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n° 15596Fiche technique8167 caractères8167
Temps de lecture estimé : 6 mn
08/05/13
Résumé:  Une rencontre aussi inattendue qu'agréable.
Critères:  ffh hotel fellation fsodo
Auteur : Dosto            Envoi mini-message
Un matin comme les autres

D´humeur bougonne, je m´avance sur le quai du RER pour attendre mon train. Elles sont là, deux nanas sans allure particulière, plutôt quelconques. Je ne les aurais même pas remarquées si l´une d´elles ne se tenait pas d´une manière si lascive, assise jambes très écartées sous sa jupe. Heureusement, elle portait des collants sombres…


C´est elle qui vient vers moi. Un plan à la main, elle m´explique, avec un accent américain, qu´elle voulait s´assurer que le prochain train les emmènerait à Chatelet.



Je ne peux pas refuser. Un coup de fil au bureau pour dire que je serai en retard et nous voilà embarqués.


Elles sont bien Américaines, de la région de Chicago. Elles parlent un très bon français ; leur accent est pour le moins… charmeur. Lyz et Sally ont 29 ans. Elles travaillent dans la finance (jamais je n´aurais cru !). À Paris depuis trois jours. Elles ont passé la nuit chez une cousine ; maintenant, elles cherchent à rentrer à leur hôtel. C´est la mission que j´ai acceptée.


Arrivés à Chatelet, le soleil illumine le ciel de Paris. Sur le chemin, je leur montre quelques endroits secrets de ce quartier où j´ai grandi. Elles sont aux anges ! Lyz, « la lascive », se dirige vers une terrasse :



Nous nous attablons donc.

La journée est belle, mes Américaines sont d´excellente compagnie. On parle, on rit, on parle, on rit, on parle… mais il faut partir. Galanterie française oblige, je paie les cafés. En récompense, chacune leur tour, Sally et Lyz déposent un doux bisou sur mes joues. Celui de Sally frôle mes lèvres. Je crois qu´elle remarque mon trouble.

Leur hôtel n´est plus très loin.



Je me sens devoir le prouver. Je la prends par la taille, je l’embrasse goulûment. À son regard, je suis certain qu’elle sent l’émotion qui me gagne : cacher l’effet qu’elles me font est vain. Passé l´effet de surprise, un fou-rire s´empare de nous trois.


C´est le moment de nous quitter. Arrivés devant l´hôtel, la raison me gagne, et même si je n’en ai pas la moindre envie, je m´apprête à partir en leur souhaitant un bon séjour in Paris.


Ce sont mes Américaines qui prennent l’initiative… Sally et Lyz m´attrapent par la main :



C’en est fini de mon côté raisonnable. Je m´avoue donc très vite vaincu. En réalité, je suis flatté ; cette « récréation » me fait le plus grand bien. Deuxième coup de fil au bureau, et nous rentrons à l´hôtel.


La chambre est assez spacieuse. Un grand lit, une table, un petit bureau. Les chaises sont occupées par de grosses valises ; Sally et moi nous nous asseyons sur le lit. Lyz disparaît, réapparaît avec trois verres et une bouteille de vodka. Elle marmonne quelques mots à Sally ; je devine shower et fun puis elle se rend dans la salle de bain.



Sally me lance alors :



Pas le temps de répondre, elle a déjà pris possession de ma bouche ! Nos langues font connaissance et ma main tente et réussit une jonction avec ses seins généreux. Je m’abandonne, j’oublie tout. À la vitesse de l’éclair, nous voilà nus. Je caresse chaque centimètre de son corps ; ses râles m’encouragent.


Quand Liz sort de sa douche, Sally a mon sexe dans sa bouche. Elle me prodigue une pipe dont je me souviendrai longtemps ! D’une main, je lui caresse sa chevelure abondante ; de l’autre, je m’immisce dans sa chatte. Lyz n’a pas l’air surpris ; elle laisse tomber la serviette qui lui sert de seul vêtement et vient se placer impudiquement au-dessus de moi. Son sexe offert à ma vue et à ma langue. Bien entendu, je ne me fais pas prier pour la goûter.

J’agrippe ses fesses et me délecte de son sexe humide.

Ma langue titille son clito tandis que j’introduis un puis deux doigts au fond de son antre.

Elle change de position pour « prêter main forte » à sa copine. Mes conquêtes s’occupent divinement de ma queue.

Liz a son premier orgasme ; elle se redresse, se tend et pousse un cri impudique.

Au même instant, je me vide dans la bouche de Sally.


Sally se lève et nous quitte.

Liz revient vers mon sexe, lèche suce… nettoie !

Je ne suis pas insensible à ce traitement : je bande très vite, pour sa plus grande satisfaction.

Sally revient avec une poignée de capotes. Droit au but, elle m’emballe puis s’empale !

Elle commence une merveilleuse « danse » de plaisir ; ses seins rebondissent devant moi, le spectacle est grandiose.


Le plaisir ne se fait pas attendre bien longtemps. À quelques secondes d’intervalle, nous jouissons bruyamment.


Profitant d’un répit bien mérité, j’admire les formes des filles. Visiblement, elles n’en ont pas terminé. Sally caresse les seins de son amie en prenant bien soin de planter ses yeux dans les miens, comme une invitation. Nous explorons le corps de Lyz sans en laisser une miette. Un régal !


Cette fois-ci, je prends l’initiative. Une capote enfilée, j’enfile Lyz qui n’attendait que ça. Je suis excité comme un fou. Peut-être encore plus à la vue de Lyz qui dévore la chatte de Sally pendant que je la pilonne. Un rêve ; je n’arrive pas à y croire !


Je me repose entre deux superbes filles après avoir fait l’amour comme jamais.

Il faut recharger les accus. Direction le mini-frigo. Les filles sont encore au lit ; j’apporte donc de quoi nous revigorer. La scène est « bizarre » : on déjeune au lit, à poil en nous racontant nos vies…



Je suis debout devant le lit ; je viens de débarrasser, et surtout de rapporter une deuxième bouteille de vodka lorsque je pose cette question. Je me rends rapidement compte que les Champs-Élysées, c’est cuit !


Lyz s’empare de ma bite ; ses caresses sont efficaces, je durcis immédiatement. Sally, allongée sur le ventre, relève ses genoux pour me présenter son magnifique cul. Lyz me guide, mais je connais la destination. Ma bite glisse délicatement entre ses fesses. Sally pousse un râle de satisfaction lorsque je prends possession de son anus… moi aussi !

Mes va-et-vient sont accompagnés de ses doux mouvements du bassin ; c’est d’autant plus délicieux que Lyz lèche en alternance mes couilles et le sexe humide de Sally.

Je voudrais que ça dure des heures…


Rassasié de sexe, je reste allongé, le regard perdu au plafond… mais les mains encore baladeuses. Ces moments d’abandon total sont si merveilleux !


La réalité refait surface ; il me faut partir.

Avant, nous nous offrons une douche « crapuleuse » à trois. On s’embrasse, on se caresse, on se lape, on se lèche… elles me sucent ! Je déverse mon jus sur elles.


Il est plus de 19 heures ; je quitte les girls non sans les avoir embrassées avec gourmandise. D’humeur très joyeuse, je retourne sur le quai du RER pour attendre mon train.