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n° 15587Fiche technique22210 caractères22210
Temps de lecture estimé : 12 mn
04/05/13
Résumé:  La mère de Thomas, gynécologue chevronnée, lui offre un job d'été dans son cabinet. Chaque samedi Thomas devra "préparer" et "détendre" les patientes inquiètes de leurs examens médicaux avant qu'elles ne se fassent ausculter.
Critères:  h fh jeunes cadeau noculotte
Auteur : FloreanMC  (Auteur en herbe)            Envoi mini-message

Série : Le préparateur

Chapitre 01 / 04
Le préparateur - 1

Prologue : Un job d’été



Il fut une époque où un père qui voulait déniaiser son fils l’emmenait fréquenter une prostituée. Quand ma mère décida que j’étais en âge d’être déniaisé, elle me fit un cadeau d’anniversaire très spécial : elle m’engagea comme préparateur pour ses patientes, le samedi matin, pendant tout un mois.

Autant vous dire que je n’avais aucune idée de ce qu’elle avait en tête. Qu’est-ce qu’une gynécologue chevronnée comme ma mère pouvait donc attendre de moi ? Toujours est-il que ces quatre semaines à la fois terribles et merveilleuses resteront gravées dans ma mémoire à tout jamais.


Le cabinet de ma mère compte deux salles d’auscultation. Les patientes de ce matin ont accepté de rencontrer leur préparateur une demi-heure avant leur rendez-vous effectif. Les deux salles communiquent directement, les patientes n’ont qu’à passer de l’une à l’autre sans revenir à la salle d’attente.


Ma mère m’a briefé, après le petit-déjeuner, pendant qu’elle s’habillait ; elle porte des tailleurs stricts, moulants, et ses cheveux longs sont toujours attachés en un chignon serré, piqué de douze épingles. Avec le recul, je pense que je dois évoquer sa douceur naturelle, sa compréhension de mes besoins et, bien sûr, sa silhouette svelte et sa poitrine arrogante, tout en courbes bien marquées, pour peut-être invoquer une possible explication à ce cadeau particulier. Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que ma mère, divorcée jeune, qui va sur la seconde moitié de la quarantaine, n’est pas aigrie sexuellement et qu’elle est encore très active de ce côté-là, si j’en crois la fréquence à laquelle elle amène des partenaires – rarement les mêmes et souvent jeunes – à la maison le week-end.



Trois feuillets étaient sur le bord de son lit défait, sur lequel traînaient ses sous-vêtements de la nuit, roulés en boule.



Elle ne m’a donné aucun autre détail sur ce job d’été ; autant vous dire que j’étais dans le noir le plus total en ouvrant la porte de la salle d’attente.




Patiente 1 : Sonia



C’est l’heure du premier rendez-vous. Il n’y a qu’une personne dans la salle d’attente.



La jeune femme, cheveux ondulés, fine, a environ 25 ans. Elle est nerveuse mais elle me suit.



Les mots de ma mère me poursuivent :



La jeune femme me regarde.



Je hausse les sourcils.



Elle sourit, timide.



J’arrête de respirer. Je ne sais rien du tout. La voix de ma mère résonne dans ma tête :



Elle ouvre les bras pour que je la déshabille plus facilement.



J’obéis. Je déboutonne sa robe, un bouton après l’autre. Elle me fixe en souriant, gênée. Elle porte un soutien-gorge léger, blanc cassé, qui ne dissimule pas beaucoup ses petits seins. Des grains de beauté constellent sa peau pâle. Je pose sa petite robe sur le portique.



J’ai le cœur qui bat à tout rompre, mais je fais glisser la culotte de coton le long de ses jambes blanches et lisses. Je détourne le regard, n’ose pas poser mes yeux sur sa nudité. Sur son sexe nu.



Elle s’assied sur la table de soins et place ses pieds sur les étriers.



Elle a un petit sourire timide mais elle respire trop rapidement, comme si elle avait le trac. Son sexe s’offre à ma vue : une fente légère, rosée, bordée d’un duvet de poils châtains.



Je suis perdu. Je jette un œil à la fiche de la patiente. Une seule phrase :



J’ai parlé tout haut, incrédule. La demoiselle écarte davantage ses jambes fines.



Je me place devant elle, osant à peine la regarder.



Le choc est total. Je comprends ce que ma mère attend de moi. Je dois « détendre » sa patiente. Pour son examen génital.



Elle sourit silencieusement et écarte simplement les cuisses un peu plus. Je m’agenouille. Son minou est devant mes yeux, fente entrebâillée. Elle soupire et frémit. Je déglutis, hypnotisé par les poils ras du premier sexe de femme que je vois d’aussi près. Je prends conscience de la peau ferme des grandes lèvres, du clitoris bourgeonnant, de l’effet que cette vision inattendue a sur mon ventre, sur ma queue, tendue à craquer dans mon pantalon serré. Les mains de mademoiselle Sonia se posent délicatement dans mes cheveux et m’attirent à elle.


Je n’ai plus le choix. Mon nez se love au creux de sa moiteur féminine, puis ma langue ; la saveur suave, salée, m’enivre. Sonia s’ouvre ; mes papilles se gorgent de son jus intime, mes lèvres pressent le clitoris qui darde parfois, ma langue s’enfonce dans ses chairs roses, mon nez caresse ses poils courts et drus.



Mes bras s’enroulent autour de ses jambes douces ; Sonia a rejeté la tête en arrière. Ses gémissements se mêlent à mes halètements, puis mes mains montent vers ses seins qu’elle offre à mes caresses en écartant son soutien-gorge. Deux petites pommes glacées et pointues roulent sous mes paumes ; je la suce de plus belle, avec une énergie redoublée.

La voix de ma mère me fait sursauter.



Je me relève d’un bond, le cœur au bord des lèvres. Elle nous a vus ! Elle va remarquer mon érection !



Elle ne me regarde pas et sourit à mademoiselle Sonia.



Sonia hoche la tête.



Ma mère sourit ; Sonia ramasse ses affaires et se laisse guider dans le cabinet attenant. Avant de disparaître, elle se tourne vers moi et me fait un clin d’œil.



Ma mère la laisse passer et me gratifie d’un sourire cajoleur.



La porte se referme. Je recommence à respirer, mais je tremble de partout. L’horloge sonne la demie. C’est l’heure. Mon visage est imprégné du parfum intime de Sonia. J’essaie de me calmer.




Patiente 2 : Stéphanie



J’attrape la fiche papier. Dans la salle d’attente, une fille pas plus vieille que moi attend avec son copain, un beau mec grand et fin. Ils se tiennent par la main.



Elle a une petite voix flûtée. Elle se lève et me suit, seule.

Elle est petite, brune ; de longs cheveux fins, un nez en trompette, de grands yeux noisette. Elle porte un jean et un haut vert près du corps. Ses seins ont l’air ronds et jolis, mais pas très gros ; mais ça ne fait rien pour calmer mon érection résiduelle.



Je jette un œil à sa fiche préparée par ma mère :



Elle ôte son pantalon et son haut, puis s’assied sur la table et place ses pieds sur les étriers. Ses seins nagent dans un soutif en dentelle blanche délicate. Sa culotte assortie est légèrement échancrée. Elle est très mince, presque maigre. Et très jolie.



Sa respiration est haute et saccadée. Sa voix très aigüe. Elle est inquiète.



Elle sourit, l’air craintif.



Elle écarte les cuisses et rejette la tête en arrière, fixant du regard un point sur le plafond. Sa culotte épouse la forme de son entrejambe, et dessine clairement son petit… sa petite chatte, quoi. Dans mon excitation, des choses salaces me viennent à l’esprit. Je transpire. Il faut que je me calme.

Ma main court sur son ventre, sur ses jambes, puis remonte vers son sexe que j’effleure à travers la dentelle fine. Je trace la forme de ses lèvres intimes, en parcours la fente étroite de bas en haut à travers le tissu léger. Stéphanie respire plus vite, les yeux toujours ouverts. Mes attentions deviennent plus précises ; mon érection revient, plus puissante que jamais. Mon majeur se perd dans les plis du sexe moite, qui trempe peu à peu la culotte. Elle ferme les yeux.



Elle se détend, ouvre les cuisses, sans un bruit. Je sens soudain son clitoris réagir sous le tissu blanc auréolé de cyprine.



« Si j’osais… »



D’un geste hésitant, elle écarte les bonnets de son soutien-gorge : elle a deux petits seins blancs au sommet desquels trônent des mamelons roses et pointus, qu’elle se met à caresser lentement.

Le rythme de mes doigts accélère un peu, mais je reste doux et prévenant alors que je voudrais pouvoir me toucher, me branler, tirer cette culotte trop sage et… et quoi ?



Stéphanie et moi sursautons. Ma mère !

Je retire ma main comme si la culotte trempée venait de me brûler, et la jeune fille rajuste son soutif en rougissant légèrement. J’ai mal aux couilles. Mon érection frustrée me tord le ventre en deux. « Pourquoi ai-je mis un pantalon aussi serré ? »

Ma mère sourit. Sa blouse de docteur est ouverte, elle transpire légèrement. Je me rends compte de la chaleur qui règne ici, avec le soleil qui entre peu à peu par la baie vitrée.



Stéphanie descend de la table en rougissant de plus belle.



Elle me serre la main.



Je souris, penaud, et la regarde disparaître dans le cabinet. Ma mère me lance un regard doux et amusé.



J’acquiesce. Elle ferme la porte en silence.

Je glisse la main dans mon pantalon et me caresse lentement. Ça me soulage intensément ; des éclairs me vrillent toujours le ventre, je me mords la lèvre de frustration. Juste une minute.




Patiente 3 : Élisabeth



Je serre les dents, rajuste mon tee-shirt et respire un grand coup avant d’ouvrir la porte de la salle d’attente, trop conscient de mon excitation intense.



Une femme seule, de l’âge de ma mère, se lève et entre dans la salle de préparation. Le garçon qui était avec Stéphanie est toujours là. Je referme la porte et me tourne vers la patiente.

Elle est plutôt belle, brune et élancée, des cheveux bouclés mi-longs qui tombent en cascade sur ses épaules, des yeux brun intense… Ses seins ont l’air plus gros que ceux de mes deux patientes précédentes, mais ils sont cachés sous un chemisier lâche. Elle porte une jupe longue qui ne dissimule pas ses larges hanches.

Elle a un sourire en coin. Elle me touche le menton d’une main.



Ses yeux parcourent mon corps et s’arrêtent sur la bosse qui déforme mon pantalon.



Les images m’assaillent sans que je les invoque, sans que je les commande. « Ouvrir ses cuisses. Écarter sa culotte. Plonger mon visage entre ses seins. La sauter. » Des spasmes agitent ma bite. Je serre les dents pour ne pas me venir dessus lorsqu’elle laisse glisser sa jupe et sa culotte sur le sol. À demi nue, elle s’installe sans hâte et place ses pieds sur les étriers, révélant un sexe soigneusement épilé, aux lèvres béantes et déjà humides.

Je jette un œil à la fiche :



Ma gorge est serrée quand je demande :



Elle rit. Ses seins se soulèvent en rythme sous son chemisier. M’hypnotisent. Je voudrais les voir ! Elle me fixe, amusée. Comment n’ai-je pas remarqué ses taches de rousseur ? Ses dents, comme des perles ? Ses lèvres fines et sensuelles ?



Elle plaque la main sur son sexe et se masturbe lentement en ne me quittant pas du regard. Ses yeux parcourent mon corps. S’arrêtent sur mon pantalon. Ses doigts se focalisent sur son clitoris, dans une valse à trois temps, lent-rapide-rapide, lent-rapide-rapide…



Elle pointe le menton vers mon pantalon. J’ai le vertige quand j’ouvre ma braguette. Elle se touche de plus en plus vite.



Le vertige s’intensifie. Je ne sais plus où je suis ; ma vision est emplie de ses mains qui entrent et sortent de son vagin. Ma queue est tendue devant moi, et Élisabeth semble la trouver à sa convenance. Je veux tellement me branler en la détaillant de haut en bas ! Mais j’esquisse à peine un mouvement vers mon bâton dru avant qu’Élisabeth ne m’arrête d’un geste.



Je fais un pas, la queue tendue à craquer ; je vais me jouir dessus, j’ai le ventre tordu à en mourir…



Je suis dans le cercle des étriers, à trente centimètres de sa chatte ouverte ; je n’en manque aucun détail : la douce texture, la molle moiteur… Vingt centimètres. Je sens l’air que déplacent ses mains en tournant et tournant encore sur son sexe trempé…



Je m’arrête net. Elle me sourit, halète ; je n’ai qu’un coup de reins à donner pour la prendre, pour me déniaiser vraiment. Je suis paralysé. Je n’ai même pas le droit de me toucher, ma queue me fait mal…



Elle se tend sous ses doigts, les muscles pétrifiés, le visage crispé ; ses yeux sont implorants et souriants à la fois.



Elle chuchote et se tend, tremblante ; mais sa voix a l’effet d’un hurlement sur mon ventre. Ma queue bat dans l’air ; je voudrais qu’elle m’attrape, qu’elle me branle, qu’elle me termine…



Elle jouit en saccades, ses yeux plantés dans les miens, souriants, un peu vides. J’ai envie de l’embrasser ; je me penche, je sais qu’elle va me laisser faire, nos lèvres se touchent presque…

Par miracle, cette fois j’entends la porte s’ouvrir, je ne suis pas pris par surprise. Ma mère a fini avec la jeune Stéphanie ! Je me redresse d’un bond, je recule et remonte mon pantalon dans la foulée. Je me retourne, ferme ma braguette et suis rhabillé avant qu’elle n’ait le temps de passer la porte. Mon cœur tambourine dans ma poitrine, je me sens chaud et rouge de honte.

Je l’ai échappé belle !



Élisabeth se relève, légèrement tremblante, et ramasse ses vêtements sans se donner la peine de les remettre. Elle a des fesses bien pleines, des hanches larges. J’agonise de la regarder !



Ma mère me fait un clin d’œil complice et étouffe un petit rire. Son front est légèrement humide, elle est en sueur ; il doit faire très chaud dans son cabinet. Sous la blouse entrouverte, le chemisier blanc lui colle à la peau et dessine ses formes tout en rondeurs généreuses.



Élisabeth me caresse la joue.



Ma mère se dirige vers son cabinet.



Elle ne nous regarde plus. Élisabeth s’approche et me touche l’entrejambe d’une manière appuyée et tendre. Sa main est comme un choc électrique sur mon sexe ravagé d’excitation. Elle se penche vers moi et chuchote :



Son parfum m’enivre. Ses mots m’excitent au-delà du supportable. Elle me glisse sa culotte dans la main, ses lèvres effleurent juste les miennes, elle sourit et disparaît. Je la suis du regard jusqu’à ce qu’elle referme derrière elle, ne manquant rien de son cul bien plein et équilibré qui roule avec grâce à chacun de ses pas.

Je déglutis.


Je ne peux plus attendre. J’ouvre ma braguette. Attrape ma queue sans ménagement. Porte la culotte à mon nez. L’odeur épicée de son sexe mélangée aux effluves de son parfum me frappe les sens. Je revois les lèvres de son sexe nu, ouvertes, roses, les doigts qui entrent et sortent du vagin tendre. Son orgasme implorant, presque dans mes bras, sa bouche attendant la mienne. La torture de sa présence que je ne pouvais toucher.


J’explose dès les premières caresses. Les spasmes de plaisir sont délicieux et douloureux à la fois. Le sperme vole librement sur le carrelage blanc de la pièce.


Je reste longuement le nez dans la culotte après avoir joui. Queue à la main. Meurtrie. Repue.


Je nettoie le sol rapidement, la tête dans les étoiles, débraillé mais soulagé.


Quand je reprends mes sens, ma mère est là, dans la pièce ; elle m’observe d’un air bienfaisant. Elle est en nage, dans la lumière du soleil qui inonde maintenant la petite pièce. Elle me sourit, vient m’embrasser sur la joue et me parle doucement.



Je hoche la tête, en espérant ne pas paraître trop impatient et enthousiaste.

Elle sourit encore.



Avant de quitter la pièce, elle me glisse :



Je sens la dentelle fine de la culotte toujours lovée entre mes doigts.

Non. Ça ne me dérange pas.




(à suivre)