n° 15594 | Fiche technique | 39471 caractères | 39471Temps de lecture estimé : 24 mn | 08/05/13 |
Résumé: Tout a commencé le jour où mon agent a organisé la première entrevue avec Mme Duvalle et m'a donné les détails. Elle a vu mon visage bien sûr, mais elle était intriguée par ma taille et mon corps... | ||||
Critères: fh ffh travail fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Eric Babanda (Grand, beau, ébène, qui veut partager ses aventures) |
Je suis très heureux de mon premier contrat de mannequin. J’ai fait beaucoup de shooting pour des œuvres de charité, et je suis allé à plusieurs castings qui n’ont pas abouti, mais là c’est mon premier tournage rémunéré. La plupart des modèles masculins doivent soit avoir un visage ciselé, soit un physique de taureau. En ce qui me concerne, j’avais depuis longtemps fait un constat douloureux : avec mon corps, il est difficile d’avoir un emploi payé. Je suis grand et maigre. Je fais deux mètres cinq et peu importe combien j’ai travaillé à soulever des poids jour et nuit, mes bras et mes jambes ont un look maigre pour les donneurs d’ordres.
Mais cela pourrait être mon atout aussi. Au moins, c’est ce que mon agent me disait sans cesse : « Vous avez juste besoin de trouver les clients qui ont besoin d’hommes vraiment grands, sans être musclés ». Oui, mais qui sont-ils ? J’ai été jugé trop grand pour la mode : les vêtements en général ne me vont pas très bien, et lorsqu’il s’agit de défiler je parais dégingandé et maladroit avec mes grandes foulées. Pour la publicité télévisée, je suis trop grand car je rentre difficilement dans le cadre avec les autres figurants, qui sont en général minuscules. J’ai été contraint à des travaux minimes. Cela signifie habituellement la publicité pour des marques inconnues de vêtements dans les journaux et les dépliants. Parfois, c’est pour les catalogues de vente par correspondance. Mais même là, j’ai buté sur un autre problème : trouver des vêtements qui me correspondent. Souvent, les fabricants ne font pas de vêtements à ma taille.
Mais j’ai finalement trouvé un emploi rémunéré qui semblait parfait pour moi. Le client est une photographe qui prépare une exposition. Sa spécialité est le corps humain. Elle était déjà bien connue pour une série de photos en noir et blanc montrant un enchevêtrement de corps humains. C’était incroyable parce qu’elle avait réussi à photographier des groupes de vingt à trente corps nus emmêlés tous ensemble sans montrer un seul visage. Son exposition avait reçu des critiques élogieuses et elle était très réussie.
Mon agent a organisé la première entrevue avec Mme Duvalle et m’a donné les détails. Mme Duvalle m’avait choisi dans le catalogue de mon agence. Elle a vu mon visage bien sûr, mais elle était intriguée par ma taille et mon corps. Elle a dit à mon agent que je ressemblais à un athlète de saut en hauteur ou à un joueur de basket. Personnellement, j’ai toujours pensé que je ressemblais plus à un nageur, mais c’était mon avis personnel, car je nage régulièrement pour rester en forme.
Mon entrevue s’est bien déroulée. Mme Duvalle n’avait pas encore décidé de ce qu’elle voulait faire avec moi. Elle a dit qu’elle attendait une première séance avant de décider. Comme nous avons parlé longuement et qu’elle a appris à me connaître, elle a commencé à avoir quelques idées. Elle a pensé qu’il fallait exploiter toute la longueur de mon corps. Elle a pensé me prendre en photo avec une corde ou une vigne. Elle a pensé aussi à Atlas qui aurait le monde sur les épaules et les bras tendus vers le haut pour l’équilibrer. Elle a jonglé avec l’idée de me mettre dans des vêtements d’affaires et de me voir couper du bois de chauffage ou faire un autre travail manuel.
En somme, elle était heureuse de son choix et elle m’a demandé de revenir dans son studio une semaine plus tard. Elle voulait que j’apporte des vêtements décontractés et un costume avec cravate. Elle voulait aussi que j’apporte des maillots de bain et tout genre de petits appareils que je pouvais trouver. Ce qui fait que j’ai rempli ma voiture avec toutes sortes d’outils du garage de mon père.
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Mme Duvalle est une femme bizarre. Elle est probablement dans la trentaine mais elle était habillée en bohémienne mal fagotée, genre ménagère des années cinquante, avec beaucoup de laine sombre et de foulards incolores. Elle avait choisi délibérément des vêtements qui aplatissaient sa poitrine. Elle m’a semblé presque cacher ses seins (que j’ai découverts plus tard, et qui étaient complets, pleins d’entrain et de féminité).
Ses cheveux étaient à plat et lisses, colorés dans un de ces faux tons roux qui n’existent pas dans la nature. Ils étaient tellement plats sur sa tête que j’ai pensé qu’elle ne les lavait jamais (mais j’ai su plus tard qu’elle les traitait de manière particulière pour qu’ils paraissent mous et sans vitalité). Elle portait des lunettes de lecture sur le bout de son nez, avec un cordon qui les maintenait autour de son cou s’ils tombaient. C’était parmi les petits objets qu’elle affectionnait beaucoup.
Un autre était un long fume-cigarette à l’ancienne qu’elle gardait toujours avec elle, avec la moitié d’une cigarette éteinte au bout. Elle le maintenait toujours entre ses dents serrées ou au-dessus de son oreille. C’était une sorte de sucette pour elle et elle avait tellement mâché son bout qu’il est devenu marqué et déformé. Mais je ne l’ai pas vu fumer, et elle ne sentait pas le tabac. Comme je l’ai dit, c’était une autre affectation exotique.
Mme Duvalle avait un visage aquilin. Quand elle me regardait droit dans les yeux, je sentais comme si elle allait fondre sur moi et m’arracher à la terre avec ses griffes acérées. Mais ce n’est que quand elle me regardait droit dans les yeux. De profil, elle était droite et austère, ce qui gâchait le look bohème qu’elle essayait si dur de cultiver. Sa peau était son meilleur atout : elle était pâle mais impeccable, d’une rare pureté. Si seulement elle avait fixé ses cheveux, abandonné ses lunettes et son fume-cigarette et mis des vêtements flatteurs ; elle aurait été tout à fait magnifique.
Je me suis présenté pour notre première séance. Elle a aussitôt décidé de me faire porter un de mes maillots de bain. Comme je nage beaucoup, j’en avais plusieurs. Mon préféré était un long boxer noir Adidas. Il était lisse et serré autour de mes cuisses, ce qui me permettait de glisser dans l’eau plus rapidement. Mais elle a voulu voir plus de peau ; j’ai mis alors un shorty bleu Speedo qui avait la coupe plus traditionnelle. Elle m’a dit qu’elle n’aimait pas la couleur ; mais comme elle allait prendre des clichés en noir et blanc, cela devait faire l’affaire.
Dans son atelier, il y avait un grand globe. Il faisait au moins deux mètres de diamètre, et même s’il était en papier mâché, il pesait environ trente kilos. Elle m’a disposé en tenant le globe sur mon épaule et en l’équilibrant avec mon bras tendu de l’autre côté. Elle m’a demandé de me mettre debout avec une jambe en face de l’autre, et avec les deux genoux légèrement pliés comme si je fléchissais pour le tenir. En vérité, j’étais complètement tendu car après une dizaine de minutes, mes bras me brûlaient énormément.
Elle a marché autour de moi pour me voir de tous les côtés. Elle a rangé mes cheveux et elle a repositionné mes mains. Elle voulait ma main droite pour couvrir l’Afrique d’une certaine façon. Comme si elle faisait une déclaration politique, je ne savais pas. Peut-être que cela n’avait aucun sens.
Elle a regardé à travers son appareil photo puis elle a dit :
« Mon zizi ? » Je ne pouvais pas croire cette célèbre photographe de Paris avec une sensibilité de bohême appeler mon pénis « zizi ». J’ai presque laissé tomber le monde de mon épaule. Mais ce n’était pas tout, car elle s’est arrêtée derrière moi et a plongé la main dans mon Speedo.
Elle a repositionné mon pénis en le soulevant de sa position repliée. Elle l’a rangé en avant dans mon maillot de bain, pointant ni trop haut ni trop bas. Ensuite, elle est revenue devant moi et, satisfaite, a pris quelques clichés.
Elle a apporté un flacon pulvérisateur et m’a embué pour donner une illusion de transpiration. Puis elle m’a pincé encore une fois le pénis, de l’extérieur de mon maillot de bain cette fois.
Elle a fait tout cela d’une manière froide, professionnelle. Je n’ai pas eu l’impression qu’elle y mêlait le moindre sentiment. Sa main s’est attardée sur ma bite quelques secondes, et comme j’étais campé je voyais la chose gonfler sous mon maillot de bain et devenir obscène. Mais elle semblait aimer ça et elle a pris d’autres photos.
Je dois dire ici qu’elle ne m’attirait pas du tout. Mais elle était mon seul réel client, et je n’ai pas pensé protester parce qu’elle m’a touché. Honnêtement, je ne savais pas si cela faisait partie du contrat ou si elle avait franchi une ligne. Je savais par contre que si j’étais une fille et elle un homme, je n’aurais pas toléré son comportement. Mais je suis un mec et je n’étais pas sur le point de m’indigner d’une femme qui veut mettre ses mains sur mon corps.
Pour ses séquences suivantes, elle a tiré mon maillot de bain vers le bas. Mon pénis est resté couvert, mais elle voulait montrer mes poils pubiens. Elle a mis sa main de nouveau dans mon maillot de bain et a tassé mon matériel, bien raide maintenant, juste en dessous de la ceinture abaissée de mon Speedo. Derrière, elle a groupé mon Speedo entre mes fesses, puis elle a pris plusieurs clichés sous tous les angles.
J’étais fatigué de tenir le monde sur mes épaules et je lui ai demandé combien de temps il nous fallait encore pour cette série de photos. Elle a dit qu’elle avait deux autres à faire. Pour la première, elle a baissé mon Speedo à tel point qu’il ne couvrait plus que la fin de mon pénis. Je n’étais pas trop à l’aise avec cela. Je ne m’attendais pas à poser nu, mais à l’arrière de ma tête, je m’imaginais essayer de dire à mon agent que j’ai abandonné mon premier travail parce qu’on m’a photographié le pénis.
Elle a voulu mon pénis long et descendant tout droit. Elle s’est penchée face à moi et a abaissé mon Speedo alors que je continuais à lutter avec le monde. Elle a tiré sur le tissu et l’a repositionné plusieurs fois. Puis elle a sorti ma bite avec sa main et l’a caressée avec un long et lent étirement. Ensuite elle l’a rentré dans le Speedo qu’elle a abaissé pour à peine cacher la fin de mon pénis. Elle m’a embué rapidement avec le pulvérisateur et a ensuite pris plusieurs clichés, en changeant plusieurs fois de pellicule. Apparemment, elle était dans la photographie ancienne école. Ma bite était grassouillette, mais je n’ai pas eu une érection. C’était exactement la façon dont elle me voulait.
Pour la dernière série, elle a tiré mon Speedo complètement et l’a glissé en bas, puis elle m’a aidé à l’enlever. Elle a pris divers plans, et après chacun elle caressait mon pénis avec vigueur et prenait plus de photos. Elle a pris quelques clichés par-derrière et j’ai senti sa main arriver par-derrière entre mes jambes.
« Ma saucisse ? » Peu importe. Je l’ai fait et elle a pris plus de photos. Elle s’est mise sur son dos et a dirigé son objectif vers le haut entre mes jambes écartées. Mais avant de prendre les clichés, elle a tendu la main et m’a caressé du bout des doigts jusqu’à atteindre une érection maximale.
Je l’ai fait et j’ai entendu une série rapide de clics. Sans être flatté, je me suis demandé sur quelle partie du globe ma bite était pointée.
Puis, sans un mot, elle a laissé tomber son appareil photo et s’est affaissée sur son cul. Son visage était à quelques centimètres de mon pénis en érection. Elle a mis son fume-cigarette sur son oreille et ses lunettes sur sa tête, puis elle a pris mon pénis dans ses mains.
Je l’ai fait et elle a pris mon pénis dans sa bouche et a commencé à me sucer d’une manière ravissante. Je n’avais jamais soupçonné qu’elle voulait me baiser. Elle voulait que je me déverse dans sa bouche et elle le voulait tout de suite. Je souffrais encore de tenir le monde entier quand l’une de ses mains a glissé pour me caresser les couilles.
Quand j’ai senti mon orgasme venir, j’ai essayé de faire vite mais j’étais fatigué et j’ai eu du mal à décharger mon jus. Mais quand je me suis senti au bout de mes forces et que j’ai cru que mon orgasme – qui était en équilibre sur le bord pendant un certain temps – n’allait pas venir, j’ai soudain éclaté dans la bouche de Mme Duvalle en plusieurs jets puissants. Elle a continué à me sucer jusqu’à ce que j’aie fléchi les genoux et sa langue m’a fait mal car elle rôdait sur le bout de mon pénis à la recherche de plus de sperme.
Mes jambes et mes bras étaient en feu et j’ai dû l’interrompre.
Elle a remis son porte-cigarette dans sa bouche. Elle s’est éloignée et j’ai posé maladroitement le globe sur le plancher. Ensuite, je me suis effondré sur le sol. Mon corps était si faible que je suis resté longtemps sur place, haletant et transpirant.
Mais Mme Duvalle était à peine chauffée. Elle a ôté sa longue jupe en laine étouffante. En dessous, elle portait un string lavande auquel, honnêtement, je ne m’attendais pas. Ses jambes et ses fesses étaient superbes. Elle a déboutonné son gilet de laine qui lui serrait le torse. Quand elle l’a fait, sa poitrine a semblé se gonfler. En dessous, elle portait une longue blouse blanche en coton avec manches longues et col plié. En fait, elle ressemblait à une chemise d’homme, et elle avait une poche sur la poitrine droite. Elle a déboutonné sa chemise, en commençant par les poignets. Quand elle l’a complètement défaite, j’ai vu qu’elle portait en dessous une camisole lavande en lin soyeux.
Elle a laissé tomber la chemise extralarge sur le plancher et j’ai réalisé qu’elle avait des seins savoureux. Le contraste était incroyable. Après avoir perdu son cocon de vêtements incolores, la chemise d’homme surdimensionnée, elle est devenue très féminine. Ses seins étaient tendus contre le tissu de sa camisole et ses mamelons se levaient fièrement sous la soie. Les fines bretelles spaghetti de son haut tombaient sur ses épaules, mais ses seins sous la camisole se tenaient fermement en place.
J’ai été sublimé en la regardant se déshabiller. Mes bras et mes jambes demandèrent encore plus d’oxygène lorsque Mme Duvalle est venue se mettre debout sur moi. Elle a chevauché mon abdomen et tiré sa camisole par-dessus sa tête. Comme le tissu soyeux partait, ses seins se sont soulevés avec lui et quand ils se sont libérés, ils sont retombés avec un rebond délectable. Pendant un bref instant, j’ai pu regarder ses seins et ses mamelons alors que son visage était encore couvert de sa camisole. Ses aréoles étaient légèrement oblongues et ses mamelons étaient serrés et dressés. Leur couleur légèrement plus sombre contrastait sensuellement avec la clarté de sa peau.
Partout, sa peau était tout simplement superbe. Partout où je pouvais voir, elle n’avait pas une tache de rousseur ou un grain de beauté ou une cicatrice. Elle avait une texture lisse et satinée. Elle a terminé en levant sa camisole sans déloger son fume-cigarette, ni les lunettes perchées sur sa tête. J’ai regardé, fasciné, comment elle a levé ses bras au-dessus de sa tête et a attaché ses cheveux en queue de cheval. Ce mouvement gracieux a soulevé ses seins et les a délicieusement secoués. Elle a remis ses lunettes sur le bout de son nez et son fume-cigarette dans sa bouche.
Mme Duvalle a glissé plus haut sur ma poitrine jusqu’à ce que son string lavande soit sur mon visage. Sa chatte était à deux ou trois centimètres de ma bouche quand elle a détaché l’agrafe à sa gauche, laissant un bout de la culotte chuter sur ma joue. Elle a dégrafé le côté droit et le tissu de lavande fine est tombé sur mon visage et mes yeux. Sans rien voir, j’ai senti sa chatte appuyer sur ma peau. J’ai ouvert la bouche et j’ai senti les contours de sa chatte sur mes lèvres, séparés seulement par la pure soie lavande.
J’ai serré le tissu et ses nymphes entre mes lèvres et j’ai senti l’humidité qui suintait de sa cave. Elle s’est levée de deux centimètres et elle a tenu le string par les deux bouts dans ses mains, en avant et en arrière. La légère étoffe s’était tassée contre sa chatte. Elle l’a fait coulisser, en tirant d’un côté et de l’autre, lentement et doucement entre ses jambes. Ses yeux étaient fermés et son visage était haut perché lorsque j’ai regardé vers le haut, par-dessus sa fente partiellement submergée par la soie lavande. Ses seins montaient et descendaient avec le rythme de sa respiration. Ses lèvres étaient légèrement entrouvertes, ce qui fait que son fume-cigarette penchait légèrement vers le bas.
Elle a poussé la soie mouillée de son string dans ma bouche et je l’ai prise avec appétit. Il était imbibé de son humidité et cela m’a excité. Après, elle l’a attaché autour de mon visage comme une sorte de bandeau sur les yeux et j’ai senti sa douce humidité sur mes paupières. Enfin, elle s’est posée sur ma langue qui n’en pouvait plus d’attendre. C’était délicieux et j’ai exploré ses plis aussi profondément et aussi complètement que je le pouvais, en cherchant ses endroits les plus intimes. Au même moment, je passais mes mains errantes sur la peau somptueuse de ses jambes, ses fesses et son cul.
Mme Duvalle a apprécié ma langue et mon visage comme si je n’étais pas là. Elle a utilisé mon visage comme un vibreur, travaillant avec une telle frénésie qu’elle écrasait sans cesse son clitoris contre mon nez, mes lèvres et ma langue d’une manière frénétique et incontrôlée. Elle a ralenti et cessé de bouger quand son orgasme s’est emparé de ses reins et l’a saisi avec une intensité qu’elle m’a ensuite transférée. Ainsi, elle m’a tenu immobile alors que son jus coulait sur mon visage comme une éjaculation. Puis elle s’est penchée sur moi et j’ai pu sentir son pouls à travers ma langue et mes lèvres restées tendues à son contact.
Je n’avais jamais connu un si puissant orgasme chez une femme, encore moins dans cette position. Elle a savouré sa jouissance jusqu’au dernier spasme. Lorsque j’ai senti qu’elle avait finalement récupéré, j’ai levé les mains jusqu’à ses seins en forme de coupes. Quand j’ai pincé ses mamelons entre l’index et le majeur de chaque main, elle a sursauté et elle s’est redressée légèrement sur ses jambes. En retombant, elle a écarté ses jambes sur mes épaules, et sa délicieuse chatte s’est ouverte sur mes lèvres.
Elle s’est balancée lentement d’avant en arrière en poussant son clitoris contre ma langue, alors que je pinçais et étirais délicatement ses mamelons sensibles. Ainsi, elle a pu profiter de son deuxième orgasme, lentement et délibérément. Lorsque ses lunettes ont glissé sur son visage, je les ai vues miroiter au bout du cordon qui les tenait autour de son cou. Puis je les ai senties se balancer d’avant en arrière en tapant sur mes mains qui taquinaient ses mamelons. Le rythme de ses lunettes sur mes mains m’a quelque part rendu à la conscience et j’ai pu me rendre compte que mon entrejambe était de nouveau dur.
Elle s’est levée en laissant son string sur mes yeux. J’ai entendu ses pas à côté puis j’ai entendu les cliquetis rapides de son appareil photo. Puis elle s’est assise près de mes pieds, entre mes jambes écartées, et j’ai entendu encore quelques clics.
À ce moment, elle a pris mon pénis en érection entre les creux de ses pieds. Elle l’a caressé lentement de haut en bas. Même la peau de ses pieds était douce et délicieuse. Elle a pris de nombreuses photos de ses pieds et de ses orteils massant mon pénis, en me demandant de temps en temps de changer la position de mes bras ou de tourner la tête.
Je ne pouvais pas le croire, mais elle m’a branlé jusqu’au bout avec ses pieds. Les clics rapides et continus de l’appareil photo, et ses pieds qui glissaient doucement et fermement sur ma queue, tout cela m’a amené à un délicieux orgasme. Elle était étonnamment habile. Elle avait dû s’entraîner patiemment pour être en mesure de soulever et d’abaisser ses deux pieds aussi facilement et avec une telle douceur. Mon foutre a enduit ses pieds et ses orteils et comme j’ai levé la tête et ôté le bandeau, je l’ai vue lécher mon liquide sur ses pieds. C’était une de ces femmes qui pouvaient mettre sa cheville derrière son cou si elle voulait.
Après avoir pris chacun un café très fort que nous avons bu nus autour de son bar, elle m’a parlé de ses idées pour la prochaine session. Elle n’était pas là pour parler de sexe ou d’amour. Pour elle, nous venions de terminer une séance photo qui a été longue et difficile et nous devions planifier la prochaine, ce n’était pas plus compliqué que cela. Pas de baisers, de petits attouchements ni de signes d’affection de la part Mme Duvalle.
Après le café, elle m’a expédié gentiment dehors, et depuis j’ai attendu la prochaine session avec l’empressement d’un écolier. Quand mon agent m’a demandé le lendemain comment ça s’était passé, je lui ai parlé de la pose et – car il était vain de le cacher – je lui ai dit que Mme Duvalle a pris quelques clichés de nu. Elle m’a demandé :
J’ai pensé alors que mon agent voudrait certainement avoir quelques photos pour les mettre dans mon portefeuille. Lacey, mon agent, était une femme de quarante ans qui avait été top model dans sa jeunesse. Elle était superbe, même si elle ne s’était jamais mariée. J’ai toujours pensé qu’elle était lesbienne, mais j’ai instantanément détecté une petite modulation dans sa voix, avec un léger regard sur son visage qui m’a fait penser qu’elle avait hâte de voir mes photos nu, et qu’elle désirait les voir pour autre chose que des raisons professionnelles.
J’ai eu un léger bourdonnement quand j’ai pensé à tous les modèles feuilletant le livre d’agence et voyant mes photos de nu. Le bureau de l’agence était toujours plein de belles filles, soit qui allaient à des séances de shooting ou qui en revenaient, soit des nouveaux modèles qui venaient parfaire leur tenue ou leur marche avec les formateurs de l’agence. Une des activités favorites de tous les modèles était de feuilleter le livre de l’agence, en regardant toutes les photos de tous les modèles. Soudain, la timidité que j’éprouvais généralement face à ces filles m’a semblé ridicule, et j’ai pensé que j’allais pouvoir la dépasser facilement. Mais j’ai peut-être sauté rapidement aux conclusions. Fallait-il encore que Mme Duvalle donnât à l’agence une de mes photos, ce qui n’était pas garanti.
Lacey m’a demandé combien d’heures devaient être facturées à Mme Duvalle, mais je lui ai retourné la question :
Je savais que ma réponse n’était pas convaincante. La règle générale est que la facturation commence à la minute où un modèle franchit la porte et se termine à la minute où le modèle sort. Pour Lacey, c’était une simple question de calcul des heures et des minutes. Mais je m’en fichais. Je ne voulais pas facturer à Mme Duvalle le temps que j’avais passé avec mon visage entre ses jambes. J’ai préféré qu’elle choisisse elle-même les heures facturables.
—ooOoo—
Je suis allé à notre deuxième séance avec un sens aigu de l’enthousiasme et d’anticipation. Quand je suis arrivé, j’ai trouvé Mme Duvalle habillée à sa manière habituelle, terne et décalée. Elle ne m’a pas salué avec un sourire et ne m’a fait aucun signe de familiarité ou d’affection. C’était comme si elle m’avait embauché la dernière fois pour une séance photo avec un peu de sexe cru et vigoureux. Elle n’avait aucune envie de me connaître plus ou de socialiser avec moi.
Quelques minutes plus tard, une jeune fille a sonné et Mme Duvalle l’a laissée entrer. Elle était petite, avec des cheveux droits mi-longs qui lui arrivaient aux épaules, et elle ressemblait à une gymnaste. Elle ne portait pas de maquillage mais elle n’en avait pas besoin car son visage était jeune et frais. Son prénom était Dominique. J’ai toujours pensé que le prénom Dominique allait mieux à un homme, mais il lui semblait bien ajusté. Mme Duvalle a dit simplement :
Elle l’a dit à tous les deux. Dominique devait être embauchée en sachant qu’elle allait faire des captures nues car elle n’a pas hésité un instant. Je me suis vite rattrapé et nous étions tous les deux debout nus devant Mme Duvalle.
Elle avait mis en place un décor avec un grand drap blanc en toile de fond et des spots qui l’inondaient de lumière. Devant le drap, il y avait un canapé rembourré de couleur unie. Mme Duvalle a disposé Dominique sur le dos, devant le canapé. Elle lui a demandé de faire le pont. Dominique devait cambrer le dos et soulever son corps sur ses mains et ses pieds. Ce n’est pas facile, et si en plus on veut le faire avec des courbes gracieuses plutôt que des coudes et des genoux pliés, cela nécessite un corps extrêmement souple et flexible. Il faut aussi beaucoup de force pour tenir la position pendant longtemps.
Mme Duvalle a voulu que je m’étale sur Dominique, mais sans mettre mon poids sur elle. Elle n’était pas en mesure de tenir mon poids sur elle. J’étais gêné, mais Dominique a semblé le prendre normalement. Mes pieds étaient du côté des mains de Dominique et mes mains étaient du côté de ses pieds. Mme Duvalle a voulu me faire rentrer le visage entre les jambes écartées de Dominique. Mon pénis a été tassé contre le visage de Dominique parce qu’alors la tête de celle-ci devait aussi entrer, droite, entre mes jambes.
Mme Duvalle nous a repositionnés jusqu’à ce que mon dos soit aussi plat que je pouvais le faire. Elle a placé un livre-cadeau grand format sur mon dos ainsi que des tasses, des soucoupes et des cuillères. Elle a fait de nous une table basse humaine. Elle a pris un tas de photos. Puis elle a voulu que nous essayions de nous tenir par les chevilles de sorte que la table à café ne repose que sur nos quatre pieds. Mais mes pieds étaient trop loin pour atteindre Dominique, et quand je les ai rapprochés mon dos est devenu trop bossé. J’ai été heureux que nous n’ayons pas pu le faire parce que cela aurait fait du mal à Dominique avec mon poids en partie déplacé vers mes mains autour de ses chevilles.
Cette fois, tout mon visage a été enterré dans son entrejambe et je pouvais sentir ses muscles mis à rude épreuve. Cette position a été beaucoup plus difficile pour elle que pour moi, et je pouvais sentir son souffle chaud sur mon pénis. Je lui ai chuchoté :
Elle était une bonne sportive. Entrecoupant sa respiration, elle répondit :
Je n’ai jamais pensé qu’elle serait sexuellement excitée dans cette position, et dès qu’elle l’a dit j’ai senti ma bite durcir davantage contre son visage. La caméra a cliqué follement. Mme Duvalle a continué à déplacer les objets sur mon dos et mes fesses. Enfin, elle a dit qu’elle ferait une nouvelle série rapide après quoi nous pourrions nous reposer. Elle a débarrassé les objets sur mon dos puis elle a réussi à hisser un épais plateau ovale en verre armé sur mon dos. Elle m’a fait plier les genoux légèrement à la baisse pour disposer le plateau complètement à plat. Puis elle a mis plus de choses sur le plateau et a changé plusieurs fois de pellicule.
Quand finalement elle nous a permis de nous démêler, Dominique et moi étions en sueur. Je ne pouvais pas croire à quel point ce sport était fatigant. Je me suis effondré sur mon dos, et Dominique est restée sur son cul en se penchant en avant et en serrant ses genoux pliés. Je me suis assis à côté d’elle et lui ai donné un petit câlin sur l’épaule.
Je ne voulais pas qu’elle pense que j’aie supposé une certaine familiarité entre nous juste parce que nous avions passé dix ou douze minutes avec le visage de l’un dans l’intimité de l’autre, mais Dominique était moins soucieuse que moi et elle a caressé du dos de sa main mon pénis qui était encore en érection, et elle a dit :
J’ai été agréablement surpris par son enjouement amical, mais j’ai été confus. Cela voulait-il dire qu’elle avait eu un orgasme alors que nous étions dans cette position ? J’ai balbutié :
Elle a eu un sourire narquois.
Cette fille était pleine de mystères.
En parlant, elle m’a fait un clin d’œil et j’ai remarqué une lueur dans ses yeux qui semblait être réservée aux personnes avec qui elle se sentait intime.
Mme Duvalle nous a disposés pour former une chaise où mon dos était le siège, comme j’étais accroupi sur mes mains et mes genoux, et le dos de Dominique formait le dossier de la chaise car elle était assise sur mes épaules. Ses coudes pliés derrière elle pour former les accoudoirs, et elle tenait mes hanches dans ses mains.
Elle a pris des photos puis elle a enchaîné les positions. Nous étions des lampadaires et des tables de chevet et même une étagère : j’étais mains et genoux sur le sol et Dominique était mains et genoux sur mon dos. Elle a glissé ses pieds sur mes épaules et ses mains sur mes fesses. Mme Duvalle a mis des planches sur le sol sous mon ventre et sur le dos de mes mollets. Elle a mis d’autres planches sur les dos de Dominique et sur ses mollets. Sur ces planches, elle a mis une série de livres et des bibelots.
J’avais peur que tout s’écroule si elle ne se pressait pas, mais elle a obtenu ses photos. Je me serais senti stupide et faible si j’avais craqué et laissé tout s’écrouler alors que Dominique avait montré tant de force dans notre première pose.
Nous avons pris une pause et Mme Duvalle a disparu pendant un moment. Quand elle est revenue, elle était nue comme Dominique et moi. Elle a posé plusieurs appareils photo sur trépied sous différents angles et hauteurs. Elle les a programmés pour enclencher automatiquement toutes les quelques secondes. Cette fois, c’était des appareils numériques puisqu’elle n’avait pas besoin de se soucier de changer régulièrement les pellicules.
Je n’étais pas sûr de savoir comment elle voulait nous disposer, mais j’ai dit que je pourrais certainement essayer. Elle a disparu à nouveau dans sa chambre et, quand elle a reparu, elle n’avait plus ses lunettes ni son fume-cigarette. Elle m’a accroupi sur un genou en tenant Dominique dans mes bras. Un bras était sous ses épaules et l’autre bras était directement sous son cul. Elle a demandé à Dominique de plier ses genoux et de tenir fermement les mains contre le dos de ses jambes. Lorsque Dominique fut prête, Mme Duvalle est montée au-dessus d’elle et a mis sa tête entre ses jambes. Cela a mis le visage de Dominique entre les jambes de Mme Duvalle. Les deux filles avaient les genoux pliés, et chacune tenait les chevilles de l’autre dans ses mains.
Les appareils ont déclenché une salve de clics et Mme Duvalle m’a demandé si je pouvais tenir debout. Ce n’était pas facile pour moi. J’avais déjà un genou à terre et, ensemble, les filles devaient peser près de cent-dix kilos. Mes bras étaient fatigués et las, et ma jambe pliée était extrêmement tendue ; mais j’ai réussi à me redresser sur mes deux pieds en tremblant. Elle m’a demandé de tourner autour de moi-même et de monter et descendre autant que je le pouvais tandis que les deux filles restaient étroitement enlacées.
Je n’avais presque plus d’énergie quand j’ai remarqué que les deux filles faisaient un bruit de siphonnage. Elles étaient toutes les deux à lécher et sucer et à donner des coups de langue ; et malgré ma douleur presque insupportable et la combustion dans mes bras, je me suis accroché.
À un certain moment, ma tête est retombée en arrière et j’ai ouvert ma bouche pour aspirer une grande bouffée d’air. Mes yeux étaient fermés et j’écoutais attentivement les sons qu’émettaient les filles extrêmement excitées.
Plus tard, après qu’elles eurent chacune joui un bon moment, Mme Duvalle m’a dit de les laisser descendre. J’ai baissé un peu et Mme Duvalle est descendue avec précaution, puis j’ai tourné Dominique dans une position debout. Mes bras étaient juste inopérants par engourdissement, et je suis tombé sur mon dos sur le tapis en peluche devant le canapé. J’ai entendu Dominique et Mme Duvalle parler en regardant quelques photos. Elles faisaient des observations sur les divers plans et j’ai entendu Dominique dire que j’avais l’air vraiment bon sur un cliché particulier. Elle regardait celui où j’avais la tête basculée en arrière et ma bouche ouverte. Elles ont toutes deux dit quelque chose au sujet de mon état d’excitation dans les images. Je n’avais même pas remarqué que j’avais une érection rageante. Et que je l’avais encore.
Mes yeux étaient encore fermés et j’étais toujours sur mon dos sur le sol quand j’ai senti l’une des filles se pencher en bas sur moi et prendre ma bite dans sa bouche. J’ai été secoué par une onde de plaisir, ne sachant pas de quelle fille il s’agissait car je n’avais pas ouvert mes yeux. Mon plaisir a encore augmenté lorsque la deuxième fille s’est posée sur mon visage et a tassé ma tête entre ses jambes. Mes bras étaient endoloris et il m’aurait fallu, pour les déplacer, plus d’énergie que je ne voulais dépenser. Donc je suis resté là à goûter l’humidité de la chatte d’une des filles tandis que l’autre fille suçait et cajolait mon arbre turgescent. Puis j’ai senti ma bite glisser hors de la bouche qui la mangeait et la fille venir à ma taille se placer sur mon pénis. Elle m’a pris de ses deux mains et s’est ajustée sur moi, plongeant profondément. La chaleur autour de mon érection m’a amené à un orgasme rapide, et peu après un autre orgasme a éclaté sur mes lèvres et ma langue.
Les filles m’ont laissé sur le tapis et sont allées au bar alors que j’étais couché avec mon corps affaibli, cherchant à récupérer, et mes poumons assoiffés qui brassaient l’air à grands coups d’inspirations. J’ai savouré mes souvenirs et la pensée que je ne savais pas quelle fille m’avait baisé et quelle fille j’avais fait jouir avec ma langue. J’ai voulu croire que j’avais baisé Mme Duvalle et que j’ai eu ma bouche dans la chatte de Dominique. Mais j’ai aussi aimé l’idée que Dominique m’avait sucé et baisé tandis que je dévorais Mme Duvalle. Si j’avais touché les seins d’une des filles, je l’aurais su. Si j’avais ouvert les yeux, je l’aurais su. J’ai bien aimé ne pas savoir.
Quand nous sommes partis pour prendre nos voitures, j’ai échangé nos numéros avec Dominique. Aucun de nous ne savait si nous serions ici ensemble une autre fois. Je suis rentré chez moi et, le lendemain, j’ai parlé à mon agent au téléphone.