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Temps de lecture estimé : 24 mn
26/05/13
Résumé:  L'envie de voir ma puce se donner à son collègue m'a conduit à l'exhiber progressivement en nous la partageant durant plusieurs slows, avant de donner l'occasion à Damien de se coller à elle et se joindre à nous pour la nuit.
Critères:  fhh couple couplus extracon cocus collègues danser amour voir exhib fellation cunnilingu pénétratio sandwich confession
Auteur : 1bichon  (Homme aimant les femmes et le triolisme)      Envoi mini-message

Série : Du fantasme à la réalité 3

Chapitre 00 / 05
De fil en aiguille

Puisque jeune embauché je ne pouvais pas l’accompagner, Véro était partie en vacances d’hiver dans le Jura grâce à son comité d’entreprise avec sa sœur, célibataire de vingt ans son aînée. Ma puce y avait retrouvé un collègue, jardinier de son état, qui travaillait comme elle au siège. Ce dernier avait tenté une drague discrète de ma compagne du fait de la présence de sa sœur aînée qui chaperonnait sa cadette lors des soirées. Nous étions fidèles l’un à l’autre et puisque nous nous disions tout, mon amour m’avait raconté son séjour. Suite à quelques questions, elle m’avait avoué que Damien avait osé quelques petites caresses ou insinuations sages lors des quelques slows qu’ils avaient dansés ensemble. À ses dires, elle avait senti plusieurs fois ses mains caressantes se promener dans son dos. Cependant, le dernier soir, profitant du fait que sa sœur s’était absentée pour aller aux toilettes, une main s’était égarée sur ses fesses. Véro m’avoua qu’elle l’avait laissé faire quelques secondes puis avait repris Damien pour ne pas qu’il se sente pousser des ailes. Son récit m’avait peu à peu excité car j’ai toujours été assez cérébral. Je m’étais imaginé la scène en laissant vagabonder mon imagination vers une aventure fugace entre eux et, bien sûr, un bref flirt le menant à la mettre nue et à lui faire l’amour.


Damien avait cinq ans de plus qu’elle, soit quatre de plus que moi. J’étais son premier, nous nous faisions confiance, mais je fantasmais beaucoup depuis que nous connaissions. Cela était sûrement dû aux lectures érotiques que je lisais depuis mes dix-sept ans, soit depuis six ans au moment des faits. Nous avions déjà découvert beaucoup choses à deux depuis les quatre années que nous étions ensemble. Cela allait des exhibitions pour me faire plaisir, aux caresses ou relations sexuelles dans des lieux divers. Une fois, nous avions même osé en vacances faire l’amour à trois dans notre canadienne. Véro m’était fidèle et savait refuser les avances que certains osaient lui faire, notamment dans les transports. Elle m’en parlait le soir avec, certes un peu de fierté, mais aussi beaucoup d’exaspération.


Suite à ces vacances d’hiver, chacun avait repris sa vie. Ma puce était contente de me dire certains soirs qu’elle avait vu Damien à la cantine, mais rien ne laissait présager d’une quelconque ambiguïté dans leur relation.


Un vendredi soir de printemps pourtant, jour de grève des transports, en revenant du pain, je fus surpris de la voir descendre d’une moto au pied de notre bâtiment. Elle travaillait à Paris, soit à 30 km de chez nous, et c’était souvent la pagaille. Dès qu’elle me vit, Véro me sauta dans les bras en me disant de suite que Damien s’était proposé de la raccompagner pour lui éviter de galérer. En regardant Véro, ma première pensée fut que sa jupe ne se prêtait pas trop à faire de la moto, mais l’intention était louable. Pour remercier Damien, je lui ai donc proposé de monter boire un verre. Il refusa, par principe je pense, en arguant un entraînement sportif pour s’échapper ; mais, devant mon insistance, il accepta une invitation à dîner pour le lendemain soir. Tombés d’accord, après bises et poignée de mains, il enfourcha sa moto puis nous quitta. En montant l’escalier, je me mis à imaginer ma puce la jupe au vent et le corps collé au dos de son serviteur. Dans mon esprit, elle avait les bras serrées autour de la taille de Damien et devait se tenir fermement à lui car elle n’avait jamais fait de moto. Je m’abstins toutefois de lui en parler pour ne pas paraître jaloux.


Le samedi matin, nous fîmes les courses en vue de préparer un repas simple et sympa. La chaleur de l’appartement, au quatrième et dernier étage étant étouffante, nous nous mîmes en petite tenue et lézardâmes tout l’après-midi en attendant la soirée. Vers dix-sept heures, une fois le dessert préparé, ma puce prit une douche pour se désaltérer et alla s’habiller comme j’aimais la voir lorsque nous sortions : jupe patineuse noire et caraco rouge. Elle portait son bel ensemble de lingerie bordé de dentelle noire que nous appelions « trois pièces », composé d’un soutien-gorge blanc et noir assorti à une culotte sur laquelle était dessinée une cravate rouge en lieu et place du pubis, le tout imitant un haut de chemise blanche sous une veste noire.


Damien arriva comme demandé vers dix-neuf heures trente. Il était vêtu d’une veste assortie à un pantalon léger en lin et d’une chemisette, et avait les mains porteuses d’une bouteille de Bordeaux et d’un bouquet de saison.

Nous fîmes plus ample connaissance en parlant de tout et de rien. Le repas fut agréable et mon stratagème de laisser la place à notre invité face à ma puce autour de notre table étroite de cuisine pour les émoustiller fonctionna. En me levant pour prendre les plats, je vis que leurs jambes se touchaient, ce qui devait les troubler car plusieurs fois leurs regards se croisèrent sans échange de dialogue. Cela m’amusa de voir comment ils géraient ce contact presque charnel et, pour ne pas éveiller les soupçons, je servis une deuxième tournée de vin sitôt leurs verres vides. À la fin du repas, nous avions bu un apéro, une bouteille et demi de vin à trois et un peu de rhum dans la salade de fruits faite maison.

Le seuil critique pour conduire étant sûrement atteint, je fis la proposition à Damien de dormir chez nous pour ne pas risquer de tomber sur un contrôle. Véronique approuva aussitôt car elle était légèrement éméchée elle aussi. N’ayant pas le choix, celui-ci accepta et nous prîmes la direction du salon. Puisque la nuit nous appartenait, nous nous assîmes sur mon lit d’adolescent, lit en 90 cm qui nous servait de canapé, adossés contre le mur, les jambes étendues.


Nous poursuivîmes notre conversation avec RFM en léger fond sonore, encadrant chacun d’un côté ma puce qui nous dévoilait ses jambes dans une ambiance détendue. De plaisanterie en chamaillerie, j’en vins à lui chatouiller la taille et l’amener à se débattre pour tenter de m’échapper. Ses mouvements désordonnés et ses battements de jambes dévoilèrent inconsciemment sa culotte plusieurs fois à notre invité qui, Véro se retrouvant en travers, attrapa ses pieds pour ne pas prendre de mauvais coups. Elle tenta à nouveau de fuir en écartant les genoux mais Damien assura sa prise et sa jupe glissa si haut sur ses cuisses que cela nous calma aussitôt. Les pieds toujours retenus par les mains de notre invité, Véro rabattit sa jupe et attrapa mes mains pour m’empêcher de recommencer en me faisant les gros yeux. Nous venions tous les deux de voir clairement sa culotte, et visiblement Damien avait apprécié. Joueur, il lui dit qu’il ne la savait pas si chatouilleuse et, l’air de rien, lui stimula la plante du pied. Il eut de nouveau droit à une vision agréable avant de lui promettre d’arrêter.

Cette vision, qu’il pensait involontaire, nous rendit complices et je me rendis compte que même le caraco de ma puce n’était plus aussi présentable. La dentelle de son soutien-gorge était visible, ce qui n’échappa pas au regard de Damien qui s’enhardit à la féliciter pour ses dessous.


Le calme revenu, la discussion reprit sur leurs vacances. Véro, de travers le dos sur moi, les pieds maintenus toujours posés sur les cuisses de notre invité, maintenait mes mains en se lovant contre moi. Son attitude m’amena à poser innocemment ma main sur son sein et à le caresser sur le caraco, l’air de rien, sous le regard complice de notre invité qui faisait mine de rien.

La conversation se tarissant avec l’heure qui avançait, je me rendis compte que la radio diffusait des slows, ce qui m’incita à proposer de danser.



Calculateur, il savait qu’avec une seule femme, il se retrouverait vite dans ses bras avec ma bénédiction. Profitant du fait que je me lève pour allumer le chenillard et sélectionner un enregistrement maison de slows, Véro fila aux toilettes tandis que notre invité se dégourdit les jambes. Lorsqu’elle revint, je la pris dans mes bras et immédiatement nous dansâmes en nous regardant dans les yeux. Bonne maîtresse de maison, au deuxième slow elle changea de cavalier et dansa avec notre invité en tout bien tout honneur tandis que je les regardais. Alangui sur le canapé lit après avoir éteint la cuisine, j’attendais mon tour en observant leurs gestes.


L’enchaînement des slows ne laissa aucun répit à ma compagne et nous la fîmes danser de plus en plus langoureusement. Les regarder dans les bras l’un de l’autre me remémora leurs vacances et me donna une idée. L’alternance entre nous se déroulant sans anicroche, je me fis très câlin lorsque mon tour arriva. J’entrepris de dénouer lentement le nœud du caraco sous l’œil intéressé de mon acolyte, qui comme moi auparavant, à moitié allongé sur le lit, nous regardait évoluer.

Lorsqu’elle s’en rendit compte, Véro voulut protester. Avec un peu de persuasion, en prenant la plage comme exemple, je réussis à lui faire accepter que ce n’était pas bien grave de danser en soutien-gorge avec si peu de lumière devant Damien qui, par ailleurs, en avait sûrement vu d’autres.

Sous les lumières alternant entre bleu, vert, rouge et jaune, je l’effeuillais doucement en lui chuchotant des « Je t’aime » à l’oreille pour ne pas la bloquer tandis que résonnait Hotel California des Eagles. Je réussis à lui enlever progressivement son caraco tout en lui cajolant les épaules et le bras, et confiante, elle m‘aida à libérer ses mains avant de me reprendre par le cou.


Lorsque mon slow prit fin, Damien se leva et attendit en tendant la main pour attaquer la danse suivante, Desperado des Eagles. Il la prit dans ses bras, non sans l’observer dans les yeux, voire plus bas, et l’enserra en touchant pour la première fois son dos nu. Ce contact dut surprendre ma puce, car malgré la faible intensité lumineuse je la vis se contracter l’espace d’une seconde avant de rapprocher de lui pour passer sa main sur son épaule.

Il lui parla un peu, la flatta sûrement en la tenant entre ses mains ; mais pas de chance pour lui, le morceau ne dura pas longtemps.


Sachant qu’il ne fallait pas la laisser analyser la chose, je repris ma puce en mains avec la ferme intention de lui décrocher le soutien-gorge pour dénuder sa poitrine. Damien, peut-être sur la même longueur d’onde que moi, s’absenta à la cuisine sans allumer pour boire un verre et me laissa déambuler librement. Nous échangeâmes un baiser, et sournoisement je fis sauter l’agrafe de son soutif d’un mouvement rapide. Elle voulut réagir mais Damien revint au bon moment et Véro se colla contre moi pour cacher sa poitrine. Bien entendu, je fis glisser les bretelles de ses épaules en lui disant que, de toute façon, avec ou sans, cela ne changeait pas grand-chose car la lumière était trop faible. Sachant que le soutien-gorge était coincé entre nous, je fis glisser les bretelles jusqu’à ses mains pour l’obliger à retirer ce petit morceau de lingerie, puis je le tendis à Damien qui attendait son tour derrière elle. Sitôt débarrassé du vêtement, tout en resserrant Véro dans mes bras pour la rassurer, je lui dis tendrement que je la trouvais belle et que je l’aimais.


Lorsque notre lent déhanchement l’amena à avoir le visage tourné vers notre invité, elle cacha sa figure contre mon corps pour ne pas croiser son regard. Je profitai de sa timidité pour lui caresser le dos et le haut des fesses, gestes que ne put voir mon comparse.

Finalement, après quelques dizaines de secondes, elle accepta de danser torse nu, les deux mains autour de mon cou sous cet éclairage changeant, et cela me fit plaisir de constater qu’elle ne se dérobait plus devant Damien.

Vu que j’étais bien parti, dans le dos de ma puce, je fis un signe d’attente à notre invité pour enchaîner un deuxième slow, Private investigations de Dire Straits, notre musique, avec l’idée de la tester en touchant son sein du pouce droit…

Ma caresse fut perçue sans équivoque car Véro m’adressa un regard critique. Comme elle ne se dérobait pas, cela m’amena à lui caresser le dos et la fesse avant de lui dire que j’avais envie de danser corps à corps avec elle avant de retirer rapidement mon tee-shirt afin de me mettre torse nu à mon tour. Damien, d’un signe, m’imita alors qu’elle lui tournait le dos, ce qui le mit à égalité avec nous. Lorsqu’elle le vit torse nu, elle me regarda dans les yeux et me fit un petit sourire silencieux, comprenant qu’au prochain slow, ils allaient aussi danser corps à corps. Sans l’avouer bien entendu, elle sembla s’en réjouir et attendit la suite en se lovant à mon cou, laissant mes mains caressantes parcourir son dos.


Le morceau prenant fin, je tendis la main de ma puce vers son collègue, ce qui lui permit, en la prenant dans ses bras pour le morceau suivant, d’enfin mater sa poitrine de près. Cette complicité lui décrocha un rictus de satisfaction, ou de remerciement.


Mon imagination prit le dessus en découvrant leur évolution lascive, voire érotique car leurs corps changeaient de couleur au gré de l’éclairage et de leurs déhanchements, comme la lente musique évocatrice, Night in white satin des Moody blues.

Le sentant mater ses seins de près, se sentant en confiance ou peut-être pour masquer sa gêne, Véro provoqua le contact en se serrant contre Damien. Ce fut du moins ma première pensée, à moins que ce ne soit pour l’empêcher de tenter de caresser ou de mémoriser sa poitrine, comme je l’avais fait juste avant, tandis que ses tétons semblaient sortis. Je me mis à imaginer son excitation en sentant des mains se promener sur sa peau nue ou sur le haut de ses fesses, même si celles-ci étaient recouvertes de sa jupe. Comme moi, Damien en profitait et lui caressait tendrement le dos. Paradoxe, j’avais envie qu’ils soient excités, qu’elle le sente bander et qu’il la fasse mouiller.


Profitant de ce corps à corps, la main droite de ma puce, posée au début du slow sur le torse de son cavalier, rejoignit lors de leur évolution sa main gauche autour du cou de notre invité. Elle le tenait comme elle me tenait, oserais-je dire amoureusement, et avait la tête posée contre son poitrail !

Ne la laissant pas souffler, je repris la danse suivante, sachant qu’il ne restait que deux slows avant la fin de l’enregistrement.

Je fis passer volontairement ma main sur le sein de mon amour avant de la coller contre moi. Cette caresse fit converger nos yeux et nous échangeâmes un merveilleux baiser devant notre invité qui fit mine de regarder ailleurs. Mon excitation me conduisit ensuite à lui caresser les fesses sans toutefois soulever sa jupe, laissant cette initiative à Damien s’il le souhaitait lors de leur dernière danse.

Bien entendu, l’air de rien, son collègue nous espionnait et la dévorait des yeux car il pouvait admirer le galbe de sa poitrine.


Le dernier slow arriva, et comme moi, connaissant l’enregistrement, elle le reconnut : Et tu danses avec lui, de C. Jérôme.

D’abord hésitante à cause des paroles, elle fut enveloppée par notre invité qui comme moi, ayant constaté depuis longtemps ma complicité, s’arrangea pour lui toucher le sein en la prenant dans ses bras. Véro fit mine de rien mais ce geste ne m’échappa pas car je savais que cela n’était pas un faux mouvement. Ils se regardèrent intensément, me laissant croire à la possibilité d’échanger un baiser langoureux, puis Véro posa sa joue gauche contre Damien et ce dernier lui flatta le dos très tendrement.

Lors de leur rotation, je fus surpris de constater que ma puce avait les yeux fermés et je compris qu’elle savourait ce moment câlin tandis que Damien lui caressait doucement le bas du dos et la fesse, d’abord derrière, puis devant moi.


Sentant nos mains devenir trop caressantes, et peut-être pour ne pas aller trop loin justement, elle déclara forfait à la fin du slow et nous annonça qu’elle était fatiguée. Elle alla prendre un verre d’eau à la cuisine, alluma pour ce faire la pièce, ce qui permit de révéler franchement sa poitrine aux tétins érigés puis, sitôt son verre posé, je la pris dans mes bras en lui annonçant que j’allais la porter au lit. Ces mots désolèrent mon acolyte qui nous souhaita bonne nuit et comprit que la soirée touchait à sa fin. Comprenant sa déception, mais gagné par l’excitation, je me suis arrangé pour mettre ses fesses en vue en levant haut ses jambes en la prenant dans mes bras, puis j’ai demandé à mon comparse :



Attendant qu’il se trouve sur mon chemin pour lui faire toucher furtivement la peau des fesses de Véro, j’ai forcé le passage du couloir pour lui mettre la poitrine de ma puce sous les yeux et l’obliger à lui toucher les fesses de la main.

Pénétrant dans le long couloir de la chambre, je lui ai ensuite demandé d’allumer la lumière de la table de nuit pour le faire pénétrer dans notre chambre sans éveiller les soupçons. Sitôt exécuté, je lui mis ma puce dans les bras en lui disant de la tenir en attendant que j’ouvre le lit, oh juste une couette, seul stratagème qui me vint à l’esprit pour qu’il la touche un peu.

Lorsqu’il la souleva, elle n’eut d’autre choix que de lui passer la main autour du cou pour se retenir, ce qui facilita de fait le changement de partenaire. Croyant que nous la mettions simplement au lit, confiante, elle le tint par le cou à deux mains, bien qu’à moitié ivre de fatigue et d’alcool. Il rajusta sa prise en la resserrant contre lui, matant sa poitrine offerte sous ses yeux par la même occasion, tandis que je contournais le lit pour l’ouvrir et me positionner dessus, prêt à la reprendre… ce que je ne fis pas pour lui laisser le soin de la déposer lui-même au risque d’un contact avec sa poitrine.


Une fois posée sur le lit, il se redressa. Le voyant prêt à nous laisser, je lui ai proposé d’attendre qu’elle soit couchée pour qu’il puisse lui souhaiter bonne nuit. Il comprit où je voulais en venir en suivant mon regard courir sur le corps de Véro juste avant que nos yeux se recroisent. Nous voyant en train de l’attendre, elle retira sa jupe et tenta de se couvrir rapidement avec la couette mais… peine perdue, car je bloquais astucieusement celle-ci sous mes genoux. Seins nus, elle offrit involontairement la vue de sa belle culotte à Damien en essayant malgré tout de tirer la couette à elle. Se mettant à genoux pour me virer, je lui fis comprendre que pour avoir la couette, je voulais un bisou pour moi et un autre pour notre invité. Elle m’embrassa sur la joue et fit de même avec Damien en se hissant face à lui, oubliant sa tenue. Ne l’entendant pas de cette manière, je surenchéris :



Elle m’embrassa sur la bouche et lui fit deux bises, croyant s’en sortir à bon compte…



Elle me regarda, remua la tête en signe de soumission puis lui fit un piou avant d’attaquer un réel baiser vu que je ne bougeais pas de la couette.

Sûrement pour me le faire payer, elle le prit par le cou, se colla à lui, l’embrassa sans retenue, vraisemblablement en fermant les yeux et il se laissa faire. Un peu jaloux, j’ai quémandé un autre bisou dans le but de la faire tomber sur le lit et l’attirer à moi. Cela me permit aussi de faire signe derrière son dos à Damien pour qu’il nous rejoigne sur le lit. Il sembla hésiter, puis se décida et s’installa derrière elle. Sentant sa présence, elle se décala vers moi, me poussa pour pouvoir se remettre sur le dos et tenter de se redresser, mais n’eut pas la force de se relever car ma main lui pressait l’épaule pour la maintenir allongée.


Posant ma cuisse sur la sienne, je lui fis un nouveau bisou en lui tenant le menton tandis que Damien, allongé sur le côté, attendait à sa droite qu’elle tourne la tête pour m’imiter.

Ce fut certainement lorsqu’il posa sa main sur son ventre qu’elle rompit notre baiser pour le regarder. Ce dernier, voyant la bouche libre, approcha ses lèvres et l’investit sous mes yeux avec beaucoup de douceur.

Leur baiser me fit sourire car curieusement je n’éprouvais plus de jalousie. J’étais coupable de cette situation, je l’avais bien cherchée, et tout en l’embrassant, la main de son collègue vint caresser le sein droit de ma chérie qui le laissa faire sans réagir.

D’abord un peu forcée, elle devint plus coopérative et comprit vers où cela risquait immanquablement de nous conduire, car elle savait que je fantasmais sur l’idée d’une aventure à trois avec elle et que nous venions de franchir un cap quasi décisif.


Nous lui flattions chacun un sein ou roulions ses tétins tout en l’embrassant alternativement, sur la bouche, l’épaule ou les seins alors qu’elle avait passé ses mains derrière nos têtes. J’avais ma jambe sur la sienne mais il n’était plus question de la maintenir car elle semblait apprécier la situation.

Immanquablement, la culotte de Véro attira notre invité. Il l’observa en souriant, la frôla du majeur en esquissant le contour du complet veston, palpa un peu son sexe pour tester la réaction de ma puce. Devant l’absence de refus, l’index glissa dessous par le côté pour aller stimuler un peu sa vulve. Véro frémit mais céda cependant à la tentation, allant même au-devant de la caresse en soulevant légèrement le bassin tout en me regardant suivre cette main du regard. Cela m’excita tant que je ne pus m’empêcher de demander à Damien :



Le doigt vicieux conduisit Véro à lever les lèvres vers ma bouche pour quémander un baiser et, la connaissant suffisamment, vraisemblablement se donner bonne conscience. Me penchant vers elle, elle remit sa tête sur l’oreiller et nous échangeâmes un délicieux baiser, auquel elle participa activement. Après avoir libéré ses lèvres, je me rendis compte que la main de Damien était entièrement dans sa culotte, par le haut cette fois et qu’il la masturbait doucement, d’où cet entrain à m’embrasser.

Cette vision m’excita si fort que je pris sa poitrine en mains et en bouche afin de la dévorer. Je fis aussi tomber la couette du pied pour être plus à l’aise tout en regardant la main s’activer plus bas, laissant notre invité s’occuper de son intimité.

Savourant nos caresses, elle réclama qu’on l’embrasse en tendant ses lèvres vers Damien qui, allongé à sa droite, la regardait.


Lorsqu’il la libéra, je pris le relais. Il en profita pour se lever et entreprit de descendre et de lui enlever sa culotte. Véro, sachant que c’était son dernier rempart, se contracta quelques secondes, le temps que je comprenne et que je réussisse à la convaincre de ne pas résister vainement en posant ma main sur son épaule droite.

Il se pencha au-dessus d’elle et fit glisser lentement la lingerie le long de ses jambes en dévorant du regard son chaton.

Elle en avait envie, je le savais, mais elle se retenait rapport à moi.

Il retira juste après son pantalon en matant le pubis châtain de ma puce alors qu’elle serrait les cuisses, puis revint s’allonger en exhibant un sexe bien bandé sous son slip. Une fois à ses côtés, il posa sa main sur le haut de sa cuisse, à proximité de sa vulve, et son sexe à proximité de la main de ma puce, le long de sa jambe. Elle nous fixa alternativement, nous jaugea, puis tendit à nouveau ses lèvres vers nous, à tour de rôle, en fermant les yeux.

Croyant l’affaire entendue puisque nue elle cédait en l’embrassant, j’en ai profité moi aussi pour me lever et retirer mon pantalon ; mais joueuse, elle feinta et réussit à surprendre Damien en s’échappant de son emprise, ce qui le laissa coi.

Rattrapant Véro debout au pied du lit d’un geste réflexe, je lui pris les mains et lui dis tendrement :



Il se leva derrière elle pour empaumer son 85B à deux mains, par derrière, lui faisant immanquablement sentir son érection par la même occasion.

Je savais qu’elle était excitée depuis les slows mais sa timidité l’empêchait d’aller plus loin, et ce même si l’envie était là.

Tandis qu’il la tenait contre lui en l’embrassant dans le cou, je fis descendre mon slip en ajoutant :



Damien en profita et, tout en me regardant, roula ses petites pointes entre ses pouces et ses index, ce qui déclencha peut-être le déclic car après quelques secondes, Véro se retourna, l’observa, baissa le regard vers le sexe de notre invité. En relevant la tête, elle croisa son regard puis tendit les lèvres vers lui en posant sa main sur la protubérance cachée par le slip. Je sus à ce moment que c’était gagné.


Je les ai laissés faire quelques secondes en observant la scène et, même si je savais que j’allais être cocu, c’était beau à voir et cela restera une image gravée dans ma mémoire.

Lorsqu’elle passa sa main sous l’élastique du slip, je me dis que plus rien ne pourrait l’arrêter ; mais la connaissant suffisamment aussi pour savoir que cela pouvait être une nouvelle ruse pour faire diversion, j’eus l’idée de me poster devant la porte, au cas où. Bien m’en prit car son sourire en me regardant m’informa que j’avais lu dans ses pensées.

Afin de mieux savourer le branle et lui faciliter la manœuvre, son lointain collègue baissa son slip devenu gênant. Aussitôt les yeux de ma belle se posèrent sur l’engin qu’elle caressait tandis qu’il se dégageait les pieds.

Sachant que ma puce est une reine de la pipe et qu’elle adore cela car cela lui donne du pouvoir sur moi, ou sur les hommes en général car seule elle maîtrise l’orgasme, je me suis senti obligé de lui dire en baissant les yeux vers le sexe masculin :



Elle nous regarda alternativement et finit par s’exécuter en pliant les reins puis, sous l’impulsion de la main de Damien, prit le gland en bouche en se servant de sa main pour améliorer la fellation. Je compris qu’elle irait jusqu’au bout, ou tout du moins au bout de la fellation en la voyant œuvrer. Le point de non-retour ayant été atteint, je l’observai en vantant ses mérites à mon comparse qui approuva en lui caressant les cheveux mais, ne voulant certainement pas jouir trop vite, au bout de quelques minutes ce dernier lui demanda de s’allonger pour qu’il lui rende la pareille. Elle le regarda avec un petit rictus puis se redressa et se coucha sur le lit.

Véro se dévoilait enfin totalement devant notre invité en écartant les cuisses, attendant que ce dernier aussi s’occupe d’elle.


Poli, après un regard vers moi, son courtisan se positionna à genoux entre ses cuisses et goûta à son tour le sexe de ma belle tandis que je me mettais à ses côtés pour l’embrasser. Malgré un petit frisson lors du contact de la langue sur son calice, Véro nous gratifia rapidement du son de ses gémissements. Je pus constater que ses jambes étaient repliées et très écartées pour mieux s’offrir à son galant. Les mains sous ses fesses, Damien dirigeait habilement sa langue dans les moindres recoins, me laissant m’occuper des seins fermes et érigés de ma puce. Nous la conduisîmes au plaisir de la sorte et un violent orgasme la gagna alors qu’il l’empêchait de refermer les cuisses pour la soumettre un peu.


Lorsqu’il remonta un peu plus sur le lit pour entreprendre de lui téter le sein, elle s’empara aussitôt de sa tête pour lui rouler un fougueux patin. Ceci m’incita à descendre à mon tour goûter la liqueur de ma puce et inverser les rôles en laissant le haut de sa personne à mon invité. Nous l’excitâmes à nouveau tous les deux et je ne pus m’empêcher de positionner mon sexe en elle en la voyant totalement offerte à nos mains, à nos bouches.

Tandis que je l’honorais, j’entendis Damien en homme intelligent lui dire d’une voix douce proche de l’oreille :



Elle gardait son courtisan sous son bras, la main bien à plat sur son épaule, le laissant lui peloter allégrement le sein. Mon éjaculation intervint juste après cette déclaration.

Puisqu’elle avait donné son accord, après m’être vidé je me suis retiré pour m’allonger à ses côtés et céder ma place à son collègue. Aussitôt ce dernier se faufila entre les cuisses écartées.

Lorsque son pénis passa la barrière de la vulve gonflée, les yeux de ma puce s’ouvrirent pour chercher son regard et se refermèrent aussitôt pour apprécier la pénétration. Une fois en elle, le visage de Véro se tourna vers moi et nos regards se croisèrent pour échanger un rictus de complicité. Damien se mut progressivement entre ses cuisses, s’épandit à son tour en elle et lui déclencha par la même occasion un violent orgasme. Lorsqu’après s’être vidé à son tour il se retira, ma puce se cacha dans mes bras. Elle me dit des mots d’amour, ce qui me rassura sur son envie de rester avec moi. Après un baiser, elle se leva en se tenant la vulve, récoltant nos spermes mélangés dans ses doigts, puis fila aux toilettes en disant « Ça coule ! ».

Nous partageâmes avec Damien un sourire complice en constatant l’état du lit ; puis, profitant de l’absence de Véro, négociâmes quelques propositions sur lesquelles nous tombâmes d’accord. À savoir : il ne parlerait à personne de cette soirée, ne l’importunerait pas, ne la courtiserait pas derrière mon dos et, en échange, je m’arrangerais pour qu’il puisse nous rejoindre afin de profiter à nouveau de ses charmes et de ses faveurs. Les photos étaient interdites et le respect était de mise. L’accord se conclut par une poignée de mains au moment où elle sortit de la salle de bain, après s’être lavé les dents.


Lorsqu’elle revint, vêtue de sa liquette pour la nuit, elle fut étonnée de le trouver encore nu sur notre lit. Nous nous levâmes tous les deux pour aller nous laver, et en sortant de la salle d’eau je lui fis signe de me suivre. Véro me regarda entrer dans la chambre et fut surprise de voir que je ne fermais pas la porte. Au moment où elle s’apprêtait à me le faire remarquer, Damien pénétra à son tour dans la pièce.



Vu que ni l’un ni l’autre n’entendîmes de refus, cela nous conduisit à l’encadrer de nouveau. Après quelques caresses sur son corps, histoire de l’exciter un peu, Véro se déplaça après un petit encouragement à l’oreille pour prendre le sexe de Damien entre ses doigts. Elle le dirigea vers sa bouche et je ne pus que me réjouir de voir sa bouche s’appliquer sur la queue de son collègue éloigné. Rapidement, nous bandâmes tous les deux en la voyant en action. Je fis mettre ma puce à genoux en la prenant entre mes mains puis naturellement, après avoir relevé sa liquette sur son dos et dévoilé ses fesses, j’investis son corps à mon tour en pénétrant sa vulve déjà bien gonflée d’envie en levrette.


Un long sandwich s’ensuivit, chacun prenant son temps pour faire durer le plaisir de l’autre.

Devant l’habileté de ma puce, Damien éjacula une petite quantité de sperme – je pense dans sa bouche – en se contractant de plaisir. Lorsqu’elle releva la tête, je me mis en action plus rapidement pour pousser mon pieu au fond d’elle et jouir à mon tour.

En se couchant les uns et les autres, son amant d’un soir lui dit avec un petit sourire satisfait :



Exténués, sitôt allongés nous nous endormîmes presque aussitôt, parallèlement les uns aux autres, ma puce bien entendu au milieu. Heureusement que nous avions un lit en 160 pour nous permettre ce rapprochement. Le lendemain, en me réveillant à la lumière du jour, je vis ses yeux me fixer et je compris son angoisse en découvrant Damien endormi à ses côtés, la couette ne cachant plus son sexe. Nous nous levâmes de mon côté, ce qui le réveilla et elle s’enfuit à la salle de bain passer un peignoir.

Il nous quitta une heure plus tard pour aller dîner chez ses parents et lorsqu’ensuite j’ai demandé à ma puce si elle avait aimé la soirée, elle se blottit dans mes bras et me dit :