n° 15626 | Fiche technique | 15434 caractères | 15434Temps de lecture estimé : 9 mn | 31/05/13 |
Résumé: Pendant les vacances, deux jeunes femmes incitent le narrateur à découvrir les plaisirs de la bisexualité. | ||||
Critères: fff hh hhh ffh hbi vacances plage hsoumis anulingus pénétratio hdanus hsodo init | ||||
Auteur : DD (Je suis un homme curieux, passionné et créatif) Envoi mini-message |
Le séjour estival touchait à sa fin. J’étais là, en vacances dans les Cyclades, avec ces deux filles rencontrées une semaine plus tôt sur les routes de Grèce. Joanna et Alice. Jolies et espiègles, elles se tenaient souvent par la main et s’échangeaient de petits baisers coquins comme pour me provoquer… Élancées, les cheveux châtain, elles étaient vraiment très belles et dotées chacune d’un beau petit cul qui faisait se retourner les mecs.
Pourtant, je n’avais pas tenté grand-chose. Nous étions au stade du flirt et de quelques pelles partagées furtivement. À vrai dire, j’étais un peu déstabilisé par la nature de leur relation.
—ooOoo—
Au bout de quelques jours, j’avais demandé à Joanna si elles étaient lesbiennes. Me voyant tout émoustillé, elle rigola.
Devant cette question désarmante j’étais devenu tout rouge, ce qui avait provoqué chez elle un petit sourire…
On en resta là.
—ooOoo—
Le soir, autour d’un verre, Alice était venue s’asseoir à côté de moi pour contempler le soleil rougeoyant. Alors que nous surplombions ces kilomètres de littoral aux eaux translucides, le moment était peut-être venu de lui faire mieux comprendre que j’avais envie d’elle (s).
Je me lançai donc dans une phrase sirupeuse au regard lourd de sous-entendus. Elle éclata de rire, et c’est le plus naturellement du monde qu’elle me dit :
Sur ce, Joanna arriva. Elle était maquillée et portait un tee-shirt blanc qui faisait ressortir son bronzage et sa poitrine bien ferme. Elle me passa la main dans les cheveux. Elle sentait bon.
Puis elle enchaîna :
Mais rien ne se passa durant la soirée. Les grappes d’Allemandes me laissèrent froid ce soir-là.
—ooOoo—
Ma chambre était placée à côté de celle que Joan et Alice partageaient. Cette nuit-là, nous sommes rentrés séparément. Elles arrivèrent une heure après moi, et Alice toqua à ma porte.
Effectivement j’étais rentré bredouille. Amusées par la situation et un peu ivres, elles me proposèrent de prendre un dernier verre avec elles. J’acceptai. Une fois dans leur chambre, Alice se déshabilla le plus naturellement. Malgré la faible lumière, je pouvais admirer son beau petit cul et la finesse de ses hanches. Joanna n’était pas en reste. Elle s’approcha de moi pour me caresser les jambes et remonter lentement vers ma paire de couilles. Je laissai échapper un petit gémissement. Avec conviction, elle continua et abaissa mon slip comme pour passer aux choses sérieuses.
Je commençais à bander. Ma queue était droite et sembla convenir à Alice.
Elle vint rejoindre sa copine pour sucer mon gland. Excitée, elle m’incita à lécher Joanna.
Je pus apprécier le duo lesbien qu’elles formaient lors d’un 69 torride… Pendant ce temps-là, je caressais la croupe ferme des deux filles tout en savourant leurs petits gémissements. Avec douceur, je me plaçai derrière Alice pour l’enfiler. Son sexe était étroit et chaud. Nous étions très complices.
Pendant ce temps, Joanna passait sa main avec insistance sur mes fesses. Ses doigts tripotaient maintenant mon derrière avec dextérité. Je ne dis rien et la laissai faire, de peur de paraître encore coincé. Et puis c’était… pas désagréable. C’est alors qu’au bout d’un moment, elle rentra son majeur tout entier dans mon anus !
Surpris, je lâchai mon sperme avec force sans pouvoir me retenir. C’était comme si j’avais craché un verre de foutre. Pendant de longues secondes, je restai un peu hébété. Avec beaucoup de douceur, elle garda son doigt bien rentré dans mes fesses, le temps de m’embrasser, comme pour mieux me montrer la façon dont elle profitait d’une vie sexuelle épanouie.
Le plus naturellement du monde, elle me questionna.
Je n’avais pas trop envie de parler de ce plaisir nouveau, mais je ne voulais pas paraître une nouvelle fois coincé. J’avouai donc le plaisir ressenti.
—ooOoo—
La journée était chaude et belle. La plage fut donc la destination choisie. J’étais particulièrement détendu par la nuit précédente. Avec les filles, nous avons trouvé un endroit désert. Une petite crique idéalement située et entourée d’une nature verdoyante. L’eau était cristalline et personne ne semblait connaître cet endroit. Nous avions choisi de bronzer sans maillot, le corps dénudé. C’était une première pour moi. Je découvrais la sensation divine que procurent les rayons du soleil sur mes fesses toutes blanches.
Alice me passait de la crème solaire sur mon postérieur et en profitait toujours pour faire une remarque du genre :
À moitié endormi, je n’avais pas entendu Joanna revenir avec quelqu’un. Je fus donc surpris et un peu gêné de me réveiller pour saluer ce jeune homme brun et plutôt bien baraqué avec qui elle discutait. Elle fit les présentations. Il s’appelait Ted. Un peu confus, je fis un geste pour recouvrir mon sexe avec un journal, mais Joanna me dit :
Mon sexe était pourtant au repos et tout recroquevillé entre mes jambes. J’avais un peu honte qu’il m’observe avec cette petite zigounette-là. Doutait-il que je puisse satisfaire ces deux belles nanas ? Mais Ted sourit. Il me fit même un compliment pour que je sois plus à l’aise. Il était enjoué et sympa. Les filles semblaient l’apprécier et je n’étais d’ailleurs pas trop jaloux.
Le soleil devenait moins brûlant et allait bientôt s’éclipser derrière la montagne. La brise salvatrice rendait la chaleur estivale plus acceptable. Allongé sur ma serviette de bain, je me mis sur le ventre en m’étirant. Je fis ce mouvement lentement, avec une gestuelle toute féline, puis je contemplai mes fesses désormais bien dorées. C’est vrai qu’elles étaient belles : fermes et rondes à la fois. Pourquoi les cacher désormais ? Discrètement, je cherchai à les écarter pour sentir l’air frais s’insinuer tout le long de ma raie. C’était agréable. Doux. Exquis, même. Me regardaient-ils ? Sans doute.
Je me demandai alors si ce mec avait déjà des plans sur l’une ou l’autre. Peut-être les deux, ma foi. Sans doute devinait-il aussi qu’on formait un ménage à trois.
Les filles étaient vraiment splendides cet après-midi. Elles portaient un très léger paréo quasi transparent, et c’était tout. On devinait bien leurs courbes. Ted paraissait courtois, enchanté d’être là avec nous et répondait aux questions des filles avec calme. Il était vêtu d’un court maillot qui moulait bien ses parties génitales. D’ailleurs, cela sembla donner des idées à Joanna qui chuchota à l’oreille d’Alice. Cette dernière gloussa. Elle dit d’un air coquin à Ted :
Il enleva son maillot sans la moindre gêne. Instinctivement, les filles ne purent s’empêcher de mater son corps.
Je dois avouer qu’il était assez musclé et avait de beaux abdos. Et surtout, il paraissait bien monté. Les filles semblaient d’ailleurs comme hypnotisées par son engin. Alice se tritura les lèvres avec gourmandise. Je ne pus d’ailleurs m’empêcher de le regarder à mon tour, ce qui ne sembla nullement le gêner.
Apercevant mon trouble naissant, Joanna me dit à l’oreille :
Flatté, Ted confessa alors que nous lui paraissions – tous – assez séduisants.
Il me fixait pour voir ma réaction.
Comprenant alors qu’il était certainement bi, je baissai la tête, tout gêné par la tournure des événements. Je ne savais plus quoi faire ni quoi dire. Surtout, j’avais peur que mon sexe se redresse et trahisse, à la vue de tous, mon trouble. Joanna me dit sur un ton de reproche :
Le soleil était couché désormais. J’étais dans un état second et un peu inquiet de ce qui pouvait se passer. Paradoxalement, je n’avais pas envie de partir. À ce moment, Joanna s’approcha avec simplicité de Ted. Après quelques secondes de baisers langoureux, elle lui lécha le buste. Ses doigts parcouraient maintenant ses hanches, son ventre. Elle descendit vers son sexe pour l’aspirer. Alice et moi regardions silencieusement ce beau spectacle. Comme fascinés de voir Joanna agenouillée de la sorte devant ce mec au membre de plus en plus gros.
Tout s’était déroulé très vite. Elle le pipait désormais avec délectation. Juste sous nos yeux. Elle remontait sa langue sur toute sa queue. Machinalement, Alice passa sa main sur mes jambes comme pour me rassurer. L’excitation montait et mon sexe pointait.
Agenouillées, les filles se mirent à nous sucer côte à côte. Le sexe de Ted était maintenant bien raide. Beau morceau à pomper pour les filles. Ses couilles semblaient grosses et lourdes. Pas la peine de mesurer : il était drôlement mieux gaulé que mes 15 cm. J’avais presque envie de le toucher à mon tour.
Les filles s’en amusèrent. Et puis, alors que je prenais Alice par la taille, je sentis la main large et massive de Ted venir palper timidement mes fesses. Il était indécis et semblait attendre un regard complice de ma part. Je restai un peu pétrifié. Que faire ? La paume de sa main qui passait et repassait sur mon petit cul n’était pas désagréable… Je sentais bien ses larges doigts épouser la forme arrondie de ma croupe.
Je devais certainement lui faire de l’effet. J’étais flatté d’être un objet de désir. Même – et surtout – pour une personne du même sexe. Devant mon trouble, Joanna, compréhensive, s’approcha de moi. Durant un instant, j’eus peur qu’elle ne se moque gentiment de moi. Mais non. Au contraire. Complice, elle trouva les mots et le geste pour m’aider à franchir le pas. Sensuelle et câline, elle me chuchota à l’oreille quelques mots tout en se frottant à moi.
Je ne trouvai rien à répondre.
J’étais pourtant bien excité par cette situation nouvelle. Le sexe tendu, j’étais là, jambes écartées et le cul offert. Au même moment, Joanna se plaça derrière moi pour tapoter la raie de mes fesses. Bien vite, elle se mit à me lécher le petit trou avec délice. J’avais envie de plus… Alors enfin je me décidai à regarder ce beau mec dans les yeux. En lui effleurant le sexe bien gonflé, je lui dis ces mots un peu stupides :
Attendrie par la scène, Alice semblait fière de moi et me donnait des petits bisous. Elle me traita de joli petit puceau tout en branlotant le gros membre imposant qui m’était promis… car ce n’était plus qu’une question de secondes.
Ted se pencha vers moi. Avec douceur, il me complimenta sur mon joli petit cul et vint déposer des baisers sur mon dos en me tenant par la main. Il semblait expérimenté. Dans un souffle électrique, j’entendis ces mots :
Je ne savais plus où j’étais. Les filles étaient près de moi. Attentives et impatientes de voir deux mecs se donner du plaisir… Alice chercha dans son sac, puis se rapprocha de nous. Elle enfila un préservatif sur cette grosse trique et Johanna dit à Ted de faire ça très doucement pour une première fois.
Je sentis la bite de Ted jouer lentement sur ma raie. Elle semblait énorme et toute proche de mon anneau. Ce beau mâle me tenait par les hanches avec fermeté. J’avais un peu peur qu’il soit brusque, mais il s’occupa pourtant de moi avec beaucoup de douceur. D’une voix suave, il me chuchotait des consignes :
Une fois que son sexe fut bien entré, il chercha ma bite et me masturba lentement comme s’il voulait me traire. C’était bon. Trop, même. Soudain, je poussai un petit cri aigu de gonzesse sous sa branlette experte. Je venais d’éjaculer. Ému, il passa alors ses gros doigts sur mon petit gland tout collant et me félicita. Les filles se mirent à lui lécher les doigts.
J’avais désormais le cul tout ouvert et il continuait. Il me limait en douceur comme pour mieux savourer mon petit derrière pourtant tout serré il y a peu. Puis il se retira pour mieux éjaculer. Il poussa un son rauque et je sentis un liquide chaud me recouvrir le bas du dos. Les filles apprécièrent la scène. Puis il passa ses doigts sur ma joue et m’embrassa, comme pour me signifier que j’avais été un bon coup.