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n° 15566Fiche technique24346 caractères24346
Temps de lecture estimé : 13 mn
16/04/13
Résumé:  Un malentendu dans un couple amène le mari à offrir à sa femme un trio amoureux le soir de Noël...
Critères:  fhh couple extraoffre cocus inconnu fête rasage fellation
Auteur : FloreanMC  (Auteur en herbe, quelques ebooks sur le net !)            Envoi mini-message
Réveillon

Je souris en regardant mon mari finir d’installer le sapin dans la maison.

Il est allé le chercher loin, celui-là, c’est un beau Nordman aux aiguilles vert-foncé, épaisses.

Cinq ans que nous sommes mariés, déjà, et toujours le même enthousiasme à l’arrivée de Noël.

Je sors les guirlandes – le sapin sera doré, nous l’avions fait bleu l’an passé, et rouge l’année précédente – et lui demande :



Il m’embrasse ; sa langue est coquine, et il me dit :



J’éclate de rire. Il me fait un clin d’œil. Il plaisante souvent sur le sujet.



Il me tend une guirlande.



Je ris encore, et rentre dans son jeu.



Il hausse les sourcils.



Je secoue la tête, amusée, en posant la guirlande sur le sapin.



Il me prend dans ses bras, m’embrasse brièvement, et ajoute :



Je glousse.



Il sort son iPhone.



Il continue de jouer… OK. Je déboutonne mon chemisier et lui montre mes petits seins blonds.



J’écarte bien mon soutif blanc et soulève mes deux petits lobes bien ronds. Pas très gros, mais beaux, fermes et sensibles.



Décidément, il est coquin aujourd’hui…

J’obéis ; je relève ma jupe jusqu’aux hanches sur mon string noir. Marc aime mes fesses, il aime jouer avec, et y pénétrer, parfois. Non pas que la sodomie me plaise particulièrement, mais, de temps à autre, les hommes apprécient de repousser les limites… et il y prend un tel plaisir…

Bon, moi aussi. De temps à autre.



Nouveau flash.



Il déboutonne son pantalon et en sort son sexe en érection.



Je ricane, mais m’agenouille et entreprend de le sucer de bonne grâce.



J’ouvre de grands yeux candides en regardant l’iPhone droit dans l’objectif. Sa queue est à mi-chemin dans ma bouche, mes lèvres en suivent parfaitement les contours épais et veinés.

Encore un flash, puis un second.



Je secoue la tête en souriant, amusée, et continue de le sucer. Ces petites photos m’ont bien excitée, et je compte bien le lui montrer… Le sapin attendra !



—ooOoo—




Le jeune homme dépose deux bises fraîches sur mes joues.

Ses yeux tombent dans mon décolleté serré.

C’est le soir de Noël. Marc ne m’a annoncé la venue de notre « invité » que ce matin.

Le sapin clignote dans le salon ; les lumières bleues, jaunes et rouges se succèdent d’une manière aussi erratique que les battements de mon cœur.

Je suis dans tous mes états !



—ooOoo—



Marc était arrivé, au petit déj’, un sourire aux lèvres.



J’avais souri.



Il avait l’air si heureux de sa surprise.



Clin d’œil coquin.



Je m’étais sentie pâlir. Mon cœur avait manqué plusieurs battements, c’était sûr !



Marc avait continué, sans prendre conscience de mon trouble, ou en le méprenant pour un frisson d’anticipation qu’il escomptait sans doute en m’annonçant la nouvelle.



Il avait l’air tellement content, je n’osais protester. Dire que j’avais pensé que c’était une plaisanterie, que jamais – JA-MAIS – je n’aurais cru possible… Mais comment ? Comment lui dire maintenant ?



Il m’a embrassée sur la bouche.



Je tombais des nues.



J’avais posé ma biscotte, bu mon bol de café d’un long trait en le regardant sourire et m’expliquer qu’il faudrait que je m’habille sexy, et qu’il voulait le voir avoir envie de moi avant de passer aux choses sérieuses.



—ooOoo—



À aucun moment je n’avais pu lui avouer que c’était un quiproquo ; mais, à mesure que la conversation se déroulait, je m’étais dit que si ça lui faisait tant plaisir, je pouvais lui offrir ce cadeau pour de bon. Je l’aimais assez pour ça.



—ooOoo—



J’avais donc cédé, et passé ma journée, fébrile, à me demander comment j’allais m’habiller ce soir pour faire plaisir à Marc.

Mon choix s’était porté sur une robe fourreau très moulante, rouge vif. Un string dentelle. Un soutif assorti, sans bretelles. La robe collait à mon corps fin et en parcourait avantageusement les courbes, dessinait mes petit seins qui, compressés, offraient à la vue un décolleté serré mais pigeonnant. La dentelle blanche très fine du soutien-gorge dépassait lorsque je respirais un peu fort, mais ça ne faisait que me rendre plus sexy.

Des talons hauts, mais pas trop, accentuaient la cambrure de mon dos et apportaient une lumière toute particulière sur mes fesses plutôt rebondies pour mon gabarit.

Du gloss rose-rouge sur les lèvres, un ocre profond perlé d’or sur les paupières, mes longs cheveux blonds ramenés en une tresse épaisse et dorée dans mon dos.

Des gants blancs qui me couvraient jusqu’aux coudes.

Sexy.

Divine.

Flippée de la vie.



—ooOoo—



Je me sens toute nue sous les yeux de Terence. Et Marc qui lui fait visiter la maison, salon, cuisine, chambre à coucher, comme si rien n’était plus naturel que de partager sa compagne le soir de Noël.

Les yeux du jeune homme reviennent régulièrement vers moi.

Il me détaille ; je sens que je lui plais.

J’ai chaud en m’imaginant le déshabiller ; il est grand, plus grand que Marc, brun, le regard sombre, les lèvres pleines. Et costaud, fin mais carré, musclé.

Je souris aux bons mots de mon mari.

Mais qu’est-ce que je vais faire… ?



—ooOoo—



Marc n’avait pas cessé de papillonner autour de moi. Quand j’avais pris un bain, il m’avait regardée m’épiler les jambes et le maillot. Il avait mis ses doigts au creux de moi et senti mon excitation fébrile.



J’avais cru qu’il me prendrait, là, mais non. Il s’était juste emparé du rasoir…

… m’avait enduite de savon…

… et avait rasé complètement les poils de mon chaton.

Après qu’il m’ait rincée et séchée, sans quitter des yeux mon chaton, il y avait goûté ; moi, debout dans la baignoire, les deux mains sur sa tête, les yeux fermés, heureuse qu’il me permette de relâcher un peu la tension que je ressentais depuis le petit déjeuner, et lui à genoux, le nez planté dans ma fente, la langue curieuse, gourmande, attentive et attentionnée.

Il ne m’avait pas demandé de le sucer, mais s’était masturbé lentement en me suçant de plus en plus profondément.



—ooOoo—



Je sens l’excitation revenir à ce souvenir.



Les yeux bruns me transpercent. Ma robe est si serrée, j’ai l’impression qu’il peut voir mon cœur battre à travers le tissu.



Son accent anglais est très léger.

Et ton sourire très beau.



Je file à la cuisine, consciente de la manière dont la robe dessine mes fesses. Il va forcément voir que je porte un string.

Je me retourne : les deux hommes discutent autour des gâteaux apéritifs, mais le regard de Terence est bien sur mon cul.

Mes joues chauffent de plus belle.

« Reprends-toi, Sophie ! »


Je remplis trois verres d’un vin moelleux et sucré, décorés d’une rondelle d’orange et de trois grains de raisin en brochette sur le bord ; j’essaie de chantonner pour me donner du courage.

Marc entre dans la cuisine.

Il m’embrasse sur la joue et chuchote :



Je m’entends lui répondre :



Mes mains tremblent.



Il ne m’écoute pas, tout à son fantasme.



Nouveau bisou léger ; il prend les olives et disparaît.

Je dispose les verres sur le plateau.

« Fais-lui du gringue ? Rends-le fou ? Si c’est ce qu’il veut… »

Je remonte un peu le bas de ma robe façon mini-jupe.

Je glisse un instant les doigts le long de mon chaton, en tâte l’humidité, en constate l’excitation brûlante.

Je tire sur le décolleté, de manière à ce que mon soutif se voie davantage, et que le galbe de mes seins soit plus prononcé.

Je pousse la porte de la cuisine.

Ils m’attendent.



Je tends un verre à Terence puis, sans prévenir, je me penche et l’embrasse sur la bouche.

Sa langue est douce, ses lèvres tendres.

Je me redresse lentement.



Il sourit en coin.

Je tends son verre à Marc, me penche ostensiblement de manière à ce que Terence ait vue sur ma croupe, à fleur de robe, et l’embrasse à son tour. S’il a été surpris, il n’en montre rien ; son baiser est puissant et amoureux.

Je me relève, prends mon verre et porte un toast, les joues rouges.



Je n’écoute pas vraiment la réponse.



Marc se ressert du vin.



Je me vois dans le miroir du salon.

Une petite lutine mutine, blonde, et court-vêtue

Sexy. Certainement.



Marc répond quelque chose.



Le sang gronde en battement sourds dans mes oreilles.



Je bois une nouvelle gorgée de vin doré et me penche pour lui tendre les olives

Je ne comprends pas vraiment ce qu’il dit, ça n’a pas d’importance.



Il parle sans me quitter des yeux ; son regard ne cesse de se poser sur mes seins, encore et encore.

Mes mamelons affleurent sous la dentelle très fine. Je les sens prêts à sortir au moindre souffle…

Je respire profondément ; mes petites oranges rondelettes ne demandent qu’à être admirées, caressées, touchées…

Je m’approche encore, et m’assieds tout contre lui.

Sa main se pose sur ma cuisse dénudée, naturellement. Je fais comme si je ne me rendais compte de rien.



—ooOoo—



Je suis sur le lit, jambes écartées, à califourchon sur Terence, les deux mains posées sur sa poitrine.

Nue, ou presque.

Mon chaton épilé est écartelé par son sexe massif, et ses mains caressent agréablement mes seins. Parfois, comme maintenant, je plaque mon clitoris contre son pubis : la sensation est divine.



Marc est à genoux, derrière moi. Il écarte mes fesses avec gourmandise, mais aussi une certaine douceur.



J’obéis et me cambre, curieuse et craintive.



—ooOoo—



La soirée avait été étonnamment agréable.

Terence m’avait bien vite mise à l’aise ; il me caressait les jambes, les dénudait, parcourait mes cuisses de ses doigts doux. Les baisers échangés avec les deux hommes avaient été de plus en plus profonds, de plus en plus partagés, excitants, mais naturels, presque évidents.

Marc me découvrait coquine : il aimait ça, je le voyais bien, et j’en avais joué, aidée par les nombreux apéritifs qui avaient défilé en début de soirée.

À un moment, Terence avait dit :



Je m’étais agenouillée devant lui, avais ouvert sa braguette et avais répondu, d’un air mutin :



Le sexe de Terence était épais et long dans ma main. J’avais posé mon nez dessus, en avait respiré l’odeur épicée, musquée, masculine. Passé la langue sur son gland rose foncé, coquine, dévergondée. J’avais regardé Marc, lui avais envoyé un baiser et annoncé :



Le bout turgescent avait pénétré ma bouche complètement.



—ooOoo—



J’avais appris une chose, durant ces premières minutes : plus un sexe est gros, plus il est difficile à sucer correctement.



—ooOoo—



Marc m’avait laissée seule avec Terence un long moment, se contentant d’observer, passif, la fellation impossible que j’essayais de prodiguer. J’avais manqué de m’étouffer en voulant gober complètement la pine tendue ; un flot de salive grasse m’avait empli la bouche chaque fois que je parvenais à dépasser ma luette. Mes haut-le-cœur successifs avaient fait sourire mon amant d’un soir, qui m’encourageait, les deux mains sur ma chevelure dorée, exerçant une pression urgente pour que j’aille plus loin.

J’avais fini par le branler sur ma langue, une façon pour moi de reprendre mon souffle, et pour lui de retenir son plaisir pour la suite de la soirée.


C’est alors que Marc était entré en jeu. Il avait relevé ma robe fourreau au-dessus de mes fesses, avait écarté mon string et, sans un mot, m’avait pénétrée d’un coup devant notre invité que je suçais toujours avec application.

J’étais si mouillée ! Il avait glissé en moi si facilement ; je l’avais à peine senti : je n’étais que plaisir pur et alcoolisé, je n’avais même pas eu honte une seconde de me faire baiser devant un inconnu.

Au contraire.

Je n’avais eu qu’une envie : jouir au plus vite, prolonger les émotions inattendues apportées par ce réveillon très surprenant.


Marc avait alors baissé le devant de ma robe fourreau et dégrafé mon soutif d’une pichenette pour offrir la vue mes petits seins nus à notre hôte. Je n’eus bientôt plus conscience de la queue qui roulait sous ma langue, ni même de celle qui fourrageait mon chaton. J’avais fermé les yeux et simplement accueilli la lame de plaisir qui me transperçait alors de part en part.



—ooOoo—



Les deux hommes avaient bientôt échangé leur position ; je m’étais placée à califourchon sur Terence et avais découvert la sensation d’un sexe massif dans mon petit chaton fragile. Pendant qu’il m’avait baisée, j’avais sucé Marc goulûment, à demi-nue dans la lumière crue de l’halogène.



—ooOoo—



C’est moi qui avais demandé à ce que nous continuions dans la chambre.

Pour temporiser un peu, d’une part, et pour éviter de tacher le canapé, d’autre part.

Je les avais guidés en les tenant chacun par la bite et en les branlant tout du long.

Je m’étais allongée sur le lit, les jambes écartées. Terence s’était placé au-dessus de moi, avait trempé sa queue dans mon chaton ruisselant et ouvert, mais je l’avais repoussé.



C’était bien le cas.

Il n’avait pas seulement un long sexe, mais aussi une longue langue, agile, et avait manifestement quelque expérience de l’anatomie féminine.

Pendant que Marc m’embrassait sur la bouche en me caressant les seins, j’avais joui ; une première fois, ce soir.

Puis, pendant que Terence m’enfonçait sa queue dans la gorge, Marc l’avait remplacé entre mes cuisses. Ses doigts et sa langue en action avaient su me faire partir une seconde fois.



—ooOoo—



Epuisée, en sueur, des papillons dans le ventre et dans le corps, je leur avais alors donné quartier libre.




—ooOoo—




Je me plaque contre Terence. Sa queue écartèle le tissu soyeux de mon chaton ; je n’ai jamais englouti si gros, et je n’ai connu quasiment que Marc, qui a un sexe bien plus modeste.

Nos bouches se trouvent, nos langues se mêlent, ses mains glissent jusqu’à mes fesses et les écartent.

Mon mari enduit alors mon petit trou coquin de vaseline et me prend bientôt par derrière, lentement, mais chaque fois un peu plus loin. Je relève la tête, les yeux fermés ; je cesse de respirer en sentant le gland se faire happer par ma pastille souple, déclenchant des éclairs de plaisir mêlés d’une douleur diffuse, mais supportable.



La queue de Marc creuse son sillon, pénètre plus avant ; je le sens se tendre en moi, forcer un peu. Les deux hommes sont lovés au creux de mes chairs distendues ; l’euphorie prend le pas sur la douleur, le désir sur la morale. Je me relâche et en demande plus, plus fort, plus vite, plus loin.



Les deux hommes alternent leur cadence, se calent. L’un va, l’autre vient ; l’un entre, l’autre sort ; l’un me baise, l’autre me sodomise. Les deux gémissent, râlent et soufflent. Je pars, pour la troisième fois, dans un orgasme non maîtrisé, primal. Mes cris de délice font plier mes amants : Terence se cabre soudain et déverse en moi sa semence brûlante, ses spasmes. Marc ne tarde pas à l’imiter : il sort sa queue de mon petit trou rougi et jouit sur mes fesses tendues. Je m’arc-boute pour accueillir le sperme de mon homme, qui s’accumule en gouttes grasses dans le creux de mon dos et coule bientôt le long de mes hanches.


Il s’affale sur moi. Je suis bien pressée entre mes deux amants ; la queue de Terence toujours en moi, celle de Marc au creux de mes fesses, je me laisse porter par la torpeur du moment, par les « merci » et les baisers qu’ils me prodiguent.



—ooOoo—




Nous sommes au lit ; il est tard. Terence est reparti. Nous nous sommes promis de le revoir bientôt.

La soirée a continué autour de quelques verres, dans une ambiance très détendue et plutôt dénudée.

Il nous a parlé davantage des films qu’il tourne ; j’ai mis un moment à comprendre de quoi il retournait vraiment.

Marc voudrait que j’y participe, pour voir, par curiosité.

Je n’ai pas dit non, mais je me laisse le temps de la réflexion : je ne suis plus toute jeune, bien que Terence m’ait assuré que j’aurais toute ma place parmi les filles plus jeunes qu’il voit défiler.



Marc m’embrasse. Je tiens son sexe entre mes doigts, sous la couverture. Je suis encore toute mouillée, même si je suis épuisée.



Je souris.



Il a un petit rire rentré.



Une idée se forme.

Je lui en parle avant de réfléchir vraiment.



Il me regarde, l’air intéressé.



Je souris encore et me serre contre lui sans un mot de plus.

Il durcit entre mes doigts.

Le sommeil attendra.