Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15616Fiche technique19261 caractères19261
Temps de lecture estimé : 11 mn
22/05/13
Résumé:  Un jeune homme découvre la patience érotique avec une belle-mère aussi désirable que perverse.
Critères:  fplusag alliance fépilée lunettes jardin fdomine fmast hmast facial nopéné fdanus fsodo jeu attache confession
Auteur : DuranDuran  (Cadre financier 35 ans)      Envoi mini-message
Joueuse, ma belle-mère...

Je m’appelle Jérôme, et à 32 ans, après huit ans de mariage avec la belle Agnès, je pensais sottement avoir fait le tour de la question concernant le sexe ! Je me trompais, et c’est sa mère, Éliane, qui n’allait pas tarder à me le démontrer.


Éliane, la cinquantaine rayonnante, fine comme sa fille avec peut-être des seins plus volumineux, les cheveux roux à la garçonne, partageait avec moi la passion du jardinage. Il n’était pas rare, durant les beaux dimanches de printemps chez mes beaux-parents, de passer des heures à retourner la terre, planter, arroser… Mais ce dimanche après-midi, c’est le PC d’Éliane qui me préoccupe. Agnès est au salon avec sa mère et son père Pierre, et parle politique comme souvent. Cela fait une heure que je me noie dans leur disque dur, à la recherche des virus, et par hasard je tombe sur un répertoire contenant une sélection d’histoires et de vidéos pornographiques. Je vérifie, je suis bien sur la cession d’Éliane, et pas celle de son mari ; l’historique me montre qu’elle le consulte souvent tôt le matin. En effet, Pierre part travailler aux aurores et j’imagine Éliane, avant de rejoindre son boulot, passer une petite heure à se donner du plaisir. Et pour la première fois, je me prends à imaginer Éliane comme une femme, et pas uniquement comme la mère de ma compagne.


Cette découverte m’a rendu bizarre ! La lecture rapide de quelques-uns des récits érotiques sélectionnés par ma belle-mère m’a passablement excité, et c’est un miracle si je réussis à désinstaller le logiciel malveillant qui perturbait le PC. Je me rends au salon et suggère, comme d’habitude, d’aller travailler au jardin. Éliane, comme d’habitude, se propose de me rejoindre après s’être changée. Il fait chaud. Je suis à quatre pattes dans la terre à arracher les mauvaises herbes quand Éliane s’approche et me tend une bouteille d’eau. Les chaudes histoires de son PC sont encore dans ma tête. Elle a gardé sa robe rouge et passé un tablier fleuri pour se protéger. Ses jolies ballerines ont fait place à ses petites bottes jaunes en caoutchouc, assorties à ses gants.



Dans un silence un peu gêné, je reprends mon travail. Du coin de l’œil, je la surveille. Elle est accroupie près d’un pied de tomates, tentant de le fixer à un tuteur. Dans ses mouvements, parfois ses genoux s’écartent un peu, et je peux voir subrepticement le clair de la chair de ses cuisses. Éliane est une très belle femme et je m’en rends compte seulement aujourd’hui…



Éliane devient immédiatement toute rouge, le dos de sa main gantée sur sa bouche.



On a tous au fond de nous une dualité Ange / Démon et, est-ce le soleil, le bout de cuisse entraperçu, la chaleur des récits, le regard troublé d’Éliane ; mais, comme provenant d’un autre cerveau, je m’entendis dire :



De rouge de tout à l’heure, le visage d’Éliane devient pivoine !



Éliane reste un long moment songeuse, puis sourit.



Je la suis maintenant entre la haie et la cabane, sans rien dire, la boule au ventre, et le bas-ventre en feu ! Elle se met face à moi, déboutonne son tablier, me fixant droit dans les yeux, déboutonne le haut de sa robe, lentement. Apparaît un soutien-gorge rose clair. Elle ne dit rien mais j’entends sa respiration s’accélérer et je vois sa poitrine blanche se soulever. Elle reste un long moment ainsi. Je lui fais un signe de la main lui signifiant que j’ai droit à plus, et elle décide de sortir ses deux seins lourds des bonnets. Ses tétons sont tout durs ; j’avance la main précautionneusement, mais elle me tape gentiment sur les doigts.



Et nous reprenons notre jardinage. Je la surprends plusieurs fois à écarter légèrement les jambes, distinguant même une fois le coton rose de sa culotte.




—ooOoo—




La semaine se passe lentement ; mon esprit est obnubilé par ma belle-mère. Quand la tension est trop forte, je saute le soir sur Agnès, qui ne comprend pas mon brutal désir. Je lui explique que c’est sûrement le printemps… Comme d’habitude, elle refuse la sodomie.




—ooOoo—




Enfin dimanche ! Éliane est très belle : petite jupe noire portefeuille, chemisier blanc, discrètement maquillée. Le repas est trop long à mon goût. Son visage n’exprime rien.



Le jardin. Il fait un temps superbe, bien qu’un peu frais.



Je ne suis pas habitué à ce que ma belle-mère utilise un vocabulaire aussi cru. Et cela m’excite à la folie. Aussitôt, je réponds :



Nous sommes derrière la cabane. Éliane a installé une chaise de jardin. Elle s’assoit, les jambes serrées. Elle écarte les genoux, lève un peu ses fesses et glisse sa culotte blanche jusqu’aux mollets. Sa chatte est parfaitement lisse, parfaitement jointe. Elle pose maintenant une jambe sur l’accoudoir de la chaise, et délicatement, de l’index, écarte ses grandes lèvres. Je me mets à genoux devant elle, à moins d’un mètre. Mon souffle est rauque. Elle caresse maintenant son clitoris, d’un rose un peu plus sombre. De l’autre main, elle glisse un doigt, puis deux, entre ses petites lèvres, et elle enfonce maintenant une phalange dans son vagin humide. Je bande à en avoir mal. Comme la semaine dernière, j’avance la main précautionneusement, et elle me tape gentiment sur les doigts.





—ooOoo—




La semaine est encore plus longue et, n’y tenant plus, je prends la liberté d’aller le vendredi en fin d’après-midi chez mes beaux-parents, sachant que toutes les semaines mon beau père est à son club d’investisseurs.

Éliane est surprise, mais elle sourit.



Elle me prend par la main ; elle sent si bon… Elle porte une longue robe d’été couleur lavande et des sandales de corde à la spartiate. Elle ouvre un tiroir, sort un sachet de soie et en tire un gode couleur d’ébène d’une longueur et d’un diamètre redoutables.



Du sachet en soie, elle sort également un tube de vaseline. Elle se place à quatre pattes sur le lit, les fesses face à moi. Elle baisse sa culotte bleu-ciel à mi-cuisses et se met à enduire la pointe du gode d’un peu de vaseline. D’une main, elle écarte une fesse, et de l’autre elle place l’objet face au trou plissé et fermé. Elle me regarde et me sourit au moment où le gland perce son anus rose. Sa bouche est grande ouverte, son souffle est court ; sur son doux visage, perlent de petites gouttes de sueur pendant qu’elle se ramone de plus en plus fort le cul. Je commence à baisser mon pantalon, tellement ma bite compressée me fait mal.



Mister T a bien élargi le trou de cul de ma belle-mère. Il coulisse maintenant comme dans du beurre. Je sens son odeur de femelle, violente, sensuelle. Elle sort le gode et écarte au maximum son cul. Son trou est comme une bouche, il palpite. Et c’est à ce moment-là que je jouis dans mon pantalon.



Quand je reviens, elle est assise sur le lit, le visage impassible, les jambes serrées. Elle me sourit gentiment.



Le soir, j’essaie une nouvelle fois de caresser l’anus d’Agnès. Et pour une fois, elle ne se braque pas complètement ! À tel point que nous nous endormons, la main gauche sur son sein, et une phalange de mon pouce dans son cul…




—ooOoo—




Le repas dominical expédié (le gigot était succulent), je retrouve Éliane derrière la cabane de jardin.



Deux chaises de jardin sont installées face à face. Elle a une jupe longue en velours marron qu’elle vient de remonter jusqu’à mi-cuisses. J’ouvre la fermeture Éclair de mon pantalon et ma bite déjà dure surgit !



Elle a écarté les jambes et se caresse maintenant à travers la fine épaisseur de sa culotte de coton blanc. Elle écarte son slip et glisse un doigt entre ses lèvres humides.



Et une dose invraisemblable de foutre gicle, une goutte ou deux venant même souiller la chaussure d’Éliane !





—ooOoo—




Je n’eus pas à attendre le dimanche ! Mercredi en fin d’après-midi, je reçois un coup de téléphone d’Éliane qui me donne rendez-vous chez moi. Comme Agnès accompagne notre fille à la danse, nous avons deux bonnes heures devant nous.

Éliane est là ; elle porte une longue robe en jean, sans manches, entièrement boutonnée sur le devant, de haut en bas. Elle porte ses lunettes d’écaille rectangulaires qui lui donnent un air sévère et sexy.



Elle sort un foulard de soie et me ligote les poignets dans le dos.



Elle se frotte les seins sur mon corps, et d’une main habile sort ma bite déjà dure. Pendant qu’elle me branle, elle défait les boutons du bas de sa robe et tire sur sa culotte blanche qui tombe à ses chevilles. Elle s’accroupit devant moi, les cuisses ouvertes au maximum. Ma bite est à hauteur de ses lèvres rouge sombre. Elle lèche ma queue sur toute sa longueur, s’amusant même à me gober les couilles.



Toujours accroupie, elle glisse une main dans sa chatte et se pistonne avec violence, continuant à me branler et m’aspirer.

Sa main lâche ma bite pour passer dans son dos ; elle remonte sa robe et me dit :



Elle me branle maintenant des deux mains, jouant avec ma bite, se donnant des gifles avec ma queue sur son beau visage de vieille salope. Elle sort maintenant se seins de sa robe et se caresse les seins avec ma queue. Je sens que je vais éjaculer et je la fourre dans sa bouche.



Elle aspire ma queue comme une folle, l’avalant jusqu’à la garde ; elle bave, grogne, aspire. Ses lunettes glissent sur son nez ; mes jambes s’affolent ! Comme un torrent furieux, une cascade de foutre inonde sa bouche ! Elle tousse mais avale, par gorgées successives. Je suis vidé, épuisé, et m’affale sur un fauteuil, toujours attaché.

Elle est là, face à moi, toujours accroupie, les cuisses ouvertes, et se caresse doucement la chatte d’une main pendant que de l’autre elle récupère et avale quelques gouttes qui ont souillé son nez.