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n° 15658Fiche technique28350 caractères28350
Temps de lecture estimé : 20 mn
21/06/13
Résumé:  Nous faisons la connaissance des voisins de Damien. Ce couple de 22 ans qui, comme nous, a partagé un moment de plaisir avec lui. Ensemble, nous allons découvrir les joies des caresses et finir par changer de partenaires l'espace d'une soirée.
Critères:  grp couple couplus inconnu copains collègues boitenuit danser amour voir exhib fellation double sandwich échange confession
Auteur : 1bichon  (Homme aimant les femmes et le triolisme)      Envoi mini-message

Série : Du fantasme à la réalité 3

Chapitre 04 / 05
Nous faisons la connaissance de Géraldine et Mathieu

Résumé des épisodes précédents : Après avoir fait la connaissance d’un collègue de ma compagne et partagé une soirée un peu alcoolisée au cours de laquelle nous avons eu une aventure à trois, nous avons revu Damien deux autres fois. La première chez lui, la deuxième lors d’un week-end « châteaux de la Loire ». Lors de cette dernière, il nous a conté sa rencontre avec ses voisins, comment il s’est débrouillé pour se faire offrir Géraldine. Véro s’est de nouveau livrée à lui, à nous, après s’être exhibée à Blois devant un quadra. Damien a caressé sa poitrine une bonne partie du week-end et connaît maintenant son appétit et ses goûts sexuels (consulter la série, à savoir : De fil en aiguille – Nouvelle rencontre avec Damien – Envie de passer le week-end ensemble).








Damien nous invita à fêter la veille des vacances en sa compagnie dans une discothèque à Barbizon. Cette petite boîte, Le Bison, a la particularité d’être en bordure de forêt et de comporter deux étages relativement intimiste (c’est devenu un club privé aujourd’hui).

Lorsque nous nous rendîmes chez lui afin d’y laisser notre voiture, quelle ne fut pas notre surprise de rencontrer le couple de notre âge dont il nous avait parlé à Chambord le mois précédent, celui dont il avait réussi à se faire offrir la demoiselle.

Mathieu et Géraldine étaient donc aussi de la partie. Ce fut un plaisir de découvrir de près cette jolie blonde de vingt et un ans, d’un mètre soixante-huit aux yeux noisette et son compagnon, brun au regard bleu azur. Bien entendu, chacun de nous avait entendu parler de l’autre et Damien nous présenta d’une manière sous-entendue :



Après bises et poignées de main, nous partîmes à pied rejoindre le restaurant précédemment testé en compagnie de notre « ami » et de ses voisins. Le repas se déroula en toute simplicité et nous fîmes plus ample connaissance, en évitant toutefois de parler de nos expériences communes avec Damien. Vers 22 heures, nous prîmes place dans la voiture de Damien pour parcourir les 20 km nous séparant de la discothèque. Mathieu prit place avec les filles à l’arrière.


À cette époque, nous n’entrions pas habillés n’importe comment en boîte : un minimum d’élégance était de rigueur. Avec Mathieu et Damien, nous portions un pantalon de toile et une chemisette. Les filles s’étaient apprêtées pour nous plaire : Véro portait un chemisier en soie imprimé avec un dégradé de couleur style arc-en-ciel sur un pantalon en jean blanc ; quant à Géraldine, elle avait revêtu une jupe noire avec un chemisier blanc noué autour de la taille par une cordelette. Chacun de nous avait une veste ou un gilet, qui échoua au vestiaire dès notre arrivée.


À cinq, nous commandâmes une bouteille de vodka et deux bouteilles de jus d’orange, de quoi passer une agréable soirée et rejoignîmes un box fait d’une banquette arrondie et de deux tabourets-poufs. L’ambiance monta progressivement et nous passâmes pas mal de temps à danser, surtout du disco, en nous relayant de temps à autre sur la banquette afin d’observer les autres ou pour nous reposer un peu.


La soirée était déjà bien avancée lorsque je vis Damien échanger quelques paroles avec nos compagnes en les prenant simultanément par le cou. Véro et Géraldine remuèrent la tête et il renouvela sa prise en les regardant alternativement. Elles se regardèrent, et échangèrent un signe positif de la tête avant de reprendre leurs déhanchements. Lorsque la musique changea, elles partirent toutes les deux vers les toilettes, laissant Damien nous rejoindre. Il semblait fier de lui mais il ne nous fit pas partager son enthousiasme. Il se contenta seulement de montrer sa main en remuant la tête pour couper court à toutes questions, attendant le retour des filles.


Lorsqu’elles revinrent, toutes souriantes, il se leva aussitôt pour aller les rejoindre sur la piste. Ils dansèrent en nous regardant et me sembla-t-il, malgré les nuances des lumières, se donnèrent fugitivement la main. Damien, les poignets fermés, pivota sur lui-même et après avoir passé ses mains dans ses poches, entraîna les filles dans une danse à trois, tête contre tête, en les prenant par les épaules. Nous les rejoignîmes avec Mathieu en entendant du Claude François et nous dansâmes tous les cinq comme des fous en imitant l’artiste.


Après quelques morceaux endiablés, nous regagnâmes en sueur notre box et, comme par hasard, Damien se retrouva entre les deux filles. Il profita du fait que nous regardions souvent la piste avec Mathieu pour passer ses bras autour de leur cou et, sans se gêner, toucher leurs seins par-dessus leur chemisier. Lorsque je m’en rendis compte, pratiquement en même temps que mon jeune comparse, il nous sourit en attirant les filles contre lui, nous laissant Mathieu et moi stoïques et perplexes. Tout sourire, Damien empauma franchement un sein de chaque fille avant d’échanger un sourire avec elles puis nous faire un ersatz de clin d’œil. Il semblait comparer leur poitrine en se calant au fond du canapé pour les prendre à pleines mains, comme si les demoiselles sortaient avec lui. Les tétons tendaient certainement les chemisiers ; malheureusement, le manque de lumière ne permettait pas d’en avoir le cœur net. C’était le plus âgé du groupe, et seul lui n’avait rien à perdre puisqu’il était célibataire. Mathieu était comme moi… sans voix ; et ce n’était pas nos compagnes qui nous donnaient envie de réagir, car elles se laissaient littéralement peloter depuis deux ou trois minutes.


Un titre de Police amena Mathieu, Véro et Damien à repartir sur la piste, me permettant enfin de rester seul avec Géraldine. Après m’être approché d’elle, je me souviens lui avoir demandé si la soirée lui plaisait. Pour me répondre, vu le niveau sonore élevé, elle fut obligée de se pencher vers moi, ce qui me permit – sans que ne m’y attende – d’admirer sa poitrine par l’échancrure créée au niveau de son chemisier. Surpris de constater l’absence de soutien-gorge, je la fis répéter pour confirmer ma première impression et savourer la vision offerte. Tout en regardant la piste en discutant un peu sur la foule, je m’aperçus que Véro et ses deux cavaliers s’effleuraient assez souvent. Géraldine fit la même constatation et ne manqua pas de me faire remarquer. Soudain, la cinquantaine de personnes présentes sur la petite piste nous masqua l’autre partie de notre petit groupe qui se retrouva au centre de la piste. Nous nous étions rapprochés côte à côte avec cette belle blonde lorsque la première série de slows arriva, et naturellement je la pris par la main pour l’inviter… à venir se coller contre moi. Voyant cela, Mathieu fit de même avec Véro ; Damien, se retrouvant seul, invita une inconnue.


Ma cavalière, d’abord distante, accepta ma main sur sa taille fine puis finit par se coller à moi au fur et à mesure que la lumière diminuait. Elle me fit sentir la fermeté de ses tétons en collant sa tête sur mon épaule tandis que je glissais sournoisement ma jambe au creux des siennes tout en la serrant contre moi. Constatant l’appui de son mont de Vénus sur ma cuisse, je sentis naître en moi une érection, et je ne pus m’empêcher de penser aux paroles perverses de Damien. D’un regard circulaire, je vis que Véro était au diapason de Géraldine dans les bras de Mathieu. Damien dansait avec une inconnue qui semblait plus distante.

Notre corps à corps m’excitait de plus en plus mais toute bonne chose ayant une fin, après deux trois paroles les yeux dans les yeux, le slow prit fin et Damien me vola ma partenaire. Ma véritable compagne, Véro, me tendit les bras, laissant Mathieu plus timide que Damien regagner notre banquette.


Avec ma moitié, mes mains se firent naturellement un peu plus baladeuses et nos bouches s’unirent. En voulant lui caresser un peu la poitrine, je me rendis soudain compte qu’elle ne portait plus le soutien-gorge que je l’avais vue mettre et je compris aussitôt le but de l’absence des deux filles un peu plus tôt. Lorsque j’ai abordé le sujet, elle m’avoua que Damien leur avait lancé un défi que l’une et l’autre avaient accepté à condition d’être à égalité. J’ai analysé soudain qu’un peu avant les slows il avait pris leur poitrine à pleines mains et que les deux filles l’avaient laissé faire sous nos yeux.

Lorsque j’en fis part à Véro, celle-ci me dit qu’il avait effectivement les mains bien baladeuses ce soir avant d’ajouter :



Ce qui attisa ma curiosité mais ne l’amena pas à m’en dire plus.



Tout s’éclaircissait dans ma tête : l’échappée vers les toilettes, la poignée de mains que j’avais cru apercevoir, les mains de Damien enserrant les filles contre lui en leur touchant les seins, et enfin l’éloignement au milieu de la piste lorsqu’il avait entraîné Mathieu et Véro afin de pouvoir la toucher en se servant de la foule.

Say ain’t so prenant fin, Damien proposa d’inverser les partenaires ; mais, bon prince, Mathieu voulut danser avec sa copine et logiquement ce fut mon tour d’aller m’asseoir. En vidant mon verre (à l’époque nous pouvions les laisser sans craindre l’ajout de drogue), j’observais la main de Damien qui descendait de plus en plus vers la fesse de Véro. De son côté, Géraldine roulait une pelle langoureuse à son compagnon. Le regard – ou du moins le visage – de Véro tourné dans ma direction ne me disait rien qui vaille, et lorsque j’aperçus la main de Damien qui pelotait allégrement sa fesse, je compris que ma moitié n’avait pas vraiment envie de résister. Cela me poussa à les épier pour en voir plus en dégustant ma vodka-orange.


Deux rotations plus tard, après deux trois paroles, leur bouche se joignirent quelques secondes et le pouce de Damien se déplaça doucement vers le sein qui s’offrait à lui. Malgré la faible lumière sur la piste, je me rendis compte que Mathieu stimulait Géraldine en la caressant un peu plus haut que la taille… J’étais donc le dindon de la farce.

Au début du slow suivant, Géraldine vint vers moi et me tendit la main, invitation on ne pouvait plus précise. Mathieu, comme à la première danse, s’empara de Véro, laissant enfin Damien nous regarder.

Véro m’ayant fait comprendre que Mathieu l’avait peut-être pelotée, j’ai tenté ma chance avec Géraldine en la reprenant serrée contre moi, et aussitôt ses mains m’enserrèrent comme elle tenait son compagnon habituel deux minutes auparavant. Sa docilité m’amena à remonter ma main pour effleurer le galbe de sa poitrine, ce qui lui décrocha un petit sourire lorsque nos regards se croisèrent. En tournant la tête, je m’aperçus que Véro me regardait et, voyant mon attitude, elle se livra littéralement aux bons vouloirs de Mathieu en se pendant à son cou. Une question effleura mon esprit en les épiant : lequel de nos deux couples oserait franchir le pas du premier baiser ?

Mathieu dut se poser la même question car, comme moi, il observait notre progression en promenant sa main du dos aux fesses de mon amour. Géraldine ne se refusait pas, Véro non plus ; alors, du bout du pouce, j’ai titillé le tétin de Géraldine pour voir sa réaction et je ne fus pas déçu en constatant que ses yeux cherchaient les miens. Lorsque nos regards se croisèrent, sa bouche me chanta :



Mathieu semblait dans le même état d’excitation que moi car il avait l’air d’agir de la même façon avec ma compagne.



La musique s’achevant, nos bouches n’entrèrent pas en contact mais il s’en fallut de peu pour que cela se produise. Regagnant notre banquette, ravis chacun de cette série de slows, nous accueillîmes avec joie la proposition de Damien qui consistait à nous donner encore une petite heure dans cette boîte avant de rentrer prendre un dernier verre chez lui.


Les danses suivantes servirent plutôt de prétexte pour échanger des regards pleins de promesses et provoquer des contacts manuels pour nous chauffer mutuellement. Les filles dansaient entre nous, contre nous, et chacun d’entre nous semblait ravi de cette soirée en boîte. Nous étions si chauds que la cordelette de Géraldine disparut rejoindre son gilet au vestiaire.


Trois slows précédèrent notre départ et nous permirent de redécouvrir la douceur des peaux féminines en glissant nos mains sous les chemisiers débraillés des demoiselles, au niveau de la taille. Comme moi, je me doutais que mes deux acolytes avaient sûrement touché les poitrines de Véro et de Géraldine. L’ambiance, certes un peu alcoolisée, pouvait donc nous entraîner vers une fin de soirée excitante une fois arrivés chez Damien.

Lorsque nous décidâmes de mettre les voiles, les filles devenues amies se prirent par le cou et nous devancèrent en prenant la direction de la voiture. J’entendis cependant un extrait de conversation où Véro disait :



Je n’entendis malheureusement pas la suite.

Damien devant conduire, je pris place à l’arrière avec elles. Véro se plaça au milieu, ce qui me permit d’observer les cuisses de Géraldine en me tournant un peu vers l’intérieur de l’habitacle. Vu l’heure, les quelques kilomètres furent parcourus assez rapidement. Damien, en homme responsable, n’avait bu qu’un seul verre d’alcool, préférant boire du jus d’orange par la suite ; peut-être pour faire le plein de vitamine C…

En sortant de la voiture, je pris ma compagne par la taille ; Mathieu fit de même avec Géraldine et Damien nous entraîna chez lui pour finir la soirée autour d’un verre. Je me doutais de ses intentions, mais je n’avais pas la certitude que les autres étaient sur la même longueur d’onde que lui… Je me trompais !


Une fois le seuil de porte franchi, tandis que Damien était à la cuisine et Mathieu aux toilettes, je surpris Géraldine souffler à Véro :



Ce qui attira discrètement mon oreille, mais Damien revint et les interrompit en proposant à boire. Une fois tous assis autour de la table basse, les filles sur le canapé et nous sur des chaises, Damien sortit les soutiens-gorge de sa poche et les exposa devant l’assistance en disant :



Constatant nos deux hochements de tête positifs, Géraldine – déjà prête à accepter de s’exhiber – demanda à Véro en la fixant :



Je sentis qu’elle était prête à s’exhiber elle aussi et qu’elle avait dit cela pour nous inciter à en demander plus.



Les yeux de Géraldine et de Véro se fixèrent sur Mathieu et moi, comme pour nous demander notre accord. Devant notre mutisme certainement dû à l’alcool, elles prirent cela pour un accord. Du coup, elles se levèrent, allèrent en se tenant la main se mettre côte à côte à l’autre bout de la pièce et Géraldine réclama un peu de musique.

Aux premières notes, elle se déhancha en défaisant un, puis deux boutons de son chemisier. Je bavais d’envie d’en voir plus. Mon amour, qui n’avait jamais fait de strip, l’imita avec un peu de retard sous les yeux dévorants de mes deux acolytes. Géraldine continua et attendit que Véro soit au même niveau qu’elle avant d’ouvrir son haut. J’avoue que je matais plus la copine de mon voisin que ma partenaire habituelle, et je savais la réciproque identique. Lorsque les chemisiers glissèrent le long des épaules puis des bras, un silence se fit car les poitrines nues de nos demoiselles s’offraient enfin à nous.


Le joli 90B de Géraldine et ses tétins très clairs contrastaient avec le 85B aux tétons foncés de Véro. Les chemisiers finirent sur une chaise et, déjà victimes d’une érection, nous n’avions qu’une envie : en voir plus. Les deux filles se regardèrent et échangèrent un signe positif pour se donner le courage de continuer.

Géraldine remonta sa jupe sur sa cuisse, la refit descendre puis recommença un peu plus haut tandis que Véro déboutonnait son pantalon blanc. La fermeture de la jupe fut descendue d’une façon plutôt sexy, en dandinant des fesses, et ensemble elles firent passer leur vêtement sur leur postérieur pour nous révéler leur dernier rempart. Géraldine dévoila une culotte noire et Véro une blanche. Ces petits bouts de lingerie ayant eu tendance à descendre un peu, elles les réajustèrent immédiatement.

En culotte devant nous, elles se déhanchèrent quelques secondes avant que Véro, visiblement bien excitée, nous dise :



Une pensée me revint à l’esprit en les regardant hésiter : ma compagne m’avait avoué avoir eu un début de relation féminine avec une copine à l’âge de 15 ans. Celle-ci s’était arrêtée après quelques caresses sur la poitrine car elles avaient été dérangées par le retour de la mère de cette dernière, bien que mon amour aurait bien aimé aller plus loin, à cette époque. L’occasion était peut-être arrivée de l’aider à goûter quelques caresses féminines…


Les filles se regardèrent, nous regardèrent, puis Véro passa sa main sur la poitrine de Géraldine et descendit vers sa culotte noire pour faire mine de la lui retirer. Contre toute attente, comme un homme, elle glissa sa main à l’intérieur pour flatter la chatte de sa comparse puis, visiblement contente de ce qu’elle venait de découvrir, releva la tête pour croiser le regard de Géraldine. Cette dernière accepta la caresse et fit exactement le même geste pour toucher la chatte de ma compagne. Les deux filles se branlèrent un peu de profil devant nous avant que Géraldine, a priori très vicieuse, décide de nous dévoiler le sexe de Véro en premier. Elle la disposa face à nous et, se plaçant derrière elle, fit glisser la lingerie le long des cuisses à l’aide de ses deux mains. Damien – et surtout Mathieu, pour qui c’était une nouveauté – dévoraient des yeux l’anatomie de ma compagne. Véro, quant à elle, me fixait en guettant ma réaction. Elle semblait apprécier, grâce à notre complicité, d’être mise à nu devant un quasi inconnu. Moi, j’attendais de voir la chatte de Géraldine. Lorsque Véro souleva l’un après l’autre les pieds pour dégager sa culotte et permettre à Géraldine de la lui libérer, j’entendis Mathieu souffler : « Joli minou… ».


Après quelques secondes d’exhibition qui permirent à sa comparse de se relever, Véro se ressaisit et contourna Géraldine pour lui faire subir le même sort. Dans un premier temps, elle lui caressa les seins par derrière, les empauma puis fit glisser doucement ses deux mains le long du corps de sa partenaire. Elle abaissa la dernière étoffe en se mettant accroupie derrière sa comparse, ouvrant un peu ses cuisses, ce qui nous dévoila son sexe châtain derrière les jambes de Géraldine, sans qu’elle s’en rende compte.

Je n’avais d’yeux que pour ce petit buisson blond qui masquait assez peu un début de fente humide, et cette poitrine claire. Pour cause, je n’avais jamais connu de vraie blonde auparavant. Les filles se redressèrent, se prirent par la taille puis, après avoir échangé un regard en souriant, nous dirent :



Un « OK » général retentit et aussitôt nous nous levâmes en bloc puis attendîmes que les filles daignent s’occuper de nous et de nos érections. Véro s’approcha de moi, Géraldine de son homme et les deux beautés nues nous arrachèrent pratiquement l’intégralité de nos vêtements en lorgnant nos anatomies érectiles mutuelles. Une fois nus, elles se regardèrent et s’attaquèrent en chœur à Damien. Quelques minutes après, nous nous retrouvâmes tous les cinq nus au milieu du salon à nous regarder. Voyant Géraldine se coller à son Mathieu, je pris Véro contre moi en laissant Damien seul. Ce dernier ne perdit pas le nord et dit tout naturellement :



Mathieu se mit derrière sa Géraldine et entreprit de faire glisser ses mains sur le corps de sa bien-aimée, face à nous, tout en pelotant lentement sa poitrine. La belle appréciait les caresses – ou le fait de s’exhiber – car elle posa sa tête contre la poitrine de son homme et ferma les yeux en passant ses mains derrière lui. Véronique, du haut de son mètre cinquante-cinq, fidèle à elle-même, posa sa main sur ma queue et me branla très lentement tout en cherchant à ce que nous partagions un baiser fiévreux. J’étais, comme mes compagnons, très excité et il s’en fallut de peu pour que je jouisse dans sa main. Heureusement, lorsque je lui fis cesser sa branlette, elle s’arrêta aussitôt. Ce fut à ce moment-là que Damien vint se positionner derrière elle et la prit entre ses mains. Il caressa fermement ses seins puis l’attira à lui, ce qui la sépara de moi. Il l’embrassa en la doigtant puis bloqua son corps entre ses mains en la tenant en tenaille par derrière. Je me retrouvai seul, à quelques centimètres de ces deux couples qui s’embrassaient à pleine bouche.


Observant le joli petit derrière de Géraldine, je fus attiré par sa peau claire et, sans être sûr de moi, je pris sa fesse dans ma main. Vu qu’elle avait les deux mains de son homme sur son corps, elle ne put que se rendre compte de ma présence. Elle remua les fesses, ce qui m’incita à continuer ma caresse, puis se retourna au bout de quelques secondes pour me sourire. Ne pouvant plus toucher sa fesse, je pris sa hanche gauche dans ma main droite et fis route vers son sein qui m’attirait tant. Voyant cela, Mathieu lui caressa la taille puis, après un baiser dans le cou, nous laissa pour aller s’occuper de ma chérie avec Damien. Les yeux dans les yeux, nous échangeâmes enfin le baiser que nous avions refoulé sur la piste de danse tout en nous découvrant mutuellement du bout des doigts.


Véro était aux prises avec mes deux comparses, et visiblement aucune partie de son corps n’échappait à leurs caresses. Des baisers étaient échangés de tous les côtés, et des mains très promeneuses parcouraient les corps de part et d’autre.


Lorsque ma main entra pour la première fois en contact avec la vulve de Géraldine, ce fut une révélation : cette jolie blonde mouillait comme une fontaine ! Son clitoris était très érectile et ses lèvres vaginales bien gonflées. D’un regard vers les autres, je vis que mes acolytes avaient conduit Véro à s’agenouiller pour pouvoir goûter alternativement leur sexe. Damien savait, pour l’avoir testée, qu’elle était la reine de la fellation et qu’elle aimait avaler le sperme. Peu de temps après d’ailleurs, les gémissements de Mathieu nous informèrent qu’il n’avait pu se retenir et venait d’éjaculer. D’un coup d’œil rapide, je compris qu’elle le buvait en le masturbant.


Géraldine s’agenouilla pour me proposer le même acte mais je savais que j’exploserais très vite, aussi l’ai-je conduite vers le canapé pour lui faire plutôt un cunnilingus afin de me délecter de sa vulve baveuse. Elle m’ouvrit sa fourche et plaqua son sexe contre mes lèvres en me tenant la tête. Simultanément, j’entendis Damien dire à Véro :



S’ensuivirent quelques mouvements de pas qui m’informèrent que les trois autres étaient partis faire l’amour dans la chambre voisine. La porte était restée ouverte et nous pouvions voir les trois amants sur le lit, et réciproquement. Soudain, des sons sans équivoque se firent entendre qui nous informèrent de leur progression. Géraldine, tout comme moi à l’écoute, fut rapidement prise d’un orgasme dévastateur grâce à l’action de ma langue et de mes deux doigts qui la pénétraient. Juste après, elle me demanda de la prendre en me fixant dans les yeux.


Véro se faisait honorer de son côté par les deux hommes ; je n’allais donc pas me priver de baiser Géraldine. Toujours allongée sur le canapé, je la pris donc en missionnaire en contemplant son corps nu sous moi. Les paroles de Damien et Mathieu attirèrent mon regard vers la pièce voisine et me permirent de voir Véro se faire prendre en sandwich, en levrette avec la queue de Damien en bouche. Tenue par la taille, elle recevait de sacrés coups de queue de la part du conjoint de ma partenaire.

Cette vision, les soupirs mélangés et surtout la chaleur du vagin qui m’accueillait, déclenchèrent mon orgasme. Je me suis vidé en Géraldine, ce qui lui provoqua à elle aussi une belle jouissance. Tout le monde gémissait dans l’appartement.

En regardant dans la pièce voisine une ultime fois, je vis Damien tenir la tête de ma chérie pour la forcer à le boire jusqu’au bout ; mais cette petite violence me gêna un peu… il ne la respectait plus. Était-ce du fait de la présence de Mathieu ?


Partageant d’ultimes caresses avec Géraldine, nous fûmes rejoints par les trois autres qui comme nous, exténués, prirent à boire pour se remettre de leurs émotions. Chaque couple se reforma et nos compagnes se mirent sur nos genoux pour bien montrer avec qui elles partageaient leur vie. Mathieu et Géraldine habitant à côté et ne voulant pas rester seuls avec Damien, nous prîmes congé ensemble. Par principe, nous échangeâmes nos numéros de téléphone en bas de l’escalier, en sachant intérieurement que cela ne nous engageait à rien.

L’accouplement que nous venions d’avoir ne me convenait qu’à moitié car je n’avais rien partagé avec Véro, même si nous avions pris notre pied à faire l’amour à plusieurs.


Sur le chemin du retour, collée à moi dans la voiture, elle m’avoua avoir eu le même ressenti que moi, celui de me tromper en quelque sorte, et ce, par la faute de Damien qui avait commis l’erreur de vouloir nous diriger vers une relation différente de celle que nous recherchions. Ce traquenard – certes agréable – avait rompu le charme de notre amitié car il venait de commettre une erreur en l’emmenant dans la pièce voisine, et il était capable de nous amener vers d’autres aventures que nous ne voulions pas.


Cette soirée fut la dernière partagée en sa compagnie ; Véro lui expliqua pourquoi afin de ne pas se mettre professionnellement en danger. Cela ne nous empêcha pas de recevoir Mathieu et Géraldine chez nous quelques jours plus tard, et même de programmer une semaine de camping ensemble fin août ; mais cela, c’est une autre histoire.


Malheureusement ils rompirent lorsque l’hiver arriva. Nous perdîmes le contact avec Mathieu… mais pas avec Géraldine, qui vient parfois nous rendre visite pour partager quelques moments de douceur à trois, car une belle amitié – avec un soupçon de perversité – est née entre nous.