ce qui reste de sperme dans sa bouche et me montre la tache. Elle m’aide à me relever et me serre contre elle. Je sens ses seins se presser tandis qu’elle reprend ma pine en main et se met à la masser lentement.



Elle me prend par la main libre et tous deux, nous montons dans sa chambre. Tout en gravissant les marches, elle me tient la bite tandis qu’ayant introduit un doigt dans sa fente, je masse doucement son petit bouton qui s’est remis à gonfler. Je le sens rouler sous mon médius qu’on pourrait appeler le « clitoridaire » puisque c’est lui dont Josée s’est servie pour se faire jouir devant moi. Nous nous arrêtons sur le palier. Tout en gardant sa main sur ma bite et moi la mienne dans sa fente trempée, Josée se serre contre moi.



Elle colle sa bouche à la mienne et je sens sa langue s’insinuer entre mes lèvres. J’en perds la respiration, mais je continue. Maintenant c’est moi qui pousse ma langue dans sa bouche grande ouverte. Et nos baisers de plus en plus chauds m’excitent énormément. Je sens ma bite gonfler dans les doigts de Josée tandis que ma main collée à sa chatte s’imprègne de sa mouille.


Arrivés dans sa chambre, elle se plante devant son miroir et se débarrasse de ses bas et de son porte-jarretelles, puis elle se retourne et, prenant ses seins dans les mains, elle me les offre.



Elle s’est étendue, jambes largement ouvertes. Je la regarde mais je regarde surtout sa moule qui laisse s’écouler doucement sa liqueur parfumée. Elle est bien rose, longuement fendue et surmontée de son bouton de rose qui semble virer au violet tant elle l’a frotté. Josée sourit d’aise.



Je me couche près d’elle et me penche pour poser ma bouche entre ses cuisses grandes ouvertes. Je passe lentement la langue sur la fente en léchant le jus qui en sort. Josée se met à se tortiller en soupirant. Je continue à pousser le bout de ma langue vers la commissure des petites lèvres qui enflent. Je sens alors le petit bouton qui sort de son écrin de chair rose, comme mon gland sort du prépuce quand je bande. C’est ça ! Josée bande aussi. Je m’arrête, étonné. Ainsi, une femme aussi peut bander, même si elle n’a pas de bite. C’est par son clitoris que naît le plaisir. Je replonge ma langue et cette fois, je n’hésite pas, je lèche de tout mon cœur. Je me lance à fond et je me mets à sucer le clito de Josée comme si sa vie en dépendait.



Ainsi dit, ainsi fait. Je m’étends à l’envers sur Josée qui sans attendre, attrape ma queue dans sa main et se met à la masser merveilleusement avec douceur. Elle découvre le gland puis le recouvre tandis que sa langue glisse le long de la veine, s’arrête sur les couilles. Elle ouvre sa bouche et les engloutit d’un seul coup, tout en frottant ses deux mains sur ma pine qu’elle a saisie et qu’elle branle avec conviction. De mon côté, je lèche sa chatte, prenant ses petites lèvres entre mes lèvres et suçant son clitoris de tout mon cœur… Nous gémissons ensemble.



Je me soulève et me retourne. Josée ouvre ses cuisses au maximum, puis elle prend ma bite dans sa main et la dirige vers l’entrée de son vagin. De son autre main, elle écarte les lèvres de sa chatte, montrant son ouverture béante.



Soudain, elle arc-bouta et en poussant un long râle, elle se laissa retomber sur le lit. En même temps, je poussai un énorme grognement, je lâchai tout mon foutre dans son ventre et me laissai tomber sur elle…


Je ne sais combien de temps nous sommes restés ainsi mais nous nous réveillâmes enlacés, sa main serrant toujours ma bite tandis que mon médius était enfoncé profondément dans son vagin. Lentement nous reprîmes nos esprits et nos lèvres se joignirent pour un long baiser plein de passion.



Nous sommes restés ainsi pendant de longues minutes puis Josée se leva la première, me tira hors du lit et me prit dans ses bras. Elle m’embrassa et me demanda de descendre préparer le café. Je ne me fis pas prier. Quand elle fut descendue, elle s’était rhabillée et elle m’aida à faire de même.



Je rentrai à la maison, heureux mais fatigué. Ma mère s’en rendit compte. Elle devait voir mes yeux cernés. Elle ne dit rien. Mais je suppose qu’elle se sera posé des questions en me voyant aller me coucher plus tôt que d’habitude. Je dormis mal. Longtemps je revis le corps de Josée, ses seins fermes aux bouts gonflés, ses longues jambes et sa chatte ouverte sur son vagin humide et chaud. Je me caressai en pensant à elle et je pensais qu’elle devait faire de même, comme elle me l’avait promis.


Pourtant je me levai satisfait. Je me disais que je ne me serais jamais senti capable de faire jouir une femme, si on m’avait posé la question. Du moins je l’imaginais jusqu’à hier après-midi. Toute la journée, je rêvai à la veille et je me fis quelques fois rappeler à l’ordre par les profs. Je revoyais les seins de Josée en traduisant les Odes d’Ovide ou en essayant avec peine de résoudre des équations à deux inconnues. Évidemment, vous le devinez, quand la cloche sonna la fin des cours, je me précipitai vers la sortie, au risque de me faire attraper par les pions.


J’arrivai chez Josée tout excité. Je voulus entrer dans le magasin. Il était fermé. Je me mis à pester comme un sot contre les femmes incapables de tenir leurs promesses. Au moment où j’allais partir, je me rappelai qu’elle m’avait dit :



En effet, je trouvai la clé à l’endroit indiqué. J’entrai et allai m’asseoir au salon. Je repris la lecture des revues érotiques que Josée avait laissées (volontairement ?) sur la table. La lecture des textes très évocateurs ainsi que les photos montrant les chattes ouvertes, les clitoris gonflés sortant de leur étui, les seins aux mamelons bien durs me mirent dans un état d’excitation tel que je déboutonnai mon pantalon, je sortis de mon slip devenu trop étroit ma bite bien dure et je commençai à me caresser. Peu à peu l’image de Josée remplaça celle de la fille de la photo et cette image m’excita encore plus au point que je pris ma bite à pleine main et je me branlai copieusement.


J’entends soudain un léger bruit venant de l’étage. J’écoute. Des pas semblent descendre lentement l’escalier. Je ne fais rien pour me rajuster. Ma bite gonflée, émerge largement de mon slip et se dresse comme un petit pal que je continue à branler. Je regarde les marches et je vois arriver une Josée vêtue d’une seule chemise de nuit transparente qui lui descend jusqu’aux chevilles. Le vêtement, fendu des pieds à la poitrine, bâille largement et comme elle n’a pas pris la peine de mettre une petite culotte, Josée me fait le plaisir de m’exhiber sa jolie toison qui couvre sa fente rose. Elle s’avance lentement pour ménager son effet et se plante devant moi, me mettant sa chatte à hauteur de mon visage, comme une invitation au baiser.



À ce moment, la sonnette tinta.



En un clin d’œil, elle fit tomber sa chemise de nuit et enfila une petite robe qu’elle boutonna tout en allant au magasin. Comme elle avait laissé la porte du salon entrouverte, j’entendais ce qui se passait. José avait bien fermé la boutique mais la cliente avait sonné au bouton extérieur. José lui ouvrit. La personne voulait absolument acheter une nuisette pour faire une surprise à son mari qui rentrait de l’étranger. Sans faire de bruit, je m’approchai dans le couloir et me cachai derrière la porte vitrée. Josée ouvrit deux ou trois boîtes et montra les nuisettes. La cliente, qui était de l’âge de Josée et bien faite, entra dans la cabine d’essayage qui se trouvait en face du couloir et comme elle n’avait pas tiré le rideau, j’assistai à l’opération. Ce fut vite fait. La femme n’avait ni slip, ni soutien-gorge. Elle fit tomber sa robe et passa les nuisettes l’une après l’autre puis appela Josée pour un petit conseil.


Je n’osais pas bouger mais la vue de cette cliente nue puis simplement vêtue d’une nuisette transparente me donna des envies. Je me mis à jouer avec ma bite qui s’empressa de rebander. La cliente, elle, jouait avec ses seins qu’elle avait haut perchés et fermes. Puis, sans manières, elle enleva la nuisette et se retrouva nue devant Josée.



Je me caressais toujours et ma bite avait gonflé et me faisait mal. La dame remit sa robe, régla et sortit. Josée la suivit pour refermer la porte à clef. Je m’empressai de retourner m’asseoir mais j’étais tellement excité que je m’accrochai les pieds dans le tapis et je faillis m’étaler. Josée rentrait à ce moment.



En disant cela, elle releva le pan de sa robe, écarta les jambes et de sa main libre, elle se mit à se caresser, ouvrant ses lèvres de deux doigts et passant le troisième sur son clito.



En effet, le bouton rose sortait de son étui et brillait du jus qui coulait de la moule. J’avançai la tête et posai ma langue dessus. Josée poussa un long soupir, prit ma tête dans ses mains et me la serra contre sa chatte.



Alors, elle m’écarta doucement, posa sa main sur mon slip et commença à me masser la bite à travers le tissu. Puis, elle glissa sa main dans le slip et saisit ma bite qu’elle continua à masser de plus en plus vite. J’étais près d’exploser. Elle le sentit. Elle arrêta ses caresses et se serra contre moi.



Je retirai la robe et pris Josée dans mes bras. Elle s’écarta et me déshabilla laissant mes vêtements sur le sol du salon. Elle saisit ma bite et la branla pendant que j’introduisais deux doigts dans sa chatte trempée de sa mouille. Nous montâmes ainsi jusqu’à sa chambre et nous tombâmes sur le lit.



Elle s’étendit sur moi en 69 posant sa chatte béante contre ma bouche tandis qu’elle enfourna ma pine dans la sienne jusqu’aux couilles. Je calquais mes mouvements sur les siens et peu à peu le désir devint intenable. J’étais près d’exploser tandis qu’elle gémissait de plus en plus fort. Elle se retira à temps.



En disant cela, elle se met à califourchon sur moi, saisit ma bite et la dirige vers l’entrée de son vagin. Puis, elle s’empale dessus en se faisant aller de plus en plus vite. Elle monte, elle descend, elle monte, elle descend de plus en plus fort. Elle râle, elle gémit, elle respire de plus en plus vite.



Au même moment, elle saisit mes couilles et serre fort le bas de ma bite. Je crie moi aussi. Je grogne et puis je lâche dans sa chatte des giclées de foutre. En hurlant je jouis au fond de sa cramouille comme jamais je n’ai joui. Josée retombe sur moi en haletant. J’ai peine à contrôler ma respiration. Nous restons immobiles tous deux pendant un long moment, savourant ce plaisir extraordinaire que nous avons connu ensemble. Elle rompt la première le silence bienfaisant.



Je lui suçai les seins jusqu’à ce qu’elle jouisse.



Elle se met à l’envers sur moi et recommence à me sucer la bite tout en la branlant avec ses doigts. Moi aussi, je sens que, à ce régime, je ne tiendrai pas longtemps et qu’elle est prête pour une nouvelle séance de baise. En effet, sa chatte mouille comme une source, son clitoris tuméfié a pris une teinte mauve et est complètement sorti de son étui. Josée soupire profondément, un léger râle sort de sa gorge. Elle abandonne ma bite, se tourne sur le dos, ouvre largement ses jambes, me laissant admirer sa fente rose prête à recevoir mon mandrin tout gonflé et dur comme un petit pieu.



Je ne tiens plus ; les dernières paroles de Josée m’ont excité comme jamais. Je me place au-dessus d’elle, prêt à enfoncer ma pine dans son trou béant. Elle la saisit et la dirige vers sa grotte d’amour. Elle se frotte le clitoris avec le gland tout violet en poussant des gémissements de plus en plus sonores. Brusquement, elle me saisit les hanches, et m’attire sur elle. Elle referme ses cuisses dans mon dos me tenant ainsi serré si bien que je ne peux plus me libérer. Ma bite pénètre profondément et je me lance dans les mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides.



Je me laisse aller et pour la seconde fois en une heure, je jouis bruyamment en lâchant dans la chatte si chaude, le foutre qui me reste dans les couilles. Je tombe sur elle, épuisé et la respiration haletante.


Nous sommes restés couchés pendant un moment à parler de tout et de rien. Puis je dus, à son grand regret, me lever. Je devais rentrer chez moi pour faire mes devoirs et étudier mes leçons. Bien sûr, j’aurais préféré rester près d’elle. Nous aurions encore fait l’amour. Je sentais bien qu’elle en avait envie. Je lui promis de revenir le lendemain. J’étais bien chez elle, je crois que j’en devenais amoureux. C’est vrai qu’à 18 ans, on s’emballe facilement surtout quand la femme fait tout pour vous attirer. Josée était de celles-là.


Le lendemain, je n’ai pu aller retrouver mon amie, ma mère m’ayant obligé de rester à la maison pour l’aider. Je pensais à Josée qui devait se morfondre en m’attendant. Ce n’est que le lundi suivant que je pus passer la voir. Elle me prit dans ses bras, m’embrassa longuement. Je la sentais vibrer.



Elle me dit cela d’un air malicieux, tout en m’entraînant dans le salon où le café était déjà posé sur la table. Je m’installai dans le divan et Josée vint s’asseoir sur mes genoux. Sans attendre, elle glissa son index dans ma braguette et le frotta doucement contre ma queue qui réagit immédiatement. Elle me tendit sa bouche, sortit sa langue et la poussa entre mes lèvres déjà ouvertes. Lentement, elle descendit la tirette de mon pantalon et glissa sa main dans mon slip, tandis que je glissais la mienne dans sa petite culotte déjà mouillée. Je sentis immédiatement son clitoris gonflé et prêt à accueillir ma langue.



Je lui glissai son slip, me penchai vers sa fente grande ouverte et posai ma langue sur son petit bouton d’amour. Lentement je léchai puis suçai avec les lèvres puis me mis à le mordiller doucement. Elle poussa un long gémissement qui fut interrompu par la sonnette du magasin.



Elle se leva, laissant son slip sur le divan. J’entendis la porte s’ouvrir et se refermer et des éclats de rires. Pour garder contenance, j’avais refermé ma braguette. Les deux femmes entrèrent et je reconnus tout de suite la femme que j’avais épiée l’autre jour. Grande, les cheveux châtains coupé courts, elle portait une courte blouse bien décolletée et un peu transparente et une jupe légère à volants qui se soulevait au moindre mouvement des hanches, découvrant une petite culotte rose. Je me levai pour la saluer. Elle m’embrassa sur la bouche, me serrant contre elle, comme si nous étions de vieux amants.



Les deux femmes s’installèrent sur le divan et m’invitèrent d’un geste à m’asseoir entre elles. Bien calé, j’entourai leurs épaules de mes bras, laissant pendre ma main qui frôlait leur poitrine et je me mis à jouer avec les bouts des seins.



Sur ces paroles, elle se leva, tourbillonna sur elle-même, soulevant sa jupe et découvrant sa petite culotte rose, si étroite qu’elle laissait passer les poils de sa chatte et que le fond du slip s’insinuait entre les grosses lèvres.



Elle se plante devant moi, pendant que Josée s’est rapprochée de moi, prenant ma main et la glissant entre ses cuisses doucement écartées en m’invitant à lui caresser la chatte. Avec des gestes mesurés, Lili déboutonne sa blouse puis sa jupe, tandis que Josée a ouvert ma braguette, baissé mon slip et sorti ma queue qu’elle branle lentement.



Ce disant, elle écarte ses lèvres avec ses doigts et fait sortir son clito. C’est vrai qu’il est plus mince mais il est aussi plus long. Il mesure bien un centimètre et demi. De toute ma vie, je peux le dire, je n’en n’ai jamais plus vu d’aussi long.



Je me mets donc à l’ouvrage. Josée ne veut pas être en reste et, tandis que je joue de la langue avec le clito de Lili, elle lui suce les seins tout en lui caressant les fesses, glisse deux doigts entre et commence à lui caresser la chatte. Lili râle, gémit de plus en plus, lorsque Josée a saisi ma bite et la masse, aidée par Lili qui a, elle aussi, mis la main à ma queue. Lili la repousse.



Je n’abandonne pas Josée pour autant. Elle s’est accroupie et me présente sa chatte. De ma main libre, je joue avec son clitoris tout gonflé. Les deux femmes gémissent de concert tandis que je sens que je vais décharger dans les doigts de Josée qui continue de plus belle à me branler. Je me relève avant l’explosion et j’entraîne les deux femmes à l’étage. Arrivés dans la chambre, je m’étends sur le grand lit, la pine dressée comme un « I » tandis que Josée et Lili se mettent à s’embrasser à pleine bouche.



Spectateur attentif, j’assiste à une partie entre femmes. Josée s’est accroupie et passe sa langue sur le clito de Lili pendant que celle-ci a saisi les mamelons de son amie et les fait tourner dans ses doigts. J’ai pris ma bite et la branle, curieux devant cette démonstration de minette. « Prends-en de la graine », pensai-je. Josée s’interrompt pour reprendre haleine et m’aperçoit. Elle se relève, prend Lili dans ses bras et la pousse sur le lit. Celle-ci se couche sur le dos, les cuisses largement écartées. Elle me toise en souriant.



Sans rien dire, Josée ne veut pas être en reste, s’est approchée de moi, prend ma bite en main et en même temps, se caresse le clito comme Lili. Je pose ma main sur sa chatte et enfonce résolument un doigt dans son vagin tout mouillé. Lili se branle de plus en plus vite et je sens Josée qui se met à trembler. Elle va jouir, c’est certain. Elle se retient pour attendre Lili qui soudain se cambre sur le lit. Puis elle s’arrête.



Je reste immobile, étendu, comme Lili me l’a demandé. Elle se couche sur moi et me présente sa chatte à lécher puis invite Josée à sucer ma bite tandis qu’elle pose sa bouche sur la chatte de son amie. Nous formons ainsi un trio de suceurs qui s’en donnent à qui mieux mieux. La bouche de Josée a englouti entièrement ma queue et je fais de mon mieux pour exciter le clitoris de Lili durci comme une petite noisette rose. Elle râle, je grogne, Josée gémit bruyamment. Ce ne sont que mots sans suite, paroles obscènes où il est question de bite, de cramouilles, de clitos. Soudain, tout bascule. Josée hurle de plaisir, Lili pousse un long cri d’amour tandis que je grogne plus fort en déchargeant mon foutre dans la bouche de Josée qui retombe sur moi, en me criant qu’elle jouit comme une folle. C’est un grand concert de cris, de gémissements, de râles, de grognements, de longues plaintes d’amour, de hurlements de jouissance.


Bizarre, je ne débande pas. Ce que voyant, Lili se tourne et tout en recommençant à sucer la chatte de Josée qui en redemande, elle m’attire sur elle et plante ma bite raide dans sa chatte trempée de sa mouille.



Je me fais aller en elle comme un fou et soudain, elle m’enlace en hurlant. Je me retire avant de décharger et me couche sur Josée qui n’attendait que cela. Je la pénètre jusqu’à la garde. Elle aussi se met à hurler. Je bouge à toute vitesse et sans m’attendre, Josée se cambre en criant.



Je jouis brutalement et vide mes couilles dans sa moule. Nous retombons tous les trois sur le lit, épuisés par cette partie de jambes en l’air. Au bout d’un moment, Josée et Lili se relèvent et me regardent d’un air satisfait.



Toutes les semaines jusqu’à ce que j’aie eu terminé mes études, je passais deux après-midi à faire les comptes et à parfaire avec elle mes connaissances dans l’art amoureux. Bien sûr, Lili était quelquefois de la partie, et j’en étais bien content parce qu’elle était une super chaude, mais c’est avec Josée que je me plaisais le plus. Pendant deux ans et demi, sauf pendant les vacances d’été, j’ai eu ma ration de plaisir et mon initiatrice devenait de plus en plus exigeante en matière de baise, à ma grande satisfaction d’ailleurs. Je n’eus pas à me plaindre et ce furent pour moi parmi les belles années.


Je l’ai revue quelques années plus tard. Elle avait eu deux enfants mais était restée élégante. Nous avons refait l’amour comme autrefois avec le même plaisir car elle n’avait rien perdu de ses talents. Elle restera un de mes meilleurs souvenirs de jeunesse.