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Temps de lecture estimé : 12 mn
25/02/13
Résumé:  Marie découvre la sexualité avec un homme expérimenté qui lui apprend, leçon après leçon, la patience et l'exigence.
Critères:  f fh hplusag hagé voisins complexe revede fmast nopéné init
Auteur : Maelys            Envoi mini-message

Série : Marie devient une femme

Chapitre 04 / 13
Une leçon de fellation

Dans les épisodes précédents : Marie a connu l’amour pour la première fois de sa vie avec son petit ami Nicolas. Cette expérience fut très décevante. À Paris, elle rencontre d’un homme expérimenté qui se propose de l’aider à retrouver des envies sexuelles. Il y parvient en s’occupant seulement de sa poitrine opulente. Lors du cours suivant, celui-ci s’occupe de son sexe avec une grande minutie. Elle attend frustrée le cours suivant, espérant que cette fois-ci, il fera d’elle une vraie femme connaissant l’orgasme lors de l’acte sexuel.








Deux jours sont passés depuis mon dernier « cours du soir » et j’ai déjà envie de retourner prendre le troisième. Je suis excitée comme si j’étais réellement vierge. Je m’imagine déjà écarter les cuisses pour offrir mon sexe au membre de Monsieur Vidal.

Il est vingt heures, et déjà, je frappe à la porte de l’appart de mon propriétaire. Aussitôt, M. Vidal ouvre, il est en robe de chambre.



Embarrassée, je réponds franchement :



Nous nous asseyons côte à côte. Il repousse les deux pans de sa robe de chambre et pour la première fois, je vois son sexe ! Oh ! Quel engin ! Et il est au semi-repos.


Sans rien dire, il écarte un peu les cuisses. J’ôte mon pull et mon soutien-gorge. J’observe sa verge se dresser tandis que je me touche les seins. Je poursuis mon effeuillage et je me retrouve toute nue. Je fais mine de me toucher. Sa verge est maintenant dressée à la verticale.

Je m’assieds, toute nue, à côté de lui. Je m’installe confortablement pour faire la connaissance de la verge que j’espère avoir bientôt dans mon vagin.

Je le prends dans ma main droite et la contemple, congestionnée. Le gland dépasse un peu du prépuce et le méat laisse perler quelques gouttes d’un liquide transparent. Mes doigts glissent le long de la hampe et atteignent les testicules durcis et rétractés.



Il frémit sous mes doigts quand ils passent dessous. Je me touche en même temps, excitée par le plaisir visible que je commence à donner à cet homme expérimenté.



Je fais glisser son prépuce sans difficulté et son gland turgescent apparaît.

Il retire ma main que je tiens serrée sur le sommet de sa verge et sur le frein.



Je lui caresse maintenant le membre d’une main, le plus délicatement possible.



Ma main droite passe entre ses cuisses. Je le masturbe sûrement un peu maladroitement, mais avec beaucoup d’application…

Instinctivement, je dépose un petit bisou sur le bout du gland violet à la peau lisse. Ce gland écarlate m’attire. Je le lape doucement, je fais disparaître la queue dans ma bouche, la verge est de plus en plus tendue dans sa « prison humide ». Je le suce. J’entends sa réaction :



Inexpérimentée dans la fellation mais tellement excitée, je lui imprime des mouvements de va-et-vient tandis que ses mains me caressent les seins, les agacent, en pincent les bouts qui s’érigent aussitôt sous leur emprise.

Mes mains massent ses testicules pendant que j’essaie un mouvement de langue sur le gland et le frein en particulier.



J’obéis et descends lentement ma bouche le long de ce beau sexe, je descends le plus possible, jusqu’à ce qu’il touche le fond de ma gorge ; je remonte doucement pour redescendre encore.

Il pose sa main sur ma tête pour me donner le rythme qui lui convient.

Après quelques minutes durant lesquelles il a fréquemment ralenti le rythme en retenant ma tête, il pousse un râle rauque et il jouit dans ma bouche, par petits jets saccadés.

Je goûte alors pour la première fois au sperme… qui finit par couler le long de mes lèvres et sur mon cou. C’est un peu âcre, un peu sucré et pas franchement désagréable. J’ai très envie d’une pénétration et je me mets à genoux sur le canapé. Je me cambre pour mieux offrir ma vulve.



Il s’approche de moi, me caresse les fesses et passe une main sur ma vulve, comme pour vérifier mon état. Il semble satisfait. Je me prépare à le recevoir dès qu’il aura retrouvé sa vigueur. Mais contre toute attente, il s’éloigne de moi.



Sans mot dire, il se rhabille et se dirige vers la bibliothèque. Il revient avec un ouvrage illustré intitulé « Le kamasoutra en images ». Moi qui avais déjà la vulve trempée, cela ne contribue pas à arrêter mes sécrétions. Nous compulsons ensemble l’ouvrage. Je n’imaginais pas qu’il y avait autant de façons pour un homme et une femme de pratiquer l’acte sexuel.



Remontée chez moi. Je me déshabille à toute vitesse et, toute nue sur le lit, je me masturbe en regardant l’ouvrage. Après plusieurs consultations, c’est la posture de la Balance qui retient mon attention. L’homme est assis sur le bord du lit. La femme lui tourne le dos avant de s’asseoir sur ses cuisses. Une fois le pénis en elle, elle peut alors se pencher en avant et se balancer le long du pénis. La femme peut prendre appui sur les genoux de l’homme qui peut lui toucher les seins et le clitoris. Je crois que j’ai choisi et que c’est comme cela que je veux que Monsieur Vidal me prenne.


Le week-end suivant, je rentre chez mes parents.

Ma mère m’accueille, me décharge de mes bagages. Tandis que nous prenons un thé, elle me regarde avec un regard complice et me dit que Nicolas est venu prendre de mes nouvelles, ainsi que Louise, ma meilleure amie. J’ai tout à fait l’impression que ma mère pense que Nicolas est mon petit ami. Elle a perçu sans doute chez Nicolas quelque chose de différent, et pour cause.


Après ce thé complice, je lui annonce que je vais rendre visite à Louise. Il est quinze heures trente quand je frappe à la porte de la ferme située à une vingtaine de kilomètres de chez mes parents où elle réside avec les siens et son frère de 18 ans, Mickaël, le meilleur ami de Nicolas, qui vient comme moi de commencer ses études supérieures.

C’est d’ailleurs lui qui m’ouvre, vêtu d’un tee-shirt et d’un caleçon.



J’entre. Nous allons dans le salon.



Je parcours les rangées de DVD. J’aperçois « Antichrist » de Lars Von Trier. Je prends le coffret et le tends à Mickaël.



Le film commence fort : dès le générique on voit une pénétration sous la douche. Un sexe masculin pénètre un sexe féminin au ralenti. Mickaël serre les cuisses pour masquer son érection. Je le taquine en plaçant mes pieds sur la table basse ce qui fait remonter ma jupe en dévoilant mes jambes. Mickaël regarde mes courbes du coin de l’œil. Le film est dur. L’histoire d’un couple qui perd un enfant lors d’un accident alors qu’ils faisaient l’amour sous la douche. Mais des passages sont torrides. Cela m’émoustille et comme Mickaël est beau gosse et que je sais que je lui plais. Même s’il n’a jamais osé me draguer à cause de Nicolas, il en a toujours rêvé. Vient la scène où, en pleine forêt, Charlotte Gainsbourg se masturbe vigoureusement. Là je fais quelque chose de fou que je n’aurais jamais fait il y a quelques mois. Je glisse ma main entre les cuisses, dans ma culotte et je commence à me caresser.


Mickaël est ébahi. Il a les yeux écarquillés et la bouche bée. Et il est encore plus surpris quand je glisse mon autre main entre ses jambes et que je constate qu’il est en érection… Il se tourne vers moi et me pelote les seins de manière gourmande. Il défait mon haut et mon soutien-gorge avec empressement, sans aucune délicatesse, comme pour retirer le papier d’un bonbon. Il empoigne mes seins. Je me soulève pour retirer ma jupe et ma culotte. Me voilà nue devant Mickaël.



Décidément, il doit y avoir un problème d’éducation sexuelle chez les garçons de mon âge. Me voilà (une fois de plus ?) reléguée au rang de marchandise à consommer. Je suis bonne…


Il se met nu et le voici au pied du canapé. Ses épaules larges et ses cuisses musclées m’excitent malgré le peu de raffinement dont il fait preuve. Il malaxe mes seins silencieusement.



Il les lèche, mais n’ose pas me téter. Peu à peu, sa bouche atteint mon abdomen et il me caresse la taille. Il est finalement un peu plus doué que Nicolas.

J’écarte les cuisses. J’espère sa bouche… Je l’attends. Mais Mickaël se lève. Il place sa verge sur mon pubis. Non ! le cauchemar ne va pas recommencer.


Je serre les cuisses. Il est surpris par ma réaction. Il est hébété, puis je le vois grimacer. Il semble presque en colère. Il prend mes genoux et les écarte d’un coup. Il est costaud et me voici écartelée de force. Dans le mouvement, il place son gland à l’entrée de mon vagin. Il ne va pas me violer ! Il n’en est pas question ! Je dois agir maintenant sans hésitation. Je me tourne sur le côté et lui décoche un coup de talon dans le ventre.

Je hurle :



Il s’assoit sur la table basse et semble abattu.



Il se penche pour prendre son caleçon. J’ai cependant envie de prendre du plaisir et de lui donner une leçon sur la manière d’en donner. Je lui prends la main et l’oblige à le reposer. Je m’assieds au bord du canapé, écarte les cuisses de part et d’autre des siennes. Il semble paralysé, ne sait plus quoi faire.

Je lui prends la main gauche que je pose sur mon sein droit.



Je lui prends l’autre main que je place entre mes cuisses.



Il se met à fouiller mon pubis, passe lentement ses doigts dans ma fente trempée. Son autre main tire mon téton. Je commence à éprouver du plaisir. J’empoigne sa verge, le décalotte et commence à le masturber. Nos respirations s’accélèrent. Ses doigts commencent à comprendre l’anatomie féminine. Il joue enfin avec mon clitoris. Bientôt, il enfonce deux doigts dans mon vagin.



Je le masturbe très vite maintenant. Un jet puissant de sperme s’échappe de sa verge et asperge son buste et le mien. Hélas, il n’est pas parvenu à me faire jouir.



C’est Louise.


Mickaël enfile son short à toute vitesse et sort en courant, manque presque de renverser sa sœur. Louise s’approche de moi.



Elle ne semble pas fâchée, plutôt abasourdie et rougissante.



La porte d’entrée se fait entendre. Mickaël vient de sortir.

Je me lave la vulve et la poitrine, puis me rhabille.

Quand je regagne le séjour, Louise nous a fait un thé.



Si elle savait…



Je lui fais une grosse bise et rentre chez mes parents. J’ai été tentée par Mickaël, mais décidément, non, depuis mes « leçons » avec Monsieur Vidal, je ne suis plus cette jeune femme effarouchée qui subit les désirs de ses partenaires. Je veux accompagner leur désir, le refuser s’il ne me convient pas. J’ai hâte de retrouver mon mentor pour un vrai rapport sexuel, qui m’emmènera vers un plaisir jusque-là ignoré.