n° 15628 | Fiche technique | 16883 caractères | 16883Temps de lecture estimé : 10 mn | 31/05/13 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Nouvel emploi, nouveau bureau, nouvelle voisine. | ||||
Critères: fh collègues noculotte fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Dosto Envoi mini-message |
Je suis adossé à la porte d’entrée de son appartement. Elle est là, dans mes bras, vêtue simplement d’une nuisette archi-sexy qui lui couvre tout juste les fesses. Je passe ma main dans ses longs cheveux bruns, attire son visage. Nous nous embrassons fougueusement. Mélange de ces instants magiques que l’on vient de vivre et de la promesse que tant d’autres vont venir.
Elle quitte mes lèvres et vient me murmurer au creux de l’oreille :
Doucement, elle entame sa descente. Ses mains me caressent, elle dépose de doux baisers dans mon cou, sur mon torse, sur mon ventre. Arrivée à destination, elle s’empresse de défaire la boucle de ma ceinture…
Pourtant, il n’était pas du tout évident que nous en arrivions là tous les deux !
—ooOoo—
Quelques semaines plus tôt, dans le cadre d’un nouveau contrat, ma boîte m’avait envoyé m’installer chez notre client. Je suis donc « implanté » au sein du siège d’un grand groupe français afin d’y faire mon métier. Comme toujours dans ces cas-là, il faut s’adapter à mon nouvel environnement. Prendre contact avec mes nouveaux interlocuteurs, prendre possession des lieux, nouer des réseaux pour optimiser mon implantation.
Du coup, j’ai beaucoup erré dans les couloirs de cet immense bâtiment. J’ai l’œil baladeur, et il y avait immanquablement matière à mater : c’est fou le nombre de belles femmes qui déambulaient dans ce labyrinthe ; il y avait de quoi tomber amoureux toutes les cinq minutes.
La première fois que j’ai aperçu Karine, j’ai été hypnotisé pas ses fesses. Je n’ai vu que ça. Au bout d’un couloir, moulées dans un jean, ni trop petites ni trop grosses : « de quoi remplir les mains d’un honnête homme », comme on dit !
Elle discutait à l’entrée d’une salle de réunion. Arrivé à sa hauteur, il fallait que j’en voie plus. Au risque de me faire repérer, j’ai tourné la tête. La propriétaire de ce sublime postérieur était une brune aux magnifiques yeux verts. Tout en marchant, j’ai scanné la demoiselle : à peine la trentaine, une bouche pulpeuse, un sourire charmeur, un corps tout en formes. Quasiment mon idéal féminin.
J’ai passé mon chemin en calculant la probabilité de la recroiser un jour et de lui parler ; six cents personnes travaillant ici, mes chances étaient assez minces.
Il n’a pas fallu longtemps avant que le « miracle » ne se produise.
Le lendemain, j’étais sorti pour une « promenade » comme j’en fais plusieurs fois par jour ; à peine passé ma porte, j’avisai une belle brune qui s’extirpait du bureau situé à l’opposé du mien. C’était ELLE ! Nous avancions l’un vers l’autre. « Non, ce n’est pas elle ; je ne suis plus très sûr… » Pourtant, la silhouette était bien similaire à celle qui hantait mes pensées depuis la veille.
Elle me sourit :
Je répondis par un sourire idiot et un « bonjour » benêt. « Oui à 98% : c’est elle. »
Elle me dépassa ; je me retournai : quel beau cul ! « 100% : c’est elle ! »
Elle « habitait » à tout juste quinze mètres de mon bureau ; chouette ! Seulement, je venais de me faire cataloguer « gros pervers » car elle n’a pas manqué de constater que j’ai avidement reluqué son derrière.
—ooOoo—
Durant les jours qui ont suivi, nous nous rencontrions régulièrement ; les sourires et les regards évoluaient. Ils se faisaient parfois plus insistants, mais aucune occasion de lui parler ne se présentait.
J’enrageais de mon manque de témérité ! Heureusement, le destin…
Comme d’habitude, je suis passé à l’aller comme au retour devant son bureau. À chaque fois, je jetais un œil pour tenter de l’apercevoir. Elle ne semblait pas être là. Tant pis ; j’avais un colis à aller chercher.
Chargé de mon carton, je m’en suis retourné « chez moi ». Le hasard a voulu que mon paquet s’éventre juste devant sa porte et juste au moment où elle sortait. Bloquée par ce parterre de brochures, la belle entreprit de m’aider à tout ramasser. Je me fondis en plates excuses, l’implorai de ne pas se déranger et osai finalement tout en rougissant :
Si je n’avais pas eu les bras chargés, j’aurais sauté de joie !
Les minutes furent longues jusqu’au moment de notre rendez-vous.
Comme prévu, nous nous sommes retrouvés à la sortie du bâtiment ; je l’emmenai dans la grande brasserie du coin. Sur le chemin, j’appris enfin qu’elle se prénommait Karine. Installés l’un en face de l’autre, j’ai découvert une fille charmante, simple, nature et incroyablement sexy !
Tout comme moi, Karine était prestataire ; elle assurait une partie de l’assistance informatique du groupe. Elle était ici depuis à peine dix jours de plus que moi, et à part quelques collègues bourrus, elle n’avait pas grand-monde à qui parler.
La conversation s’est poursuivie sur un ton plus banal. Nos goûts, nos passions, nos métiers. De temps à autre, nos doigts s’effleuraient, provoquant chez moi des décharges électriques euphorisantes. Durant cet épisode bienséant, j’avais le sentiment que nos yeux se disaient des choses moins sages !
Je m’éloignai…
Je la contemple. Elle est allongée sur le ventre. Nue.
Je m’approche, pose délicatement mes mains sur ses épaules et commence un doux massage. Elle se détend et se fait chatte. Assis sur elle, je m’arrange pour que mon sexe, déjà en forme, flirte avec la raie de ses fesses. Je masse ; Karine ronronne. Son dos, ses hanches, le creux de ses reins, je n’oublie rien. Lentement, je m’allonge sur elle, je picore sa nuque de baisers, je lui mordille le lobe de l’oreille. Je lui chuchote :
J’accentue la pression de mon bassin, je débute un va-et-vient le long de ses fesses. Elle se cambre, m’accompagne ; la cadence s’accélère. Je me branle sur son cul ; c’est divin. Je m’interromps pour entamer avec ma langue le chemin qui va de son cou à son cul. Karine vibre mais se laisse faire, jouissant de mes initiatives. Je prends ses fesses dans mes bras, je pose mon visage sur cet oreiller de chair. Restant ainsi quelques instants, je profite du moment jusqu’à ce que ma conquête écarte subrepticement ses jambes : je comprends le signal.
Ma main gauche s’avance vers l’intérieur de ses cuisses pour atterrir sur sa chatte brûlante de désir.
Karine se retourne. Elle est sublime, ses seins sont exquis, je plonge…
Expulsé de ce merveilleux songe, je ne puis qu’avouer :
Sauvé par le gong !
Je la laissai donc partir à son rendez-vous, non sans avoir obtenu la promesse d’un dîner dans les prochains jours.
Puis elle disparut au coin de la rue.
« Arrrghhhhh, je n’ai même pas pris son numéro ! »
Chose réparée dès le lendemain matin. Nous en avons profité pour nous mettre d’accord sur la date de notre soirée. Ce sera vendredi. Vingt-quatre heures à attendre !
C’était un peu trop long pour moi ; c’est par textos que je maintins le contact :
« Merci encore pour ce délicieux moment hier soir. Une préférence pour le resto ? »
« Plaisir partagé. Aucune préférence : l’essentiel est d’être avec toi. »
« Tu es trop gentille, je fonds. Je vais me faire des idées… »
« Oh, oh ; quel genre d’idées ? »
« Des pensées pas très sages, presque indécentes, du style de mes rêves si agréables d’hier. Que je ne t’ai pas racontés, d’ailleurs. »
« Hmm hmm, je comprends mieux ton « absence », maintenant ! Ne me raconte pas, tu feras ; -) »
« Ah, Karine, comme j’ai hâte d’être à vendredi ! »
« Moi aussi ! Bises. »
Après ces échanges prometteurs, il me fallait éteindre l’incendie. Direction la petite salle machine à café où je m’envoie deux ou trois verres d’eau glacée à la fontaine.
Je n’étais pas le seul à avoir eu ce besoin : Karine apparut peu après.
L’attirance était irrésistible.
Nous nous sommes embrassés furieusement. Je la plaquai contre le mur et l’attirai à moi par la taille.
Elle était beaucoup moins passive que dans mon rêve, et caressait mon sexe à travers mon pantalon, me mordait les lèvres. Cela devenait sauvage.
Je longeai son corps de ma main pour m’immiscer sous sa robe.
Elle me facilita le passage.
J’écartai le tissu qui me gênait et pris possession de son sexe.
Mon pouce chatouillait son clito tandis que deux doigts s’enfonçaient en elle.
Elle gémit ; sans perdre de son agilité, elle avait ma queue en main et me branlait sans retenue.
J’étais à deux doigts d’en mettre un troisième lorsque nous entendîmes du bruit.
Avec une rapidité étonnante, nous nous sommes décollés et avons retrouvé une allure normale juste avant qu’un groupe de trois types n’entre pour profiter de leur pause-café. À part nos joues rouges et nos sourires complices, rien ne laissait soupçonner ce qui venait de se passer.
De retour, je relançai la conversation via SMS :
« Wouaw, quel dommage… »
« Tant pis, considérons cela comme un avant-goût. »
« Exact. En parlant de goût, le tien ne me quitte pas… Je ne me laverai pas les mains aujourd’hui ! » écrivis-je en humant mes doigts.
« Petit voyou ! »
—ooOoo—
Vendredi soir arriva vite, finalement.
Je l’attendais ; elle avança vers moi, très classe. Elle portait une robe fourreau noire assez moulante mais très sobre. Un petit gilet recouvrait ses jolies épaules.
Nous nous sommes dirigés vers ma voiture.
Une fois dans le véhicule, Karine planta ses yeux dans les miens et me demanda :
Je ne me suis pas fait prier : durant tout le trajet, ma main droite alternait entre le levier de vitesses et son minou offert.
Le dîner fut un moment enchanteur. Nous étions pressés, mais en même temps nous faisons durer l’attente. Régulièrement, je passais ma main droite sous mon nez, accompagnant ce geste d’un regard coquin à ma future amante. La coquine me répondait en humectant ses lèvres lascivement.
Sur le chemin du retour c’est elle, cette fois-ci, qui joua avec mon sexe. Arrivés devant chez elle, il était entendu que l’hypocrite « Tu viens prendre un dernier verre ? » était superflu.
Nous étions dans son appartement. Karine nous préparait des boissons. Je vins me coller à elle. Ma main droite dégagea ses cheveux ; j’adorai embrasser sa nuque. Mon autre main l’attrapa par la taille ; je la serrai fort.
Elle inclina sa tête en arrière et appuya son cul contre ma bite érigée. Je dénudai facilement le haut de son corps et pris ses seins à pleines mains. Je malaxai délicatement sa poitrine, ses tétons se durcirent.
Elle se retourna et me prit la main.
Direction la chambre.
Assise sur le lit, mon pantalon et mon boxer ne lui résistèrent pas. Gourmande, elle enfourna ma queue dans sa bouche. Elle cajolait, elle pompait, elle léchait, elle aspirait. À ce régime, je n’allais pas tenir longtemps. Elle le sentit. Ce furent mes couilles qu’elle se mit à sucer avec avidité.
Je poussai ses épaules ; elle tomba à la renverse. Je lui ôtai sa robe et tombai en admiration devant son corps.
À mon tour de la déguster : je me jetai sur sa chatte. Les mouvements de mes doigts associés à mes coups de langue eurent vite raison d’elle. Karine jouit assez vite.
Je délaissai son intimité pour l’embrasser. Nos langues et nos parfums se mélangèrent. L’excitation était à son summum.
Telle une lutteuse, Karine nous retourna et se retrouva au-dessus de moi. J’allais enfin connaître la douceur de son intérieur… Elle prit ma bite, la plaça à l’entrée de son corps et s’empala. Je poussai un cri de bonheur. Rapidement, nous trouvâmes notre rythme. Je m’agrippais à ses fesses. Elle me mordillait le cou. On ralentit. Je léchai ses seins et nous repartîmes de plus belle.
Jamais je n’avais émis un tel râle pendant l’amour. Un terrible orgasme nous foudroya.
Le fou-rire qui s’ensuivit n’en fut que plus délicieux. Nous étions heureux. Simplement.
—ooOoo—
À mon réveil, Karine est endormie… sur le ventre.
Comme dans mon « délire », j’entreprends de la réveiller en m’allongeant sur elle le plus délicatement possible. Je souffle sur ses joues, je la vois sourire. Elle se met alors à tortiller des fesses. Ce traitement me redonne instantanément de la vigueur.
Karine se met à quatre pattes, offerte, impatiente. Je la pénètre.
La levrette avec cette nana est une merveille. Alternativement, elle donne la cadence en remuant son cul, puis c’est moi qui pousse plus brutalement. Je veux la posséder. Alors que je suis toujours en elle, Karine malaxe mes boules. Je lui rends la pareille en titillant son bouton d’amour. Je vais exploser…
La nuit avait été extraordinaire, parsemée de câlins et de tendresse. Au matin, après un petit déjeuner coquin, il fallait que je quitte ma princesse…
Une fois mon pantalon sur mes chevilles, Karine se rue sur mon sexe et le suce avec appétit.
Elle s’interrompt :
J’obéis.
Je jouis dans sa bouche dans un cri étouffé, ne voulant pas qu’on m’entende à travers la porte d’entrée. Elle prend soin de tout avaler et de tout nettoyer, remonte mon pantalon.
Arrivé dans ma voiture, la petite sonnerie annonçant un SMS retentit. C’est elle :
« Aujourd’hui, je ne me lave pas les dents. À lundi, au bureau ! »