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Temps de lecture estimé : 10 mn
07/03/13
Résumé:  Un chef inquisiteur profite de la faiblesse de son subordonné pour corrompre sa femme.
Critères:  fhh extracon cocus collègues fépilée piscine hsoumis hdomine
Auteur : Loup Ferus      Envoi mini-message
Chloé toujours

Chloé, jeune femme de 33 ans, a toujours eu une relation difficile avec l’amour physique, et encore plus avec le sexe pur. Son éducation stricte basée sur les devoirs et la religion l’ont rendue méfiante sur les plaisirs des sens. Toutefois, son caractère rebelle lui a permis malgré elle de vivre des expériences en accord avec son véritable tempérament (cf. les deux épisodes de Week-end à Rome). Mais c’est toujours à la suite d’un combat intérieur homérique entre ce que son inconscient et ses sens réclament et sa peur de l’inconnu.


« On manque d’ouverture » se désespère Alain, son mari ; mais connaissant le potentiel sensuel de sa femme, il sait comment la conduire vers son incroyable talent à jouir de la vie. Alors qu’elle croyait que le sexe était quelque chose d’accessoire dans sa vie, elle se surprend maintenant à suivre des instincts totalement nouveaux et imprévisibles pour elle. Manquant de confiance en elle et inquiète devant un lâcher-prise, elle s’autorise cependant de plus en plus de moments de liberté.


Blonde et dotée de formes généreuses, elle attire irrésistiblement et malgré elle tous les regards. Peu encline à se mettre en valeur, il lui suffit pourtant de mettre un pantalon près du corps ou un caraco kaki serré à la taille pour susciter l’admiration de son mari et l’envie des autres hommes.







Vu par Chloé :



Ce matin, elle se sent bien et arrive chez elle en sueur après son jogging. Chloé traverse le patio et file vers la douche italienne à côté de la piscine. Son pantacourt et ses autres vêtements de sport vite enlevés, elle savoure la pluie tropicale qui lui tape sur le visage et ruisselle le long de son ventre. Nouvellement initiée aux sensations pures, elle apprécie cette liberté que lui donnent l’eau et le soleil mélangés sur son corps nu. Sans s’essuyer, elle s’allonge sur un matelas pour se sécher au soleil. Ses fesses et son dos se détendent pendant de longues minutes.


Quelqu’un la regarde ! Attentive à la chaleur qui apaise les tensions dues à l’effort, des bruits parasitent sa décontraction. Des voix, elle en est sûre. Des hommes qui parlent.


Elle se redresse et écoute pour en localiser l’origine. Cela vient d’en-haut, d’une fenêtre de chez elle, de la fenêtre ouverte au premier étage. Surprise, elle s’entoure d’une serviette en éponge et monte rejoindre l’endroit en question. Ce n’est que lorsqu’elle découvre les deux hommes penchés sur l’ordinateur qu’elle se rappelle que son mari l’avait prévenue de la visite de son chef ce matin, pour synchroniser son PC avec son nouveau Smartphone.



Elle repense à ce moment-là aux aspects particuliers de sa personnalité dont lui avait parlé Alain. En bref, c’est un chaud lapin.



Un prétentieux de plus. Enfin, il a malgré tout de belles manières qui plaisent à Chloé et il est plutôt bien bâti avec de larges épaules ; c’est sûr que par rapport à Alain, son mari, les mots ne sont jamais les mêmes. « Veste et chaussures impeccables, brun légèrement bronzé, ses apparats extérieurs doivent ravir nombre de femmes… » pense-t-elle. Les quelques années de plus qui le séparent de Chloé et d’Alain n’ont servi qu’à lui donner un aspect plus mature, plus sûr de lui, tout à fait troublant. Mais Chloé est surtout troublée par sa poignée de main. Enveloppante, ferme et douce à la fois.



Rouge de confusion, elle a du mal à soutenir son regard. Surprise, elle retrouve son aplomb et lui propose de rester :



Furieuse, elle a l’impression que cet homme voit clair en elle et cela la rend vulnérable. Ne pas tout contrôler lui est très désagréable. Et pourtant…


Les deux hommes commencent à allumer le feu et à préparer des gambas et de la viande. De son côté, Chloé s’habille rapidement d’un pantalon blanc moulant et d’un chemisier vaporeux quelque peu transparent. Peu habituée aux pensées coquines, elle regarde toutefois avec intérêt son invité. Elle n’aime pas les surprises, habituellement. C’est pas son genre d’être sensible à un charme masculin (féminin encore moins), mais il est encore plus vrai que cet homme l’intéresse. Son physique l’impressionne, autant que son assurance.






Vu par Alexandre :



Une photo, juste une photo d’elle sur le bureau de son subalterne. Alexandre se souvient parfaitement de cette belle blonde remplie de son joli sourire avec toutes ses belles dents blanches. Il avait du coup engagé la conversation avec Alain, le comptable du service, et avait immédiatement senti la faille. Habitué à analyser les couples, il avait perçu la trop grande admiration d’Alain pour sa femme et les problèmes que cela pouvait lui causer. Alain lui avait confié les exigences de sa femme sur son train de vie. Grâce à une petite fortune familiale de sa femme, ils avaient pu acheter une maison avec piscine, mais son salaire stagnant autant que son avancement ne lui permettait plus trop d’extras dans l’année. Alexandre se demandait ce que fichait cette femme avec ce naze. Il ne tenait effectivement pas Alain en haute estime, mais appréciait l’emprise qu’il avait sur lui. Sentant qu’il y avait quelque chose d’intéressant sur ce coup-là, il avait insisté pour s’inviter chez Alain un samedi matin, soi-disant pour lui paramétrer son téléphone portable.


Ce samedi matin, alors qu’il finit les opérations sur le PC, il entend la porte d’entrée claquer puis le bruit d’une douche en extérieur. Vu de cette fenêtre en hauteur, il apprécie le spectacle d’une femme nue sous sa douche et qui s’allonge sur la terrasse, offerte au soleil en plus de son regard. Il suppose qu’il s’agit de madame Dubois. Les marques de bronzage l’informent sur la rareté de la scène qui s’offre à lui. « Appétissante » est le mot qui vient à l’esprit. Elle est juste un peu ronde à son goût, mais sans aucune lourdeur dans la silhouette. Une forme pleine et généreuse. Tout à coup, elle se relève et regarde dans sa direction. Il n’a que le temps de faire un pas en arrière comme seule cachette.


En la voyant arriver dans la pièce entourée de son seul peignoir, aussi naturelle que resplendissante, une forte envie de corrompre cette belle épouse s’éprend de lui. Très à l’aise face à la gent féminine, il appuie ses salutations d’un regard profond et inquisiteur. Prolongeant sa poignée de main au même rythme que son sourire, il jubile devant la gêne qu’il perçoit chez cette jolie dame.


La maîtresse de maison elle-même l’invite à déjeuner, d’une façon si chaleureuse qu’il en est presqu’ému. « Si tu veux prendre la femme d’un autre, deviens d’abord l’ami du mari ». C’est en pensant à cette devise qu’Alexandre se met aux fourneaux aux côtés d’Alain. Il repense au sourire éclatant de Chloé. Mais il n’oublie pas à quel point les femmes peuvent être innocentes. Nombre de fois il s’est imaginé des avances de femmes qui ne lui rendaient en fait qu’une banale politesse. Toutefois, il est plus que confiant du fait principalement de la faiblesse de caractère de cet Alain. Il l’a soumis au travail, il le soumettra dans son lit en lui prenant sa femme.


Alexandre se rend utile également lors du dressage de table avec la belle jusqu’à sentir son parfum. Elle a dû en mettre juste après s’être habillée. Alexandre prend ça comme un bon présage. Le repas se passe de manière très agréable. Alexandre profite de chaque profil de Chloé, lui sourit, donne une grande tape sur le dos d’Alain, histoire de fêter le début de la prise de pouvoir.


La transparence du chemisier de Chloé est parfaite. Alexandre regrette juste le haut de maillot de bain qu’il perçoit à travers. Il fait des compliments sur l’élégance de la maîtresse de maison qui, il est vrai, a pris le soin de se refaire une beauté après la douche. Alexandre félicite la beauté de sa femme à Alain.



Les pseudo-amabilités sont faites à Alain, mais les sourires d’Alexandre envers sa femme commencent à agacer Alain d’autant plus qu’il la sent réceptive. Son regard désapprobateur envers sa femme demeure sans efficacité ; Chloé arbore toujours le même grand sourire depuis le début du repas. Alexandre déploie tout son talent pour raconter les quelques ratés qu’il a eus chez des clients avec Alain, lequel s’était trompé de dossier, qui une deuxième fois avait sa braguette ouverte durant une négociation (véridique).


Il a envie de manger ce sourire, cette bouche qui lui apparaît si gourmande et moelleuse. Ses lèvres charnues. Elle doit être confortable. Il a envie de lui fermer les yeux par un baiser tout en douceur. Bref…






Vu par Alain :




Alain est toujours très fier de présenter sa femme, même si dans le cas présent il est plutôt troublé par cette rencontre. Le sourire de son épouse et celui d’Alexandre l’avertissent d’un danger. Il est vrai que son fantasme concernant sa femme est réel, mais il lui serait très désagréable de le subir sans en avoir été l’instigateur.


Chloé l’invite à rester manger ! Elle ne fait jamais ça ! La mine renfrognée, Alain se détend lors du repas qu’il trouve très sympathique. Alexandre se moque bien un petit peu de lui, mais cela se passe malgré tout dans une sympathique convivialité. Enfin, au début, parce que petit à petit, les blagues ne parlent que de ses bourdes et il a vraiment l’impression que les deux zouaves se paient sa tête.



Sourire gêné pour Chloé, gêne sans sourire pour Alain.

Effectivement, monsieur di Stefano est enfin ridicule, car l’élastique sans ficelle laisse tomber le short de bain beaucoup trop large.



Chloé et Alain se dévisagent. Il leur est arrivé d’aller sur des plages naturistes, mais c’était il y a longtemps, et pas avec des amis, encore moins des collègues. Chloé prend les devants :



Gloups ! Alain s’étrangle de voir les deux complices se déshabiller et rentrer dans l’eau. « Eh bien, c’est ça, ne vous gênez pas ! » Lui d’abord et elle ensuite, lentement. L’eau paraît froide à Chloé (28° C). Ce qui laisse tout le temps à Alexandre pour reluquer les seins lourds, la taille fine et les hanches généreuses. Elégante et bourgeoise, Chloé a gardé tous ses bijoux sur elle. Le long collier qui entoure un sein retient particulièrement l’attention d’Alexandre. Soudain, elle se jette à l’eau ; enfin, sauf la tête évidemment qui reste bien en-dehors de l’eau. On est loin du fantasme maîtrisé d’Alain. Les féministes devraient applaudir des deux mains. C’est la femme qui prend le pouvoir. Alain ne peut que suivre et obtempérer. Le corps de son épouse dévoilé au regard libidineux d’Alexandre ! Evidemment, Alexandre a une musculature fine mais très présente quand même. Le bronzage intégral fait le reste. Chloé se joue des approches sous l’eau d’Alexandre, mais de plus en plus mollement. On sent que la reddition est proche. Alexandre paraît sûr de lui maintenant, et prolonge les badineries pour le plaisir d’une victoire plus belle.


Il se rapproche d’Alain qui a fini par se mettre lui aussi à l’eau. Tout nu, contraint et forcé, il est rentré dans l’eau discrètement pour ne pas attirer l’attention sur son abdomen proéminent et son bronzage de Ch’ti vélocipédiste. Assis sur les marches de la piscine, rejoint par son chef qui s’assied sur les marches, penché en arrière. Alain ne sait pas ce qui le retient de lui casser la gueule, à ce frimeur. La peur, peut-être ? Chloé, tout excitée par la situation, fait des ronds dans l’eau, de plus en plus proche des deux hommes.



« C’est trop facile ; il n’a même pas lutté ! » se dit Alexandre. Alors elle glisse entre les deux hommes et impose sa présence en s’allongeant contre eux.






Vu par Chloé :



« Il n’a pas de maillot à sa taille et va se baigner tout nu ! Mais qu’est-ce qu’il m’a pris, de renchérir de cette façon ? Tout le monde nu dans la piscine ! »


Des cuisses musclées et un sexe au repos de taille déjà impressionnante ; Chloé rougit de son audace mais ne se gêne pas pour mater monsieur di Stephano. Sa pudeur est mise à rude épreuve. Elle avait en effet cédé à une demande d’Alain et avait complètement épilé sa chatte. Alain doit en être vert ; Chloé ne lui a jamais dit ni montré par timidité, et il ne pouvait pas s’en apercevoir puisque cela fait au moins trois mois qu’ils n’ont rien fait ensemble. Il faut dire que leurs relations sont plus que rares, puisque Chloé n’est pas tellement disposée ces temps-ci à faire l’amour (ces temps-ci, cela veut dire ces dernières années). Alors, pour Alain, découvrir le minou de sa femme en même temps qu’un pratiquement inconnu, c’est totalement insupportable !


Chloé est bien consciente des sentiments que doit ressentir Alain, mais c’est plus fort qu’elle. Un moment de vérité doit arriver, et seule sa liberté sexuelle permettra de l’atteindre.


« Est-il utile d’aller plus loin, et dans quel sens ? »