n° 15462 | Fiche technique | 11831 caractères | 11831Temps de lecture estimé : 8 mn | 08/02/13 |
Résumé: Une jeune caissière, s'ennuyant dans son travail, trouve une solution pour aimer son boulot, et aimer bien plus ! | ||||
Critères: fh fhh couleurs collègues hotel miroir lingerie facial fellation cunnilingu préservati pénétratio hsodo journal | ||||
Auteur : Lentai91 Envoi mini-message |
Caissière… Effectivement, j’aurais pu trouver mieux comme travail ; mais quand on a besoin d’argent, on prend le premier boulot qui vient. On pourrait penser que rester assis devant une caisse à dire « bonjour » et « au revoir » en passant des articles, c’est ennuyant… Bah, oui : je vous le confirme ! Entre clients mécontents et longues journées qui passent lentement, c’est vraiment un métier provisoire. Mais il y a de bons côtés aussi ! En bientôt deux ans dans l’entreprise, j’ai fais plein de connaissances, appris plein de choses… Enfin, bref : pour un emploi de courte durée, si l’on a que ça, il ne faut pas dire non.
Aujourd’hui, je vais envoyer ma lettre de démission ; je suis casée depuis un an, et ai trop de… comment dire… trop de clients qui me « connaissent » trop bien… Enfin, trop : assez pour ne plus les côtoyer maintenant que je suis en couple.
Quand on est assez jolie et qu’on rencontre des centaines de clients par mois, il ne se passe pas une journée sans se faire draguer. De tous âges. J’ai eu droit à tous les types de drague ; et généralement, ça ne vole pas haut ! Entre les phrases-types des jeunes du genre « Ton père est un voleur : il a volé toutes les étoiles du ciel pour les mettre dans tes yeux » et les mots doux des hommes d’un certain âge, je ne sais plus quoi répondre. Sans compter certaines allusions salaces qu’ils pourraient éviter, comme lorsque dans une phrase quelconque je prononce le mot « gros » et qu’ils me sortent quelque chose comme « j’ai quelque chose de gros aussi, mais c’est intime ». On me demande souvent mon âge, pour me dire juste après que j’en fais moins ou plus… À 24 ans, moins ou plus, je pourrais mal le prendre…
Heureusement que j’ai deux collègues, Khadija et Joël, qui me soutiennent. Joël, très bel homme, mais gay… Dommage pour moi ! Khadija, quant à elle, subit les mêmes dragues que moi, à la seule différence que c’est une Africaine. Alors, malheureusement pour elle, elle subit des attaques plus directes, comme « Vous êtes libre ce soir ? Moi et mon manche ne faisons rien ; ça vous tente ? ». Mais elle ne cède pas : elle les rembarre direct, et en beauté ! Elle ne cède pas, contrairement à moi…
Avec tous les numéros que j’ai eus sans rien demander, les cartes de visites de tout type et les propositions par sous-entendus, il m’est arrivé de répondre à quelques avances. Bien sûr, je n’y vais pas à l’aveuglette ; enfin, pas tout le temps. Au début je ne pensais pas que j’accepterais ; mais quand j’ai vu David, le premier homme dont j’ai accepté l’invitation, je fus sous le charme ! C’est toujours à ma caisse qu’il passait à chaque midi, jusqu’à ce qu’il me donne son numéro. Il me donnait chaud : un vrai Monsieur Muscle avec un visage d’acteur américain ! J’en ai parlé à mes collègues ; ils m’ont dit de foncer, mais de rester sur mes gardes. Et c’est ce que j’aurais dû faire…
J’ai répondu à sa demande. Mais pas facile de trouver un moment de libre, avec un chef comme j’ai ; c’est très compliqué. En plus d’être homophobe et raciste, il nous met la misère dans les horaires de travail. Mais j’ai réussi à lui échapper un soir.
Dîner en tête à tête pour commencer ; il a tout fait pour me charmer. Il voulait que je parle de moi. Mais quand il parlait de lui, c’était toujours pour se montrer sous son meilleur aspect ; mais ce n’était pas grave. Ça s’est terminé à l’hôtel : ce fut une soirée sensuellement… ou plutôt sexuellement extraordinaire ! À peine dans la chambre, il m’a couchée sur le lit et écarté les jambes pour me faire un cunni. Oh si, j’avais quelque chose ; mais je l’avais retirée, ou plutôt il me l’avait retirée dans l’ascenseur. Il savait s’y prendre, comme s’il avait fait des études poussées dans cette matière. Puis, après une longue fellation qualifiée de « monumentale » par David, il m’a prise dans toutes les positions. De celle du missionnaire – pour le romantisme – à la levrette animale, il m’a fait jouir dans toutes les positions. Il m’a complètement épuisée. Cette nuit-là, la relation caissière-client n’existait plus…
Le lendemain j’expliquai aux deux curieux de service comment ça c’était passé. Que ce soit Khadija ou Joël, les deux voulaient tester ! Mais c’était trop beau ; tout son blabla destiné à se caser, ses affirmations selon lesquelles il ne cherchait pas un simple « plan cul »… bah, c’était du flan : dès le lendemain, plus aucune nouvelle. Disparu. Effectivement, j’aurais dû me méfier. Mais au moins, pendant une nuit, je m’étais amusée !
Par la suite, je ne voulus plus accepter la moindre proposition. Et pourtant j’en ai eues ! Mes deux collègues m’ont dit d’en profiter quand même, que ce n’était pas un con qui devait me gâcher peut-être plein de plaisirs à venir… Alors, j’ai retenté ma chance. Les deux qui ont suivi : échec total. Entre un baiseur qui ne pensait qu’à lui, qui ne pratiquait la sodomie que pour son plaisir personnel et un autre qui ne me tentait pas car, dès le début, il me parlait de partouze ou de tournantes…
Pour ce qui est de ne rater aucune occasion, mes deux amis m’ont vraiment étonnée ; ils étaient même des spécialistes dans ce domaine… Un après midi, le chef a demandé à Khadija et Joël de l’aider à aller chercher des prospectus dans la réserve. Un mauvais moment pour les deux, car il a beau être le phantasme de mes deux amis, son caractère homophobe et raciste jette tout de suite un froid. Comme au bout d’un certain temps ils n’étaient toujours pas revenus, j’ai décidé d’aller les chercher moi-même. Dans la réserve, les cartons de prospectus étaient tous là. Alors, où pouvaient-ils bien être, eux ?
C’est à ce moment-là que j’entendis un gémissement derrière l’angle du mur. Un gémissement ? Je suis en manque ou… J’y crois pas ! Khadija, nue, allongée sur un carton, jambes écartées, avec le chef à genoux, nu lui aussi, les jambes de Khadija entre ses mains et la pénétrant à grands coups. Et ce n’était pas le plus étonnant : Joël, nu lui aussi, était derrière le chef en train de le sodomiser ! Je ne savais plus où me mettre, à part derrière un carton peut-être ; c’est ce que j’ai fait.
Khadija et Joël prenaient leur pied. Joël n’avait pas besoin de bouger ; le chef faisait de grands va-et-vient dans le sexe de Khadija, donc la pénétration entre les hommes se faisait simultanément. Apparemment, ça faisait un moment qu’ils étaient en pleine action, vu la transpiration sur leurs corps. Joël attrapa le chef, donna des coups de reins saccadés et, dans un hurlement de plaisir, jouit dans le postérieur de son supérieur. Il lâcha toutes ses réserves de sperme, jusqu’à la dernière pulsation de son sexe, puis il se retira. Le chef continua encore quelques minutes, regardant les seins de l’Africaine bouger au rythme de ses coups de reins, avant de déverser son jus sur la grosse paire de seins de la caissière. Quel spectacle ! Eux qui ne pouvaient pas s’entendre… J’en avais la culotte trempée !
Je suis partie en vitesse sans qu’on me voie et, le soir même, j’ai eu droit au résumé.
Puis il y a eu un dernier amant… le meilleur, pour moi. Vous allez rire, mais c’était le Père Noël !
En cette fin d’année, un intérimaire était venu jouer le Père Noël. Pendant les pauses j’avais eu quelques occasions de discuter avec lui ; le courant était passé tout de suite, mais je suis restée pas mal de temps sans voir son visage. Tout ce que je savais, c’est qu’il avait de très beaux yeux verts. Au cours d’une discussion, j’ai eu le malheur de lui dire que j’avais un costume de lutin ; il voulait le voir. Il m’a proposée un dîner chez lui la veille de Noël, et j’ai accepté avec grand plaisir.
À 19 heures pile, il m’a ouvert la porte. Et là, coup de foudre ! Mon cœur s’est mis à battre à toute vitesse : c’était mon prince charmant. Je ne me faisais cependant pas trop d’illusions. Il venait de sortir de la douche ; l’eau coulait encore sur son corps mince et musclé. Quant à moi, j’étais en face de lui, portant une tenue de lutin : bottes vertes, bas rayés vert et rouge, robe très courte et chapeau de même couleur que le bas.
Il me regarda de haut en bas ; la bosse que je distinguais à travers sa serviette suivit le chemin inverse de son regard. Il n’y eut pas de repas, car il m’a proposé de le rejoindre dans la chambre pendant qu’il se préparait. Le temps d’arriver, il me plaqua contre le mur et m’embrassa. Quelle férocité ! Il ne tarda pas à porter sa main à mon entrejambe, qui était déjà bien trempé, bien sûr. Il tira sur ma culotte pour pouvoir jouer avec mes lèvres et mon clito tout en m’embrassant. J’étais à sa merci et ça me plaisait. Il me mit un doigt, puis deux, tout en caressant l’un de mes seins pendant de longues minutes. Quand j’ai voulu moi aussi toucher son sexe, il ne m’en a pas laissé le temps : m’ayant mise face au mur, il laissa tomber la serviette, enfila une capote et me pénétra d’un grand coup sec. Je ne pus retenir mes cris. Il allait vite et fort, sans baisser la cadence. Je me cambrais comme je pouvais, mais ses coups me plaquaient contre le mur.
Je lui fis signe d’arrêter ; je m’installai sur le bord du lit dans une position qui me rappelait celle de Khadija. Il prit mes deux jambes et reprit sa cadence accélérée. J’avais très chaud dans mes vêtements ; mais à part baisser le haut pour voir mes seins, il ne voulait rien retirer d’autre. Dans sa chambre, il y avait beaucoup de miroirs, ce qui lui permettait de voir sous tous les angles sa compagne en train de se faire prendre, comme dans un film. Bien sûr, j’en profitais aussi. Pour une baise purement sexe, je n’avais jamais pris autant de plaisir : il savait exactement comment s’y prendre pour me faire jouir, et il y réussissait fort bien !
Maintenant c’était à moi de lui montrer ce que je savais faire ; il s’est mis sur le dos et je l’ai enjambé. J’ai joué avec son gland sur ma fente avant de me laisser aller pour que tout son gros membre rentre en moi. Je commençai par faire de lents va-et-vient, puis j’accélérai peu à peu. Il touchait tout ce qui était à sa portée ; il avait les mains très baladeuses… Je le sentais venir ; il agrippait mes hanches, se crispait, et donnait des coups de bassin pour essayer d’aller encore plus profond.
Au dernier moment, je me suis relevée et lui ai retiré la capote pour le sucer. J’y allais sans me retenir, suçant, jouant avec ma langue et malaxant ses boules. Une main sur ma tête, il jouit dans un grognement de plaisir, lâchant ses jets sur mon visage et dans ma bouche. Quels puissants jets ! J’en fus moi-même étonnée. Quel baiseur… j’en tremblais ! Mieux que ce con de David…
J’ai fini la soirée chez lui, dans une tenue plus légère, lavée et le ventre plein ; je me suis même endormie dans ses bras.
Le lendemain, rituel journalier de raconter tout à mes deux collègues qui étaient fiers de moi. Et vous savez quoi ? Aujourd’hui encore je suis avec lui ; ça fait un an, et je ne regrette pas d’avoir été caissière tout ce temps !