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n° 15428Fiche technique24220 caractères24220
Temps de lecture estimé : 15 mn
28/01/13
Résumé:  Un texte rédigé à quatre mains par un couple désireux d'entretenir leur flamme amoureuse...
Critères:  fh ff fhh fbi hbi couple couplus fépilée amour intermast rasage facial fellation cunnilingu pénétratio double sandwich fdanus fsodo échange jeu confession -couple+f -couple+h
Auteur : Lingam  (Des mots et du plaisir, des mots pour le plaisir)            Envoi mini-message
Récit à quatre mains

Les histoires d’amour commencent souvent par une grande attirance physique qui peu à peu se mue, au fil du temps, en une romance lorsque les partenaires apprennent à mieux se connaître au fil des moments de bonheur, mais aussi des épreuves qu’ils traversent à deux, solidaires et soudés.


Pour Sam et Alex, l’idylle avait pris naissance lors de leur adolescence déjà. Nés et ayant grandi dans le même village, tous deux avaient connu ensemble les premiers frissons de l’amour alors qu’ils n’avaient pas quinze ans. Un amour adolescent qui avait duré l’espace d’un été, mais qui restait profondément ancré dans leur mémoire.


Puis, l’automne s’en était venu et leur amour fut remplacé par une réalité scolaire bien plus rébarbative au sein de laquelle l’amour n’avait pas vraiment sa place. Leurs sentiments tout neufs n’y avaient pas résisté longtemps. Enfin, leurs parcours distincts finirent, quelques années plus tard, de les séparer, chacun suivant son propre chemin et écrivant sa propre histoire de son côté.


Ce n’est que quelques douze ans plus tard que Sam et Alex se retrouvèrent.


Alex venait de se faire inviter à une soirée entre amis dans une autre ville que celle où il résidait. L’amie qui devait l’héberger ce soir-là l’avait rappelé deux jours auparavant pour lui annoncer qu’elle devait malheureusement héberger une autre de ses amies, mais que Sam, qui vivait à l’époque dans la même ville, pourrait l’héberger :



C’est ainsi que Sam et Alex se retrouvèrent plus de dix ans plus tard, passèrent une merveilleuse soirée ensemble, puis une nuit… « en tout bien, tout honneur », puisqu’il ne se passa rien à cette occasion. Toutefois, la flamme de leur adolescence s’était ravivée et, même si son intensité n’était encore que très faible, celle-ci avait recommencé à brûler à l’intérieur de leurs cœurs.


Le lendemain matin, Sam et Alex se promirent de se revoir, ce qu’ils firent le week-end suivant, puis le week-end d’après, puis deux fois par semaine, puis trois… pour finir par se mettre ensemble, leurs sentiments et leur amour étant vite devenus très forts.


Quelques années passèrent, puis ils se marièrent ; leur complicité, leurs sentiments réciproques et la solidité de leur amour étant indéniables.

Pourtant, leur intimité flamboyante des premières années fit place à un début de routine qui commençait à gêner nos deux tourtereaux. Très sensibles à vouloir garder leur sexualité au beau fixe, tous deux s’ingénièrent alors à trouver de nouveaux jeux, aptes à garder leur désir charnel pour l’autre intact, voire même à l’intensifier.


Un de ces derniers consiste tout simplement à rédiger des textes érotiques à quatre mains… comme celui ci-dessous, écrit lors d’un mardi de vacance pluvieux du mois d’août, pendant lequel Sam s’est assoupie sur le canapé du salon et Alex « travaille » sur son PC. En réalité, sa concentration est entièrement dévolue à l’écriture d’une nouvelle érotique (ce qui ne le laisse pas de marbre…). Il se réjouit déjà de pouvoir la faire lire à Sam qui ne manquera pas de la compléter avant de la rendre à Alex, et ainsi de suite. Voici le récit qu’ils écrivirent à quatre mains…




oooOooo




Alex :



Il est 19 heures et je viens te réveiller doucement au salon par un doux baiser sur le front et une caresse légère sur tes belles fesses rondes. Tu t’éveilles avec un peu de peine, puis me souris. Je te rappelle que nous avons rendez-vous ce soir chez des amis pour souper et qu’il ne faudrait pas tarder à nous préparer si nous ne voulons pas être en retard.


À peine sortie de ta torpeur, tu m’invites à prendre un bain, et files aussitôt dans la salle de bain pour faire couler l’eau. J’en profite pour me déshabiller entièrement et te rejoins sans tarder. Lorsque j’arrive dans la salle d’eau, je te trouve penchée en avant, affairée avec le robinet de la baignoire, et la splendide vue de tes fesses rebondies et cambrées me fait bander. Doucement, je m’approche et glisse mon membre dur entre tes deux globes de chair pour te faire sentir mon désir. Coquine, tu montes et descends lentement et doucement ton bassin durant quelques minutes pour me masturber entre tes fesses, avant d’entrer dans l’eau chaude du bain. Une fois assise, c’est ta langue agile et ta bouche savante qui remplacent tes fesses. Une fellation magistrale dont tu as le secret. Alternant de petits coups de langue rapides et précis sur les bords du gland et les plongées profondes de l’entier de ma pine dans ta bouche et ta gorge, tu n’as cesse de branler ma hampe d’une main et de titiller mes tétons dressés de l’autre. Ta salive abondante coule le long de ma queue, suivant les contours de mes bourses avant de goutter par terre. Tu m’aspires, me bouffes, me dévores ; et moi, les yeux au ciel et la tête dans les nuages, je sens monter le sperme et la jouissance et ne peut retenir mes gémissements de plaisir.


Puis brusquement tu t’arrêtes et te relèves. Tu t’appuies contre le carrelage, me tournes le dos, cambres à nouveau tes fesses et m’invites à te prendre. L’eau chaude du bain semble t’avoir fait de l’effet, à moins que ce ne soit la fellation magistrale que tu viens de m’administrer. Ta petite chatte lisse et accueillante est lubrifiée par le miel abondant de ton désir et ma queue n’a aucune peine à glisser d’un seul coup tout au fond de ta vulve. Quel délice ! Sentir la chaleur de ton ventre et l’étau de ton sexe qui se resserre sur ma verge tendue est un plaisir en soi. Doucement, je retire ma tige jusqu’à ce que seul le gland soit encore plongé dans ta petite chatte, puis replonge profondément jusqu’à ce que mes bourses lisses et pleines viennent buter contre ton clitoris gonflé. Petit à petit, je réitère la manœuvre, accélérant à chaque coup la cadence du va-et-vient.


Bientôt, tes doigts viennent en renfort titiller ton petit bouton, le caresser et le pincer, pendant que ton autre main s’affaire à malaxer tes seins lourds. De mon côté, la vue de tes fesses offertes ne fait qu’augmenter mon excitation et je ne peux me retenir d’écarter tes deux globes fessiers pour titiller de mon pouce l’entrée de ton petit cul dilatée par la chaleur du bain. Bientôt, j’appuie avec un peu plus d’insistance et, tout naturellement et tout doucement, mon pouce se fraie un chemin dans ton petit trou. Tu tournes alors la tête et…




Sam :



Là, comment refuser cet appel à cette pratique que j’apprécie tant… Je sens d’abord ton gland se poser sur ma rosette délicate, puis tu pousses fermement pour que ton gland force le passage étroit et serré. La première douleur fait bientôt place à une sensation de plénitude. Ta queue est grosse et me remplit entièrement, mais ta douceur et ta délicatesse m’échauffent les sens. Ma main se glisse entre mes cuisses ouvertes, vient au contact de mon sexe débordant de miel, se pose sur mon coquillage gonflé de désir, puis caresse très doucement ma vulve prête à exploser… je gémis, le souffle court, la jouissance au bord des lèvres… J’aime ça ! oh oui, j’aime ça ! Sentir ta queue puissante plantée dans mon intimité la plus secrète et profonde, tout en me caressant subtilement… Je sens une immense chaleur m’emplir le ventre, puis les picotements de la montée du plaisir qui m’envahissent progressivement, rapidement, sur lesquels je n’ai aucun contrôle et qui bientôt me submergent et me secouent dans un merveilleux orgasme.


Une fois la tempête des sens passée, il est temps de se préparer pour notre sortie prévue chez nos amis. J’enfile une robe noire classique, avec l’ensemble de sous-vêtements rouge et si sexy que tu m’as offert. Toi, tu mets le jean que je t’ai également offert – celui qui te dessine un cul d’enfer ! – avec une chemise noire et ton blazer rayé. Je sais qu’à ce souper, un ami aux yeux bleus, qui me fait littéralement fondre et fantasmer, sera là. Le programme s’annonce donc passablement intéressant. D’autant que la maîtresse de maison, Léa, est la première femme avec qui j’ai eu des relations intimes. Cela s’est passé l’hiver dernier, lors d’un de tes innombrables déplacements professionnels… mais ça, tu le sais déjà.


C’était veille de fête et nous étions en ville avec Léa pour une séance de shopping dont nous avons le secret. Je lui proposai de venir passer la soirée chez nous, vu que son mari était aussi absent. L’idée était de défiler avec les trois tonnes de fringues chinées la journée même ! Léa est une délicieuse femme brune aux yeux noirs ; elle est grande, élancée et a des courbes à tomber par terre qui font rêver les hommes et rendent les femmes jalouses. Je dois avouer que ce soir-là, l’atmosphère était propice à l’amour et que le manque de toi commençait à me porter aux sens. Cela faisait presque deux semaines que tu étais en déplacement et mon corps réclamait sa dose de caresses, de baisers et d’attentions.


Nous avons commencé notre « défilé », chacune montrant à l’autre à tour de rôle les tenues achetées dans l’après-midi, avec force déhanchements, histoire de nous gausser des mannequins et top-modèles que l’on peut voir sur les podiums de la planète entière. La soirée s’égrenait ainsi doucement, faite de vêtements, de coupes de champagne et de fous rires, jusqu’à ce que Léa entre dans le salon avec une guêpière tout spécialement achetée dans le but d’émoustiller son mari. Je restai bouche-bée, sonnée par tant de beauté et surprise par sa nonchalance et son culot. Bien sûr, nous nous connaissions depuis des lustres ; bien sûr, nous nous étions déjà retrouvées nues l’une face à l’autre. Mais voir Léa entièrement nue devant moi, vêtue d’une guêpière si aguichante, m’a rendue toute chose et j’ai immédiatement senti les premiers picotements de désir dans mon ventre. Bon sang ! J’avais très envie d’elle !


Sentant mon trouble, Léa s’approcha de moi et saisit ma main avant de prendre doucement mon visage de son autre main pour l’approcher de ses lèvres. Premier contact de nos bouches ; premier baiser donné à une autre femme. Je me sentis vaciller, trembler et littéralement couler. J’étais devenue folle de désir en quelques secondes et en un seul baiser. Léa se glissa le long de mon corps, m’intima de me débarrasser de mes vêtements, ce que je fis sans broncher, puis elle s’agenouilla devant moi. La scène était d’une puissance érotique folle. Elle, à genoux devant moi, sa bouche à hauteur de ma chatte moite d’envie, et moi debout devant elle, mes mains dans ses cheveux, attirant son visage pour un baiser plus intime. Je m’abandonnai à sa langue et à ses doigts pour atteindre très vite un orgasme fulgurant et puissant qui fit trembler tout mon corps et m’obligea à me rasseoir pour ne pas tomber. Léa se releva et, sans me donner le temps de souffler, elle me prit la main pour m’emmener dans la cuisine. La grande table de cette dernière lui donnait des idées perverses et excitantes.


Une fois dans la cuisine, elle me poussa contre la table contre laquelle mes fesses vinrent s’appuyer, avant de m’enlacer tendrement et de m’envelopper de son corps et de ses bras. Je la sentis pourtant soudain tressaillir et fixer du regard l’embrasure de la porte de la cuisine. Lentement je tournai la tête pour voir ce qui la dérangeait et fus à mon tour immédiatement sous le choc… Tu étais là !


Rentré plus tôt de ton voyage, tu avais voulu me faire la surprise sans rien me dire et tu te trouvais maintenant, là, planté dans l’encadrement de la porte, le regard brillant et un petit sourire en coin.




Alex :



Paralysée par ma présence inattendue, tu ne réagis pas tout de suite lorsque Léa glissa rapidement le long de ton corps magnifique pour venir poser sa bouche sur ton intimité. Elle continuait de t’enserrer, de t’envelopper, de t’absorber par des gestes doux et amples. Sa langue sur ta chatte se fit plus précise, plus fine, plus voluptueuse et tu sentais le sexe qui approche, comme monte la marée. L’eau te léchait, les vagues t’effleuraient, tu entendais le clapotement de l’eau quand elle ouvrait ton huître, quand ses doigts cherchaient la perle, quand ils te pénétraient. Et, de plus, le bonheur de tes mains sur tes seins, sur ces deux globes qui durcissaient, se tendaient, tellement sensibles sous tes caresses, tandis que ses doigts pêchaient entre tes cuisses…


Puis je m’approchai. Tu te laissas glisser sur le sol de la cuisine pour t’asseoir, permettant à Léa de continuer ses caresses subtiles entre tes cuisses et me permettant de prendre tes deux seins lourds à pleines mains. C’était délicieux… Tu voulais juste que les choses soient claires et tu me murmuras à l’oreille :



Je te le promis. Comme pour confirmer, Léa mordilla ta petite queue aussi dardée que celle, magistrale, qui battait entre tes doigts.


Tu appréciais de sentir ses cheveux bouclés qui caressaient l’intérieur de tes cuisses, ses longs ongles peints qui se plantaient à la base de ton cul comme des griffes. Elle avait la langue ronde, plate, large et les doigts fins, souples, pointus.


Je n’avais rien à faire qu’à te regarder entre ses bras, assis dans ton dos, mon bâton ardent dressé et écrasé, tendrement, au creux de tes reins tandis que Léa léchait, suçait, mouillait, titillait en salivant, en geignant, en se masturbant avec enthousiasme.


Quand elle te prit en ciseaux, deux doigts dans chaque orifice et le pouce emmêlé avec sa langue sur ton bouton rose, tu te tordis de plaisir, mes bras accrochés à tes seins. Mes phalanges jalouses pinçant tes aréoles avec une violence qui t’envoyait des décharges électriques. Ton corps se tendit comme un arc.


Je passai la main sous toi, je tirai sur les doigts de Léa ; je voulais participer à la fête. Je me contorsionnai et tentai de glisser mon sexe entre tes cuisses. Belle joueuse, Léa me guida. Tu sentis ma bite dure, raide, sans pitié. Heureusement que notre complice guidait mon épée de sa langue de velours. Je t’enfilai, Léa se remettant à l’ouvrage, et tu me sentis durcir à chaque fois que sa langue s’égarait pour venir lécher mes couilles.


Je calquais mon mouvement sur le sien, vaste, lent, profond. Tu éclatais, tu criais, tu hurlais… et nous n’arrêtions pas. Et ça continuait. Le plaisir courait partout dans ton corps, explosait dans ton ventre.


Je me retirai ensuite lentement, me tenant devant vous. Léa se retira également doucement et vint s’asseoir à tes côtés. Tout en vous caressant mutuellement, vos bouches grandes ouvertes, vous attendiez le nectar de ma tige tendue, qui ne tarda pas à gicler à grands jets.


Je me souviens de ces moments magiques de sexe furieux comme si c’était hier. Et ce soir, c’est chez elle et son mari que nous allons pour une soirée qui promet d’être haute en couleur.




Sam :



À notre arrivée, surprise ! Léa nous donne des loups et nous fait pénétrer dans la maison aux lumières tamisées, à l’ambiance de couleur pourpre et dans laquelle flotte un parfum suave.



L’apéro se passe dans le couloir, debout ; des gens masqués, une coupe de champagne à la main, devisent sur des sujets divers, feintant une décontraction nonchalante.


J’identifie soudain Léa sous son masque, qui, en bonne maîtresse de maison, se faufile entre les convives en les conviant à prendre un verre d’un mystérieux breuvage de couleur bleue qu’elle présente sur un plateau d’argent. Arrivée à ta hauteur, Léa t’enlace, dépose un baiser sur ta joue, puis te susurre quelque chose à l’oreille avant de nous donner à chacun un verre du fameux breuvage.




Alex :



Dans la confidence du « secret du breuvage bleu », tu m’embrasses et me déposes un tendre baiser sur la joue. Léa nous prend alors par la main et nous emmène dans sa maison pour nous faire visiter les lieux.


La visite nous fait très vite comprendre que pour cette soirée très spéciale, Léa et son homme ont apprêté leur maison en vrai lupanar. Tout surpris, mais ravis, nous la suivons dans sa visite, jusqu’à ce qu’une pièce attire notre curiosité… la « chambre de coiffage ». Intrigués, nous posons la question à Léa qui, en guise de réponse, ouvre la porte et nous pousse à l’intérieur en prenant soin de refermer derrière nous…


La pièce est blanche et neutre. Pour seul mobilier, un canapé suffisamment spacieux pour qu’une personne puisse s’y coucher. Mais surtout, un bel homme, brun, ténébreux, se tient devant nous… le coiffeur.


Il te fait te déshabiller et t’installer sur le canapé, puis entreprend de commencer par un petit shampoing de ta jolie chatte peu poilue. L’eau chaude, le savon et surtout la douceur du massage de ses doigts faisant doucement mouiller ta petite minette gourmande et, à vrai dire, dresser mon membre.


Il saisit ensuite un rasoir et entreprend de te raser. Avant de commencer, il te demande s’il peut tout enlever. Tu me regardes droit dans les yeux avec un regard malicieux, tout en acquiesçant. N’y tenant plus, mon pantalon me faisant décidément trop mal, je propose à notre coiffeur particulier de me déshabiller, sous prétexte de me préparer pour « ma » séance de rasage à venir. Concentré sur ton intimité, il me répond par l’affirmative, et je peux enfin me libérer de mes vêtements. Il ne se doute pas encore de la surprise qu’il va bientôt avoir…


En effet, à peine la lame a terminé de raser ta petite chatte en feu que, d’un bond, tu me sautes dessus pour prendre ma queue tendue et chaude dans tes mains. Très excité par la situation, et sans aucun contrôle de mes sens ; je fais signe au coiffeur de nous rejoindre…


Un peu surpris, il reste effacé et un peu en retrait. Je lui refais signe de nous rejoindre, et cette fois il consent à le faire, au moment où tu engloutis mon gland turgescent dans ta bouche pulpeuse. Le voyant hésitant, je m’affaire à baisser son pantalon, tout en profitant des voluptueuses caresses de ta bouche. Nos instincts ne nous avaient pas menti… quelle queue il a ! Belle, droite, lisse, plus longue que la mienne, mais un peu plus fine, elle possède un gland violacé, dur comme du bois d’où perle déjà une goutte de plaisir. La situation est fantastique et au-delà de toutes nos espérances… Tu es à genoux par terre avec deux hommes, dressés de désir, devant toi. Lorsque tu en prends un en bouche, tu branles l’autre fougueusement, et vice versa. Une vraie furie assoiffée, suçant, branlant et aspirant ces deux belles queues offertes.


Me retirant doucement de ta bouche si chaude et douce, et à la limite de l’orgasme, je me glisse avec habileté sur le dos. Je t’intime de venir te positionner à quatre pattes et tête-bêche au-dessus de moi. Notre partenaire d’un jour ne se faisant pas prier pour se placer derrière toi et commencer à presser avec de plus en plus d’insistance son gland gonflé sur ton petit anus qui se dilate à vue d’œil.


Ainsi placé, j’ai tout à loisir de gober et de titiller ton petit bouton dressé de désir et sensible au moindre effleurement. De temps à autre, ma langue glisse jusqu’aux lèvres humides de ton sexe pour pénétrer doucement dans ton intimité, avant que deux de mes doigts ne la remplacent pour une caresse plus profonde. Mais surtout, ainsi placé, j’ai une vue imprenable sur la verge tendue de notre ami ainsi que sur ses bourses rasées et, semble-t-il, si pleines. Je ne me fais d’ailleurs pas prier pour laisser glisser ma langue le long de celle-ci, des couilles jusqu’au gland en passant le long de sa hampe, afin de me délecter des premières gouttes de son plaisir.


Puis, n’y tenant plus, et voyant notre inconnu s’impatienter en attendant mon feu vert, je me retourne afin que tu puisses t’empaler sur ma queue survoltée. Après quelques va-et-vient, je t’immobilise pour que notre ami se positionne derrière toi, pose son gland sur ton petit trou, puis pousse doucement.


Prise sous l’assaut de ces deux bites plantées au plus profond de tes intimités humides, le souffle court et la sueur au front, tu pars d’un premier orgasme fulgurant qui te laisse pantoise.


Tu n’avais jamais expérimenté la double pénétration, mais la sensation t’a énormément plu. Deux belles bites chaudes et palpitantes aux creux de tes intimités… quel plaisir intense et extrême !


Bien loin de nous satisfaire de ce premier orgasme, nous continuons à te pénétrer. Alternant les va-et-vient lents et profonds avec des mouvements plus courts, mais plus rapides. La musique de tes gémissements et de tes cris, et tes paroles obscènes pour nous invectiver à accélérer n’étant de loin pas pour nous déplaire. Nous synchronisons ensuite nos mouvements ; lorsqu’il se plante au fond de ton petit trou, je me retire, et inversement. Puis, sur ton ordre, nous cessons d’alterner nos mouvements pour te fourrer en même temps. Tu ressens alors, telle une houle de plaisir, nos deux queues labourer tes voies humides en rythme. Il me suffit alors de gober un de tes seins dressés et d’en aspirer le téton pour que tu connaisses ton deuxième orgasme… long, fort, profond, qui te fais trembler de la tête aux pieds.


Jamais je ne t’avais entendue jouir aussi fort et crier de telle sorte. Une jouissance gutturale, profonde, animale.


Au bord de l’orgasme tous les deux, nous nous retirons doucement de tes fourreaux pour nous relever et te présenter nos deux bites au bord de l’explosion. Maintenant à genoux, une main sur ta chatte gourmande et une autre malaxant tes seins, tu attends avec impatience le sperme qui jaillira bientôt.


Quel spectacle ! Toi, à genoux, en train de te caresser furieusement ; et nous, devant toi, en train de nous branler vigoureusement à quelques centimètres de ta bouche… un délice ! Ton troisième orgasme est pour nous le signal. À peine ce dernier terminé, tu ouvres ta bouche accueillante, tires ta langue et nous lances un regard invitant et sans équivoque. Il est le premier à jouir, râlant son plaisir et inondant ta bouche et ton beau visage d’une quantité impressionnante de sperme. À peine a-t-il fini que je viens à mon tour, éjaculant avec force sur ta langue, ton cou et tes seins. Tu te délectes de nos semences chaudes et onctueuses avant de te lever et de filer prendre une bonne douche… La première séance de la soirée est terminée.




oooOooo




Et le récit ne fait que commencer…