n° 15641 | Fiche technique | 8841 caractères | 8841Temps de lecture estimé : 6 mn | 10/06/13 |
Résumé: Sur la route un homme me drague. Après avoir résisté à ses avances je succombe enfin. | ||||
Critères: fh extracon inconnu parking voiture fellation | ||||
Auteur : Isabelle-coquine (Brune, grande, mince, 42 ans, délurée.) |
Bonjour je m’appelle Isabelle. J’ai 42 ans. Je suis une grande, j’ai de longs cheveux bruns. Mince avec une assez jolie poitrine, des fesses que je trouve trop grosses mais que je mets en valeur avec des tenues sexy ce qui semble plaire à ces messieurs. J’ai plusieurs tatouages ainsi que des piercings dont un très intime ! Voilà pour le physique. Pour le caractère disons que je suis délurée. Certains diraient que je suis une petite salope mais je préfère dire que je profite des petits plaisirs que la vie me présente.
J’ai décidé de raconter mes petites aventures mais pas forcément dans l’ordre chronologique.
La première qui me revient en mémoire s’est passée il y a un peu moins de dix ans. J’allais en voiture chez mes parents pour rechercher ma petite fille qui avait passé les vacances là-bas. Je roulais sur l’autoroute de l’Est depuis environ une heure chantant comme d’habitude en écoutant la radio quand une voiture me doubla puis se stabilisa à ma hauteur. Jetant un coup d’œil sur le conducteur je découvris un homme d’une trentaine d’années qui me souriait en levant le pouce sans doute pour me signifier qu’il me trouvait à son goût. Je souris à mon tour puis repris ma chanson.
M’ayant doublée il se rabattit puis ralentit m’obligeant à le doubler à mon tour. Arrivée à son niveau je lui jetai un regard et de nouveau il me sourit en levant son pouce. Il me doubla à nouveau et ainsi de suite. Le petit jeu m’amusait mais bientôt il mit son clignotant car une aire d’autoroute était à quelques centaines de mètres. Je mis le mien et fis mine de sortir derrière lui mais au dernier moment je continuai provoquant sans doute beaucoup de déception chez cet inconnu assez mignon mais un peu trop présomptueux.
Quelques minutes plus tard il me rattrapa et en me doublant me fit un regard de chien battu. Nous reprîmes notre petit jeu mais bientôt je dus sortir de l’autoroute pour rejoindre la nationale qui menait chez mes parents.
Il sortit lui aussi bien que j’imaginai que ce n’était pas sa direction et continua de me suivre me doublant à nouveau et tentant de m’inciter à m’arrêter sur les rares parkings que nous rencontrions.
Bientôt il me fit des appels de phares me signifiant qu’il allait laisser tomber. Bien qu’étant en couple ce petit jeu m’avait donné des idées coquines et je décidai donc de récompenser sa patience et son acharnement. Nous traversions un petit bois quand je vis un parking suffisamment discret pour une halte à l’abri des regards. Je m’y engageai suivie par l’inconnu qui devait jubiler.
J’arrêtai le moteur et attendis le cœur battant. Je n’osais descendre prête à redémarrer en cas de danger. Il vint à ma fenêtre le sourire aux lèvres.
Je le trouvais aussi à mon goût, grand, les cheveux bruns, un sourire charmant.
La conversation continua ainsi. Il se prénommait Denis et allait voir des amis dans l’Est de la France. Tout en me parlant il me déshabillait du regard. Bien qu’allant chez mes parents je n’étais pas habillée très sagement. Un chemisier blanc suffisamment ouvert pour qu’il découvre mon soutien-gorge pigeonnant en dentelle qui mettait en valeur ma poitrine. En bas je portais une jupe en jean qui debout m’arrivait mi-cuisses mais qui du fait de ma position assise et de mes grandes jambes devait lui permettre de deviner la naissance du string assorti à mon soutien-gorge.
Nous étions alors passés au tutoiement. Je lui indiquai alors que je devais y aller pour ne pas faire attendre mes parents. Il me donna alors son numéro de téléphone puis pour me dire au revoir se pencha par la vitre pour me faire la bise mais me prenant par surprise il colla alors ses lèvres sur les miennes. Interloquée je ne réagis pas tout de suite à son baiser et il prit ceci pour une invitation à aller plus loin il saisit alors délicatement ma nuque et m’embrassa à nouveau mais en y mettant cette fois-ci la langue. Oubliant mon copain je répondis donc à son baiser. Nos langues et nos salives se mélangèrent alors. Il embrassait bien et mon minou commença alors à me démanger cependant je réussis à reprendre mes esprits et je lui dis que je devais vraiment partir et surtout que je ne voulais pas tromper mon compagnon. Mais tout en disant cela je le laissais caresser ma poitrine de ses mains chaudes et douces. Ses doigts effleuraient mes tétons l’un après l’autre ce qui avait pour effet d’augmenter les démangeaisons de mon minou.
Il saisit alors ma main et la posa sur son jean à hauteur de son sexe et je découvris qu’une bosse éloquente s’était formée dans son pantalon. Comme je ne retirais pas ma main il la frotta sur cette bosse ce qui eut pour effet de la faire grossir encore plus et par la même occasion de chauffer mon minou. Il déboutonna alors son jean et sortit sa queue. Sans être énorme elle était de belle taille mais surtout raide comme un piquet et courbée vers le haut comme je les aime. Voir un mec bander pour moi a en effet le don de me faire fondre. Mais je pensais encore à mon copain.
C’est vrai que ce n’était pas très grave me dis-je et après avoir vérifié que nous étions assez loin de la route pour ne pas être surpris j’entrepris alors de le branler avec passion par plaisir mais aussi pour pouvoir enfin y aller.
Ses mots m’excitaient et j’y répondais alors par des « Allez crache ! Vas-y ! » car mon caractère de cochonne reprenait le dessus.
Pendant que je le branlais il me caressait les seins les ayant sortis de mon soutien-gorge. Plus bas ma main s’activait entre mes cuisses par-dessus l’étoffe de mon string. Mon excitation était si forte que quand il me proposa de le sucer je n’hésitai pas longtemps et pris sa queue dans ma bouche et la fis coulisser sur ma langue. Je mordillais puis léchais son gland. Aspirais ses testicules, les faisant rouler dans la bouche. Ma langue courait le long de sa verge et tout en faisant cela je le regardais dans les yeux afin qu’il puisse voir mon regard de salope qui aime ce qu’elle fait.
Bientôt la tension de sa queue augmenta encore et je sentis ses testicules remonter signe annonciateur de sa jouissance. Ne voulant risquer de tacher mon chemisier je décidai de tout prendre dans la bouche. Il se mit à respirer rapidement alors que de longs jets de sperme venaient remplir ma bouche. Cela sembla lui convenir au vu des gémissements qu’il poussa alors. Je recrachai son sperme dans un mouchoir puis me rinçai la bouche pendant qu’il reprenait ses esprits et rangeait sa queue. En gentleman il me proposa de s’occuper de mon minou avec sa langue mais déjà très en retard je dus à regret refuser son offre et repartir le minou humide mais non rassasié.
Ce ne fut que le soir après un dîner qui me parut très long dans ma chambre chez mes parents que je pus enfin me déshabiller, m’enfouir sous la couette et me soulager en branlant furieusement mon petit bouton d’une main alors que de l’autre je m’enfilai deux doigts dans le minou en repensant à la petite aventure de l’après-midi. L’orgasme ne fut pas long à venir et je dus plonger ma tête dans l’oreiller pour étouffer me cris de jouissance.
Le retour sur Paris fut plus calme avec ma petite fille à l’arrière. J’avoue tout de même qu’en doublant certains camions je laissais ma main vagabonder entre mes cuisses ou bien remontais un peu ma jupe déclenchant des appels de phares ou des coups de klaxon.
Quand je revis mon copain le dimanche soir je me contentai de lui raconter que j’avais été suivie puis abordée par un inconnu. Je lui dis que l’inconnu m’avait volé un bisou mais omis de lui raconter la suite. La raison reprenant le dessus sur mes pulsions j’ai jeté le numéro de cet inconnu et ne l’ai donc jamais revu.
Alors que pensez-vous de moi ?