n° 15450 | Fiche technique | 36168 caractères | 36168Temps de lecture estimé : 22 mn | 04/02/13 |
Résumé: Mon meilleur ami me fait un beau cadeau d'anniversaire ! | ||||
Critères: hhh fhhh hbi hplusag jeunes copains anniversai fmast hmast intermast fellation cunnilingu anulingus fdanus hdanus -hhomo -hbi | ||||
Auteur : Jd (Amoureux des textes et des situations excitants) |
J’ai 42 ans. Je m’appelle Jean. Aujourd’hui, je dois retrouver Damien. Lui et moi sommes amis depuis une quinzaine d’années. Il est un peu plus âgé que moi. Notre amitié est profonde et elle n’a jamais été troublée par nos goûts sexuels respectifs. Je suis un bi tardivement révélé et Damien ne cache pas son homosexualité. Oh… nous avons bien eu ensemble quelques petits rapports sexuels, mais ils n’ont jamais perturbé notre amitié.
Pour fêter mon anniversaire, Damien a décidé de m’inviter dans un petit restaurant sympa proche de son domicile. Ponctuels à notre rendez-vous, nous pénétrons dans l’établissement. Damien y a ses habitudes et le patron nous accueille aimablement et nous serre la main.
Nous nous enfonçons dans la salle. La table réservée est un peu l’écart, dans un box à la lumière tamisée. Je note l’étroitesse du lieu qui reste toutefois confortable. La banquette a l’air bien agréable. Mais un peu surpris, je me retourne vers Damien qui a compris et me sourit.
Je me glisse derrière la table et m’installe à un bout de la banquette. Damien, faisant le tour, prend place à ma droite.
Fabien ! Une copine ?
En effet, je connais Fabien. C’est un ami, je dirais très, très proche de Damien. Il est bien plus jeune que lui et suit des études de je ne sais trop quoi. Je l’ai rencontré trois ou quatre fois et l’ai trouvé très sympathique, et même séduisant.
C’est ce moment que choisit le fameux Fabien et, en effet, il arrive accompagné d’une jeune femme ; je dirais même d’une jeune fille.
Le temps qu’elle prenne place à l’autre bout de la banquette, en face de moi, j’apprécie son physique. Brune, les cheveux mi-longs, à peine souples, des yeux couleur noisette. Elle n’est pas très grande, et mince. Sa robe s’arrête à mi-cuisses ; de plus, son décolleté met en valeur une poitrine qui attire instantanément l’œil. Sans être énormes, ses seins sont haut perchés et bien ronds. « C’est fou, me dis-je, ce qu’un homme peut assimiler comme quantité d’informations visuelles en quelques secondes lorsqu’il voit une très jolie fille. »
Fabien, pour sa part, s’est installé sur la chaise, sur ma gauche. Il est toujours aussi séduisant. Blond, le cheveu se faisant rare, il entretient sûrement sa coupe rase par le recours régulier à la tondeuse. Ses yeux bleus font certainement craquer beaucoup de femmes ; mais connaissant son penchant pour les hommes mûrs, je suis surpris qu’il soit accompagné d’une jeune fille. Qu’importe : elle est vraiment jolie. Je la regarde alors qu’elle échange des propos avec Damien. Elle paraît vraiment très jeune mais, copine de fac de Fabien qui en est à sa troisième année, je finis par évaluer son âge à 20 ou 21 ans. Quand elle sourit, son visage s’illumine. Ses yeux rieurs attirent tout autant l’œil que sa poitrine.
Me tournant vers Fabien, je lui demande :
Fabien éclate de rire en me posant la main sur l’épaule.
J’ai le sentiment que nous allons passer un bon moment tous les quatre. L’apéritif finit de créer l’ambiance. Fabien nous raconte des blagues de potaches, relayé par Lola. Elle a l’air vraiment très jeune et me fait penser aux petites lolitas qu’on voit un peu partout dans les medias.
Au bout d’un moment, les apéritifs faisant leur effet, je dois aller aux toilettes. L’apéritif a d’autres effets car, me levant, je manque de m’affaler sur Fabien. Je me retiens in extremis à son épaule, mon visage très proche du sien. Il me sourit avec un regard équivoque.
Troublé et un peu rosissant (n’est-ce là encore qu’un effet des apéritifs ?), je me dirige vers les toilettes.
À peine installé devant l’urinoir, j’entends quelqu’un pénétrer dans le local ; il vient prendre place à la cuvette voisine. Je jette un regard furtif et aperçois Fabien. Il me sourit en se débraguettant.
Il tourne la tête vers moi et baisse les yeux.
Je reste interloqué et gêné par l’attitude vraiment très libre de ce jeune homme avec lequel je ne partageais pas jusque-là une telle intimité. Réaction petite bourgeoise de ma part, j’en conviens ; mais la situation cocasse ne me porte pas, à ce moment-là, à une grande ouverture d’esprit.
Nous finissons en même temps et nous nous lavons les mains avant de retourner à table.
Une fois réinstallés, la conversation reprend son cours et le ton reste enjoué. Nos entrées arrivent enfin. Affamés, nous commençons à déjeuner. La nourriture est très bonne, très fine, et le vin choisi par Damien est pour le moins gouleyant ! La première bouteille est vite terminée. Les plaisanteries fusent. Les anecdotes succèdent aux anecdotes. Je sens le regard de Fabien plus appuyé depuis notre passage aux toilettes.
Lola a beaucoup d’humour, et sa conversation est agréable. Elle est vraiment très séduisante ; et lorsqu’elle se penche, la naissance de sa poitrine apparaît. Un vrai régal.
Nos plats sont servis et Damien passe commande d’une deuxième bouteille. Lorsque nous entamons nos assiettes, le silence se fait. Notre attention se porte sur le contenu des assiettes. Soudain, je sens un contact le long de ma jambe gauche. Mon premier réflexe est de la plier sous la chaise, croyant à un mouvement désordonné de mon voisin dû à l’étroitesse de l’emplacement. Mais je sens un nouveau contact au niveau de mon genou. Ce n’était pas un accident. Je relève la tête et regarde mes amis. Tous trois sont occupés à déguster un délicieux magret de canard. Il ne s’agit pas de la main de l’un d’eux car ils sont bien trop affairés avec leurs couverts.
S’il s’agit d’un pied, pour cibler mon genou, il ne s’agit pas d’un mouvement par hasard. Je vois mal Fabien et ses longues jambes atteindre mon genou si proche du sien. Il en va de même pour Damien qui n’a plus la souplesse de ses vingt ans. Il ne reste qu’une seule possibilité : le pied de Lola. Je lève la tête. Elle est en train de boire et je vois qu’elle me regarde fixement tout en finissant son verre, puis le repose sans me quitter du regard.
Devant mon regard soudain ahuri et interrogateur, elle précise :
Fabien et Damien me regardent. Sourient. Et se replongent dans leur assiette.
Je reste sans voix devant l’aplomb et le sang-froid de cette jeune fille. Elle est en train de me faire du pied – que dis-je, du pied-genou – et elle continue à entretenir la conversation comme si de rien n’était. D’autant plus que son pied se fait plus insistant et surtout plus curieux. Je reste un peu interloqué mais ne réagis pas. Au contraire, j’écarte les jambes pour faciliter le passage de ce pied coquin. La situation devient cocasse, mais follement excitante.
Je regarde Lola, qui semble se passionner pour la mission de Damien qui ne se fait pas prier pour vanter ses compétences qu’il arrive même, désormais, à exporter en Amérique centrale. Fabien semble lui aussi très intéressé, ayant certainement en tête d’aller rejoindre son amant épisodique au bout du monde. Personne ne s’occupe de moi. Je frémis lorsque le pied se pose sur ma braguette. La pression se fait plus forte et le mouvement lent me fait réagir instantanément. Une belle érection envahit ma queue comprimée dans le slip et le pantalon.
Damien me regarde et me dit :
Mes trois acolytes éclatent de rire devant mon embarras et la rougeur que je sens envahir mes joues. Je regarde Lola qui, ne perdant pas le contrôle de la situation – bien au contraire – pose ses coudes sur la table et me fixe en casant son visage sur ses mains. « Quelle adorable, quelle sacrée salope… » me dis-je.
Je m’adosse à la banquette mais laisse mon entrecuisse accessible. Je suis abasourdi par l’audace de cet ange descendu du ciel. Elle a le look d’une lolita mais le vice d’une couguar.
« La petite garce ! » Son sourire est pervers en diable. Je sens son pied aller et venir sous la table, sur ma braguette gonflée à bloc. Elle doit sentir ma bite sous la plante du pied. Et elle continue à me sourire. Quelle situation ! Une petite jeune fille à qui on donnerait le bon dieu sans confession est en train de me masturber avec son pied sous une table de restaurant en la présence de deux copains dont les sourires me laissent penser qu’ils se doutent de ce qu’il se passe. Leurs échanges d’œillades ne laissent aucun doute.
Sentant certainement que je suis vraiment très « ému », et que mon émotion risque à tout moment de devenir débordante, elle ôte son pied. Je me détends pour autant que ce soit possible. Mais soudain je sens une main – là, j’en suis sûr – qui se pose sur ma cuisse gauche. Pas d’erreur : il s’agit de celle de Fabien, il lui en manque une !
Il me regarde et me sourit. Je suis un peu déstabilisé par ce harcèlement soudain. Me voilà cerné. Que va faire Damien ?
Damien me sourit à son tour. Je sens le complot.
Hilarité générale. Je suis bien.
Le repas se poursuit dans une atmosphère plus grivoise. Le pied de Lola heurte régulièrement le mien et je ne fais rien pour l’éviter ; je le recherche, plutôt. Fabien se penche vers moi et profite de tous les prétextes pour me prendre la main ou le bras. Damien me couve des yeux. Le vin aidant, une douce euphorie nous envahit.
Arrivés au café, Damien regarde sa montre.
Lola et Fabien avaient autre chose à faire…
La garce, quel regard !
Je me lève. J’ai repris contenance et mon érection s’est suffisamment calmée pour ne pas être visible. En suivant Fabien et Lola, j’admire la chute de reins et les jolies cuisses de la jeune fille. Fabien a son petit cul moulé dans un pantalon bleu ciel. Ma bisexualité se manifeste pleinement en lorgnant mes deux compères. Je remarque même que Fabien ne doit porter qu’un string, car aucune trace de sous-vêtement n’est visible à travers le tissu léger. Arrivés dans la rue, Fabien et Lola m’entourent. Ont-ils peur que je m’échappe ? Aucun risque : je suis bien. D’autant plus qu’une certaine ivresse, due à la quantité d’alcool absorbée, m’a envahi. Le ton et le niveau sonore des propos échangés, les attouchements plus ou moins accidentels à mon égard de la part de Fabien ou Lola me laissent penser que je ne suis pas le seul à avoir un peu abusé de la dive bouteille.
Il ne nous faut pas longtemps pour rejoindre à pied l’immeuble cossu de Damien. Il a reçu en héritage d’un parent lointain, par la distance et les liens affectifs, un magnifique appartement. Il donne sur une cour calme. On y accède par un vieil ascenseur aux dimensions lilliputiennes. Ce n’est pas très raisonnable, mais nous montons à trois dans la cabine malgré les protestations de la concierge qui nous a entendus passer. Trop tard ; l’engin a décollé lorsqu’elle rejoint la porte pour nous engueuler. Elle maugrée un instant puis se calme. Direction le 4ème étage. Le poids que la vétuste machinerie doit élever est certainement un peu limite car l’ascenseur est particulièrement poussif.
Le silence s’est fait dans la cabine. L’exiguïté des lieux fait que nous ne pouvons que nous toucher. Ce ne sont plus des frôlements. En tout cas, la main de Fabien sur mes fesses n’a rien d’un frôlement accidentel. Lola, plus petite que Fabien et moi, lève la tête vers nous. Elle frotte sa poitrine contre mon ventre. Elle me fixe. Je suis plus que troublé, et par réflexe je baisse la tête et pose ma bouche sur la sienne. N’attendait-elle que ça ? Mon orgueil me souffle que oui ; en tout cas, elle entrouvre légèrement les lèvres et laisse le passage à une petite langue que je devine mutine et qui se mêle instantanément à la mienne. Fabien, de son côté, continue de me caresser les fesses tout en posant délicatement sa bouche dans mon cou. Il n’y a pas que l’ivresse viticole qui me tourne la tête.
Il faut que l’ascenseur, à bout de souffle, arrive à destination pour le charme soit rompu. Fabien réussit à tirer la grille et Lola, qui tournait le dos à la porte, la repousse de ses fesses. En silence mais très troublés – du moins c’est mon cas – nous nous retrouvons sur le palier. Fabien sort les clés de l’appartement de sa poche. Nous entrons.
L’entrée est petite et faiblement meublée. Nous pénétrons dans une salle que je sais confortable pour y avoir passé de longs moments avec Damien. Un très vaste canapé tourne le dos à deux fenêtres dont les volets ont été tirés pour ménager une fraîcheur bien agréable en ce mois de juin déjà chaud. Devant le canapé, une table basse vide et deux fauteuils profonds. Un écran plat au mur sur le côté, une table, quatre chaises et un living moderne complètent l’ameublement de cette vaste pièce. Une porte donne accès à un couloir et au reste de l’appartement.
Je reste sans voix alors qu’elle se rapproche de moi en se délestant de ses chaussures sur la moquette. Je jette un regard à Fabien qui se marre en se dirigeant de son côté vers la cuisine.
Lola m’enlace et, levant la tête vers moi, me tend ses lèvres dont je m’empare instantanément. Je remets à plus tard mes questions au sujet de ses sous-entendus.
Nous nous embrassons fougueusement. C’est le moins qu’on puisse dire. Ce n’est plus une jeune femme ; c’est une dévoreuse. Sa langue a envahi ma bouche. Ses mains me serrent contre elle et je ressens la pression de ses seins que je présume magnifiques contre mon ventre. Je l’enserre aux épaules pour mieux l’attirer à moi. Nos bouches ne se séparent que pour nous permettre de reprendre notre souffle. Nous tanguons sur le sol en nous rapprochant instinctivement du canapé. Mes mains sont descendues vers sa croupe. Ses fesses sont fermes.
Lola est déchaînée. Je ne pensais pas être capable d’engendrer ce genre de réactions chez une femme. Du moins, j’ose espérer en être la cause. Je retrousse sa robe et pose mes mains sur sa culotte. Ce n’est pas un string qu’elle porte, j’adore !
Nous nous calmons, et c’est lentement que je fais remonter sa robe. Elle se recule pour me faciliter la tâche et lève les bras pour que je puisse l’ôter. Elle est magnifique. Ses sous-vêtements sont blancs ; ça aussi, j’adore. Je ne m’étais pas trompé : ses seins sont parfaits. Petits, mais parfaits.
Je la tiens aux hanches. Je suis comme un enfant devant un jouet le jour de Noël. J’y crois pas.
J’empoigne ses seins libérés et les caresse doucement en l’embrassant une nouvelle fois.
Elle s’écarte de moi, et des deux mains me repousse. Si proche du canapé, je ne peux que m’y affaler. Me voici confortablement assis et, devant mes yeux, une jeune fille de 22 ans au corps parfait, aux yeux magnifiques et mutins, se trouve là, plantée, jambes écartées. Je sens mon sexe réagir à cette vision. Je sens aussi que mon ivresse passagère est en train de s’envoler au rythme de mon excitation qui croît rapidement. Au loin, je perçois un bruit de vaisselle qui s’entrechoque. Fabien, qui siffle un air à la mode, finit vraisemblablement de préparer le café. Lola me regarde, sourire aux lèvres. Ses mains viennent emprisonner ses seins, et doucement commencent à les caresser. Elle est magnifique. Lentement, son corps ondule. Rien à voir avec la vulgarité de certaines qui abusent de ces mouvements relevant plus, alors, de la rééducation que de la sensualité.
Instinctivement, ma main droite vient se poser sur ma braguette bien remplie. Je sens mon érection à travers le tissu. Mon sexe semble m’appeler au secours pour que je le libère de sa gangue et que je le laisse exprimer tout son volume à l’air libre. Mais c’est bon. Tellement bon comme ça que je commence un lent va-et-vient à travers le pantalon. De ses paumes ouvertes, Lola frôle ses tétons érigés.
Son sourire a disparu. Elle fixe ma main dans son mouvement lascif et l’une des siennes vient se poser sur son entrecuisse sur le tissu blanc de son slip. La situation atteint des sommets d’érotisme. Je n’ai jamais vécu de moment d’une telle sensualité. La perversité de cette jeune femme est suffisamment importante pour faire perdre la tête à un homme mûr. Je fixe à mon tour sa main. Son index s’aventure entre ses cuisses qu’elle a écartées un peu plus. Je suis tellement absorbé par ce spectacle que je n’ai pas vu que Fabien a déposé un plateau de tasses sur la table. C’est lorsqu’il rejoint Lola que je m’aperçois de son retour dans la pièce. La situation l’excite aussi… ce que prouve une excroissance révélatrice au niveau de sa braguette.
Il vient s’accoler à la jeune fille. Il lui passe les bras autour de la taille et vient poser ses lèvres dans son cou. Elle penche la tête en arrière pour apprécier au mieux la caresse. La langue de Fabien parcourt sa peau et remonte à son oreille. Ses lèvres pincent le lobe. Lola gémit et accentue le mouvement de son doigt sur son sexe, toujours à travers le tissu. Je choisis de rester spectateur, profondément installé dans le canapé, même si j’ai très envie de les rejoindre. Seule ma main se met en demeure de défaire la ceinture de mon pantalon. Je ne peux plus priver mon sexe de l’espace vital qui lui est désormais nécessaire.
Les mains de Fabien ont emprisonné les seins de Lola. Elle a tourné la tête vers lui et lui a offert ses lèvres. Moi qui croyais Fabien exclusivement homo, je suis scotché.
Je défais les fermetures de mon pantalon et, levant le bassin, je le baisse pour enfin libérer mon sexe. Le slip rejoint le pantalon et mon érection se dresse librement, battant l’air comme en remerciement de cette libération. Fabien est le premier à le voir et me sourit. Je saisis mon sexe et reprends ma lente masturbation. Poussé par Fabien, Lola vient alors s’agenouiller entre mes jambes que j’ai libérées de mes vêtements jetés derrière le canapé. La sensation de sa bouche chaude s’emparant de mon gland est fabuleuse. Je pousse un fort gémissement, sous l’emprise de ce plaisir que j’apprécie tant. Fabien, de son côté, vient s’agenouiller à mes côtés sur le canapé. Le filou s’est lui aussi délesté de son pantalon ; je m’étais trompé : il n’avait pas de string. Il n’avait… rien du tout.
Je sens que le complot était ourdi de longue date, mais je me laisse faire. Il se penche vers moi et vient m’embrasser goulûment. Il n’y a pas d’autre mot, tant son baiser est fougueux. Me voilà soudain en train de rouler une pelle à un jeune homme fort séduisant alors qu’une jeune fille magnifique me taille une pipe bien profonde. Je suis aux anges. Ma main gauche se pose sur les cheveux de Lola pour l’encourager dans son mouvement alors que de ma main droite je m’empare de la bite de Fabien, déclenchant en lui un gémissement de satisfaction. Se redressant, il tend son bassin vers moi. Répondant avec plaisir à son invitation, je viens poser mes lèvres sur son gland que je décalotte en tirant sur la peau à la base de son sexe. En tant qu’homme, je sais que cette caresse est toujours appréciée. Ma langue l’enveloppe puis titille le méat.
Visiblement, il aime. De mon côté, j’apprécie fort la fellation que m’applique Lola. Cette fille est démoniaque. Pendant de longues minutes, nos caresses respectives nous remplissent de bonheur. Le temps s’est arrêté. Fabien m’a pris la tête de ses deux mains et rythme mes mouvements. Lola, de son côté, vient avec sa langue titiller mes couilles. Elle n’a même plus besoin de tenir mon sexe de ses mains. Ça fait longtemps que l’excitation est telle qu’il n’a plus besoin de personne pour pointer fièrement. C’est pour cela que ses mains viennent caresser l’arrière de mes cuisses. C’est fou ce que cette zone peut être érogène chez certains, dont je fais partie. J’écarte au maximum les jambes pour lui permettre de gober mes couilles l’une après l’autre alors que ses mains arrivent sur mes hanches. Sans lâcher de mes lèvres la bite de Fabien, je me laisse glisser jusqu’au bord du canapé. Lola comprend et passe ses mains sous mes fesses désormais accessibles, puis embouche à nouveau mon sexe. Je n’en peux plus de plaisir.
Fabien se penche, libérant son sexe de ma bouche et m’embrasse à nouveau. Ma main droite contourne son corps et se pose sur sa fesse. Sa peau est aussi douce que celle de Lola.
Nos positions, propices aux plaisirs – au mien surtout – semble fatiguer Fabien, à moins qu’il ait envie d’autre chose. Il se remet debout et, me prenant la main, m’aide à me redresser, poussant Lola à se relever aussi. Nous voilà tous les trois enlacés. Nos bouches se rejoignent et nos langues se mêlent autant qu’il est possible. Nos mains parcourent nos corps. Ma main droite s’insinue dans la raie de Fabien pendant que la gauche glisse dans la culotte de Lola pour explorer ses fesses. Mon sexe érigé se frotte à celui de Fabien et au ventre de Lola.
Je m’écarte et me mets en devoir de libérer le corps de Lola de sa dernière entrave. Apparaît alors à mes yeux une chatte brillante d’humidité, surmontée d’un petit espace de poils bruns. Je m’agenouille et viens porter ma langue sur les lèvres déjà ouvertes. Je me régale de cette humidité. Je lape littéralement son sexe qu’elle m’offre complètement en écartant suffisamment les jambes. Mes mains s’emparent de ses fesses si rondes, si pleines. Je ne sais pas ce que fait Fabien, mais certains bruits me font penser qu’il est en train d’embrasser Lola. J’ai de plus en plus envie de pénétrer ce corps de jeune fille. Ce corps superbe.
Je me relève, me heurtant à Fabien qui en effet était en train de l’embrasser, et je demande à Lola de s’allonger sur le ventre sur le canapé. Elle s’empresse de le faire, et comprenant où je veux en venir, écarte les jambes, faisant dépasser la droite du canapé. M’agenouillant derrière elle, ma bouche rejoint très vite son entrejambe. Elle soupire de contentement lorsque ma langue commence à frôler sa chatte puis remonte vers son anus. Je suis en train de bouffer le cul d’une fille (c’est le moment d’être vulgaire, car c’est la seule expression suffisamment explicite pour la situation décrite). Moi-même, j’ai les fesses relevées. Je sais que cette position va tenter Fabien et je ne tarde pas à sentir ses mains écarter mes globes et sa langue parcourir ma raie.
Je me régale de parcourir cette chatte offerte, béante et humide à souhait. Je me régale aussi de titiller de la langue l’anus finement ourlé de Lola, qui se cambre pour m’aider dans ma tâche. Fabien, de son côté, me fait subir le même traitement. Sa langue allant de mes couilles à mon trou déjà entrouvert dans l’attente de la suite.
J’entends alors Fabien qui, indéniablement, est en train de défaire l’emballage d’un préservatif. Je ne me trompe pas lorsque je vois à la droite de mon visage – toujours occupé par les fesses de Lola – un condom tendu par mon pote. Je ne sais pas d’où il le sort, mais il est organisé.
Nous redressant l’un et l’autre, nous nous équipons. Le plan qui se profile me plaît énormément. Lola écarte au maximum de ses possibilités ses jambes, se cambre et vient alors offrir son sexe à mon gland. Je le pose à l’entrée et, aidé par l’humidité des lieux, je la pénètre lentement mais sans anicroche jusqu’au fond de cet antre chaud. Elle gémit, comme je le fais moi-même.
Après quelques mouvements d’aller-retour, je sens que Fabien, qui m’a écarté les fesses au maximum, pose à son tour son gland au bord de mon anus. Je l’entends cracher et je devine sa salive sur mon trou. Je stoppe mes mouvements et tends mon cul vers lui en essayant de ne pas ressortir de Lola. Appuyant à l’entrée de ma propre chatte, Fabien commence à me pénétrer. Habitué à ce genre d’activités, mon anus s’ouvre facilement et accueille le sexe, qui n’est pas monstrueux mais qui occupe sa place.
Avec précaution, Fabien prend possession de mes fesses et, arrivé au fond, il stoppe son mouvement. Pour apprécier, je pense. Moi-même, je le sens bien. Il y a bien longtemps que je n’ai plus mal et que je ne ressens plus que le bien-être de la sodomie. J’en profite pour reprendre mon propre mouvement dans le ventre de Lola. Après quelques secondes, notre ballet à trois – que nous n’avions pourtant pas répété – prend son rythme de croisière. Nous ne sommes plus que plaisir.
Cette fille n’est que perversité, et c’est avec plaisir que je passe ma main sous elle pour atteindre son bouton érigé comme un téton. Je le frotte, déclenchant des gémissements.
C’est ce moment que choisit Damien pour faire son apparition. Planté à l’entrée de la pièce, il s’exclame :
Nous tournons tous trois la tête vers lui. Bien décidé à nous rejoindre, il se déleste de ses vêtements en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire.
Notre enchevêtrement de corps ne lui permet qu’une voie pour nous rejoindre : ma bouche. Le bougre bande déjà, et c’est une queue bien raide, que je connais bien, que ma langue s’efforce d’envelopper.
Notre recherche du plaisir se poursuit encore plusieurs minutes. L’excitation qui est la nôtre dope notre imagination ; c’est fou, ce que trois hommes et une femme peuvent trouver comme figures pour s’assembler et faire l’amour… Lola s’est emparée de mon sexe qu’elle suce avec talent. Damien me lèche l’anus alors que Fabien laboure ses fesses. Profitant d’un mouvement de recul de Fabien, je m’empare de sa bite et la loge entre mes lèvres affamées de sexe, sans déranger Lola dans son labeur. Elle me lèche la hampe et descend jusqu’aux couilles, puis plus loin, vers mon anus encore dilaté par la pénétration de Fabien. Je n’avais jamais vu, non plus, Damien faire l’amour à une femme jusqu’au moment où, répondant à ses penchants homo, il vient enfoncer sa hampe entre les fesses de la jeune femme.
Soudain, Fabien s’empare de mon visage et, accélérant son mouvement, je sens entre mes lèvres sa queue durcir. L’épilogue est proche ; pour lui donner plus de plaisir, je m’empare de ses fesses, un doigt allant directement pointer l’entrée de son cul. Ce petit vice de ma part déclenche en lui une éjaculation que j’ai bien du mal à absorber. Le sperme déborde de ma bouche pleine. La jouissance du jeune homme me fait perdre toute retenue, et à mon tour je jouis dans la bouche de Lola. J’ai rarement joui avec une telle intensité… Vidé de toute sa substance, Fabien se retire de ma bouche qu’il vient embrasser. De sa langue, il récolte les restes de son plaisir autour de ma bouche.
Lola, à son tour rassasiée, se redresse, libérant Damien de ses fesses et vient me donner son sexe à lécher. Je lui dois bien ça, après le délicieux traitement qu’elle m’a infligé ! Je lape ses lèvres trempées. Ma langue les pénètre, pendant que du pouce je titille son clitoris. Elle remue des hanches, poussant de profonds soupirs, préludes à sa jouissance. À son tour, elle saisit ma tête pour rythmer mon cunnilingus, et après le sperme de Fabien, je reçois le plaisir de Lola qui crie sa jouissance.
Épuisée, elle s’affale par terre le long du canapé. Je suis encore allongé dessus et, aidé de Fabien, je redresse le torse. Je m’empare alors de la bite de Damien. Le fixant dans les yeux, j’ouvre la bouche et l’y fais pénétrer. Fabien me picore le cou de baisers tendres et humides pendant que Damien fait aller et venir sa main sur sa hampe. Seul son gland est dans ma bouche, et soudain je sens le sperme l’envahir. Tout en continuant à se fixer les yeux dans les yeux, je bois Damien. Nous sommes complètement épuisés et affalés sur ce canapé si confortable. C’est alors que d’une même voix, mes trois compagnons s’exclament :
Surpris, ému, je souris et dis :
Nous rigolons et nous nous serrons les uns aux autres. Nous nous asseyons confortablement, côte à côte sur le canapé. Lola continue de rire… toute seule.
Fabien, Damien et moi, nous nous regardons, surpris par l’hilarité de la jeune fille.