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n° 15572Fiche technique14508 caractères14508
Temps de lecture estimé : 9 mn
19/04/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  Le besoin...
Critères:  h fh jeunes cocus inconnu collègues sales travail exhib lingerie odeurs pied fellation cunnilingu fist
Auteur : AlainC  (aux plaisirs des femmes)
Ma femme et le puceau

Je l’avais espéré, elle me l’a fait. « Mais de quoi il parle ? » me direz-vous. Eh bien, je vais vous le raconter.


Lors de nos galipettes, j’ai souvent soumis à Claire, ma compagne, le souhait qu’elle couche avec un autre partenaire que moi. Mais pas n’importe lequel. J’aurais de préférence aimé que ce soit avec un puceau. Et comme fait exprès, depuis quelques semaines, un jeune stagiaire avait été alloué à Claire pour qu’elle le forme.


J’ai pu constater par moi-même, lors de mes visites au bureau de Claire, qu’il était parfait. Le garçon idéal pour réaliser mon fantasme. Réservé, doux comme un agneau, mais aussi mignon, pour ne rien gâcher. Mais à présent le plus dur restait à faire. Le séduire. Et pour ça, je comptais bien sur les talents de Claire.


Après quelques cuisants échecs, le jeunot semblait avoir, ces derniers jours – aux dires de ma compagne – succombé à ses charmes. Et ce soir, à son retour du boulot, je lus par son rayonnement que ma femme avait conclu, et j’étais impatient qu’elle se confesse.


Devant une coupe de champagne, confortablement assise sur le divan, lumière tamisée, elle se lança :


Comme je te l’avais dit la semaine dernière, je sentais qu’il allait se passer quelque chose entre nous. Je pense que ma façon très spéciale de m’habiller ces derniers temps n’a fait qu’accroître son désir et donc franchir le pas.


L’aimable attention que je témoignais au garçon me culpabilisait. Les regards de celui-ci, même anodins, me troublaient. J’étais alors, ce matin, debout courbée en avant en train de recharger la photocopieuse en papier, exhibant intentionnellement ma chatte à travers une petite culotte transparente blanche, spécialement achetée pour l’occasion, sous ma jupe courte. J’avais un peu honte, je ne savais pourquoi, d’imaginer qu’en ce moment son sexe se dressait dans son slip. Je prenais toutefois un plaisir pervers à troubler plus encore mon jeune collègue. Il devait en prendre plein les yeux.


C’est alors que – sans crier gare – il me prit fermement dans ses bras, avec cette audace folle que manifestent parfois les timides, m’entraînant sur le bureau. Amusée, je me laissai guider. J’avais semé le vent, je récoltais la tempête.


D’une voix rauque, il avoua qu’il me désirait depuis longtemps. Qu’il pensait souvent à moi, le soir, avant de s’endormir. Qu’il avait envie de moi depuis le premier jour, me confia-t-il. Qu’il n’en pouvait plus de me voir, surtout cette semaine, avec mes tenues sexy. Mon émotion était telle que je me rendis compte que je mouillais ma culotte.


Le reste se passa si vite que je ne trouvai pas les mots pour réagir. J’étais coincée en compagnie du jeune homme qui commençait à me peloter avec maladresse. Mon trouble augmentait de minute en minute. Je pris même peur, comme une gamine au cours de son premier flirt. Il haletait en me regardant. Puis je sentis les mains moites du jeune homme se faufiler sous ma robe. Des frissons parcouraient mes reins. Il me palpa gauchement la motte à travers mon fin sous-vêtement. Je me sentais de plus en plus défaillir. Heureusement que nous étions seuls, en cette heure de repas. Mais ses gestes, même maladroits, m’excitaient au plus haut point. J’aimais la bestialité avec laquelle il me pétrissait le clitoris. Il se laissa tomber à mes genoux, passa la tête sous ma robe. La respiration précipitée du jeune homme faisait un bruit de forge. Je sentais le souffle chaud de sa bouche sur ma chatte, malgré le barrage de ma petite culotte.


Il s’acharna contre ma dentelle. J’avais le souffle coupé. Je gigotais mollement ; la folie du garçon annihilait ma volonté, alanguissant mes gestes. Il devait sentir que je cédais à sa démence. Si tant est que je lui résiste. La cambrure de mes reins et le relâchement de mes fesses étaient autant de signes qui lui donnaient de l’audace. Il écarta l’empiècement trempé de ma culotte. Je me sentais désarmée et ne pouvais nier le désir qui montait en moi. Sa langue froissa la gousse de chair molle qui saillait au milieu des poils. Je l’entendais renifler bruyamment, flairant mes odeurs intimes. Dans un accès de pudeur, je passai ma main sur le haut de son crâne et tentai de le repousser, sans insister – crois-moi mon chéri – tant j’aimais ce qui se déroulait dans le bureau. Heureusement pour moi, campé sur ses genoux, il était trop fort ; il résista.


Mes cuisses s’ouvraient largement, libérant une coulée de mouille. Des sanglots nerveux secouaient ma poitrine. Je m’arc-boutais aux montants du bureau pour ne pas basculer. Je ne fis rien pour retenir ma culotte qui glissait le long de mes jambes. Étourdie, je soulevai même les pieds pour lui faciliter la tâche. Le visage du jeune homme se plaqua de nouveau contre ma chatte. J’entendais mes soupirs. Je me déhanchais, frottais mon con contre ses lèvres. Dans mon vagin qui ruisselait, la langue s’activait, faisant un bruit qui résonnait dans la pièce. Je poussai un cri étouffé quand l’orgasme me submergea.


Je pris alors l’initiative de lui faire prendre ma place sur le bureau. Je m’agenouillai à ses pieds. Avec des gestes d’infirmière, j’abaissai son pantalon. Mes mains chaudes remontèrent entre les cuisses du garçon et lui emprisonnèrent les couilles. Je gobai instantanément son sexe. Mes lèvres glissaient sur sa verge qui sentait très fort. Je l’aspirais, salivais, m’escrimais pour lui faire du bien. La bouche grande ouverte, comme s’il étouffait, les yeux fixés au plafond, le jeune homme dégustait ma caresse buccale. Je pompais en creusant mes joues déformées par l’épais gland, en faisant rouler les testicules lourds entre mes doigts.


Je fus envahie d’un immense bonheur en entendant le garçon japper comme un chiot au moment où le sperme émergea de sa verge. Il avait fallu que je mette ma langue en opposition, pour parer la violence de son éjaculation. Le jeune, insatiable, me donna de violents coups de reins, enfonçant sa bite au fond de ma bouche. Je crus m’étrangler. Mon rouge à lèvres se perdait sur la hampe toujours généreuse malgré sa jouissance. N’étant plus apte à contrôler sa débordante excitation, il me redressa avec force et m’assit sur le plateau du bureau. J’en perdis mes escarpins. Il bandait ferme, malgré sa précédente éjaculation. Il m’agrippa par les pieds pour m’attirer contre lui. Ma vulve buta contre le gland qui me tamponna. Sa verge s’enfila carrément dans mon vagin, m’arrachant un cri de douleur. Le gland épais me distendait.


Le corps secoué d’un long tressaillement, il s’était immobilisé. Seuls ses doigts s’agitaient au creux du sillon velu de mes fesses qu’il maintenait écartelées. Il lissa les fronces de mon anus. Haletante, je fermai les yeux. Mon bassin en suspens, je tremblai de la tête aux pieds. Au bout d’un moment, je soulevai les paupières et lui fis signe que tout allait bien. Dans mon fourreau brûlant, des spasmes comprimaient la verge qui s’était remise en mouvement. Les couilles poisseuses du garçon claquaient mon périnée. Alors, sans plus se soucier de mes gémissements plaintifs, il se déchaîna, faisait aller et venir son sexe dans mon puits d’amour. Je ne pus que m’agripper aux rebords du bureau pour ne pas chuter. Sa verge me défonçait à m’en donner le vertige. En transe, le stagiaire se mit à m’insulter comme pour se donner une conduite. Je prenais un plaisir intense à me faire humilier par ce garçon d’ordinaire sage.


  • — Montre-moi tes nichons, salope ! me lança-t-il.

Je m’exécutai, retirant mon chemisier, et mes seins jaillirent, les bouts dressés.


  • — Masse-les-toi, souffla-t-il en pilonnant ma chatte.

De ma main droite, je malaxais un sein tandis que de l’autre je pressais mon clitoris. Je voulais qu’il crache sa sauce chaude dans ma chatte. Une preuve pour moi de te prouver mon coït avec le stagiaire. Sa queue infatigable me fouillait la vulve. Une épaisse bave engluait l’entrée de mon vagin. Je n’en pouvais plus ; je me suis mise moi aussi à délirer.


  • — Baise-moi… Oui, je t’en prie… baise-moi ! lui criai-je.

Tout mon bas-ventre se mit à bouger au rythme de la queue qui me fourrageait.


  • — Je me doutais bien que tu aimais ça, me lança-t-il.
  • — Oui, j’aime ça ! lui répondais-je, à demi inconsciente, tant ce qu’il me faisait me mettait dans tous mes états.

J’avais perdu toute dignité. Il était en sueur et ahanait. Alors que je ne l’attendais plus, je sentis une crème brûlante fouetter les parois de mes entrailles. Il déchargeait en poussant des cris sourds. Je me laissai aller à gémir pendant son orgasme.




Elle se saisit de la bouteille de champagne et s’en versa une nouvelle coupe.



Mon érection faisait une putain de bosse à mon pantalon, à m’en faire mal. Je me suis agenouillé au pied du divan, là même où était confortablement assise Claire, la coupe de champagne à ses lèvres. Comme elle portait une jupe, je n’ai eu grand-chose à faire pour voir apparaître sa culotte transparente. J’ai cru défaillir rien qu’en soulevant le tissu de la robe… Elle était plaquée à son mont de Vénus, dessinant avec une précision implacable le renflement du bas-ventre ainsi que le creux au milieu de celui-ci.


J’avais moi aussi une fascination absolue pour son sous-vêtement. J’ai enfoui ma tête sous sa robe. Le tissu de la lingerie était saturé de ses odeurs. Je compris à cet instant pourquoi le stagiaire avait disjoncté.


Je n’ai pu résister à l’envie de la lui retirer, la faisant descendre le long de ses jambes jusqu’à ses escarpins noirs. Je l’ai portée à mes narines sous les yeux moqueurs de Claire. Je n’avais jamais encore senti quelque chose d’aussi fort. Elle se pencha pour poser sa coupe sur la table basse, son regard sur moi, sondant ma réaction. D’un geste sensuel, elle retroussa sa jupe au-dessus de sa taille, exhibant son con.


Lâchant la culotte, je rampai jusqu’à elle. La vulve parut s’épanouir, prendre vie. Le clitoris se déplia doucement. Je contemplai longtemps sans la toucher, puis me penchai et l’ouvris complètement, fouillant dans les replis jusqu’à trouver l’entrée collée du vagin. Je ne pouvais pas croire que ce même jour un sexe d’homme s’était enfoncé là, avait dégorgé son foutre épais. J’essayais d’imaginer les chairs qui s’étaient écartées sous l’intrusion du pénis du jeune stagiaire. Mais c’était impossible. J’aurais voulu des marques, mais il n’y en avait pas.



Elle reprit sa coupe de champagne.

Sans répondre, je posai mes mains sur l’intérieur de ses cuisses, les écartant au maximum. Des lèvres et de ma langue, je fouillai son fruit juteux, tel un explorateur du plaisir à la recherche des pétales nacrés et pas moins parfumés. Je lapai le mélange de sécrétions et sperme qui s’écoulait. Un épais ruban de ce cocktail pendait sous mon menton.


Je glissai mes deux mains sous ses fesses pour mieux attirer vers ma bouche le plat de roi que j’étais en train de déguster. Bientôt, le manège conjugué de ma langue et de mes lèvres eut raison. Elle se tortillait sur mon visage. Des sursauts secouèrent son bassin et elle jouit. L’orgasme lui arracha des cris étranglés. Une tempête de plaisir l’envahit, l’emportant, avant de la laisser retomber.


Ma verge était plaquée contre mon ventre, toute chaude et surtout très lourde. Je la dégageai, la fis glisser hors de ma braguette. Je n’avais pas l’intention de la baiser tout de suite ; je désirais me branler d’abord en la tripotant.


Je baignais dans ses odeurs. J’entendais sa respiration saccadée au-dessus de moi. Elle cuvait son orgasme. Son souffle chaud me tombait sur la nuque. M’allongeant à moitié, je me mis à me branler à même le sol. À lents coups de cul. En même temps, j’enfonçais les doigts de ma main droite à l’intérieur de son con. J’y collai trois doigts à la fois. Comme elle s’écartait de plus en plus, j’y allai carrément : tous les doigts plus le pouce. Je les enfonçais de plus en plus loin. J’appuyai bien au fond tout en la branlant du gras du pouce avec l’autre main, en faisant tourner son bout de chair, en le retroussant.


Mon visage se trouvait à vingt centimètres de son cul. Je n’en perdais pas une miette. J’étais tout près d’éjaculer. Ma bite me brûlait, me faisait presque mal tant je bandais. Je voyais son ventre qui se creusait. Elle ahanait tout en avançant son cul en rythme pour bien venir à la rencontre de ma main qui s’engouffrait aux trois quarts à l’intérieur de son con.



Elle agita son bassin, voulant manger ma main qui était presque entière dans son con. Je raclais l’intérieur du con avec le bout des doigts.



Je ne pus résister et giclai sur le sol, souillant le carrelage. Hébété, je continuais mécaniquement à la pilonner, la main fermée dans sa vulve luisante. Alors elle se raidit, trembla ; de sa gorge monta un cri plaintif, un gémissement animal, qui alla crescendo. Des soubresauts irrépressibles collaient son bassin à ma main. Elle n’en finissait pas de jouir. Puis elle retomba, exténuée.


Elle l’avait bien mérité !