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n° 15595Fiche technique7229 caractères7229
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Temps de lecture estimé : 5 mn
08/05/13
Résumé:  Un hommage en forme de poésie libre.
Critères:  #poésie fh cérébral revede cunnilingu anulingus pénétratio uro
Auteur : Lacan
Hommage à la femme mûre

Hommage




Belle Coquine,

De désir me font rêver tes beaux yeux,

De la couleur d’eau verte que j’aime,


De désir me fait rêver ta bouche jolie,

Au coin de laquelle j’aime déposer de câlins bisous,

Avant de glisser ma langue entre tes douces lèvres ouvertes,


De désir me fait rêver ta langue agile et ferme,

Autour de laquelle la mienne cherche à s’enrouler,

Toute mouillée de ta salive que j’aime aspirer pour la boire,


De désir me fait rêver ta nuque blonde,

Que j’aime bécoter pour respirer ton parfum de femme,

Que j’adore léchouiller pour sentir le goût de ta peau,


De désir me font rêver tes beaux bras,

À la peau douce, que j’aime embrasser à pleine bouche,

Goûter la chair en montant, puis en descendant,

Jusqu’à ton avant-bras dont je perçois le fin duvet,


De désir me font rêver tes mains fines et sensuelles,

Dont j’aime embrasser et agacer la paume de ma langue,

Et même suçoter les doigts fins comme des petits sexes d’anges,


De désir me font rêver tes aisselles,

Dont j’aime respirer l’intimité parfumée,

Percevoir l’humidité touchante de cet endroit caché,

Sentir mes lèvres en frôler les petits poils qui y repoussent,

D’abord en éprouver le goût secret du bout d’une langue indiscrète,

Puis poussé par une envie intense les dévorer à pleine bouche,


De désir me font rêver tes seins merveilleux,

Que j’aime deviner libres sous le fin voile de soie,

Souples et fermes à la fois, remuant doucement au rythme de tes pas,

Dardant leurs mignons bouts sous le corsage offerts,

Fripés par l’émotion que le tissu provoque,

Beaux seins dont j’adore soupeser dans mes mains étonnées

La souplesse des chairs et sentir la douceur infinie de la peau,

Mes paumes en épousant le doux profil en poire,

Et mes doigts agaçant les belles tétines roses,

Seins libres que ma bouche connaît par cœur mais découvre à chaque fois,

En tétant les bouts durcis que mon suçon aspire, comme on le fait d’un sexe,

Pour les rendre plus rouges, alors érigés et érotiques,

Qui me donnent envie de les mordre à belles dents comme fruits de l’amour,


De désir me fait rêver ton joli ventre lisse,

À la fois plat comme les belles championnes et aussi mignonnement renflé,

Comme pour mieux dessiner le creux pubien de ton intimité,

Ventre à la peau si douce que ma bouche s’y attarde,

Où ma langue aime à fouiller les replis délicat du nombril,


De désir me font rêver tes belles cuisses douces,

Dont quand je les caresse mes mains sentent le fin duvet,

D’une infinie douceur quand mes doigts s’attardent entre elles,

Fermes et souples à la fois, à la consistance si troublante

Que mon désir jamais ne peut y résister,

Qu’au-delà de mes mains c’est avec ma langue que je veux en parcourir

L’étendue douce et duveteuse,

Depuis la candeur du genou jusqu’à l’intimité troublante de l’aine,

Tantôt dorées et bronzées en été, faisant ressortir le duvet blond,

Tantôt blanches et semblant plus nues et intimes en hiver,

Belles et merveilleuses cuisses de femme,

Fermes et douces devant,

Si souples et érotiques sous la main derrière,

Passée coquinement sous la jupe, remontant au-dessus du nylon des bas,

Pour sentir alors la douceur et la tiédeur de la chair offerte,


De désir me font rêver tes fesses que j’adore,

Que j’aime déjà sentir rebondies sous mes mains quand tu es habillée,

Fermes et emprisonnées dans un pantalon,

Ou bien plus souples déjà sous la jupe,

Surtout si tu les abandonnes docile à ma caresse,

Si tu laisses mes mains en pétrir les intimes rondeurs,

Que j’aime encore mieux sentir nues sous mes doigts excités,

Glissés sous la culotte de dentelles coquines,

Caressant la peau blanche et doucereuse,

Explorant la consistance si particulière de ces objets de désir,

Jusqu’à sentir sous mes doigts le creux intime de ta raie,

Où viennent se rejoindre ces deux joues rebondies,

Disparaissant alors dans le mystère irrésistible de ce sillon qu’on devine,

Dans lequel on voudrait glisser des doigts coquins,

Pour mieux en explorer les promesses incertaines,

Les intimités cachées, les plaisirs interdits,


Belle Cochonne

De désir me fait rêver ton petit orifice secret,

Qui se cache coquinement entre tes jolies fesses,

Au cœur de ta raie intime que j’aime nettoyer avec ma langue

Quand je l’ai souillée des sécrétions de mon désir de mâle,

Belles fesses que j’aime écarter, indécentes,

Pour découvrir les replis de la fleur brune et plissée de ton anus,

Que j’adore sentir sous mes doigts quand sur moi tu es couchée,

Que j’aime d’autant plus d’abord effleurer de ma langue coquine,

Puis lécher avec gourmandise,

Pour en sentir les replis très intimes,

Depuis que tu m’as avoué que cette coquinerie parfois te plaisait,


Belle Cochonne

De désir me fait rêver ton triangle magique, ta toison, ta chatoune,

Tes poils de femme, ce buisson bouclé châtain,

Doré au soleil l’été, contrastant avec ton ventre blanc l’hiver,

Triangle taillé comme un jardin à la française dès le printemps,

Plus luxuriant pour presque déborder des dentelles l’hiver,

Que la main qui descend le long de ton ventre lisse rencontre avec délices,

Dans lequel mes doigts se perdent, jouant avec ces boucles intimes,

Dans lequel j’aime plonger mon visage entier,

Que j’aime sentir friser contre ma bouche,

Coiffer avec ma langue, peigner avec mes dents,

Brouter comme une salade frisée,

Sucer à pleine bouche gourmande,

Dont je fantasme qu’en été tu l’exhibes aux regards dans une crique naturiste,

Que tu l’offres comme tes seins à la vue des désirs masculins et même lesbiens,

Triangle magique, buisson intime dont j’ai seul la jouissance,

Mais dont la vue par d’autres me fantasme l’esprit,


De désir me fait rêver ton petit jet chaud,

Que certains appellent la douche dorée,

Qui te soulage entre tes cuisses,

Et que j’aime regarder jaillir et entendre couler,

Rêvant qu’il inonde et souille mon sexe que je placerais en dessous,

Pour mieux en sentir la tiédeur délicieuse,

Et ensuite en essuyer les dernières gouttes qui perlent,

D’une langue gourmande voulant goûter tout ce qui sort de ton ventre,


De désir me fait rêver ce triangle magique, ta toison, ta chatoune,

Qui cache à peine ton sexe de femme, ton petit abricot, ta jolie fente,

D’abord chatouilleuse et fermée comme une huître,

Et dont il faut découvrir le secret du sésame,

Mais qui comme une fleur ne demande qu’à s’ouvrir et vibrer,

À sensibiliser ses chairs délicates et érotisées,

Pour s’offrir entre tes jambes ouvertes et impudiques,

Sous mes caresses, d’abord frôleuses,

Allant et venant depuis tes cuisses douces,

Faisant la bête qui monte et qui descend,

Explorant l’aine et les poils de blonde,

Puis franchement et impudiquement déclarées,

À pleines mains et doigts indiscrets, se permettant tout,

Pendant que j’écoute monter les soupirs de ton désir,


Belle Salope,

De désir me fait rêver le fruit rouge de ta fleur offerte,

Qui sous ma bouche gourmande alors s’ouvre,

Que fouille ma langue excitée, qui en pénètre la troublante intimité,

Qui coule en abondance et que ma bouche aspire,

Dégustant le goût délicieux de ce désir de femme,

Que mon sexe roidi ne pense qu’à pénétrer,

Qu’à le secouer de mes va-et-vient fougueux,

Qu’à le tringler à grands coups de reins,

Mouillé de ton désir ruisselant,

Coulissant délicieusement dans ton ventre de femme excitée,

Jusqu’à ce que monte notre plaisir,

Ton orgasme que je sens crisper tes soupirs,

Mon explosion qui me secoue et me brûle le sexe d’un plaisir

Qui t’inonde du trop-plein de mon désir.