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Temps de lecture estimé : 10 mn
26/03/13
Résumé:  Kris cède enfin totalement à son beau-père... !
Critères:  fh hplusag extracon cocus alliance grossexe voir cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
Le hasard fait bien les choses

Résumé de l’épisode précédant : Vous vous souvenez que j’ai surpris Kris en pleine séance de rangement du cellier il y a quelques jours, gaillardement aidée par mon beau-père ?






Le hasard fait bien les choses…

…lorsqu’on sait lui donner un petit coup de pouce ! C’est en effet ce qui s’est passé ce week-end. Je désirais créer l’occasion qui me permettrait peut-être d’en voir plus, ainsi qu’à mon épouse et son complice de finaliser une relation si bien ébauchée. Eh bien, c’est chose faite !


Nous descendons régulièrement chez mes beaux-parents qui possèdent une petite maison sur la Côte. Ce week-end, l’un des derniers avant les grands froids de l’hiver, nous nous sommes donc rendus chez eux. Accueillis chaleureusement vendredi soir, nous avons passé une agréable soirée en famille. Ma belle-mère répartit les tâches du lendemain. Elle devait aller à sa séance de fitness avec ses amies, le matin. Il fallait un volontaire pour faire le marché sur le port, ramener poissons et fruits de mer. Je m’y suis collé ! Kris écopait des corvées de vaisselle et de ménage tandis que mon beau-père était désigné pour éplucher les légumes. Immédiatement, je compris que l’opportunité était peut-être là, que la chance allait peut-être me sourire !


Restait à trouver le biais pour me retrouver en position d’observateur invisible et à souhaiter qu’il se passe quelque chose, le tout dans mon axe de vision. La maison de mes beaux-parents possède un jardin sans vis-à-vis sur lequel donne une grande véranda où nous prenons souvent le petit déjeuner. Combien de fois nous est-il arrivé, en l’absence de la famille, de profiter ainsi du soleil au travers des grandes baies vitrées, nus comme au premier jour… De grands buissons de lauriers roses longent les murs de la maison, postes d’observation idéaux si l’on a (comme moi…) l’intention d’observer la véranda discrètement. À moi de jouer pour réunir Kris et mon beau-père, seuls dans la véranda.


De bon matin, j’ai rapidement fait un saut à la boulangerie du coin, revenant les bras chargés de croissants et de pain frais. Déposant mon fardeau sur la table de la véranda, je demande à mon beau-père de préparer le café pour faire déjeuner Kris car je dois partir chercher le poisson et que je vais en avoir pour une bonne partie de la matinée. J’avale un café puis propose à ma belle-mère de l’emmener retrouver ses amies avant d’aller au port. Une demi-heure plus tard, je gare discrètement ma voiture dans une petite rue adjacente et enjambe la clôture à l’arrière du jardin. Je me glisse au centre du plus gros laurier.


Superbe ! J’ai une vue totale de la véranda où mon beau père est en train de préparer la table du petit déjeuner. Il porte un grand peignoir en éponge. Je remarque qu’il s’est coiffé et, a priori, rasé… Apparemment, il a mis tous les atouts de son côté pour paraître tout à son avantage. Encore quelques minutes de patience, je vois enfin arriver Kris. Tombée du lit, décoiffée, elle ne porte qu’un long tee-shirt qui laisse admirer ses jambes jusqu’à mi-cuisses. Elle bâille, s’étire langoureusement en levant les bras, faisant involontairement saillir sa poitrine orgueilleuse dont les pointes dressées marquent le fin tissu.



Elle disparaît de ma vue, mon beau-père prend son journal. Pour moi, c’est la pause ; je recule vers le coin du jardin et allume une cigarette. De mon emplacement, je peux tout à loisir attendre le retour de Kris : sûr que mon beau-père ne peut m’apercevoir. Enfin, Kris redescend ! Coiffée, fraîche et souriante, elle a troqué son tee-shirt contre un court peignoir de bain qui a bien du mal à masquer le galbe de ses cuisses… Sans parler du haut ! D’autant qu’elle ne semble pas faire d’efforts particuliers pour se soustraire aux regards de mon beau-père.


Je rejoins en silence mon poste de guet. J’ai vraiment une vue imprenable sur toute la véranda ! Et sur Kris, qui s’assied de profil par rapport à moi tandis que mon beau-père s’éloigne vers la cuisine pour revenir, la cafetière à la main. Il sert Kris lentement ; je surprends ses regards qui plongent dans l’échancrure du peignoir… Kris croque allègrement un croissant, boit à petite gorgées son café puis s’étire langoureusement en souriant tandis que mon beau-père débarrasse la table. Elle disparaît un instant dans la cuisine. Revenant avec un torchon à la main, elle se penche sur la table pour en essuyer les miettes. Face à elle, une nouvelle fois je vois les yeux de mon beau-père plonger dans le peignoir qui bâille largement sur les seins nus de mon amour. Kris se rend compte de sa curiosité mais ne fait rien pour se soustraire aux regards et, en souriant, dit :



Elle allonge le bras pour terminer d’essuyer la nappe, laissant son peignoir s’ouvrir encore un peu plus. Cette fois, ses seins libres apparaissent en totalité, oscillant doucement dans son mouvement, comme deux beaux fruits mûrs, lourds et fermes, prêts à être cueillis.



Il se lève rapidement, contourne la table, saisit mon épouse par derrière, la collant à lui. En riant toujours, Kris tente mollement de lui échapper. C’est plutôt une fuite vers le plaisir qu’un mouvement salvateur… De ma cachette, je peux nettement distinguer les ondulations lascives des reins de mon amour contre le bas-ventre de son agresseur. Celui-ci a relâché son étreinte pour glisser les mains sous les bras de mon épouse et élargir l’échancrure du peignoir pour libérer deux seins que ses paumes soupèsent en une lente caresse… Ses mains courent des seins au ventre, du ventre aux seins… Tandis que j’aperçois la main de mon amour qui se glisse entre leurs deux corps pour saisir, dans son dos, au travers du tissu, la tige de Mario. Aux mouvements de son bras, je ne peux que déduire qu’elle est en train de la caresser lentement, sur toute sa longueur. Le résultat ne se fait pas attendre !


D’un geste large, mon beau-père échappe à Kris, la retourne face à lui, la bascule sur la table. Penché sur elle, il pétrit ses seins, gobe un mamelon érigé. Ses lèvres courent sur la peau offerte ; des deux mains, il saisit les cuisses de Kris, ouvre largement le compas de ses jambes avant de plonger son visage sur le triangle satiné. Mon amour se tortille littéralement sous la caresse, les doigts crispés dans les cheveux de son amant qui la dévore. Je ne peux voir avec quelle vigueur Mario fouille l’intimité de mon amour mais le balancement des seins lourds, aux pointes dressées vers le ciel, me laisse aisément deviner qu’il y met toute son énergie. Le résultat ne se fait pas attendre… Kris laisse échapper un long feulement, le corps tremblant, les yeux fermés, emportée par un orgasme fabuleux.


Mario se redresse, admirant le corps abandonné qu’il couvre de lentes et douces caresses, longeant les flancs encore agités d’une houle qui s’apaise, empaumant les seins orgueilleux, il redescend jusqu’au bas du ventre pour effleurer la légère toison soigneusement taillée. Sa main disparaît entre les cuisses encore ouvertes. Le ventre de Kris commence à onduler au contact des doigts qui la fouillent. Gémissante, elle pose les mains sur ses seins qu’elle pétrit lentement, agaçant les pointes tendues par le plaisir qui monte à nouveau en elle. Le petit jeu de Mario dure quelques minutes ; je le vois nettement abandonner à plusieurs reprises le sexe offert à l’instant même où mon amour semble prête à jouir de nouveau.


Maintenant Kris se tord, avance le ventre vers les doigts de son amant, quémandant le plaisir. Mon beau-père reste impassible, puis je le vois défaire la ceinture de son peignoir dont les pans s’écartent, libérant un sexe parfaitement tendu comme une énorme corne. Des deux mains, il saisit les genoux de Kris, les relève avant de s’enfoncer d’une seule poussée dans le ventre brûlant de mon amour. Planté en elle jusqu’à la garde, il s’immobilise alors qu’un cri sourd échappe à Kris, cette fois totalement investie par la hampe de chair palpitante qui dilate ses chairs enfin comblées. Débute alors un lent ballet ponctué par les gémissements de Kris, par ses petits cris à chaque fois que l’énorme gland vient buter au fond de son ventre.


La cadence s’accélère ; Mario enserre les hanches de Kris pour la maintenir au bord de la table. Il laboure maintenant le corps offert à grands coups de reins. De ma place, je peux voir l’énorme mandrin s’échapper du ventre de mon épouse pour y replonger entièrement, presque brutalement… Spectacle ahurissant qui accentue encore mon excitation. Le corps de mon amour se tend, son ventre se soulève à la cadence de la possession comme pour réclamer encore plus de sensations, de plaisir. Enfin un orgasme fulgurant arrache un long cri à mon épouse, tétanisée par la jouissance. Mario, toujours planté en elle, calme le corps abandonné par de lentes caresses. Ses mains parcourent les flancs, les seins de mon amour qui reprend doucement conscience. Mario recule légèrement, s’arrachant du ventre de Kris. Son sexe est toujours aussi monstrueux, tendu, luisant : il n’a pas joui !



Il se rapproche d’elle, la saisit par les épaules, la faisant se retourner face à la table. Kris pose les mains sur le rebord, penchée en avant tandis que mon beau-père se colle à elle, empaumant ses seins que je vois se balancer, lourds, gonflés encore du plaisir qu’elle vient de connaître.



D’une main habile, il relève le peignoir de mon épouse sur ses reins cambrés, la saisit aux hanches, se baisse pour poser les lèvres sur les fesses offertes à ses caresses. Il écarte les globes soyeux ; sa bouche glisse. Kris pousse un petit cri lorsque sa langue vient titiller la fente impudique.



Debout maintenant, Mario passe une main entre les cuisses ouvertes de Kris. Je vois son poignet entamer un lent va-et-vient…



Les protestations de mon amour faiblissent ; pas les mouvements de la main de son agresseur. Je suis sûr qu’il a pris possession de l’intimité la plus secrète de Kris, qu’il vient de la violer d’un doigt expert ! D’ailleurs, elle se met à onduler des hanches, allant au-devant du doigt qui vrille ses reins. Mario retire la main. Je peux le voir guider sa tige énorme entre les globes qu’il maintient écartés de son autre main.



D’un seul et ample mouvement en avant, Mario s’enfonce dans les reins de Kris, lui arrachant un cri de douleur. Son ventre est collé aux fesses de sa victime… Cette fois, il est planté jusqu’à la garde. Maintenant toujours fermement les hanches de mon épouse, il se retire doucement puis entreprend de courts va-et-vient pour assouplir les muscles douloureux. Les grimaces de douleur de Kris s’apaisent, bientôt remplacées par des gémissements de bonheur tandis que je vois ses reins onduler lentement sous les doux assauts. Les deux amants s’abandonnent. Mario fouille les reins de Kris de plus en plus vite ; ses pénétrations sont désormais amplifiées par les mouvements des hanches féminines qui vont au-devant de cette possession virile. Soudain, Kris se met à hurler sans discontinuer, emportée par un nouvel orgasme. Son corps se tend comme un arc. Dans un ultime élan, Mario s’enfonce dans le corps offert. Les mains crispées sur les hanches rondes, je le vois grimacer : je comprends qu’il vient d’exploser, inondant longuement les reins de mon amour.


Toujours planté en elle, il caresse tendrement ses hanches, son dos, ses épaules, ses seins… Leurs corps s’apaisent lentement. Ils se redressent tous deux et s’unissent à nouveau dans un long baiser.



En riant, Kris referme son peignoir et disparaît, vraisemblablement pour sauter sous la douche afin d’effacer les traces de son agréable forfait avant mon retour. Quant à moi, je m’éclipse discrètement, l’esprit envahi par toutes ces images follement excitantes.