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n° 15542Fiche technique29436 caractères29436
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Temps de lecture estimé : 22 mn
01/04/13
Résumé:  Sean et Rebecca se connaissent depuis l'enfance et partagent un appartement en colocation. Leurs rapports vont peu à peu évoluer le jour où Becky surprend Sean à la regarder par le trou de la serrure.
Critères:  h fh jeunes exhib fmast fellation init
Auteur : FloreanMC  (Florean MC, auteur en herbe, ebooks sur le net ! ;))            Envoi mini-message
La colocataire Rebecca

Elle ne me voit pas. Je regarde par le trou de la serrure. Elle se déshabille. Ses seins sont petits, ils ont la forme de demi-citrons bien pleins, taches de rousseur, aréoles claires et tétons ronds rose très pâle – un peu épais, là encore comme le cul d’un agrume juste coupé. Elle a la peau si blanche !


Sa culotte tombe à ses pieds. Une touffe rousse. Elle s’allonge sur le lit, jambes écartées. Le bas de sa chatte est presque naturellement glabre. Ses seins ne s’étalent pas, ils restent drus, fermes, ils trônent, comme deux petits citrons pâles sur son buste menu.


Elle remonte le drap sur elle, comme à chaque fois. Je vois sa main s’agiter, sa poitrine se soulever, elle se masturbe lentement, des gémissements étouffés me parviennent à travers la porte. Je bande comme un fou. J’essaye de redresser mon slip d’une main en restant collé au trou de serrure mais mon coude cogne contre la porte, le bruit est clair, limpide, il annonce : « quelqu’un cogne à la porte ! »



C’est elle ! Je me redresse doucement et prie pour qu’elle ne vienne pas ouvrir. Tout est calme. Pas un bruit. Sauf les battements de mon cœur. Je compte jusqu’à dix. Lentement. Rien.

Je me penche, et me replace devant la serrure. C’est tout noir, je ne vois…

La porte s’ouvre à la volée ! Je me redresse d’un coup, l’air coupable.

Rebecca, ma coloc, est furax. Elle est enveloppée du drap, je sais qu’elle est nue dessous.



Si seulement je pouvais arrêter de bander !

J’ai le cerveau déconnecté. Je ne peux pas trouver de mensonge. Et comme un con, je dis la vérité.



Elle recule, le visage blanc de rage, la porte claque, faisant vibrer les murs.


Je reviens à ma chambre en traversant la salle commune. Ma bite me fait mal, j’ai le ventre douloureux, comme si l’on m’avait donné un coup de genou dans les roubignolles. Je fais glisser la fermeture éclair de mon pantalon, et sors mon sexe affamé, que je caresse amoureusement. Je ferme les yeux, et me branle debout, au milieu de ma chambre en repensant aux petits nichons dressés de Becky.


Ma porte s’ouvre en grand. Rebecca est là, enveloppée dans une serviette rose, qu’elle tient d’une main, juste entre ses seins. Elle pose les yeux sur ma bite, que je remets hâtivement dans mon slip.



Elle garde les yeux rivés sur mon entrejambe. Elle semble satisfaite, et sérieuse. Mais elle ne sourit pas.



J’ouvre des grands yeux étonnés et la suis machinalement.



Elle ouvre sa porte et me fais signe d’entrer.



Je hoche la tête, cœur battant. Je m’installe à côté du lit une place.

Elle se place juste devant moi, la serviette tombe, ses seins mandarines sont pleins de taches de rousseur, sa chatte est rouquine, courte et drue, je devine le clito, lové dans le creux sombre. Elle se tourne, sa taille est menue, son cul n’a pas un gramme de gras, il est ferme et pâle, constellé lui aussi de tâches rousses. Elle monte sur le lit, se cache sous le drap. Je devine que ses jambes s’écartent, et je suis le chemin de sa main qui s’y glisse, et qui tourne, en une ronde incessante, sur le sexe vierge.

Elle me fixe des yeux, qui deviennent vides par moment, lorsque le plaisir est plus fort. Je bande comme jamais, je mate, et mate encore. Ses épaules se dénudent peu-à-peu, je vois le haut de ses seins, mais pas les mamelons.

Elle chuchote d’une voix plaintive :



Elle tend sa main gauche vers mon pantalon. J’ai la tête qui tourne tellement je bande. Je réponds :



Elle gémit plaintivement et tire le drap jusqu’à son nombril, offrant son buste délicat à mon regard voyeur. Elle se masturbe plus vite. Ses seins roux se soulèvent et s’écartent au rythme de ses profondes inspirations, ses tétons ronds sont drus, tendus, gonflés de plaisir, j’ai envie de les toucher. Je me mets debout, au-dessus d’elle, et je sors mon sexe pâle, que je tiens dans ma main.


Elle le regarde en ondulant le bassin, ses deux mains sont en action, explorent sa chatte, j’ai envie d’en voir plus, le drap glisse encore, je peux voir ses poignets qui vont et viennent. J’ai honte, la bite à l’air, mais je la mate toujours.


Je ramasse sa culotte, par terre, et la porte à mon nez. L’odeur salée est forte, la culotte est sale, souillée, je sens mon gland gonfler sous le coup de l’excitation, Rebecca halète comme un petit chien, elle s’arrête, dos cambré, et gémit longuement, dans un chuchotement délicieux, tendue comme un arc.



Je me retiens d’éjaculer sur elle, je lâche ma queue – rougie par la pression de mes doigts – et la laisse battre dans le vide, au-dessus de Becky, magnifique dans son extase. Elle se relâche, remonte le drap sur elle, tourne son visage souriant vers moi et murmure :



Ses yeux descendent vers mon sexe nu, toujours tendu à l’horizontale. Elle tend sa main et le prend avec le bout de ses doigts.



Je suis étonné. Je pensais qu’elle savait ce genre de truc, quand même.



Elle a l’air curieuse.



Je suis sur le cul.



Elle hausse les épaules.



Je rougis.



Elle ne se démonte pas.



Le prochain coup ? Elle veut recommencer ? Mes couilles protestent, j’ai trop mal, il faut que je me soulage.



Elle sourit. J’ai toujours sa culotte à la main, je me caresse la bite avec, juste sous mon gland. Elle baisse le drap jusqu’au haut de sa chatte, dont je peux voir quelques poils roux. Son corps luit de transpiration, ses petits seins sont rougis par le frottement de ses bras lors de la masturbation, elle s’est griffé le nombril, je m’astique sur la culotte sale en la contemplant, en imaginant sa bouche rose se fermer sur ma pine, sa langue me sucer longuement, ses jambes fines s’écarter pour laisser le passage à ma bite en feu… Elle me regarde avec curiosité, une de ses mains passe sous le drap, qui descend encore un peu, elle serre les jambes sur l’hymen délicat que je vois presque entier…



Je viens en saccades puissantes sur la petite culotte, le sperme s’y accumule en gros bouillons gras, Becky se soulève pour mieux voir le liquide jaillir, je lui présente ma bite comme un spectacle, je viens et viens encore à une vingtaine de centimètre de son visage, de sa petite bouche en cœur et de ses nichons blancs tachetés de roux.

Les dernières gouttes coulent sur mes doigts, je me détends et souris, béat. Rebecca fait une grimace.



Je hoche la tête.



Elle cache son corps fin sous le drap.



Je comprends que le moment est passé, et que je dois la laisser. Je me rhabille, un peu honteux.



Elle acquiesce.

Je sors, mais elle me rappelle.



Je la lui rapporte. Elle la prend, et la glisse sous le drap. Elle me regarde intensément et me tend ses lèvres. Je me baisse et l’embrasse légèrement, gêné. Elle sent le muguet. Elle ne met pas la langue.



Je me redresse, lui caresse le visage et recule vers la porte. Je sors, referme derrière moi. Et regarde par le trou de la serrure. Elle regarde dans le vide, genoux remontés sous le menton. Elle frissonne. Et s’allonge, la culotte près de son nez, froissée dans sa main. Je regagne ma chambre, pensif.

Y aura-t-il seulement une prochaine fois ?




***




Becky entre dans ma chambre. Je suis en train de réviser avec Yann, un pote.



Je lève la tête de mon bouquin de maths. Yann est découragé : on n’y comprend rien, à ces foutues équations, de toutes façons.



Elle soulève presque sa petite jupe.



Je pique un fard. Yann me regarde sans comprendre. Tant mieux.



Heureusement que Yann ne pige rien !



Je raccompagne Yann, puis je rejoins la chambre de Becky. Elle ferme la porte à clé, et se tourne vers moi. J’ai envie de l’engueuler pour ce qu’elle vient de faire, mais elle déboutonne son petit haut serré et fait glisser sa jupe. Elle porte la même culotte qu’hier. Ma queue prend les commandes, je ne pense plus à rien. Elle se met de dos, soulève ses cheveux roux et demande, ingénue.



Je déglutis en approchant mes mains. Je me bats un instant avec le système de fermeture, et parviens à le lui détacher. Elle le fait glisser le long de ses bras, et se tourne à nouveau vers moi. Ses petits seins-citrons sont à croquer.



Il y a deux auréoles jaunâtres distinctes sur le tissu rose. Je déboutonne mon pantalon, mais elle m’arrête.



Elle s’assied sur le lit, ses petites mains font glisser ma braguette, elle baisse mon jean et mon slip. Ma queue bondit devant elle, dressée, impatiente. Rebecca sourit. Elle prend ma bite entre ses doigts, la caresse, la découvre.



Je hoche la tête.



Elle s’allonge sur le lit, son cul tout au bord, jambes écartées. Elle glisse sa main dans sa culotte et se presse un sein avec son autre main. Elle se cabre, se cambre, se tend, en fixant ma bite les yeux mi-clos.



Je m’agenouille entre ses jambes, à quelques centimètres de la culotte rose dont le tissu s’étire chaque fois qu’elle enfonce ses doigts dans sa chatte, et je me branle doucement, en la contemplant, en l’admirant, elle est belle. Son corps menu m’attire, je me vois le serrer, l’étreindre, le pénétrer.

Ses deux mains se rejoignent dans la culotte, elle m’enserre avec ses jambes, ondule le cul, s’arrache le clito avec les doigts, elle transpire, ses petits nichons roux luisent dans la lumière du soir. Ma queue frotte contre sa culotte, elle sort ses mains, la saisit dans sa paume, et la frotte contre son vagin, dont je perçois les contours mouillés à travers le tissu fin.



Le chuchotement cesse, elle halète et, dans un spasme, se cambre, s’arrête, presse ma pine plus fort, serre les jambes. C’en est trop, j’explose contre la culotte, le jet part en arc de cercle, puissant, vrille sa poitrine, jusque sur ses lèvres, la seconde giclée dérape de la culotte jusqu’au nombril puis des flots plus modestes et contrôlés coulent sur le tissu rose, au creux de sa chatte, elle me branle lentement, je la laisse récolter le précieux jus qui dégouline sur son pouce en gouttes grasses.


Je me penche au-dessus d’elle et lui embrasse les mamelons, les yeux rivés sur la striure de jute qui les zèbre, en me demandant si elle va se laisser faire. Elle ne réagit pas, tout à son extase. La texture de ses nichons est douce, enflée, élastique, je me régale de ses seins minuscules. Elle bouge enfin, rit, se redresse, regarde le sperme transparent qui la couvre, rit encore.



Elle passe un doigt sur ses lèvres pour ôter les quelques gouttes qui y collent, puis la langue, en grimaçant. Elle ne s’essuie pas les seins, ni le nombril pourtant. Elle glisse sous son drap, culotte et corps souillé, et me fait signe de la rejoindre.



Je m’allonge sur le dos, dans le lit une place, elle vient se mettre au creux de mon épaule, une main sur ma poitrine – j’ai gardé mon T-shirt, mais je sens ses seins pressés contre moi, j’apprécie la sensation.



Elle me fait une bise sur la joue. Je me tourne, espérant un baiser sur les lèvres.



Nous nous embrassons. Sans la langue. Sa main vient reposer sur ma queue molle. Elle demande :



Elle se redresse légèrement.



Elle fait une moue boudeuse.



Nous rions. Un silence s’installe. Elle caresse toujours ma queue sans y penser. Elle m’embrasse à nouveau.



Je hausse les épaules.



Je tourne la tête. Sa langue est là, sur mes lèvres, elle trouve la mienne, nous nous enlaçons, et nous embrassons vraiment pour la première fois.




***




Une main me tapote l’épaule. Je me réveille lentement.



Rebecca chuchote dans le noir. Je regarde le réveil. Cinq heures du mat’. Il fait encore nuit.



Je me retourne, dans le gaz.



Je baille.



Je me pousse. Le lit est aussi petit que le sien. Elle ôte sa chemise de nuit et se glisse, nue, à côté de moi.



Elle tire mon T-shirt, puis mon caleçon. Ça caille. Elle place la couette au-dessus de nous.

Sa main vient sur mon sexe, tendu, érection du matin. Elle m’embrasse.



Le sommeil me quitte peu à peu. Elle me masturbe lentement. Je lui caresse les seins en souriant dans le noir.



Mon cœur bat la chamade. Elle m’autorise à toucher sa chatte ! Je fais glisser ma main le long de son corps menu, passe le nombril, et, hésitant, place ma main sur ses poils roux. Elle écarte les cuisses en serrant ma queue plus fort. Mon majeur effleure son petit bouton, qui darde, pointu, humide.



Elle monte le bassin pour inciter mon doigt à explorer ses grandes lèvres, je plonge dans sa grotte intime, elle me guide, soupire, geint, donne des coups de reins, m’embrasse, et tire sur ma bite comme une dératée.



J’introduis deux doigts dans la chatte trempée, je lèche ses petits seins, je voudrais la sauter, ma petite vierge, mais je me retiens, encore conscient de son refus affiché la veille au soir.


Elle attrape mon poignet et me guide en elle, rythme et mouvements. Mes doigts se régalent de sa mouille et de la souplesse de son sexe, je suis en nage, elle aussi, elle me branle toujours, de manière erratique. Elle se redresse soudain, éjecte mes doigts de son intimité, m’enjambe, et place ma queue au creux de sa chatte. Elle se masturbe alors, utilisant ma bite comme un godemiché, je sens son humidité et son excitation sur mon sexe, je ne bouge plus, c’est elle qui dirige notre plaisir. Elle me frotte tout le long de sa fente à peine poilue, me presse contre son clito, les deux mains à plat sous ma bite, elle se cambre pour mieux me sentir, je presse ses seins dans mes paumes, joue avec ses mamelons, ses tétons durcissent sous la caresse, elle gémit en chuchotant, ma queue transperce ses chairs, mais elle ne me mène pas en elle, ne me fait pas la pénétrer, elle me garde au bord de sa vulve, qui dégouline le long de ma verge.



C’est comme si elle avait actionné un bouton, je sens l’excitation déborder, et je jouis entre ses doigts serrés, l’éjaculation est brève, mais abondante, elle enserre mon pénis de ses mains collantes et le presse pour en extraire tout le jus, encore une fois, en murmurant :



Elle étale le sperme sur sa chatte ouverte, dans ses poils roux, et continue de se frotter à ma queue jusqu’à ce qu’elle dégonfle complètement. Elle s’affale enfin sur moi, m’embrasse, goulûment, me mordille les lèvres en souriant.



Je suis bien, j’ai les yeux fermés, je caresse son petit cul ferme, pour la première fois.



J’étouffe un petit rire.



Elle m’embrasse. Saisit ma queue molle. La frotte contre son vagin trempé.



Je secoue la tête.



Je l’embrasse sur la bouche.



Elle se love contre moi. Ses cheveux roux me couvrent le visage. Elle ne répond pas. Nous restons ainsi, silencieux, jusqu’à ce que mon réveil sonne.

C’est l’heure de se lever…




***




Je suis en train de bouquiner dans mon lit. Rebecca entre dans ma chambre et ferme la porte sans bruit. Il est presque minuit.



Elle vient contre le lit, au-dessus de moi. Elle m’embrasse sur la bouche, sourit, et dit :



Une érection pointe. Je lutte.



Elle m’ignore complètement. Elle déboutonne déjà sa chemise de nuit, et la fait tomber au sol. Elle est nue dessous. Nue et épilée.



Elle s’est rasé la chatte. Sa fente est toute petite, serrée, tout juste écartée par le clitoris bombé dont on devine la présence entre les plis délicats. La peau est lisse, soyeuse, blanc pâle, ornée de taches de rousseur éparses, orangées. Il ne reste pas un poil roux.



Elle a les mains derrière le dos, timide, ses petits seins-citrons pointent vers moi, appellent mes caresses.



Elle sourit, coquine, soulève la couette et, comme ce matin, m’enlève mon T-shirt puis mon caleçon. Elle regarde ma bite et la prend entre ses doigts.



C’est un euphémisme. J’ai la trique, oui !



Elle me branle avec douceur, en fixant toujours ma queue.



Elle ne m’écoute pas. Elle s’agenouille sur le tapis, nue, le cul en arrière, et me lèche le gland d’un air candide, en me regardant dans les yeux.



Elle ne finit pas sa phrase, elle passe sa langue sous mon gland, qui gonfle un peu plus à chaque caresse.



Elle sourit en fronçant le nez, ses taches de rousseur sont comme des étoiles sur son visage, elle ferme les paupières et me gobe lentement. Sa langue est chaude, douce. Sa bouche est trop petite pour m’avaler entier, ses lèvres se contractent autour de la queue dressée. Elle se masturbe d’une main agile, et je la mate en réalisant peu à peu qu’elle me suce pour de bon, et qu’elle y prend du plaisir. Ses cheveux roux tombent sur son visage, mais je vois encore la bouche s’activer sur ma pine.


J’espère qu’elle n’a pas dans l’idée qu’on le fasse ensemble – je ne crois pas que je pourrais résister, même si (ouh, qu’elle suce bien !) je sais que c’est une connerie à ne pas faire.

Elle se cambre, cul en arrière, j’entends le bruit de succion de ses doigts qui entrent et sortent de sa petite chatte glabre, elle gémit en avalant ma queue jusque dans sa gorge, je sens sa langue, ses dents, son palais, elle crache de la salive le long de ma bite chaque fois qu’elle libère mon gland, avant de le reprendre en bouche et de repartir à sa conquête.


Elle se tend sur ses doigts, lâche ma queue, se redresse, à genoux sur le tapis, et se masturbe frénétiquement, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Une salive épaisse coule de ses lèvres sur ses seins-citrons, dressés, magnifiques.

Je me mets debout devant elle, ma queue juste devant sa bouche, et je me branle rapidement en la matant, le regard avide. Elle a deux doigts qui entrent et sortent de sa chatte à intervalles réguliers. Son autre main tourne sur son clitoris, en rythme, elle est belle, sauvage, bestiale, ses petits nichons luisent de transpiration, ils sont gonflés, brillants. Elle gémit, je sais qu’elle va jouir bientôt, je me détends et m’astique plus profondément, du gland aux couilles.

Elle râle soudain, et s’arc-boute sur le sol, animale.



J’explose. Le sperme lui vrille le visage, du menton aux yeux, j’approche ma queue de sa bouche et décharge sur sa langue tendue, elle me gobe, inconsciemment, la caresse de sa langue sous mon gland redouble mon plaisir, j’éjacule en jets puissants, urgents, jusque dans sa gorge. Elle pousse sur ma queue pour m’avaler plus loin, une main sur mes fesses, l’autre sur sa chatte. Le dernier spasme agite ma bite, je me détends, je souris, elle me regarde, verge entre ses lèvres, et fronce le nez en souriant, rassasiée, satisfaite. Je ne peux pas m’empêcher de soupirer bruyamment.



Elle me suce encore un instant puis laisse mon gland sortir lentement de sa bouche. Un filet de sperme s’échappe de ses lèvres et coule sur son menton. Elle crache le reste dans sa main, et l’essuie sur ma couette.



Elle avale sa salive dans une grimace, en tressaillant, elle ne semble pas sentir le trait de jute qui lui couvre le visage, ou ne pas s’en soucier. Elle ne fait rien pour le nettoyer. Elle se relève en frottant son corps contre le mien. Elle m’embrasse. Du sperme de son menton passe sur le mien.



Elle ramasse sa chemise de nuit et sort, nue, dans le couloir. Ses fesses ont la forme d’un cœur.

Je m’allonge, cœur battant. Ouais, si elle insiste pour qu’on le fasse ensemble, je suis foutu.

Le sommeil est long à venir.




***





Becky tient un rasoir à la main. Je suis debout, devant le lavabo, rempli d’eau. Elle a baissé mon pantalon et mon slip, et tient mon sexe en érection entre ses doigts. Elle me rase lentement, en souriant.



Elle me lèche le gland d’un air coquin, langue pointue, avant de reprendre le rasage intime. Je frissonne d’effroi quand elle passe la lame sur mes couilles, ôtant, avec des passages répétés, les longs poils épars qui les recouvrent. Elle se penche, j’essaye de voir son soutif sous sa chemisette trop grande. Elle s’en aperçoit et sourit.



Elle me rince à l’eau froide, et m’essuie avec une petite serviette. Je regarde mon sexe épilé d’un air dubitatif. Va falloir que je fasse gaffe à ce que mes potes ne s’en aperçoivent pas, à la piscine.



Je remets mon slip et mon pantalon sur ma queue tendue et la suit. Elle s’allonge sur son lit, jambes écartées – elle porte une jupe plissée à carreaux, et une culotte rouge dessous.



Becky se caresse à travers sa culotte. Je regarde, hypnotisé. J’ai le bide qui se tord tellement j’ai envie d’elle.



Elle se marre.



Elle déboutonne son chemisier. Un soutif rouge en soie couvre ses petits nichons roux. Elle fait glisser sa culotte le long de ses jambes. Sa petite chatte rasée m’appelle. Je m’approche, malgré moi, guidé par ma queue.


Rebecca s’assied sur le lit. Elle déboutonne mon jean, le baisse jusqu’à mes pieds en me couvrant le ventre de baisers, puis elle tire mon slip vers le bas. Les baisers se déplacent vers ma pine toute nue qu’elle finit par gober langoureusement. Elle me suce sans hâte pendant une minute, avant de me sourire.



Elle s’allonge sur le lit, en m’attirant à elle.



Elle écarte les jambes, je suis allongé sur elle, mon sexe est déjà tout contre la petite fente épilée, elle s’en saisit et le fait tourner sur sa vulve humide. C’est chaud. Et extraordinairement doux. Elle m’embrasse tendrement, ouvre les yeux, me fixe intensément.



Elle accentue la pression sur ma bite. J’ai la respiration coupée. C’est trop bon. Elle trempe mon gland dans sa mouille abondante.



Je hoche la tête, vaincu.



Elle bascule les reins, par petits à-coups, en chuchotant une litanie de « viensviensviensviens ». Elle guide ma queue dans l’antre chaud et étroit. Son vagin me happe, peu à peu, je donne des petits coups de reins, me retire, reviens, chaque fois la chatte fendue m’accueille un peu plus loin jusqu’à ce que…



Je suis en elle, perdu dans ses tréfonds, dans son humidité, je la sens partout et nulle part autour de moi, j’ai l’impression que ma queue est immense et minuscule, que je me noie dans sa chatte étroite, qu’elle m’inonde, me retient, m’assoiffe de désir et de plaisir et les assouvit.


J’ouvre les yeux. Elle pleure en souriant, je l’embrasse, elle me rend le baiser sauvagement, elle ondule le bassin, pousse sur mes fesses pour que je la pénètre plus fort, plus loin, je sens ses petits seins contre ma poitrine, les baleines du soutif rouge me vrillent la peau, je la baise et l’embrasse et la baise et l’embrasse encore.


Elle s’ouvre davantage, ses jambes m’enserrent, elle me presse en elle, je sens ma bite merveilleusement aspirée. Becky remue la tête de droite à gauche en gémissant des petits « oui… oui… oui… » chuchotés, je base le rythme de mes coups de reins, de mes coups de pine, sur ses encouragements, elle respire plus fort, s’enivre en remuant la tête plus vite, ses gémissements deviennent des râles incohérents, puis des couinements, j’accélère, elle se tend, ne respire plus, puis expire enfin en un long râle de plaisir défendu, je me love au fond d’elle et sens sa chatte se contracter longuement autour de mon sexe gonflé.

Elle ouvre les yeux et m’embrasse avec fougue.



Nos bouches se collent, sa langue leste tourne sur la mienne, je recommence à remuer en elle, ma bite colle, a du mal à repartir.



Elle me pousse, je me retire, ma queue est énorme, je bande comme jamais. L’air frais me chatouille. Elle se redresse précautionneusement.



Elle ôte sa jupe, je remarque une tache de sang dessus – et entre ses jambes aussi. J’en ai le long des couilles.



Elle rit.



Elle se passe un gant sur les zones de son corps tachées, puis le rince dans une petite bassine, et vient me nettoyer. Elle a tout prévu. Le gant est froid sur mon sexe.



J’obéis. Elle sourit, passe au-dessus de moi, et frotte sa fente minuscule sur ma pine, la tête rejetée en arrière. Je caresse ses petits nichons un sourire aux lèvres. Elle est belle.


Elle se soulève légèrement, me mène au bord de sa vulve et force la pénétration, elle pousse lentement, mais sans discontinuer, mes mains descendent sur son cul, je la caresse, et sens ma queue parcourir le chemin en elle, dure, pressée, gourmande. Elle me pose deux mains sur la poitrine, et entame de longs va-et-vient, je vois sa petite chatte s’écarter pour laisser passer ma bite luisante de mouille, je la pistonne sans hâte, elle me baise jusqu’à la garde en murmurant :



Je fixe mon regard sur la fente ouverte, sur le clitoris, tendu à craquer, qui m’évoque un abricot à peine mûr tacheté de roux dont les moitiés s’ouvrent délicatement au passage de mon sexe souple, je me perds dans la vision fugace de mon gland qui caresse les bords soyeux avant de replonger dans l’intimité si féminine de ma belle, belle Becky. Elle accélère les basculements de son bassin, elle me masse la queue dans ses profondeurs inexplorées, la litanie de plaisir reprend, chuchotée vers le ciel :



Je ne tiens plus, je malaxe ses petits seins et pousse dans son vagin, puissamment, mon gland gonfle, un éclair me vrille les couilles, le bide, et j’explose en elle, des milliers d’étoiles dans la tête, le sperme jaillit en saccades violentes, je me retiens de hurler de plaisir, elle s’affale sur moi, m’encourage, et continue de me sauter jusqu’au dernier spasme, jusqu’à la dernière goutte, elle me chevauche longuement, me fait glisser en elle du gland aux pubis, du pubis au gland, toujours plus fermement, toujours plus lentement.


Elle m’embrasse, je sens ses larmes couler sur mon visage, je les lui lèche, elle sourit dans ses pleurs, ses fesses sont douces sous mes mains, elle s’arrête de bouger et reste sur moi, me garde lové au fond de son être, au fond de sa première fois – et de la mienne.


Elle éteint la lumière sur la table de nuit d’une pichenette, sans cesser de m’embrasser.


Je ne sais pas si je pourrai dormir, ni si j’en ai envie.