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Temps de lecture estimé : 10 mn
31/03/13
Résumé:  Mon premier amour (non concrétisé), copine de mon frère, me rend visite à l'hôpital suite à un accident.
Critères:  f fh cocus hmast fellation pénétratio fsodo
Auteur : lamenacemax47            Envoi mini-message
Une visite à l'hôpital

Vers 15 h, au mois de mai, je me réveille sur ce lit d’hôpital après un accident, suite à mon départ en catastrophe avec toutes mes affaires de chez mon ex.


Mon visage est totalement recouvert de bandages. Seuls mes lèvres et mes yeux bleus sont visibles. Je ne me souviens pas de tout mais, d’après les conversations des médecins, je devrais conserver quelques cicatrices. Ça va certainement encore se compliquer pour moi avec les nanas…


Je ne comprends d’ailleurs toujours pas comment cela a pu se terminer comme ça avec la dernière. Elle était mignonne, sportive, mais pas très maligne. Par contre, totalement folle de sexe. Au moins une fois par jour, partout et avec un esprit très créatif.

Maintenant que j’y pense, elle me manque. Bon, comme souvent, c’est surtout le sexe qui me manque. Une personne sensée a dit : « Avant de croire que tu as envie de te remettre avec ton ex, masturbe-toi. Si tu as encore envie d’elle après, c’est qu’elle te manque vraiment. ». Encore une phrase de mon frère.


En parlant de mon frère, il devait passer me voir aujourd’hui, avec sa copine. Ahhhhhh, sa copine, Sophie, mon rêve de collégien ! Une petite brune toute fine avec des taches de rousseur sur le nez et le front, des yeux vert émeraude, en amande, cerclés d’un peu de noir. Il y a quelques années, on était dans la même classe mais je ne pensais qu’au foot. Puis un jour, cours d’EPS, piscine, elle débarque avec un petit bikini bleu qui pressait très légèrement sa poitrine. Mes premiers émois. Il fait toujours un peu frais à la piscine, et sur elle ça faisait un effet du tonnerre et réchauffait mon cœur d’adolescent, et autre chose aussi. J’avais un an de moins qu’elle ; j’étais certainement en dehors de sa ligue, mais j’étais amoureux. Combien de fois elle a dû me surprendre en train de la regarder pendant les cours au lieu d’écouter les profs ?


Je n’ai jamais osé rien lui dire ; je crois même avoir laissé passer un wagon, voire un fret : un jour, en revenant des cours, nous prenions souvent le même chemin pour rentrer. Elle me parlait de ses difficultés en mathématiques, et moi je sortais de deux contrôles parfaits à 20/20, avec la pire prof possible. Et au lieu de lui proposer de l’aider à réviser, je lui ai conseillé de prendre des cours particuliers. Quel abruti ! Qui sait ce qui aurait pu se passer pendant des révisions communes ?


Combien de fois j’ai pu me branler en pensant à elle… D’ailleurs, je suis seul ; le repas n’arrivera pas avant 18 h 30 : ça ne peut pas me faire de mal. Je récupère le gel intime qui est dans mon sac, j’en mets sur ma main puis je descends pour commencer à me caresser. Aaaaaah, Sophie… Se masturber en pensant à la copine de son frère, c’est un peu dérangeant, mais je l’avais vue le premier !


J’imagine presser ses seins dans mes mains, elle m’embrasse à pleine bouche ; mon sexe glisse tranquillement dans ma main, j’ai envie de le faire durer, mais je sais qu’ils doivent passer. Donc j’accélère : ce serait bizarre de se faire choper par son frère et mon amour de jeunesse.


Toc-toc ! La porte s’ouvre sur ma droite, alors je stoppe mon mouvement et aplatis ma main et mon sexe contre mon ventre. Sophie entre. Ses cheveux noirs sont attachés en chignon, ses yeux verts magnifiquement surlignés en noir, le soleil fait ressortir ses taches de rousseur. Elle porte un petit top rose sans soutien-gorge évidemment, car sa poitrine est toujours aussi ferme, et une petite jupe blanche à volant qui laisse entrevoir un tout petit peu ses cuisses quand elle marche.



Surpris en pleine affaire, j’espère qu’elle ne va rien remarquer.



Pourvu qu’elle ne remarque rien… J’arrive à tenir une conversation, mais je n’arrive pas à décoller mon regard de ses seins fermes, et mon excitation ne diminue pas. En plus, le gel est sur la table juste à côté de moi. J’ai toujours mon bras droit sous les draps qui tient mon sexe alors que le gauche est au-dessus. Cela fait cinq bonnes minutes que mon sexe palpite ; il faut que je l’envoie me chercher un verre d’eau dehors.



Elle attrape alors la carafe qui est malheureusement à côté du gel, puis me tend le verre que je suis obligé de prendre de la main gauche. Elle a forcément remarqué que quelque chose n’allait pas : j’ai été obligé de me tordre pour attraper le verre qui était à l’opposé de mon bras gauche.



Je n’ai pas le temps de poser le verre et de rattraper le drap qu’elle voit mon sexe dur dans ma main, aplati contre mon ventre.



Elle se dirige vers la porte quand ma bouche lance ces mots étranges :



Elle est totalement surprise par cette réponse.



Sophie hésite ; elle a retiré sa main de la poignée de porte. Elle se retourne et regarde mon visage couvert de bandages. Un peu de pitié ? Elle s’approche lentement, pose ses mains sur ma tête puis descend lentement sur mes joues, dans mon cou ; sa main gauche reste sur mes pectoraux alors que sa main droite va jusqu’à mon nombril, l’effleurant puis glissant sur le côté pour reposer mon bras droit sur le lit. Elle caresse ma hanche, puis l’intérieur de mes cuisses pour enfin prendre mes bourses. Elle les malaxe un peu, et enfin, Sophie prend mon sexe.


Elle le masturbe lentement, le décalotte à chaque va-et-vient, et commence à accélérer. Je veux prolonger le moment, mais on pourrait se faire surprendre. J’ai besoin d’une stimulation visuelle.



Avec sa main gauche, elle attrape le bas de son top puis le remonte lentement sur son ventre plat et dévoile son nombril. En continuant de le remonter ; son sein gauche s’échappe, puis le sein droit. Elle laisse le top juste au-dessus de ses seins bien fermes.



Elle accélère alors le mouvement de son bras, en espérant que cela me suffise. Ses seins rebondissent en rythme avec ses mouvements. J’ai envie de lécher ses petits tétons, mais je me laisse porter, c’est trop bon. La vue est merveilleuse, mais Sophie a l’air de s’impatienter.



Mais au lieu de m’embrasser, elle descend jusqu’à mon sexe, passe le gland sur ses seins en tournant autour des tétons, puis gobe le gland dans sa bouche et commence à le téter en même temps qu’elle le masturbe frénétiquement à la base. Elle me regarde dans les yeux, et je me perds au fond de ses yeux vert émeraude ; je ne peux plus résister et je largue le tout dans sa bouche. Elle ne recule pas et commence à avaler pendant qu’un peu de sperme sort de ses lèvres et vient couler le long de mon sexe avant d’atteindre ses doigts. Elle avale cinq bons jets puis lèche ses doigts, revient ensuite nettoyer mon sexe, et le pose délicatement sur mon ventre comme une baleine échouée.


Elle se dirige ensuite doucement vers la porte pendant que mon visage retombe sur l’oreiller. Elle ouvre la porte, passe le seuil, puis la referme. Je suis encore abasourdi et terriblement excité quand la porte s’ouvre à nouveau. Je tente de relever le drap, mais il est trop tard. Heureusement, c’est Sophie ! Elle me regarde, remonte un peu sa jupe plissée sur ses hanches, et descend délicatement son string rose.



Je me lève et me dirige vers elle. Elle met ses deux mains sur la porte pour éviter que quelqu’un entre. Je m’approche et l’embrasse délicatement dans le cou, puis remonte tout doucement sa jupe blanche sur ses hanches. J’en profite pour caresser lentement son postérieur rebondi. Elle le plaque contre mon corps. Avec mon sexe, je viens glisser entre ses cuisses. C’est coulant de mouille. Je n’ai aucune difficulté à la pénétrer. Elle soupire de bonheur quand je suis en elle. J’en profite pour attraper ses seins et enfin les malaxer pendant que j’entame un doux va-et-vient. Elle enlève sa main droite de la porte pour venir se caresser son petit bouton, et me dit dans un soupir :



J’accélère alors un peu le rythme et malaxe le sein gauche pendant que je pince le téton du sein droit entre mon pouce et mon index. J’essaie de suivre le mouvement de sa main sur son clitoris avec mes coups de bassin, mais elle va tellement vite qu’elle part dans un orgasme foudroyant au bout de deux minutes de va-et-vient.



Je caresse encore un peu sa poitrine, mais elle redescend son petit top. C’était mon moment magique, quel bonheur…



Je ne comprends rien du tout à ce qu’il se passe. Elle se dirige vers le gel, prend en passant un tabouret qu’elle dépose devant la porte. Elle s’assoit alors dessus en faisant dépasser son superbe postérieur rebondi vers l’arrière. Elle m’offre son cul ! Elle prend alors le gel et en met une bonne quantité dans sa main avant de me le donner. Elle pose ensuite sa main sur sa petite rondelle pour appliquer le gel dessus et rentre un doigt, puis un second, en agrandissant tout doucement le trou.



J’ai l’impression que mon sexe a doublé de volume, tellement je suis excité. Ses fesses tendues vers moi, ses hanches si bien dessinées… Je pointe mon gland vers son petit trou et l’enfonce prudemment, mais sûrement. Avec ses mains sur la porte, elle pousse pour accompagner ma percée, et quand enfin je suis au bout, elle lâche un râle. Son visage est un peu déformé par la douleur, mais elle reste magnifique. Je pose mes deux mains sur ses hanches et commence doucement à la limer. J’approche ma bouche de sa joue et l’embrasse doucement pendant que je sors un peu de son cul, et au moment où je l’embrasse, je la pénètre d’un coup sec.



Je ne cherche plus à comprendre et je la besogne – tantôt doucement, tantôt violemment – et au moment où je vais tout lâcher dans son fondement, je lui arrache un baiser ; mon tout premier avec Sophie, mon premier amour. Elle crie dans ma bouche, me rend mon baiser avec fougue, puis me rejette et s’écarte de moi.


Elle me regarde ; je fonds encore une fois pour ses yeux verts, puis elle se jette sur moi pour m’embrasser goulûment. J’en profite pour choper son sein droit que je titille et malaxe. Elle me rejette sur le lit, se baisse pour ramasser son string qu’elle me jette au visage.


Avec son sourire charmeur, elle me dit « cadeau » et quitte la chambre, avec un peu de sperme qui coule de son cul le long de ses cuisses.


Je suis abasourdi. Mais je suis encore plus surpris quand mon frère sort de derrière le rideau. Et là, toutes les pièces du puzzle se mettent en place.



Il est tout sourire. Son fantasme s’est réalisé.



Et c’est ainsi que je ne revis plus jamais mon premier amour.