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n° 15643Fiche technique12437 caractères12437
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Temps de lecture estimé : 9 mn
14/06/13
Résumé:  Stéphanie me propose un jeu à la piscine.
Critères:  fh collègues piscine
Auteur : lamenacemax47            Envoi mini-message
Le jeu du 90

Stéphanie est une fille assez étonnante. De premier abord assez timide et un air naïf, elle ressemble un peu à l’actrice dans Twilight, que ce soit physiquement, en lui rajoutant des lunettes et de la poitrine, mais aussi ce côté un peu distant, froid.


Cela fait six mois que l’on passe du temps ensemble, mais pas du tout comme amants, plutôt comme confidents. Quand je l’ai connue, j’étais pris et elle était célibataire, maintenant c’est l’inverse. J’ai appris ses différents ex, ses petits boulots, ses aspirations, son copain actuel.


Grâce à cette promiscuité, je connais même ses préférences sexuelles, ce qu’elle fait, ce qu’elle aime, ce qui est indispensable dans une partie de jambes en l’air. Elle aime la fellation car elle adore regarder son partenaire prendre du plaisir, mais n’aime pas avaler car elle a peur de se noyer, elle ne le fait donc qu’en de très rares occasions. Elle adore le faire dans une voiture, un petit côté exhibe certainement. Elle apprécie de temps en temps une sodomie, mais seulement quand elle est amoureuse. Elle s’abandonne vraiment à son amant dans ces moments-là. Globalement, elle aime le sexe, elle passe même des journées à ne penser qu’à ce qu’elle va faire au lit le soir même.


Je lui ai moi-même avoué mes envies, mes fantasmes. J’adore les pipes jusqu’au bout, et regrette à chaque fois d’avoir demandé une chose que je considère dégoûtante, mais je ne peux m’en empêcher. Comme beaucoup, ma position préférée est la levrette, mais j’apprécie aussi énormément les petites cuillères. J’aimerais un jour essayer la sodomie, mais j’ai très peur de mal m’y prendre et mon but n’est pas de faire souffrir.


Et je suis un fan absolu des seins. J’adore ça, des fois je n’arrive pas à décrocher mon regard. Dès qu’une femme se penche avec un vêtement ample, je plonge. Je ne peux pas m’en empêcher. J’essaie toujours de deviner une poitrine à travers les vêtements. J’essaie de voir s’il y a une escroquerie, un Wonderbra par exemple. J’en viendrais presque à faire des comparaisons sur plusieurs jours en regardant certaines belles femmes du boulot.


Stéphanie s’est aperçue de cela, elle s’amuse à en jouer. De temps en temps quand on mange ensemble le midi, elle fait exprès de venir avec un décolleté et de noter le nombre de fois où elle me surprend en train de mater. C’est souvent un nombre à deux chiffres.


Mais j’ai pu un peu mieux mettre à profit mon regard lubrique quand nous sommes allés à la piscine ensemble. Ce jour d’été, au lieu d’aller manger ensemble comme souvent, nous allons nous rafraîchir en piquant une tête le midi pendant la pause. Je l’avais travaillée au corps un mois pour la convaincre de se faire une piscine. Et malgré ses réticences, je suis sûr qu’elle attendait autant que moi que l’on découvre nos corps en maillot de bain.


Auparavant, nous ne faisions que du badminton ensemble le midi. Certes cela donne une bonne idée du corps de l’autre surtout quand une fille joue en pantalon de sport moulant, et un top très serré laissant souvent voir ses tétons levés, qui ont l’air très appétissant. Je lui ai souvent proposé de jouer en jupe short, je suis sûr que ça lui irait à ravir, mais bizarrement, elle continue à refuser alors que sa poitrine est elle totalement devinable.


Toujours est-il que j’ai pas mal attendu ce jour, et enfin nous sommes devant la piscine. On part chacun se changer de notre côté. Il n’y a pas grand monde, le cours d’aquagym avec les mamies a déjà commencé dans le petit bassin, et il n’y a personne dans le nôtre. J’attends que Stéphanie sorte de son vestiaire, j’aurais bien aimé aller la surprendre, surtout que personne ne m’aurait vu, les accès vestiaires féminin et masculin ne sont pas visibles de la piscine, mais je doute que l’accueil soit au niveau de ce que j’espère.


Elle arrive enfin, petit deux-pièces vert bien moulant, ne cache pas grand-chose de sa fine silhouette, un ventre bien plat mais avec de jolies hanches et deux superbes seins dont les pointes sont déjà levées. Je les devinais beaux, mais c’est bien mieux que ça, et là, elle ne peut pas tricher. Elle a retiré ses lunettes, elle fait moins sérieuse, mais a l’air tout penaud.



On rentre dans l’eau et on fait plusieurs longueurs. De temps en temps une petite pause pour discuter, quelques chatouilles, des jeux pas si innocents, mais qui doivent le rester. Je touche sans le faire exprès, ou peut-être un peu, un sein, elle ne se dérobe pas, mais ne fait rien de plus. Je tente quelques allusions. Elle me rembarre :



Elle sourit et retourne nager. Je la rattrape, dépasse puis l’attends au bout devant le petit escalier pour repartir. Il est l’heure, il faut retourner au boulot. L’aquagym n’est toujours pas terminée dans le petit bassin.


Elle arrive devant l’escalier mais je ne la laisse pas passer, nous sommes à l’abri des regards. Elle tente un peu de passer en force, mais elle est bien frêle par rapport à moi.



Je souris. Elle s’approche, colle son corps contre le mien, descend lentement ses mains de mon torse vers le bas, me plaque contre le petit muret, frotte un peu sa poitrine contre mon torse, mon sexe est bien dressé contre son ventre, elle en profite pour pivoter vers l’escalier et monte lentement les marches. Je regarde son beau fessier remonter, et je reste bloqué dans l’eau. La bienséance et les mamies du petit bassin m’empêchent de sortir de l’eau tout de suite, mon érection ne passerait pas inaperçue.



Elle rit en se dirigeant vers les vestiaires. J’attends que mon sexe redescende, et quand je peux enfin partir, elle a disparu. Je retourne alors vers les vestiaires, dis au revoir à la maître-nageur, et vais prendre ma douche avant d’aller me changer. J’ouvre la porte du premier vestiaire et elle est là.



Je suis totalement surpris. Ceci dit, j’ai tout à y gagner. Tout d’abord, elle est toujours en bikini, et deuxièmement, je peux peut-être obtenir plus. J’acquiesce et mets mon dos contre la porte en baissant mon short. Il faut que je tienne le plus longtemps possible. Je prends mon téléphone et lance le chrono.



Elle se met à genoux devant moi et fait mine d’approcher sa bouche. Je sais qu’elle ne va pas me toucher, donc le plaisir est moindre. Elle sort sa langue et la passe sur ses lèvres, comme si elle se délectait à l’avance de goûter mon sexe. Je ne réagis toujours pas. 30 secondes d’écoulées. Avec ses deux mains elle presse ses seins l’un contre l’autre, et les fait rouler, tout en approchant sa langue pour faire croire qu’elle va titiller le gland. 60 secondes, j’ai un peu grossi, mais bien loin des 90 degrés. Avec sa main droite, elle imite la masturbation et ouvre sa bouche comme si elle allait recueillir du liquide. Le temps est écoulé, je n’ai pas bandé autant que nécessaire. Stéphanie a un air renfrogné.



Elle me regarde, avec un air un peu plus vicieux que tout à l’heure. Je sens qu’elle a été piquée dans son orgueil et qu’elle souhaite laver l’affront. Elle se remet à genoux devant moi et relance le chrono tout en retirant immédiatement le haut de son bikini. Ses seins sont libérés et immédiatement excités par la situation, elle les caresse un peu et les approche de mon sexe.



Mon sexe a presque fait un bond, elle a bien fait de reculer sinon elle le prenait en bouche. Elle se lève, retire le bas de son bikini et se retourne en écartant ses deux globes. Elle se caresse le sexe et se met le pouce dans son petit trou.



Je n’en peux plus, soixante secondes, et mon sexe a presque atteint les 90 degrés. Elle se retourne encore une fois, se replace devant mon sexe, sort sa langue et…



Elle se relève et remet tranquillement son string et sa robe d’été qu’elle avait pris soin d’amener dans la cabine. Elle se retourne pour sortir quand elle regarde mon sexe toujours au garde-à-vous.



Elle me sourit. Sa robe jaune lui fait un superbe décolleté, je plonge dedans sans réfléchir. Elle me capte immédiatement. Elle bloque un instant puis remonte sensuellement ses mains de son ventre vers ses seins, et descend le haut de sa robe pour les libérer. Je profite de chaque seconde. Elle les caresse un peu, joue avec les tétons, puis se retourne en relevant sa robe. Elle prend alors mon sexe et le coince entre ses jambes, le gland collé au tissu de son string, une fois mon bassin calé sur ses fesses, elle prend mes mains et les dirige sur ses seins, puis redescend sa main droite vers son sexe pour commencer à se faire du bien pendant que j’entame un va-et-vient. Ses seins sont si doux et ronds, moelleux mais fermes, c’est tellement bon de les malaxer, caresser, frotter l’un contre l’autre. J’en profite pour titiller les bouts, coincer les tétons entre mon pouce et mon index, et les faire rouler entre mes doigts. Elle gémit de plaisir.


Je retire ma main droite pour tenter une chose que je n’ai jamais réussie à réaliser. J’essaie délicatement de faire passer mon pouce entre son string pour lui mettre le doigt dans son petit trou, et une fois réussi, elle émet un petit jappement. Mon sexe frotte contre le sien et du liquide coule dessus, ce qui favorise le mouvement. Je suis tellement excité et surpris que l’on soit arrivé à cette situation qu’il ne me faut pas plus de deux minutes de va-et-vient pour totalement arroser son string. Elle en profite pour lâcher un petit cri de plaisir en retenant mon sexe et le plaquant contre son clitoris.


Elle libère ensuite ma bite de ses jambes, puis se met à genoux devant moi. Elle tend sa langue pour récupérer la goutte qui perle de mon gland, puis elle enfourne rapidement mon sexe mouillé dans sa bouche, et le nettoie en le tétant et le léchant sur chaque parcelle. Une fois bien propre, elle me regarde d’en bas, et se lèche langoureusement les lèvres.


Nous nous rhabillons, elle garde son string poisseux collé à son sexe, et nous sortons sans nous faire remarquer de la piscine. Je la raccompagne au boulot sans dire un mot mais avec un sourire mi-coupable mi-rassasié sur les lèvres. Nous ne l’avons jamais refait ni n’en avons reparlé, mais cela reste un souvenir mémorable. Nous continuons à parler de nos histoires avec nos autres partenaires, et elle a même dit sur le ton de la rigolade que l’on devrait tenter un truc à plusieurs un de ces jours. Qui sait…