n° 15501 | Fiche technique | 20818 caractères | 20818Temps de lecture estimé : 13 mn | 01/03/13 |
Résumé: Une femme veut offrir à son compagnon une nuit avec une de ses amies pour son anniversaire. Mais c'est en fait elle qui rêve de s'offrir son amie. Saura-t-elle partager le cadeau ? | ||||
Critères: f h fh ff ffh fbi cadeau douche voir fmast hmast facial fellation 69 fgode -couple+f | ||||
Auteur : Fwm |
J’ai toute ma vie soutenu, même si il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, que les cadeaux d’anniversaire, on les fait avant tout pour soi. Celui que j’ai fait à mon amoureux, Marc, pour ses trente ans, me donne raison. Je vous mets dans l’ambiance…
Je vis depuis quelques années en couple avec mon homme. Notre sexualité est satisfaisante et notre ouverture d’esprit la concernant n’y est sûrement pas pour rien. Ouverture d’esprit qui s’est toujours fixée comme limite l’introduction d’un troisième partenaire dans nos jeux. Pourtant, cette idée faisait de plus en plus son chemin depuis que je m’étais fait une nouvelle amie qui m’a donné des envies que je n’aurais pas soupçonnées. En bref, Cécile est plutôt mignonne et j’aurais volontiers mis ma tête ente ses cuisses. Voilà ; c’est fait, c’est dit, j’assume : j’ai envie de découvrir la relation homosexuelle !
Cela n’aurait techniquement pas posé de problèmes à une femme qui aime tout le monde : il aurait été très simple d’en parler avec elle et d’assouvir mon envie. Mais je ne me voyais pas refuser à mon ami un spectacle lesbien qui lui aurait donné chaud. Très chaud, même. Que voulais-je réellement dans le fond ? Une relation avec une femme ? Me faire sauter par mon mari devant une autre femme ? Un plan a trois ? Que mon mari en saute une autre devant mes yeux ? Je ne savais pas exactement, mais toutes ces idées nouvelles m’attiraient et me faisaient de plus en plus souvent glisser une main entre mes cuisses. Il était temps de passer aux choses sérieuses.
J’ai donc invité un soir mon amie à la maison pour une soirée entre filles. Entendez par là que j’avais convié fermement mon amoureux à sortir. La soirée se passe bien : vin, pizza et Black Swan, un film avec de belles scènes lesbiennes pour nous mettre dans l’ambiance. En fait, je ne savais pas trop comment aborder le sujet ! Je me suis lancée après la scène la plus chaude du film. Je lui ai expliqué que depuis quelque temps, j’avais la curiosité et l’envie de découvrir le plaisir avec une femme. Un large sourire de sa part, un sourire qui me dit « je le savais » ; et voilà que, sans un mot, elle se lève. Elle ouvre son chemisier, l’enlève, descend la fermeture de sa jupe et se retrouve en sous-vêtements devant moi.
Je n’avais pas eu le courage de l’arrêter, et je ne l’ai pas regretté ! Je comprenais pourquoi : j’avais envie d’elle comme de nombreux hommes. Elle avait une poitrine ferme, un ventre plat, des lèvres… enfin, vous savez sûrement encore mieux que moi ce qu’est une femme qui donne envie aux hommes. Ce n’était pas non plus une poitrine débordante du chemisier ou toujours des jupes minuscules. Non, elle était belle et l’assumait. Voilà sa plus grande force.
Elle s’est approchée de moi. Toujours dans un silence absolu, elle s’est mise à me tourner autour. Des mains qui glissent sur mon corps, un souffle chaud, mes seins à peine effleurés, juste assez pour sentir un courant électrique me traverser. J’avais autant envie que la scène dure que de passer à l’étape suivante. C’est agréable de se faire allumer.
J’étais toujours assise dans le canapé mais je commençais à trouver ma situation légèrement inconfortable. Je sentais que, oui, j’avais vraiment des envies avec une autre femme : mon entrejambe ne laissait pas de doutes à ce sujet. Je voulais aussi la toucher, la caresser, faire rouler dans ma bouche ses tétons durcis du plaisir de m’exciter. Je voulais que mes mains caressent ses cuisses, qu’elles n’aient qu’une envie : se glisser sous la dentelle de son shorty, aller caresser cet endroit que je connais si bien chez moi mais qui m’attire tant ces derniers temps chez elle. Mais il ne fallait pas. Pas aujourd’hui. Ou du moins pas aussi vite ! Elle était prête à coucher avec moi, aucun doute, et j’avais très envie de ses baisers et de plus encore. Je me suis laissée faire encore quelques minutes, sentant ses mains devenir plus audacieuses, caresser l’arrondi de mes seins, écarter mes vêtements sans pour autant me déshabiller. J’aimais sa façon de faire glisser ses mains jusqu’à venir écarter mes cuisses.
Elle posa sa main sur mon sexe, moi ouverte pour profiter de ses caresses qui se faisaient sur les sous-vêtements. Nos tenues n’avaient plus rien d’équivoque, même si nous n’étions pas encore nues. C’était peut-être même aussi bien comme cela : nous profitions ainsi plus longtemps ; elle jouait plus à m’exciter et créer du désir que déjà l’assouvir. Je sentais ses lèvres se rapprocher des miennes. Des lèvres si pulpeuses qu’elles devaient donner des envies de fellation à plus d’un homme… Moi, je voulais déjà un baiser. Un baiser qu’elle ne voulait pas me donner. Pour un peu, nous étions un couple d’amants qui n’attendait que de coucher ensemble sans oser franchir le pas. J’étais allée trop loin pour ne pas l’embrasser ce soir. Tant pis pour l’excitation pure : il me fallait quelque chose, il fallait que je maîtrise et je prenne du plaisir en plus de celui né de l’excitation.
Je me suis jetée sur sa bouche et ses lèvres charnues. Je les ai sucées, aspirées ; ma langue a joué avec la sienne. Elle m’avait plaquée – elle savait ce qu’elle faisait, la coquine – les mains sur le canapé pendant ce temps. Être tenue augmentait les sensations en me frustrant de ne pas pouvoir toucher son corps. Combien de temps cela dura-t-il ? Je ne saurais le dire, mais j’en suis sortie chamboulée. Je ne lui ai pas dit, mais j’ai eu une furieuse envie de me caresser, de calmer le feu en moi. En tout cas, j’étais renversée. Ce baiser avait été bon, c’est indéniable ; mais surtout j’avais adoré me sentir allumée par une femme, j’avais aimé sa présence. C’est sûr, il me fallait plus. Allais-je avoir encore des scrupules envers mon homme et n’allais-je pas vouloir garder pour moi une telle merveille ? Difficile à dire…
Je me suis posé la question et j’ai finalement compris que je pouvais bien faire profiter mon amoureux d’un bon coup ; cela ne m’empêcherait pas de jouir après. Encore fallait-il dans le fond que je profite de ce que j’allais lui offrir. Lui dire « bande, baise-la, et après c’est mon tour », cela aurait été franchement sans goût. Mais lui monter un scénario, une surprise… pourquoi pas, après tout ? Et trente ans, ça se fête ! Moi, deux belles queues black pour mon anniversaire, je ne dirai pas non !
Il me fallait un effet de surprise ; du sexe, de l’obscurité, de la chaleur, mais surtout pas de sentiments. Je voyais bien cela sous la douche… Une sensualité exacerbée par l’eau chaude coulant le long des corps, par une femme sans contrainte. Les idées se mettaient en place au fur et à mesure. Cécile, mon amie coquine, a vite dit oui au plan que je lui proposais. Elle ne connaissait pas mon conjoint, mais était prête à se donner pour son cadeau d’anniversaire. Certaines personnes ont une telle grandeur d’âme !
Le jour de son anniversaire est enfin arrivé. Je lui ai laissé un mot dans le couloir, pour que cela soit la première chose qu’il voie en entrant dans la maison. Un mot, avec un de mes strings accroché avec, où je l’invitais à laisser toutes lumières éteintes et à aller sous la douche, eau chaude à profusion et de prendre le temps d’en profiter. Je le connaissais assez pour savoir qu’il s’imaginait déjà sa pipe d’anniversaire… Une pipe sous la douche ou juste au sortir de la douche : j’adore, je dois avouer. Et sous la douche permet à monsieur de se prendre pour une star du X sans que je ne trouve désagréable sa douche à lui. Des fellations, il y en aurait sûrement une, mais ça ne serait pas le clou du spectacle. Pour lui comme pour moi.
Il fut obéissant, laissant les lumières éteintes et allant sous la douche. Trois minutes d’eau brûlante sur son corps devaient l’avoir détendu, et trois minutes à attendre sa fellation avaient dû tendre le membre qu’une autre que moi allait sucer dans quelques instants. L’attente avait assez duré et Cécile, nue comme un ver, est partie le rejoindre.
Elle entra sous la douche, tâtonnant légèrement puisque le noir était total. Mais elle n’eut pas de mal à trouver sa bouche pour l’embrasser et le serrer contre lui. Pendant ce temps, j’avais allumé une bougie de façon à voir un peu le spectacle qui allait s’offrir à moi. Un baiser que mon compagnon lui rendit fougueusement : il me remerciait d’avance de la formidable turlute qui s’annonçait. Il lui fallut quelques secondes pour repousser doucement le corps de Cécile. Il n’avait peut-être pas encore compris à quel jeu nous jouions à cet instant précis. Mais quoi qu’il arrive, il allait baiser la femme présente dans la douche avec lui.
Ce furent les seuls mots de mon amie envers mon compagnon. Susurrés avec sa voix chaude, laissant son corps descendre contre le sien pour augmenter un désir déjà exacerbé ; j’ai bien compris pourquoi il n’a rien dit ou même refusé cette proposition. J’avais certes allumé une bougie pour que chacun jouisse du spectacle, mais ce n’est pas ce qu’il a eu le temps de voir qui l’a laissé fondre : c’est bien le ton de la proposition.
Elle pompait sans ménagement. À genoux, l’eau coulant le long de son visage, ses seins, ses fesses ; l’eau éclaboussant la salle d’eau avec le va-et-vient de ses mains sur le sexe de mon homme. Je dois avouer que j’ai apprécié ce moment, une main glissée dans mon entrejambe. Je m’étais promis d’attiser légèrement les charbons ardents ; pas d’allumer un feu de forêt ! Mon homme a tout de suite bien pris la mesure de la situation. Une main derrière sa tête, je savais qu’il ne faisait qu’accompagner ses gestes, mais c’était fort tout de même. C’est au moment où je me demandais si elle allait se faire prendre qu’elle a attrapé un préservatif, lui a mis tant bien que mal et s’est relevée. C’était tant mieux, car j’avoue que j’avais très envie de la voir se faire sauter. C’est peut-être un vocable cru, mais on ne peut pas dire que ces deux-là faisaient l’amour. Elle se serra contre lui, mais mon mec savait ce qu’il voulait. Il la retourna ; elle s’appuya sur les parois de la douche, écarta les jambes et se fit emmancher sans ménagement. J’avais cru un instant qu’il allait la sodomiser, mais ce ne fut pas le cas.
En fait, je crois que j’aurais aimé qu’il la sodomise, là, devant moi. Que je voie ce qu’est un animal qui ne pense plus qu’à son assouvissement. Il pratiquait cet acte sur moi, mais toujours avec force préliminaires et lubrifiant. J’y trouvais un plaisir certain, bien que j’aurais aimé bien plus souvent me faire enculer plutôt que sodomiser. Mais découvrir l’amour côté pile sous le signe de la bestialité alors que pour moi il ne pouvait en être autrement, c’était chaud. Pour mon homme aussi. Des coups de reins puissants, mais pas pour la labourer ; des mains sur les hanches qui l’empêchaient de bouger autrement que sur ce pieu. Il ne recherchait que son plaisir, mais ce n’était pas pour déplaire à mon amie qui hurlait maintenant sous la force des assauts et des mains qui venaient tâter ses seins. Je sentais aux gestes un peu désordonnés que l’orgasme n’allait pas tarder. Lui, en vrai mâle ; elle, en femme fatale : cela ne pouvait se terminer que d’une façon. Il lui attrapa d’une main une épaule et la retourna tandis qu’il enlevait le préservatif.
J’aurais aimé un peu plus de lumière pour le voir jouir, mais l’entendre était assez excitant. Tel que je le connais, il a dû prendre un sacré pied à se vider sur son visage. Même si les femmes en général n’aiment pas cette pratique, je dois avouer que je ne la refuse pas de temps à autre. J’aime voir leur désir, leur excitation, leur sentiment de toute-puissance alors qu’en fait, c’est moi qui maîtrise. Et puis, la pipe, j’aime ; et une éjaculation sur le visage, je trouve cela agréable. Alors pourquoi pas ? Surtout que jouer avec sa semence peut être un bon moyen de relancer la partie.
Il s’était bien amusé, c’était maintenant mon tour !
J’ai rallumé la lumière alors que Cécile profitait du jet de la douche pour finir de retirer les quelques filets de sperme de son corps. Marc était encore tout pantelant d’un tel traitement. Je suis entrée dans la salle d’eau au moment où elle se relevait. Sans hésitation ni tabou, je suis venue lui donner un baiser langoureux et j’ai glissé ostensiblement ma main là où mon homme glissait lui même encore il y quelques minutes. Son corps humide séché d’un coup de serviette, et nous voilà dans la chambre. Nous aurions pu nous caresser, nous offrir ainsi qu’à Marc un beau spectacle. Mais entre la tension de la première soirée et l’excitation de ce soir, il me fallait plus.
C’est donc sans cérémonie que je l’ai allongée sur le lit et que je me suis mise tête-bêche par rapport à elle. Simple, direct, avec un cri de soulagement au moment où sa langue s’est insérée dans ma chatte. Comme un bon coup de queue de mon homme quand je suis en manque. Mais là, c’est une langue pointue qui a ouvert mes lèvres, laissant s’échapper un filet de cyprine ; c’est sa langue qui a léché mon intimité, aspiré mes lèvres, sucé mon clitoris. Je faisais de même et c’était bon de sentir son corps se relâcher sous le plaisir. Mon homme a passé des heures à jouer avec mon clitoris, à introduire un ou des doigts pour me faire jouir. Pas de problème pour cela, mais jamais rien qui ne m’ait fait autant d’effet qu’une langue féminine. La douceur des mains qui caressaient mes fesses, une sensation inoubliable !
Marc, pendant ce temps, se rinçait l’œil. Le porno lesbien n’était pas son préféré, mais la scène ne le laissait pas indifférent. Il s’astiquait, et j’avoue que sur l’instant, il aurait pu faire n’importe quoi, je n’aurais rien dit ni remarqué. Nous venions de quitter notre position de 69 pour que je m’allonge sur le lit, les épaules et la tête relevées par deux oreillers. Installée confortablement, j’avais une vue parfaite sur Cécile en train de me faire plaisir. Vue parfaite est un bien grand mot, car le plaisir m’a fait fermer souvent les yeux. C’est en fait ce moment que j’attendais : autant notre 69 m’avait soulagée d’un feu qui me brûlait de plus en plus fort depuis notre premier baiser, autant je voulais surtout admirer une femme me faisant jouir.
Marc m’a fait jouir avec sa bouche plus d’une fois, mais depuis notre première approche, je ne cessais de la voir la tête entre mes cuisses. Grand bien m’en a fait ! Mes mains sur sa tête, mon souffle court, sa langue qui jouait avec mes lèvres, ses doigts qui titillaient mon clitoris ou qui entraient en moi, c’était si bon… Elle ne cherchait pas tant à simuler un pénis d’homme que simplement me caresser en-dehors et en-dedans du sexe. Elle n’en était pas à sa première expérience et je le sentais bien. Mon excitation montait lentement. Je criais de plaisir mais je savais que l’orgasme n’était pas encore là. Cela ne m’empêchait pas d’être dans le brouillard.
De temps à autre une main remontait, venait me caresser un sein ou pincer un téton. J’avais un petit cri supplémentaire. J’étais dans un drôle d’état, tout simplement. J’avais cette bizarre impression de me liquéfier, de ne plus rien contrôler. Et puis, il faut avouer que le spectacle était plutôt plaisant. Même si elle n’était pas forcément une gravure de mode, force est de constater qu’elle était mignonne ; et nue, placée entre mes jambes, la tête enfouie au plus profond de moi, elle était encore plus mignonne. Elle savait comment faire pour me faire du bien, n’hésitant pas à aspirer, même à mordiller mon clitoris. Elle avait ce talent si exquis que je n’attribue qu’aux femmes de savoir parfaitement doser ces choses-là. J’aime quand mon homme me fait un cunnilingus, mais dans son geste j’aime, entre autres, la bestialité qu’il y met. Là, c’est juste assez de douleur qu’elle provoquait pour me faire frissonner de plaisir sans pour autant me faire mal. Elle me faisait pousser un petit cri de douleur si agréable puis m’embrassait à pleine bouche le sexe pour mieux se faire pardonner. Le chaud et le froid, elle connaissait bien ; mais moi, ce n’est plus que le chaud que je connaissais avec ses baisers. Même si cette séance de sexe était la mienne, j’aurais aimé lui rendre la pareille. Mais je sentais que je n’allais plus tenir pendant des heures.
Pendant ce temps, Marc était nu, assis sur le lit à côté de nous, à s’astiquer. Il faut dire que nous donnions un spectacle autrement plus chaud qu’une vidéo lesbienne. Je me suis même demandé pourquoi il ne prenait pas le cul de mon amie. Quasiment allongée sur le lit, le fessier bien relevé, la croupe offerte, il le voyait bien ; il aurait été difficile de ne pas la prendre. Quel plaisir si cette fois-ci il l’avait vraiment enculée… Il devait avoir peur de la déconcentrer ! Il pouvait bien se l’offrir : c’était son anniversaire. Et puis après l’avoir littéralement sautée une première fois, alors que moi-même je me faisais jouir par ses soins, je n’y voyais pas d’inconvénient et je sais qu’il pensait comme moi.
Mais notre spectacle parut lui plaire. Je l’ai vu finalement jouir à l’orée de mon sexe, Cécile jouant de sa langue avec le sien et le mien. J’ai peut-être tenu encore deux ou trois minutes, un record arrivé à ce stade, puis j’ai craqué. Mes hurlements ne cessaient plus ; le plaisir me submergeait sans que je parvienne à me reprendre. L’orgasme me traversait. Les yeux mi-clos, je sentais mon bassin onduler très fort, donnant vraisemblablement des coups à mon amie. Je n’avais qu’une idée en tête : une bite. Il me fallait un sexe, un ferme, bien plein et qui ne pose pas de questions.
Mon amie avait sans doute prévu cette partie-là car elle sortit de son sac qu’elle avait laissé dans notre chambre un gode de taille plus que respectable qu’elle fit pénétrer en moi d’un coup très ferme et sans me prévenir. La sensation de se faire remplir de cette façon si soudaine, avec un gode bien plus gros que n’importe quel sexe, un gode pour les très grandes occasions, et qu’elle agita en moi sans attendre eut le don de calmer mon feu bien mieux que le sexe de Marc n’aurait pu faire. Je n’aurais jamais imaginé que l’on puisse se mettre quelque chose d’aussi impressionnant ; alors, de là à le manipuler comme ça ! Mais c’était tout simplement ce qu’il me fallait.
Après un tel orgasme, pas question qu’on me touche aussitôt après ; mais Cécile m’embrassait sensuellement juste au-dessus du clitoris tandis qu’elle me pilonnait avec son gode énorme. Le feu s’est apaisé en quelques minutes, après un autre orgasme dévastateur ; et de toute ma vie, je n’eus que rarement une telle sensation de bien-être ensuite. Cette sensation est certes de nature différente de l’orgasme procuré par un sexe d’homme, mais est peut-être aussi bonne !
Lorsque je fus calmée, Cécile a retiré le gode de mon intimité et s’est allongée sur moi. Nous nous embrassions, elle laissait ses doigts courir sur mon corps inerte. Nous étions si bien l’une et l’autre que nous rigolions beaucoup rien qu’à nous regarder dans les yeux. Avouons-le franchement : nous avions oublié Marc. Mais lui ne nous avait pas oubliées et il est venu se joindre à nos jeux et baisers. Nous avions eu chacun notre orgasme, nous avions chacun pris du plaisir et c’est bien là le principal !
Il ne restait plus qu’à retourner sous la douche !
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