n° 15649 | Fiche technique | 9433 caractères | 9433Temps de lecture estimé : 6 mn | 16/06/13 |
Résumé: Histoire d'une amitié qui dérape. | ||||
Critères: fh extracon anulingus pénétratio yeuxbandés confession | ||||
Auteur : Rêveur Envoi mini-message |
Vingt ans…
Delphine… Cela fait vingt ans aujourd’hui que je la connais…
Delphine et Marc sont des amis que je considère comme mon grand frère et ma petite sœur.
Nous nous étions rencontrés sur le parking d’un grand supermarché, j’attendais ma femme qui travaillait dans ce magasin et Delphine était arrivée à hauteur de ma voiture avec deux sacs plastique pleins et l’un d’eux avait craqué laissant tomber les courses, je l’avais aidée à ramasser et lui avais donné un sac pour remplacer celui éventré.
Elle avait pris mon numéro de téléphone pour me rendre le sac, une fois rentrée chez elle.
L’après-midi même, elle m’appela pour m’inviter à prendre un petit apéritif du soir et ainsi faire la connaissance de son mari, Marc.
Quand mon épouse et moi sommes arrivés chez eux, Marc était sur le pas de la porte pour nous accueillir. Ils ont une petite maison très sympa, toute en longueur en plain-pied avec un petit jardin très ensoleillé où se trouve encore maintenant une piscine gonflable.
Delphine apparut dans la lumière de cette fin de journée en chemisier blanc, presque transparent et une petite jupe à volants, très légère.
Alors que nous avions pris un apéritif un peu trop arrosé, Marc et moi avons commencé à jouer à l’eau, pris dans l’amusement nous nous étions retrouvés tous les deux, en caleçon, dans cette piscine, puis, naturellement, nous sommes allés chercher nos femmes pour les faire participer à ce rafraîchissement improvisé, les deux filles trempées jusqu’à la culotte étaient superbes, leurs chemisiers laissaient apparaître leurs formes de femmes de vingt ans, le galbe des seins collant sur le tissu transparent, la jupe trop légère pour cacher le string qu’elles avaient mis.
C’était une première soirée, qui ne fut pas la dernière, vraiment agréable où nous avons vraiment fait connaissance et ou notre amitié est née.
Cela fait vingt ans aujourd’hui, jour pour jour et Marc m’avait demandé de venir ce samedi matin pour faire quelques travaux avec lui dans son jardin. En cette journée de fin avril, la température, quoique la pendule affiche à peine 8 heures, était déjà de 22°C et annonçait une journée superbe pour travailler dans le jardin.
Je frappai à la porte et Delphine vint m’ouvrir en robe de chambre légère, ce n’était pas la première fois que je la voyais dans cette tenue, nous avions déjà eu l’occasion de partir en vacances ensemble quand nous étions plus jeunes, avant que les enfants ne rentrent dans nos vies respectives, mais le soleil qui traversait la maison et sa robe de chambre dévoilait les formes de Delphine qui, malgré ses quarante ans et ses trois enfants, était encore une superbe femme.
Elle m’invita à rentrer, m’offrit un café et m’expliqua que Marc avait dû se rendre à son travail d’urgence pour régler un problème qui ne pouvait attendre le lundi matin et qu’il n’en avait que pour une heure ou deux maximum, je lui dis que cela ne posait pas de problème, que je pouvais commencer sans lui, les enfants étant chez les grands-parents pour ce week-end, nous n’étions que deux dans cette maison.
Delphine était partie pour se changer et mettre une tenue adéquate pour faire le jardin avec moi, laissant la porte de sa chambre, où se trouvait un miroir, ouverte. De l’endroit où j’étais assis, je la vis dans le reflet du miroir faire glisser la robe de chambre le long de son corps, je me surpris à avoir des pensées qui ne me ressemblaient pourtant pas, elle tourna la tête et vit dans le miroir que je la regardais, elle fit mine d’être gênée mais ne referma pas pour autant la porte, je pus continuer à regarder son corps magnifique.
Je ne sais toujours pas pourquoi, mais je me suis levé et me suis dirigé vers le couloir qui amenait à la chambre, elle disparut un instant du reflet du miroir, je penchai alors ma tête dans l’ouverture de la porte et la vis me tourner le dos complètement nue, face à son armoire ouverte, essayant de trouver un tee-shirt ou autre vêtement, je m’avançai doucement vers elle et posai mes mains sur ses épaules, elle n’essaya même pas de les enlever ou de se retourner, j’avais l’impression qu’elle n’était pas surprise et qu’elle était prête à s’abandonner à moi.
Je lui demandai alors de fermer les yeux et de me laisser faire, je tendis le bras pour prendre dans l’armoire un foulard en soie qui était posé juste à hauteur de main, je le fis glisser en remontant le long de son dos et lui bandai les yeux avec délicatesse, elle ne bougeait toujours pas.
Je fis glisser mes mains le long de ses épaules, le dos, les hanches puis descendis jusqu’à ses pieds pour remonter par l’intérieur des jambes qu’elle avait légèrement écartées, lui effleurai les fesses et la fis se retourner avec douceur, elle se trouvait maintenant face à moi, les bras le long du corps, ne bougeant toujours pas, je repris mes caresses en commençant par son visage, suivant les lignes de ses yeux, son nez, sa bouche, puis descendis sur son cou, ses seins qui commençaient à durcir et où le téton était déjà tout pointu de désir, je pris le sein droit dans la main puis m’abaissai pour l’embrasser, quand mes lèvres ont touché sa peau, Delphine émit un petit son de plaisir, je passai au sein gauche puis tout en continuant à embrasser sa poitrine, fis glisser mes mains de long de son ventre, ma bouche prit le même chemin, descendant petit à petit sur ce corps qui frémissait au fur et à mesure de mes baisers et de mes caresses, je m’attardai un peu sur son nombril, y glissai ma langue et sentis le corps de Delphine bouillir d’impatience.
Je fis pivoter Delphine sur la droite pour qu’elle se retrouve debout devant le lit, la fis asseoir délicatement, elle se laissa tomber en arrière en écartant les jambes telle une invitation, je repris mes baisers sur le nombril et descendis doucement jusqu’au petit triangle magique qui s’ouvrit à moi sans effort.
La chaleur et l’humidité de cet endroit magique me firent bien comprendre qu’elle n’avait pas été insensible à mes caresses, je commençai à jouer avec son petit bouton puis descendis jusqu’aux lèvres pour remonter ensuite sur le petit bouton et ainsi de suite, son corps partit dans tous les sens, les lèvres grandes ouvertes, j’y glissai un doigt, un râle de bonheur sortit de la bouche de ma compagne, je fis glisser le doigt qui était trempé jusqu’à la petite fleur interdite, sentis que Delphine serrait un peu plus les fesses, je savais qu’elle n’aimait pas ça, je lui dis alors de me faire confiance, elle lâcha l’étreinte et s’abandonna complètement à moi. Tout en continuant avec ma langue sur son petit bouton, mon doigt caressait l’entrée de son anus, sans jamais y pénétrer, elle émit un cri d’extase, se cambra et lâcha à nouveau un râle, elle avait joui.
Elle releva la tête tout en enlevant le foulard de ses yeux, se mit en tailleur sur le bord du lit, prit ma tête entre ses mains et m’embrassa tendrement. Elle mit son doigt sur ma bouche comme pour me demander de ne pas parler, me prit les mains et me fit m’asseoir à mon tour sur le lit, elle m’enleva mon tee-shirt et me poussa en arrière. Ses mains avaient déjà enlevé le pantacourt que je portais et commençaient à faire glisser le boxer qui se trouvait en dessous.
Elle vint s’asseoir sur moi et me mit le foulard sur les yeux, comme pour me faire comprendre que c’était à mon tour de me laisser faire et de prendre du plaisir.
Je sentis ses lèvres descendre le long de mon cou, de mon torse, de mon ventre et sentis une douceur sur le bout de mon gland qui était déjà dans un état d’excitation avancé, elle fit un mouvement de va-et-vient avec une douceur remarquable, elle s’aperçut de mon état d’excitation et arrêta, elle vint s’asseoir sur moi à nouveau, puis je sentis une chaleur très humide s’empaler sur ma verge, le mouvement de va-et-vient, mais rapidement je fis basculer Delphine sur le côté et lui dis que je ne voulais pas comme ça, pas aussi vite. Elle enleva le foulard de mes yeux et s’abandonna une nouvelle fois à ma bouche et à mes caresses.
Sous l’effet de mes caresses et de mes baisers, Delphine jouit une nouvelle fois dans un râle encore plus fort que la première fois.
Lorsque je voulus la pénétrer, elle se retourna et se mit à quatre pattes, m’offrant ainsi sa petite fleur interdite, j’y laissai traîner la langue, puis un doigt, sans jamais la pénétrer, je finis par me positionner derrière elle et lui fis l’amour en la prenant sans jamais déflorer sa petite fleur interdite.
Nous avons joui en même temps dans un bonheur partagé.
Quand Marc fut enfin rentré de son travail, nous étions tous les deux affairés dans le jardin, comme si rien ne s’était passé.
C’était il y a deux ans maintenant. Marc et ma femme ne l’ont jamais appris. Nous n’avons jamais recommencé. Mais par contre, aujourd’hui encore, quand nos yeux se croisent, il y a encore cette petite étoile qui pétille.