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n° 15638Fiche technique16232 caractères16232
Temps de lecture estimé : 10 mn
09/06/13
Résumé:  Découverte exotique d'un pays sympathique.
Critères:  fh fhh hbi grossexe groscul fête odeurs trans hsodo init
Auteur : DD            Envoi mini-message
Quand tu vas à Rio

Quand tu vas à Rio…




Après de nombreuses heures de vol, j’arrivais enfin à Rio de Janeiro. Déplacement professionnel oblige, je ne pensais pas trop à tout le décorum exotique que suscite cette destination. Encore que. « Une semaine, c’est long… » pensai-je en récupérant mes bagages. Mentalement, je fis le tour des clichés habituels : filles, plages, carnaval… « Tout un art de vivre… » pensais-je, songeur, en cherchant la sortie.



C’était ma correspondante qui venait à ma rencontre.

Alina était brune, assez mince en fait et dotée d’une poitrine conséquente. Sans doute le fruit de la chirurgie esthétique. D’un naturel dynamique, elle fit signe à l’un des nombreux taxis jaunes et nous partîmes pour le centre-ville. Durant le trajet, je regardai ses jambes. Elles étaient fermes et bronzées.


Nous arrivâmes à mon hôtel. Luxueux quoique un peu vintage, il me fit tout de suite penser à une bande-dessinée de Spirou. Des grooms vêtus d’uniformes bicolores se précipitèrent pour prendre mes bagages. En parcourant le hall, Alina tomba nez-à-nez avec une connaissance.


C’était une jolie blonde métisse, de taille moyenne avec de beaux yeux noisette. Elle était assez fine de taille, et ses longs cheveux retombaient sur la cambrure de ses reins. Le tout avec élégance. Je pouvais aussi deviner ses jambes galbées. Comme j’étais scotché devant une créature aussi sensuelle, Alina s’amusa de mon trouble et fit les présentations. Elle s’appelait Nanda.



Et elles se mirent à éclater de rire. Un peu gêné, je commençais à bredouiller quelques mots quand Nanda me prit par le bras pour me dire d’une voix chaude :



Elle s’en alla. Alina en profita pour me dire :





—ooOoo—




La soirée avait lieu au sommet d’un relief escarpé. Chouette villa qui dominait la côte d’Ipanema. En montant les marches, je pouvais apercevoir distinctement la succession de baies et de plages. Je restai là, à regarder la côte quand Alina me prit la main, avant de rentrer dans la propriété, pour me dire :



Au même moment, nous pénétrâmes dans la propriété. Je suivais Alina tout en regardant bouche bée le spectacle qui s’offrait à nous. De superbes filles en maillot déambulaient autour d’une vaste piscine ovale. Elles étaient incroyablement belles et drôlement bien foutues. Pulpeuses, légèrement musclées pour la plupart. Elles affichaient souvent un cul à se damner. De belles fesses rondes, solides et bronzées. Parfois, seul un léger string recouvrait l’ensemble. Elles étaient entourées de beaux mâles. De jeunes Cariocas musclés comme on peut en voir sur les plages. Tout ce beau monde se trémoussait au son d’une musique lascive. L’ambiance était féerique. Alina m’expliqua qu’ici on pouvait facilement coucher avec une personne, pour peu qu’il y ait une attirance mutuelle. Il y avait des chambres à l’étage pour l’occasion.

La villa était plus grande que je ne l’avais imaginée. La nuit tombait et on alluma des bougies. En allant prendre une bière, je perdis Alina de vue. La vue de ces corps commençait à me chauffer.


Soudain, une fille s’approcha de moi dans la pénombre. Surpris, je reculai. C’était justement Nanda. Elle avait ce côté calme et extraverti à la fois qui m’avait plu chez elle. Je pouvais admirer ses longs cils et sa crinière ondulante tout en sirotant ma Corona au goulot. Elle me parla d’une voix sensuelle.



Elle passa sa main autour de ma taille. Le geste était ferme mais doux. Je pouvais désormais sentir son parfum qui se mélangeait à son odeur corporelle. Mélange de vanille, de jasmin et de senteurs plus boisées. Je sentais le rythme régulier de sa respiration à travers le timbre de sa voix.



Envoûté, je la suivis docilement vers une pièce de la villa. À l’intérieur, il y avait peu de lumière. Je mis du temps pour tout distinguer. Autour de petites tables basses, des personnes parlaient en buvant un verre. Au fond, sur des banquettes, des couples s’embrassaient et se donnaient même du plaisir.



Une drôle de personne, Ilda vint se coller à moi. Elle sentait l’alcool. Nanda la repoussa doucement.



Alors Nanda me regarda dans les yeux. J’aimais son regard espiègle. Déterminée, elle prit mon poignet tout en continuant de bien me fixer du regard. J’étais tout déstabilisé. Lentement, elle abaissa sa mini-jupe le long de ses hanches. Elle approcha ma main de son string. Je sentis un renflement au niveau du sexe. « Mon Dieu ! Se pouvait-il que… » Nanda et ses ami(e)s étaient des trans ! Comment n’y avais-je pas pensé plus tôt ? Et pourquoi Alina ne m’avait-elle rien dit ?


Nous restâmes comme ça, immobiles, pendant quelques secondes. J’étais confus. Autour de nous, je sentais les regards se poser sur moi. Mi-intrigués, mi-amusés.


Nanda me donna alors un petit baiser dans le cou. Comme pour m’inciter à continuer mon investigation. Son corps sentait vraiment bon. Sa poitrine était collée à moi. J’avais envie de plus… Sa main accompagna la mienne pour plonger délicatement dans son petit maillot.

Je sentis un petit sexe lové sur le côté qui ne demandait sans doute qu’à se déployer. Il était chaud. Mignon, même. Je passai mes doigts autour. Caressant son petit pubis par la même occasion. Nanda gémissait quelque peu.


Je me sentais étrangement détendu et prêt à découvrir quelque chose de nouveau. Était-ce le climat tropical ? Mais à ce moment-là, la fameuse Ilda vint briser la magie de l’instant. Elle se plaça derrière moi et me mit une solide main au cul. Puis elle éructa des mots comme :



Ilda était la plus masculine du groupe. Sa voix était d’ailleurs un peu rauque. Son corps était musclé et ses fesses exagérément bombées. Son côté exubérant m’attirait vraiment moins. Elle continua son numéro de provocation et monta sur la table basse en face de moi. Là, elle abaissa son maillot et, les mains sur les hanches, me toisa du regard.


Sous mes yeux se dressait un sexe imposant. Large et puissant. Malgré la faible lueur de la pièce, on pouvait voir ressortir les veines gonflées de ce membre énorme. Ilda commença à mimer des gestes obscènes. Soupesant de ses mains sa poitrine opulente, elle commença à donner des coups de reins dans le vide. On voyait sa bite immense aller et venir, telle une balançoire phallique.


Protectrice, Nanda vint à mon secours. S’interposa entre Ilda et moi. Ce spectacle fellinien m’avait quelque peu refroidi. J’avais maintenant l’impression de nager en plein cauchemar. D’ailleurs, une autre créature s’était levée et était venue rejoindre Ilda. Les deux trans se branlaient en duo au son de la musique. Le spectacle était irréel. Des yeux, je cherchai la sortie. Je commençais à suffoquer et à trouver l’ambiance pesante.


En franchissant le seuil de la porte, Nanda vint me rejoindre. Elle semblait désolée.



Elle commença à se serrer contre moi. Baissa la tête, puis elle me dit :



Un long silence passa. Elle était toujours près de moi. Je pouvais respirer son odeur et apprécier la douceur veloutée de sa voix. Sur le ton de la confidence, je lui avouai :



Elle venait de marquer des points. Lentement, elle me prit par la main pour monter au premier étage. Sur le chemin, nous croisâmes d’ailleurs Alina. Je ne fus pas gêné. Amusée, celle-ci me souhaita d’ailleurs de passer un bon moment.


Quand la porte de la chambre se referma. Nanda alluma une petite bougie. Elle s’approcha de moi pour caresser mon torse. C’était doux, et ses gestes étaient lents et délicats. L’opposé d’Ilda. Sa peau était sucrée. Avec elle, je me sentais bien.


Elle m’embrassa langoureusement avant de me déshabiller. Me laissant faire, je pouvais l’observer à loisir. Elle enleva son maillot et son sexe se dressa. Il était beau. Moins gros que celui d’Ilda. Elle plaça un doigt sur mes lèvres et le rentra dans ma bouche tout en me mordillant l’oreille. Je suçotai son majeur avec gourmandise. Satisfaite, elle se releva. M’embrassa et m’encouragea à sucer plus gros. Je compris où elle voulait en venir.


Après un 69 endiablé, elle me fit signe de me tourner. Elle me demanda de redresser mon petit cul pour qu’elle puisse bien le préparer en l’enduisant de salive. J’étais tout excité, tout frétillant à l’idée de me faire enfiler là, comme ça, par Nanda. Cette belle trans brésilienne.

Délicatement, elle me passa un gel froid sur l’anus pour mieux y rentrer un doigt. Elle caressa scrupuleusement les plis de mon petit trou.

J’avais l’impression de confier mon derrière à une experte. C’était rassurant, quelque part.



Alors elle me donna une petite claque sur les fesses. Cela pouvait dire : tiens-toi tranquille et savoure ! Alors elle rentra dans mon cul, comme ça, tout naturellement. Elle glissa son engin dans mon anneau tout lentement pour ne pas me brusquer. Attentive à mes petits gémissements. Je sentais un plaisir inavouable prendre forme. Son pieu s’enfonçait désormais dans mes fesses à une cadence soutenue. Elle me tenait bien par la taille et je sentais son souffle chaud dans le dos.

Elle semblait maintenant ne se préoccuper que de son plaisir, ce que je pouvais comprendre… Après tout, ce n’était pas tous les jours qu’elle dépucelait un joli petit fessier comme le mien !


Soudain, j’entendis la porte de notre chambre s’ouvrir lentement. C’est vrai, il n’y avait pas de verrou ; mais quand même… Gêné par ma position, je ne pouvais voir qui était entré. Je comptais sur Nanda pour demander à l’intrus de partir. Mais non. Au contraire, celle-ci lui demanda de s’approcher… Interloqué, je me retournai. Je reconnus la silhouette d’Ilda.



Je ne pouvais guère bouger. Nanda me tenait fermement par la taille. Ilda semblait moins surexcitée que tout à l’heure. Mais son sexe était toujours aussi imposant. Pour une première fellation, le calibre proposé me semblait bien excessif. J’en fis timidement la remarque à Nanda. Sans suite.

Ilda était toute proche de moi. Elle me passait sa main sur la joue. Sa queue monstrueuse formait une courbe. Je la voyais se raidir à vue d’œil. Elle butait désormais sur mon menton comme pour chercher mes lèvres. Le spectacle devait être touchant car Ilda me passa la main dans les cheveux, comme pour m’encourager.


J’étais désormais en train de donner des petits coups de langue sur le long de son beau manche. Je pouvais sentir la forte odeur ambrée de son gland et la chaleur de ses grosses couilles.

Cela était trop pour Nanda qui, à la vue de ce spectacle muy caliente, éjacula au fond de moi. Une fois son gland retiré, elle resta de longues secondes collée à moi. Son visage trempé de sueur appuyé contre mon dos, elle se mit à triturer machinalement mes bourses.


Pendant ce temps, je continuais mon exploration de la bite d’Ilda. Elle semblait aimer ça car elle poussait des petits grognements d’une voix caverneuse. Mais comment donc sucer ce membre tout entier ? Nanda sembla deviner mon inquiétude.



Rassuré par ces détails techniques, je m’exécutai. D’une main, je tenais la base de son engin entre mes doigts et de l’autre je malaxais son gros cul tout bombé. Une belle carrosserie cette Ilda. D’ailleurs, son derrière me faisait penser à deux belles pastèques.


Après quelques secondes, Ilda se cambra puis poussa un râle ample et puissant. Heureusement qu’une musique salsa couvrait nos ébats ! Elle se recula et je reçus sur le visage de puissants jets de foutre. Quel stock ! Le sperme était chaud et un peu gluant. J’en avais sur les lèvres. Nanda s’approcha pour m’embrasser et lécher un peu de sperme collé sur ma joue. Elle en profita pour me féliciter.



Ilda reprenait son souffle lentement, le front emperlé de sueur. Allongée sur le côté tel un félin repu. Visiblement comblée par ma pipe, elle me demanda d’une voix apaisée si je voulais éjaculer moi aussi. Je ne pouvais refuser.


Alors elle tritura ma queue. Passa mon membre sur sa très généreuse poitrine et me prit en bouche avec une dextérité incroyable. Elle dégageait beaucoup de force dans son geste. En se contentant juste de frotter mes petites couilles dans ses grosses mains, j’étais déjà au bord de la jouissance. C’est dire ! Elle semblait pétrir mes bourses et les modeler à sa guise. J’éjaculai très vite ma petite dose de foutre. Une partie se retrouva entre les gros doigts d’Ilda qui me regarda alors, satisfaite.


Nous restâmes allongés de longues minutes. Nos corps étaient trempés de sueur. Il n’y avait pas de clim’ dans cette pièce. Dehors, la musique battait son plein. Un orchestre de Batucada semblait se mettre en place. La nuit ne faisait que commencer…