Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15525Fiche technique22786 caractères22786
Temps de lecture estimé : 14 mn
19/03/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  Suite des pérégrinations d'un jeune homme qui se laisse aller à des jeux avec des hommes plus âgés.
Critères:  hh exhib fellation hsodo fouetfesse init
Auteur : Plaisirsdual            Envoi mini-message
30 ans, c'est aussi un bel âge pour s'amuser

Resituons rapidement le contexte en quelques lignes.

C’est l’histoire très banale d’un homme jeune qui se laisse aller à vivre ses fantasmes avec ses congénères alors même qu’il vit au quotidien avec sa petite amie.

Cela donne un profil hétéro passif qui s’il rebute certains homos, en excite d’autres qui adorent abuser de leurs envies, les asservir voire les humilier.

Ah oui, détail (ou pas pour certains), je précise qu’il s’agit d’histoires vécues.

Ma première aventure, je l’ai racontée il y a quelques semaines sur ce même site.

Depuis, quelques années sont passées, je suis au début de la trentaine même si j’en fais paraît-il 4/5 de moins. Mon profil n’est pas efféminé, mais mes traits fins, mes 68 kg pour 1,78 m et le fait que je sois très très peu poilu m’aident à attirer l’attention. Je préfère aussi laisser l’initiative et accepter épisodiquement les envies provoquées me cantonnant donc à ce rôle de passif que je limite toutefois aux caresses, dessapes et fellations.

J’ai pu ainsi vivre quelques frémissements sous forme d’attouchements plus ou moins poussés, au gré de mes activités ou déplacements. Autant se l’avouer, ils ne méritent pas plus que ces quelques mots.

Des choses plus sérieuses devaient finir par arriver. Enfin je l’espérais avec envie.








Acte 1



La semaine dernière, j’avais un rendez-vous sur le chemin du retour à la maison avec un homme avec lequel j’avais échangé sur le net.

Il se présentait comme un homme de 50 ans actif habitant dans le même département que le mien, le 91 pour être précis. Il avait envie d’une rencontre plaisir furtive, le soir même car, disait-il, mon profil lui donnait envie.

J’accepte de le retrouver sur le parking d’un bois bien connu des cyclistes et coquins du coin.

De nombreux mois se sont écoulés depuis ma dernière expérience et jouer avec une bite, même dans un endroit inconfortable, me tente beaucoup.


Je peine à m’extirper des aléas de la circulation parisienne mais vers 20 h, à l’heure où le soleil décline, je m’engage doucement sur le parking.

Trois voitures seulement sont garées, assez éloignées les unes des autres. Je trouve donc assez facilement de la place sans avoir à me coller à l’une d’entre elles.

Mon contact de l’après-midi ne semble pas être l’homme dans la voiture la plus proche de la mienne car il semble bien plus âgé et dans les deux autres, les occupants ne sont plus là.

Je prends le parti d’attendre et tente de scruter les environs, les bosquets, les chemins. Il me semble discerner quelques promeneurs puis plus rien.

La curiosité me pousse à sortir de ma voiture puis à marcher quelques pas.


Je m’aperçois très vite que ça se cherche, ça drague, ça s’effleure, ça se tripote, ça s’évanouit dans le sous-bois, ça en ressort l’air satisfait ou un peu gêné d’être découvert.

J’ai aussi droit à quelques sourires ou gestes sans équivoque au passage mais j’aperçois une voiture qui entre dans le parking.

Je retourne alors vers ma voiture en passant devant le nouvel arrivant. Celui-ci me fixe et son sourire sonne comme une invitation. Ce sourire assuré, son âge et la marque de son véhicule me font penser qu’il s’agit de mon rendez-vous.

Sans plus attendre, je fais donc le tour et me glisse côté passager.


Il se tourne vers moi toujours en souriant. « Bonsoir, bonsoir, nous avons échangé quelques mails dans la journée… » puis me dit que je lui plais beaucoup. Je suis plus mesuré… mais le rassure en lui disant qu’il est conforme à sa description. Vilaine formule qui montre que je suis un peu mal à l’aise.

Les mots sont toujours difficiles à sortir dans cette situation.

Je sens quand même arriver le moment où les choses sérieuses vont commencer. Cela m’excite de plus en plus et mon sexe est maintenant bien éveillé.

Il commence à faire plus sombre sur ce parking, le lieu à l’air calme et alors que je me demande si nous allons devoir nous aussi entamer une balade bucolique, lui semble pressé. Quelques tours de molette pour incliner son siège puis tout en fourrageant dans son pantalon, il attaque franco :



Ce n’est pas très glamour et ça me glace un peu mais je l’ai quand même bien chauffé sur ce sujet.

En quelques gestes sa queue est maintenant libérée, un joli engin assez fin mais plutôt long. Ma main remplace la sienne… et j’attaque quelques va-et-vient qui font monter la température.

Avec deux doigts je décalotte cette jolie queue en prenant mon temps.



J’avais bien noté cela et c’est toujours terriblement agréable de faire de l’effet.



Pariant sur le fait qu’il avait compris que je voulais prendre aucun risque, sans attendre sa réponse, je me courbe pour me rapprocher de son bas-ventre.

Je lèche le gland, je hume, sa queue sent le propre, j’ai envie, ça m’excite.

Je le sens tendre un peu son bassin pour que j’aille plus loin, sans attendre.



J’ouvre grand ma bouche pour l’enfourner. Mmmhh, j’adore cette sensation quand un sexe pénètre ma bouche.

Je descends donc le long de sa tige en jouant avec ma langue puis je remonte en l’aspirant et en creusant les joues… le tout en l’humidifiant… Ceci s’ajoutant aux bruits légers de succion la situation devient brûlante.

Sa tête est maintenant bien en arrière, il gère son plaisir. Puis je sens qu’il déboutonne sa chemise puis la mienne malgré la position.

Quelques caresses sur mes épaules mon dos et le cochon arrive à glisser sa main sous mon pantalon.

C’est serré car je bande fort également.

Alors je dégrafe moi-même ceinture et bouton pour le laisser jouer.

Ses doigts insistent instantanément sur ma raie et mon anus.

Je sens qu’il humidifie un doigt avant de remettre sa main à l’endroit où elle se trouvait.

Il me pénètre et va-et-vient au même rythme que celui de ma bouche. L’instant est bougrement agréable. Mais… j’éprouve soudain la sensation étrange de n’être plus seulement deux dans ce scénario…

Sans lâcher sa queue. Je lève les yeux et je m’aperçois qu’un spectateur ne perd rien du spectacle.


Un homme se tient devant la glace, sa queue dans la main et s’astique assez fermement. Ses yeux me fixent, et le film que je lui joue semble lui plaire, pour le moins.

Cette découverte m’électrise et décuple mon excitation ce qui me permet de prendre conscience de ce plaisir que peut procurer l’exhibition.

Je décide donc d’en rajouter en sortant ma langue pour la passer sur toute la longueur puis de la poser langoureusement sur les couilles avant d’enfourner la queue de nouveau, sans quitter des yeux ce spectateur coquin.


J’imagine avec envie que la porte s’ouvre mais quelques freins m’en empêchent… encore.

Mon partenaire, lui, m’encourage encore et encore en lâchant quelques phrases brûlantes faciles à imaginer. Il me prévient qu’il va lâcher tout son jus, alors je le branle pour le faire venir.

Quelques jets épais plus tard, son ventre est trempé, je nous laisse quelques minutes pour reprendre nos esprits nous essuyer et nous refagoter puis je me glisse jusqu’à ma voiture sans m’attarder sur le voyeur malgré l’envie qui me titille.








Acte 2



En ce début de matinée, quelques jours après mon aventure sur un parking, j’enfourche mon vélo pour ma ballade hebdomadaire. Mon parcours me fait traverser ce même parking où le souvenir de ma soirée coquine m’émoustille un peu puis je m’enfonce dans les bois.

Au bout de quelques kilomètres, je stoppe au-dessus d’un ouvrage récent, la sortie d’un tunnel permettant au TGV de rejoindre la capitale.

Je descends de ma monture, attrape mon bidon et laisse mon esprit divaguer le temps de récupérer.

Je ne fais pas du tout attention aux autres promeneurs ou cyclistes même si le bois reste un endroit où les coquins se retrouvent à toute heure.

Donc je sursaute quand un cycliste m’accoste par un bonjour sonore dans un grand sourire.



Je lui donne une petite soixantaine d’années, il semble assez alerte, il est sympa et ses yeux rieurs commencent à m’intriguer.

Depuis que j’ai commencé à faire du vélo dans ce coin, plusieurs années, c’est la première fois que l’on m’accoste aussi directement mais je lance quand même une réponse :



Je me glace en comprenant là où il veut en venir. Mon sourire doit se figer. Serait-ce le voyeur qui me regardait en train de sucer le chauffeur l’autre jour sur le parking, le voyeur que j’ai provoqué du regard par une attitude de salope qui m’aurait reconnu. Oh mince…

Il enchaîne, très à l’aise dans l’utilisation du tutoiement.



Joignant le geste à la parole, il met en avant sa queue qui marque une bosse à travers son cuissard.

Plus de doute c’est lui… je pourrais partir. Mais non, je reste là, dans l’attente qu’il prenne l’initiative.

Le fait qu’il m’ait vu a fait monter mon excitation d’un coup.



Et il enfourche son vélo et démarre à petite allure.

Quelques secondes plus tard je fais de même pour le suivre trop excité pour résister.

Pendant les quelques minutes qui suivent j’essaye de me raisonner me disant que je suis là pour faire du vélo, que nous sommes en plein jour.

Mais je continue de le suivre quand il s’engage dans une contre-allée puis derrière un bosquet.

Ma volonté de rester sage ne résiste pas à l’envie qui me titille tout au fond.


Une fois descendu des vélos, je le vois s’adosser contre un arbre. Plus besoin de dire quoi que ce soit. Face à lui je m’agenouille attrape des deux mains à la fois son cuissard et son caleçon et tente de les baisser simultanément. Son sexe bien dur me gêne un peu mais j’arrive assez vite à mes fins.

Avec gourmandise je prends sa tige entre mes lèvres et j’entame ma première pipe forestière.

Mon vieux cochon m’encourage par quelques paroles, passe sa main dans mes cheveux pendant que je vais et vient sur sa queue.

Il a le cuissard au milieu des jambes ce qui n’est pas très sexy mais je m’active sans discontinuer tout en passant mes mains un peu partout, sur sa poitrine, ses fesses ses cuisses, entre ses jambes.

D’une main je fais rouler ses couilles et de l’autre je pars aux découvertes de son petit trou.

Je sens que je lui fais de l’effet et comme je n’ai pas envie que la situation perdure je ne le lâche pas.


Je ne sens pas arriver le premier jet qui frappe contre mon palais et qui a pour effet de me faire lâcher cette bite en train d’exploser.

Le coquin continue de se faire venir avec la main et la quantité de jus est assez impressionnante.

En quelques secondes, mon maillot est maculé ma joue mes cheveux ont également reçu du sperme sans parler de celui qui s’écoule de mes lèvres…

Me voir ainsi gêné, à genoux face à lui le fait sourire.

Je ne me vexe pas bien sûr. Mais il m’est difficile d’imaginer rentrer sans un brin de toilette préalable.

Bernard, c’est son prénom me propose de passer par chez lui.

Il habite une maison à la lisière du bois, à quelques minutes de notre bosquet et me dit qu’un brin de toilette complété par le nettoyage de mon maillot me rendra l’apparence d’un jeune homme bien sous tous rapports.

Nous nous remettons donc en selle et je l’accompagne chez lui.


Une fois arrivé nous laissons les vélos dans son garage et pénétrons dans la maisonnette.








Acte 3



Quelques ablutions et frottages de tissu plus tard, nous nous faisons face, attablés dans la salle à manger pour boire un verre. Je ne suis pas attendu avant encore une bonne heure donc rien ne presse.

Je ne m’attendais absolument pas à la tournure que les événements allaient prendre !

Quelques bruits de clés, et je comprends que quelqu’un arrive.

Un homme entre dans la pièce et immédiatement je constate que c’est un mâle avec un M majuscule.

Bernard tend les lèvres et Yves, c’est son prénom, lui claque un baiser rapide. Il se dégage de lui une assurance assez impressionnante. Il doit mesurer 185 cm pour 85/90 kg, une tête ronde posée sur un cou puissant et des membres très musclés. La voix est grave et sa tenue vestimentaire composée d’un jean et d’une chemise à manches courtes entrouverte pour laisser apparaître un torse velu, complète bien le personnage.

Je me présente, enfin je donne mon prénom, et Bernard lui dit que nous avons fait un peu de vélo ensemble.

À l’évidence ces deux-là vivent ensemble et mon partenaire me paraît soudain très fragile.

Yves me regarde alors et me lance en fronçant les sourcils :



J’avoue que dans ce contexte il m’est apparu difficile de rétablir la vérité.

Par contre je me suis senti le souffle un peu coupé quand Bernard a raconté la rencontre avec force détails depuis le petit épisode du parking sans oublier pourquoi j’avais eu besoin de passer chez lui.

Une fois l’histoire terminée, Yves s’est approché tranquillement de là où j’étais assis et sans vergogne a extirpé en quelques gestes sa queue du pantalon.

Une grosse queue déjà bien gonflée, plus longue, plus épaisse que la mienne avec un gland rouge pourpre très volumineux.


Vous l’avez compris, nos positions respectives, lui debout et moi assis, faisaient que j’avais un angle de vision. Très privilégié.

Lui avait compris que n’ayant rien dit, ni esquissé le moindre geste je lui permettais d’écrire la suite.

Celle-ci n’était pas compliquée à deviner.

D’une main il m’a fait avancer la tête vers sa queue qu’il tenait toujours de l’autre.



J’ai eu l’impression que j’allais étouffer. Sa bite m’emplissait toute la bouche alors que je n’avais englouti qu’un tiers.

Ensuite, son odeur était beaucoup plus forte que celles que j’avais pu connaître mais sans excès non plus.

Ses gestes étaient assez rudes et j’avais la sensation d’être baisé par la bouche. La situation me paraissait hallucinante. J’étais encore en train de faire une pipe et à un deuxième homme en plus.

Le pire était que ça m’excitait au plus haut point.

Quelques allers-retours plus tard, il a sorti son sexe me laissant la bouche entrouverte, humide.


Yves de sa voix grave nous a alors invités, Bernard et moi-même, à monter à l’étage.

Il nous a devancés de quelques instants qu’il a mis à profit pour enlever ses vêtements et s’allonger sur le lit, face à l’entrée, le haut du corps légèrement relevé.

Quand j’entre dans la pièce précédente Bernard, je le trouve donc sur le lit, nu sa queue bien raide toujours impressionnante.

Il a un sourire mi-satisfait mi-carnassier et il me fixe.

Au pied du lit, je ne me laisse pas déstabiliser et j’entame tout en le regardant moi aussi une dessape complète.

Hop mon maillot passe au-dessus de ma tête, je me penche pour enlever chaussures et chaussettes, me redresse, et fais glisser cuissard et caleçon.


Il écarte les cuisses ce que je prends pour une invitation et je glisse sur le lit entre ses jambes.

Il m’attire sur sa poitrine musclée et j’en profite pour poser mes lèvres sur sa poitrine puis son téton. Mais ce qu’il veut c’est me rouler une pelle sûrement pour montrer que c’est lui le mâle.

Son approche est directe et pour tout dire ne me laisse pas vraiment le choix. Je n’avais pas imaginé embrasser. Sucer oui mais embrasser non. Allez comprendre.

Pendant ce temps, je sens Bernard frôler mon corps avec le sien, me caresser les fesses qui sont il est vrai totalement exposées, puis sa bouche s’empare de ma queue…

La caresse est terrible, efficace.

En fait je prends conscience que je n’ai toujours pas joui depuis le début de la journée et des ondes de plaisir me parcourent déjà le bas-ventre.

Mes mains plantées dans la poitrine d’Yves, sa langue tournant dans ma bouche, je ne peux résister au travail de la langue qui s’active et je lâche de longs jets de sperme.


Une fois terminé je me dégage un peu pour regarder la scène et je constate que Bernard a tout bu. Yves lui est toujours en pleine forme et je prends l’initiative de descendre entre ses cuisses pour recommencer à le sucer.

Face à lui, à quatre pattes, les fesses en l’air, je remarque que sur le côté les portes de l’armoire sont constituées de glaces. Le fait de se voir est bigrement excitant.

Bernard ne reste pas inactif et me pelote les fesses, m’attrape les couilles en passant par derrière et me glisse un doigt dans l’anus après l’avoir humidifié. Autant dire que j’apprécie. Et que machinalement je me tortille. Il enchaîne en venant poser sa bouche sur mes fesses puis en pointant sa langue sur mon petit trou. La caresse est divine et il alterne avec non plus un mais deux doigts…


Tout en me travaillant je l’entends demander à son ami si il a envie de venir me baiser, lui dit que je suis prêt.

Yves lui répond qu’il va me la foutre dans le cul, qu’il y a longtemps qu’il n’a pas enculé un petit jeune BCBG hétéro, qu’il va me pistonner pour me faire gueuler…

J’ai à la fois peur de cette première fois, de cette queue dont je mesure parfaitement la grosseur et encore plus envie d’être pris. Les paroles entendues m’ont chauffé.

Bernard cède donc sa place à Yves qui se positionne à quatre pattes derrière moi. Après avoir enfilé un préservatif, je suis un peu surpris quand il me claque deux ou trois fois le postérieur avant de positionner son gland sur mon petit trou.

La première poussée étant infructueuse, il lâche un jet de salive qui atterrit dans mon sillon et du pouce il l’étale avant de le rentrer puis de le tourner. J’ai l’impression d’être sa chose et de faire l’objet d’une préparation parfaitement "huilée".

Quand il retire son pouce j’ai la sensation de rester ouvert et là, son gland force le passage.

Mon gémissement l’alerte sur la douleur et pendant quelques secondes il ne bouge plus.

Son deuxième effort lui permet de gagner encore quelques centimètres, suffisant pour entamer un lent va-et-vient sans « déculer » complètement.

Mes bras ne me portent plus et ma tête est dans les draps, seul mon cul restant en hauteur à sa merci. Je confirme qu’à cet instant, la douleur fait place à des sensations beaucoup plus agréables.

Loin d’être inactif, Yves m’attrape les cheveux pour me forcer à me relever en me tirant en arrière.



Son sexe rentre alors complètement.



Clac, clac, clac sa main me chauffe les fesses.



Clac clac.



Il tourne ma tête vers la droite pour m’obliger à regarder la scène.

L’image que je vois de moi est vraiment hot et fait monter la tension encore de plusieurs crans.

Bernard, vient alors se glisser devant moi et je n’ai pas besoin d’explication pour comprendre ce que je dois faire. Il est surexcité lui aussi.


Je ne saurai dire combien de temps s’est écoulé avant qu’Yves n’accélère la cadence et jouisse entre mes fesses dans de grands râles avant que Bernard ne fasse de même entre mes lèvres.

Je n’ai ce coup-ci pas laissé couler une goutte l’avalant totalement.


L’heure est bien avancée et je dois maintenant me dépêcher à reprendre mes esprits et faire mes adieux.

Nous nous promettons de nous revoir et je récupère leur numéro de téléphone mais ceci est (peut-être ?) une autre histoire.

Je monte sur mon vélo (ce qui me rappelle que je viens de passer un moment divin mais douloureux pour quelques endroits cachés de mon anatomie) et je file pour goûter un déjeuner dominical mérité.