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n° 15449Fiche technique12095 caractères12095
Temps de lecture estimé : 8 mn
03/02/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  Pérégrinations d'un jeune homme qui se laisse aller à des jeux avec des hommes plus âgés.
Critères:  hh hplusag jeunes fellation init
Auteur : Plaisirsdual            Envoi mini-message
20 ans quel bel âge pour s'amuser.

Au risque de couper l’herbe sous le pied des faucheurs de tous poils, je précise que je n’ai pas pour ambition d’écrire le texte de l’année mais simplement de mettre noir sur blanc quelques souvenirs.

Voilà donc le premier et s’il y a des amateurs, d’autres peuvent suivre.






Nous sommes à la fin des années 80, 20 ans à peine révolus, et je joue avec le Minitel.

J’ai la chance d’habiter chez mes parents, absents assez souvent pour des raisons professionnelles, et donc de pouvoir bénéficier de cet outil.

Quelques tours sans succès sur les sites de rencontre hétéro puis je décide de m’orienter vers des sites entre hommes.

Je sais bien que cela m’excite d’échanger quelques fantasmes, de faire envie mais plus le temps passe plus je m’imagine me laisser aller à quelques coquineries si d’aventure une rencontre se matérialisait…

Je choisis toujours un plus âgé, actif avec une âme de professeur.


Me voilà donc en train de rentrer un pseudo du genre « bjh20a pour h mûr »… Un peu prétentieux sans doute pour le « bjh » qui peut se traduire par beau jeune homme, mais 1 m 78, 68 kg, imberbe pas trop mal fait et aux dires de la gent féminine assez mignon je n’ai peur de rien.


Après quelques contacts sans intérêt, un homme habitant dans la même ville se présente.


Salut je m’appelle Jean, j’ai 55 ans. Que cherches-tu par ici ?



Là, petit moment de solitude devant cette question très directe… c’est peut-être le moment de faire une réponse toute aussi directe sans faire la mijaurée.

J’envoie donc un petit message du genre :


Salut je m’appelle Sylvain, j’ai envie de faire des cochonneries avec un H actif si il est sympa cool propre.



Le coquin a dû sentir la bonne aubaine pour me mettre dans l’embarras en jouant avec mon inexpérience en me demandant de préciser :


Cela m’intéresse beaucoup, qu’est-ce que tu entends par cochonneries ?


Me faire prendre ne me tente pas du tout alors j’essaie d’être clair sur mes désirs : me montrer, me dessaper me faire caresser et pratiquer une fellation me tente ce que j’exprime assez clairement en constatant que mon cœur s’accélère. Lui insiste sur des questions précises, savoir si j’aime le goût d’une queue, être regardé, si j’avale le sperme… Plus ça va plus je m’y vois mais je réponds de manière assez évasive sans avouer mon inexpérience totale…


Quelques échanges sur nos physiques respectifs n’atténuent pas mon trouble… J’ai envie moi aussi d’aller plus loin. Je le laisse prendre l’initiative. Il propose de me recevoir chez lui dans son appartement pour faire connaissance. Il me rassure en me disant que rien n’est jamais obligatoire alors au bout de quelques instants, je cède et je m’engage à venir.

Je prends une douche rapide avec une érection qui ne me quitte pas… Je résiste à l’envie de me caresser pour ne pas perdre mon excitation et je saute dans ma vieille voiture vêtu d’un jean et d’un tee-shirt.


Le trouver n’a pas été très compliqué… par contre monter les marches jusqu’à son appart et sonner à sa porte un peu plus… Il ouvre quasi immédiatement et me laisse planté là en me dévisageant puis en me regardant de haut en bas. J’essaie de ne rien laisser paraître mais je frissonne.


En face de moi, j’ai bien un homme entre 50 et 60 tout à fait conforme à sa description. 1 m 80, 80 kg bien bâti assez musclé. Enfin il me propose d’entrer et je prends conscience qu’il est vêtu d’un simple peignoir ouvert sur sa poitrine, normalement velue. La ceinture n’est pas extrêmement bien serrée et j’imagine qu’il ne porte rien dessous.


Il a un petit sourire, je suis sûr qu’il devine ma curiosité, qu’il lit dans mes pensées… Il me propose d’entrer et m’indique la direction du salon. Il m’emboîte le pas après avoir refermé la porte et me lance à la volée…



Je ne m’attendais pas à ce style de commentaires mais la chaleur monte sur mes joues instantanément. Je dois être rouge écarlate. En même temps je sens mon sexe durcir dans mon jean.


Je m’assois un peu comme un robot et lui vient faire de même à côté de moi. Je le sens excité, pressé mais tentant de faire durer. En fait c’est peut-être moi le plus pressé même si je n’ai pas répondu à sa remarque précédente. Il me pose quelques questions, veut savoir ce que je fais dans la vie, si j’ai déjà eu des aventures avec des hommes, pourquoi j’annonce préférer un homme plus âgé si ça ne me dérange pas. Je réponds juste machinalement.


Son peignoir laisse apparaître son sexe qui semble bien dur. J’aperçois le gland rouge foncé, les veines le long de la tige. Ça m’impressionne…


Il a vu mes coups d’œil, c’est sûr et comme je ne suis pas parti en courant il comprend qu’il a sa proie dans le viseur. Il glisse alors une main le long de mon dos ce qui me pétrifie un peu… Puis, toujours maître de lui, il propose que je me déshabille devant lui, ou alors d’aller dans sa chambre si j’y suis plus à l’aise. Il me dit qu’il veut me voir nu devant lui, que je me montre. Je l’écoute. C’est terriblement excitant.


Comme je n’ai toujours pas bougé d’un pouce, sa main est passée sous mon tee-shirt. Habilement il l’a remonté et presque naturellement il me l’a enlevé…


De son autre main il a trouvé le moyen de me déboutonner le jean puis il m’invite à me lever.

C’est lui qui prend l’initiative de descendre pantalon et caleçon le long de mes jambes faisant apparaître mon sexe bien bandé…


Me voilà face à lui, nu, le jean sur les chevilles, jetant quelques regards de plus en plus appuyés sur son bas-ventre. Sa queue est maintenant totalement libérée du peignoir, droite comme un "I".



Le ton a changé, j’obéis. Maladroitement j’enlève mes docksides et mon futal toujours à quelques centimètres de lui… J’entends :



En même temps qu’il se saisit de mon sexe sur lequel il fait quelques va-et-vient. Je le laisse me tripoter à sa guise puis il me retourne, toujours debout, mon dos face à lui. Il m’empoigne alors les hanches, les malaxe pour me faire comprendre qu’il aurait envie un jour de me tenir par là, glisse ses mains sur mes globes, empoigne mon sexe dressé, met sa main dans ma raie, s’attarde sur mon petit trou plus aussi serré que ça…


Ohh mais c’est bon de partout… Devenant impudique, j’écarte un peu les cuisses. Il m’attrape les couilles en passant par en-dessous. Je fléchis un peu les jambes. Je sens que je m’abandonne petit à petit. Il me pousse un peu vers l’avant puis m’invite à me pencher un peu. D’abord deux ou trois petites tapes puis je sens son souffle chaud sur mes fesses qu’il écarte assez fermement…


À ma grande surprise je sens sa langue se poser sur mon petit trou. Je me mords les lèvres et pousse un léger gémissement dès qu’il entame son travail. C’est pour moi une découverte sur ce type de caresse et c’est trop bon. Je pousse mon cul vers sa bouche. Il me bouffe littéralement, deux de ses doigts m’ont pénétré et me liment. J’halète et gémis de plus en plus fort alors qu’il m’assène des « quel bon petit cul », « mais c’est qu’elle aime se faire baiser », « petite salope tu viendras un jour supplier pour que je te baise »…


Je ne sais dire combien de temps cela dure mais quand il arrête je reste quelques instants dans la position. Je suis sûr qu’il aurait pu me prendre sans que je m’y oppose même si je ne suis pas là du tout pour ça. Je me retourne alors qu’il s’est mis en arrière dans le canapé, les jambes écartées. Il défait le nœud de son peignoir pour le mettre de côté…



L’ordre est clair sans équivoque. Nous y sommes. Après quelques instants sans bouger, je m’exécute en posant les mains sur le haut de ses cuisses. Sans attendre sa main se pose sur ma tête et me pousse vers son sexe. Je ne peux qu’ouvrir la bouche et je sens son sexe s’enfoncer profondément, trop. J’ai un haut-le-cœur quand il touche le fond de ma gorge. Il s’excuse mais me dit qu’il va baiser ma bouche que je suis une bonne salope qu’il en peut plus…


Joignant le geste à la parole, avec ses deux mains il imprime le rythme à ma tête sur sa queue. Je ne m’attendais pas à ce traitement mais je n’ai pas trop le choix. Je m’applique…


Me faire traiter de bonne salope m’excite à fond… J’arrondis les lèvres et mouille la hampe, j’aspire, je gémis jusqu’à ce que je sente Jean se tendre. Comme il relâche un peu sa pression sur ma tête je le finis en le branlant ce qui le fait exploser en longs jets sur son ventre et sa poitrine. Au passage je jouis sans presque me toucher.


Il nous faut quelques instants avant de reprendre pied dans la réalité, s’éponger et se désaltérer. Je suis beaucoup moins gêné de me balader nu. Par contre lui semble moins à l’aise de son attitude disons autoritaire. En me rhabillant je le rassure un peu en lui disant que cette fermeté ne m’a pas déplu même si ce n’est pas facile de sucer dans ces conditions. Puis il me raccompagne.


Nous évoquons une prochaine rencontre comme des amis de longue date. Tout en parlant je m’aperçois que je suis resté sur ma faim, qu’une excitation reste encore présente. Au moment de m’avancer pour lui faire une bise devant la porte d’entrée, ma main se dirige vers son peignoir et se glisse dessous pour attraper son sexe. Ma bise dure un peu plus que nécessaire mais je sens que sa queue durcit de nouveau. Je palpe ses couilles puis glisse ma bouche vers ses tétons que je léchouille, que j’aspire…


Il n’y a pas à dire, j’adore faire la chienne !


Là je sais que je vais pouvoir prendre mon temps, profiter de l’instant. Jean se met le dos contre la porte et je glisse à genoux pour pratiquer ma deuxième fellation du jour. Je commence à humer ce sexe bien dressé, le lèche du bout de la langue. Le goût est un peu prononcé mais pas désagréable et je me dis que mes lèvres vont sentir cette odeur caractéristique. Instinctivement je le branle d’une main tout en commençant à aller et venir avec ma bouche pendant que mon autre main lui titille un sein. Une de ses mains fourrage dans mes cheveux pendant qu’il m’encourage à continuer. Je lui avoue que je me régale, je lui dis que sa queue est trop bonne que je vais le faire juter encore, ce qui arrive juste quelques minutes après.


Là, c’est l’inverse de la première fois puisque sa main se contracte dans mes cheveux et me plaque contre son ventre m’interdisant d’enlever son sexe de ma bouche. Je le sens couler entre mes lèvres, au fond de ma gorge. Pas très habitué, j’accepte les giclées les unes après les autres puis je déglutis instinctivement. Le gout est âcre pas très agréable mais je suis assez fier du résultat…


Quelques coups de langue sur son sexe qui a déjà bien ramolli et me revoilà en train de lui faire une bise avant de filer dans l’escalier.