n° 15622 | Fiche technique | 12891 caractères | 12891Temps de lecture estimé : 8 mn | 29/05/13 |
Résumé: Fati va initier ses voisins à goûter son corps et proposer à son mari de partager sa jolie banquière. | ||||
Critères: fhh ffh extracon travail collection fmast 69 fdanus échange jeu confession -totalsexe -couple+f -extraconj | ||||
Auteur : DuranDuran Envoi mini-message |
Bonjour, je m’appelle Fati et je vis à Montauban avec mon mari Bernard. Nous vivons ensemble depuis deux ans, mais c’est de ma vie d’avant dont il sera question.
J’avais trente-cinq ans ; mariée à un bel homme insipide, j’avais deux enfants et travaillais à mi-temps dans une agence immobilière comme secrétaire commerciale. On dit de moi que je suis une belle brune qui respire la sensualité : je suis longue et fine avec quelques rondeurs, toujours habillée assez moulant mais élégant ; et si, personnellement, je devais mettre un point en avant, je parlerais de mon sourire et de mes yeux clairs derrière de jolies lunettes rondes.
Nous habitions une petite maison dans la banlieue de Montauban et nos nouveaux voisins venaient d’aménager. Il s’agissait de Yannick et Denis, jeune et charmant couple d’imprimeurs homosexuels d’une trentaine d’années. Dès que j’ai fait leur connaissance, quelque chose m’a troublée : leur beauté, leur féminité, leurs rires, leur délicatesse, et j’ai ressenti une certaine jalousie par rapport à leur amour et comme une envie de m’immiscer dans leur harmonie.
Un après-midi de printemps, je traînais sur la terrasse et, les voyant derrière la haie, je les appelai pour boire un verre. Nous nous installâmes au salon et, l’alcool aidant, la discussion finit rapidement par s’orienter sur le sexe. Discrètement, Yannick – grande brute aux cheveux clairs très courts – lorgnait de plus en plus sous ma jupe plissée noire. Quand je m’en rendis compte, un petit diable s’empara de ma conscience, et naïvement je me mis à me trémousser pour que Yannick puisse subrepticement voir le blanc de ma culotte. Feignant de chercher mon verre, j’ouvris légèrement mes cuisses. Denis comprit le jeu lui aussi, et bientôt leurs regards se fixèrent sur mon entrejambe.
Le téléphone sonna et me sortit du rêve. Mon mari m’appelait pour me dire qu’il ne rentrerait que dans deux heures et passerait chercher les enfants. Il me demanda ce que je faisais et je lui répondis que je bouquinais. Yannick et Denis sourirent et pendant que mon mari me racontait sa journée, ils s’assirent à côté de moi et commencèrent ensemble à caresser mes jambes nues. Du regard, je fis mine de me vexer de leur audace, mais j’oubliai toutefois de refermer mes jambes. Un doigt mutin de Yannick glissa sur ma culotte, me branla entre les lèvres, et finit dans la bouche de Denis. Mon mari parlait, parlait, et mes deux amis se mirent à s’occuper de mes seins. Mon chemisier gris clair ne résista pas longtemps à leurs doigts agiles, ni mon soutien-gorge. Une main se glissa sous ma culotte et immédiatement un doigt entra dans ma grotte intensément humide.
Leurs deux bouches me suçaient les seins. J’avais de plus en plus de mal à écouter mon mari. Yannick se mit debout devant moi, sortit de son jean une superbe verge en érection et commença à se branler doucement. Je dis au revoir à mon cher mari, et au moment où la communication fut coupée, une bite entra dans ma bouche. Je la suçai comme une forcenée, bavant et grognant comme une salope. J’avais envie de les exciter, mes petits homos, de leur montrer qu’une femme peut aussi être un animal sexuel. Je me retrouvai à quatre pattes sur le canapé, la jupe noire retroussée et la culotte à mi-cuisses, avec maintenant la bite de Denis dans la gorge. Yannick me bouffait le cul et, avec sa langue agile, il tentait de me sodomiser.
D’une main, j’écartai mes fesses pour l’encourager. Je sentais que ma chatte, même parfaitement lisse et entretenue, leur faisait moins d’effet que mon cul. Denis me fit me lever et me bascula sur la lourde table de la salle à manger. La poitrine écrasée sur la table, je sentis une bite me perforer l’anus et après quelques va-et-vient timides, le rythme s’accéléra et je fus pistonnée comme une bête. Sans dire un seul mot, chacun leur tour, ils m’enculèrent dans une douce violence. Je sentais la pression monter. Ils arrivaient de moins en moins à se contrôler. J’avais envie de sperme.
Au moment où Denis sortit de mon cul et avant le nouvel enculage de Yannick, je me retournai, m’accroupis entre eux deux, les cuisses largement écartées et la culotte aux chevilles. D’une main je me branlai la chatte et de l’autre, par derrière, me labourai le trou du cul distendu. J’ouvris grand la bouche pour goûter à leur foutre chaud. Ils giclèrent en même temps sur mon visage ; mes lunettes furent maculées de sperme crémeux. Je tremblais tellement j’avais joui. Ils me sourirent et léchèrent leur foutre sur mes joues et mes seins. Quand je revins de la salle de bain, ils étaient partis. Ils me racontèrent qu’ils avaient continué tous les deux, entre hommes, et que leur plaisir avait été immense.
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Régulièrement, ils repassaient à la maison. Nous nous téléphonions pour trouver des créneaux horaires sûrs et pour élaborer des scénarii. Je me souviens de la première fois où ils me prirent la chatte. C’était une première pour Denis mais il m’avoua qu’il préférait mon cul ou ma bouche ! Moi aussi ! Une autre fois, je fis la Belle au Bois dormant, et ils usèrent et abusèrent de ma gorge et de mon anus pendant que je faisais semblant de dormir. Une autre fois – et ce fut la dernière avant leur déménagement – ils invitèrent un ami et je fus pendant tout un après-midi prise par tous les trous.
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Avec le temps, j’ai réussi à débloquer un peu mon mari, Bernard. Il faut dire que j’étais en manque de sexe depuis le départ de mes gentils voisins. Mon dernier passage dans ma banque m’avait donné quelques idées. Pascale, ma banquière, une très jolie femme de 40 ans, très sensuelle, très autoritaire, châtain clair, petit format, et qui plairait beaucoup à mon compagnon. En effet, elle ressemble un peu à son ex.
Nous en avons beaucoup parlé avec Bernard, qui l’a toujours trouvée attirante, et nous avons décidé de tenter notre chance. C’était une première pour nous !
J’ai pris rendez-vous avec elle, et elle nous a accueillis, Bernard et moi, un matin de semaine. Elle portait de hautes bottes à talons et une robe noire moulante sans manches qui mettait en valeur ses formes. Elle nous a précédés dans l’escalier qui mène à son bureau et nous avons eu le loisir de voir ses jambes gainées de beige, ses fesses musclées, et dans le pli de la robe, le haut de ses Dim-up. Nous étions déjà tout excités.
Elle nous a installés et a commencé à nous parler de nos comptes, de la retraite, et je ne voyais que sa bouche rouge dans laquelle j’avais envie de glisser ma langue.
À un moment, elle s’est levée pour chercher dans son armoire un document sur les retraites ; elle s’accroupit, et sa robe remonta légèrement sur ses cuisses qui s’entrouvrirent un peu, montrant en haut des bas clairs un peu de chair blanche…
Mon mari me sourit. Il pensait à la même chose que moi !
Elle vint entre nos deux chaises, debout, appuyée sur le bureau pour nous commenter le document d’une voix rauque et profonde ; son souffle était court. Au même instant, je posai ma main sur sa fesse droite et mon mari ouvrit sa braguette pour sortir son sexe.
Elle cria, ou plutôt gloussa :
Mon mari continua de caresser les fesses et les cuisses de la jolie banquière ; ses mains se glissèrent sous la robe noire pendant que je me branlais doucement. Il a légèrement remonté la robe de Pascale et a passé un doigt sur son slip de satin blanc, accentuant la fente entre ses deux lèvres. Toujours debout, Pascale écarta un peu les jambes afin de faciliter le glissement du doigt mutin de mon homme. Elle exagéra la cambrure de ses reins ; le doigt s’insinua dans sa fente. Doucement, le tissu s’imbibait de ses liqueurs. Elle se mordit les lèvres pour ne pas geindre trop fort.
Elle sourit enfin. Elle s’accroupit devant lui, écartant maintenant largement les jambes ; je devinais sa petite culotte blanche… Elle glissa enfin la bite dans sa bouche. On voyait qu’elle n’en était pas à sa première pipe : c’était une experte dans l’art de l’aspiration et du massage de couilles. Elle tapotait ses joues avec la queue dressée, léchait la hampe longuement. Ses joues se creusaient, elle grognait, bavait un peu. Pascale enfonça la verge de Bernard au fond de sa gorge. Je me mis à genoux à côté d’elle et tentai de passer ma main dans sa culotte ; ses cuisses étaient toujours largement ouvertes.
Avec ma deuxième main, je remontai la jupe de Pascale et glissai par derrière un doigt dans la raie de ses fesses, lui humidifiant le rectum de ses sécrétions vaginales.
Pascale était en transe. Mes grossièretés, au lieu de la bloquer, la mettaient dans un état d’excitation absolue. Elle avalait encore plus fort la bite de mon mari et secouait comme une chienne son bassin. Mon pouce rentra dans le trou du cul de ma belle banquière. Elle sursauta un peu mais continua à aspirer la bite. Elle ondulait de plus en plus violemment des fesses pour mieux profiter de la double introduction : deux doigts dans la chatte par-devant, et un doigt dans le cul.
Pascale se redressa, remonta sa jupe, fit descendre son slip mouillé à mi-cuisses, un peu au-dessus de ses bottes, et appuya ses coudes contre le bureau. Si ses collègues avaient su cela !
On sentait bien qu’elle avait une énorme envie de se faire bourrer le cul violemment et de se faire traiter de pute, de garce, de salope. Moi, toujours à genoux, j’avais envie aussi de sucer mon homme avant de diriger moi-même les opérations de pénétration. J’étais brûlante à en avoir mal. Je glissai la bite dans l’anus de Pascale partiellement dilaté ; Bernard s’enfonça d’un coup sec dans son cul lubrifié.
De ses deux mains, elle écartait ses fesses pour être pilonnée encore plus loin, ses seins collés sur le bureau. Il la taraudait à grands coups de queue, et sortait parfois pour regarder son trou grand ouvert. J’en profitais alors pour le sucer et apprécier le goût poivré de Pascale sur la queue de mon mari. Pascale se branlait la chatte. Bernard rentra violemment dans ce cul offert. Elle devint hystérique, demandant des bites et des doigts partout ; je lui malaxais les seins à travers la robe. Elle soufflait comme une furie, cherchant la sodomie la plus profonde et la plus violente.
Pascale s’accroupit, une fois de plus, près de moi, sa culotte à ses chevilles, les cuisses largement ouvertes, la fente baveuse. Nos deux têtes se touchaient, mélangeant mes cheveux noirs aux cheveux clairs de Pascale. Nous échangeâmes un long baiser avant de regarder la bite comme deux assoiffées. Bernard éjacula sur nos beaux visages de longues traînées de crème blanche que, dans l’excitation, nous nous léchâmes mutuellement…
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Voilà, nous étions restés une petite heure dans son bureau. On a mis un mois avant de se revoir, à la maison cette fois. Maintenant, quand Bernard ou moi avons des envies de jeux coquins, Pascale raconte des craques à son mari et vient dîner à la maison ; et elle adore s’endormir avec la bite de mon mari dans le cul ou dans la bouche…