n° 15624 | Fiche technique | 9499 caractères | 9499 1688 Temps de lecture estimé : 7 mn |
31/05/13 |
Résumé: Laure et moi étions collégues de travail dans un centre de loisirs. Un physique à faire tourner la tête à plus d'un. Une souplesse de gymnaste. Et un faible pour les "bad boys". Je lui ai fait découvrir tous les endroits du centre. | ||||
Critères: fsodo fh hplusag cocus gymnastiqu sport travail lingerie intermast facial fellation cunnilingu preservati | ||||
Auteur : Rastaman |
L’histoire est une histoire vécue et bien réelle. Elle s’est déroulée il y a deux ans. Je vous en parle car nous nous sommes revus il y a quelques jours et cette rencontre fera l’objet d’un prochain récit.
À l’époque, je travaillais dans la banlieue est parisienne. Un centre de loisirs où l’ambiance de travail était cool, mais en ce qui concerne les filles de l’équipe, rien de bien intéressant.
Jusqu’au jour où arrive Laure. Elle rejoignait l’équipe en renfort le mercredi.
Elle se présente pendant que je la contemple : étudiante sophrologie, ayant pratiqué la GRS pendant 7 ans, 1 m70, 52 kg, en couple, cirque… Puis chacun de nous se présente. Quand vient mon tour, je la regarde droit dans les yeux et lui propose de lui faire visiter les lieux.
Au cours de cette visite, j’ai le temps de détailler ses courbes. Ses seins biens ronds, ni trop petits, ni trop gros. Et ses fesses ! Une paire de fesses bien fermes.
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Le mercredi suivant arrive. Comme elle ne connaît pas les enfants, ni le fonctionnement, le directeur m’annonce que nous formerons un binôme le temps qu’elle se familiarise. J’accepte sans soucis. Certains de mes collègues auraient bien voulu ma place.
Profitant de passer la journée en sa compagnie, je décide d’y aller franco et d’en savoir un maximum sur elle. Je découvre que son mec est flic, alors que moi je les fuis. Elle pratique le cirque comme moi. Elle a bientôt fini ses études de sophro. Elle a fait de la GRS pendant sept ans ce qui explique sa souplesse impressionnante.
Elle allie le geste à la parole et soulève une jambe, qu’elle vient placer derrière sa tête, m’offrant une vue magnifique sur son entrejambe. Elle porte des leggins noirs, qui mettent ses formes en valeur. J’ai mon entrejambe qui gonfle et dégonfle, parfois prêt à exploser.
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Les mercredis suivants, nous décidons de travailler ensemble afin de créer un spectacle de cirque avec un groupe d’enfants. Nous passons nos mercredis dans un dojo et je sens que je ne la laisse pas indifférente. Je décide de prendre les choses en mains. Je lui propose de répéter un petit spectacle hors travail.
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On se rejoint un lundi à 9 h dans le dojo. Elle arrive en jeans et chemisier. Je ne l’avais encore jamais vue dans cette tenue. WAHOU ! Je reste bouche bée. Bien que cette tenue lui aille très bien, elle s’avérait peu pratique pour ce que nous allions faire.
De mon côte, je quitte mon jeans et mon polo. Je remarque qu’elle ne me quitte pas des yeux. Je lui propose de rester dans cette tenue. Elle sourit et me dit que si je reste comme ca, elle ne pourra se concentrer sur ce qu’elle doit faire.
À son tour, elle se déshabille, dévoilant une lingerie simple mais très sexy, composée d’un ensemble string/soutien-gorge en dentelle violet. L’élastique de mon short se tend progressivement. Elle enfile des leggins et un débardeur blanc laissant entrevoir son ensemble.
J’ai du mal à me concentrer. Nous travaillons des portés pour un spectacle de cirque et mes mains se baladent sur son corps, effleurent ses seins, se posent sur fesses. Nos deux corps sont très proches. Elle semble apprécier autant que moi, à en juger par sa respiration qui s’accélère quand je la plaque dos contre moi. J’en profite pour lui titiller l’oreille du bout de ma langue, et mes mains glissent sur ses hanches pour l’attirer contre mon sexe dur, qui se glisse au creux de ses fesses.
C’est à ce moment que la femme de ménage débarque ! On éclate de rire et décidons de faire une petite pause.
Alors que nous nous dirigeons vers les sanitaires je l’attire dans une réserve. Je la plaque contre un mur et l’embrasse à pleine bouche. Nos langues ne mettent que quelques secondes à se trouver pour livrer une bataille intense. Mes mains se glissent sous ses vêtements pour caresser son corps qui frémit sous mes doigts.
Après avoir très rapidement parcouru mon torse, ses mains glissent dans mon caleçon, au moment ou l’un de mes doigts écarte ses grandes lèvres, déjà toutes mouillées.
J’ai une gaule, comme jamais. Et ses doigts qui caressent mes bourses pendant que son autre main me branle. Elle sait y faire.
Elle écarte un peu les cuisses, me laissant ainsi le plaisir de glisser deux doigts en elle. Je la sens partir. Mais elle se retire et me dit que ce n’est pas bien, car elle a un copain. Elle me propose toutefois de me finir à la main dans les WC.
De retour dans le dojo, nous récupérons chacun nos affaires et retournons à nos occupations chacun de notre côté.
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Le mercredi suivant, à la pause du midi, je propose à Laure d’aller installer l’atelier pour gagner du temps. Elle me rejoint alors que je suis dans la réserve avec tout le matériel sportif. Sans bruit elle entre et referme la porte derrière elle. En entendant la clé tourner dans la serrure, je me relève. Elle me fait signe de m’approcher puis m’attire contre elle. Elle se met à descendre le long de mon corps, défait ma ceinture et met à jour mon sexe, qu’elle se met à lécher et caresser. Je ne tarde pas à durcir et Laure me gratifie d’une pipe hors du commun. Elle fait ça à la perfection et quand après dix minutes je lui annonce qui je vais tout lâcher, elle me répond en accélérant le rythme et ne laissant s’échapper aucune goutte de mon sperme qui se déverse dans sa bouche.
Après avoir remis de l’ordre dans nos tenues, elle m’explique que son mec est distant en ce moment, mais qu’elle ne veut pas le tromper.
À partir de ce moment un petit jeu s’est mis en place entre nous. Des allusions bien salaces, des mains baladeuses…
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Après quelques semaines, au cours desquelles mes fantasmes avec Laure au centre ne faisaient que grandir, la voilà qui débarque pour une réunion. Elle est vêtue d’une robe blanche, légèrement transparente. Une fois la réunion terminée, elle me demande de l’accompagner dans la réserve de l’autre côté du centre pour l’aider à remonter du matériel. À peine arrivée dans la réserve, elle fait tomber sa robe sur ses chevilles. Elle ne porte aucun sous-vêtement. Elle semble s’offrir à moi. Je m’approche et lui mordille un téton pendant que l’autre est pétri entre mes doigts. Puis ma langue glisse le long de son ventre pour venir s’enfuir au creux de son sexe trempée. Mes doigts parcourent ses fesses. Elle gémit et se caresse la poitrine. Ma langue glisse jusqu’à son anus alors que mes doigts explorent son vagin et jouent avec son clitoris. J’alterne entre les deux.
Au début un peu réticente, ma langue puis mes doigts s’introduisent dans son cul pour la première fois de sa vie. Elle essaie de rester discrète, mais un cri de jouissance résonne dans la pièce. Elle me relève en me tirant par les cheveux et me supplie de la prendre tout de suite. Elle m’allonge par terre et vient s’empaler sur ma verge. Elle commence doucement puis accélère le rythme. Je me relève et la plaque contre le mur. Elle ne touche plus terre et son excitation est à son maximum. Je la prends alors en levrette et finis par exploser dans un râle de jouissance.
Elle me remercie et se rhabille. Puis elle me dit que si je veux on peut continuer nos petits jeux mais à une condition : que personne ne soit au courant. Aucun souci pour moi. Bien au contraire. Un plan cul comme ça, ça ne se refuse pas !
Nous avons donc continué à explorer tous les endroits que la structure pouvait nous offrir pour nos petits jeux. Nous l’avons fait dans la salle anim’: elle, plaquée contre la porte la tête devant le carreau pour voir dehors, moi debout derrière elle la pénétrant.
Nous avons aussi testé la salle des ordis, les différentes réserves, et même l’infirmerie.
Mais le moment qui restera dans nos mémoires et aussi celui de la camera, restera la répétition filmée la veille du spectacle.
Nous nous sommes retrouvés dans le dojo où tout avait commencé. Nous devions présenter notre spectacle aux enfants le lendemain. Nous avions prévu une camera pour visualiser le rendu. Nous avons bien bossé pendant deux heures. Nous étions prêts. C’est le moment qu’a choisi Laure pour se rapprocher de moi et m’enlever mon tee-shirt. Je fais alors la même chose, en m’imaginant qu’elle va refuser. Mais bien au contraire, elle dégrafe son soutien-gorge. Puis fait glisser ses leggins le long de ses cuisses avant de venir me caresser au travers de mon short.
Nous sommes allongés dans le dojo, des gens passent dans la rue juste à quelques mètres en contre haut, et n’importe qui pourrait arriver. C’est alors que Laure vient se placer entre mes cuisses, tout en m’offrant son sexe à lécher. Elle me masturbe et me suce goulûment, comme elle sait si bien le faire. Je déguste avec grand plaisir ses orifices. Mes doigts et ma langue parcourent tous les recoins pour son plus grand plaisir.
Puis elle vient s’empaler sur mon sexe, en me tournant le dos et m’offrant l’oscillation de son cul sous mes coups de boutoir. J’avais envie de son cul. Je redoublais mes coups de reins pour l’entendre jouir encore plus. Comme si elle lisait dans mes pensées, elle se retira pour se pencher en avant. Le cul bien dressé. Ni une ni deux, je place mon gland à l’entrée. Et d’un coup je la sens venir s’empaler. Elle gémit puis accélère le rythme. C’est qu’elle aime ça se faire enculer. Je la couche sur le dos, lui relève les jambes pour m’offrir un libre accès à ses deux orifices et alterne pour son plus grand plaisir. Alors que je vais tout lâcher, elle me prend dans sa bouche et avale toute ma semence.
L’année scolaire touchait à sa fin, nous avons donc prévu de nous revoir pendant les vacances.
Cela sera pour un prochain récit peut-être.