n° 15659 | Fiche technique | 11488 caractères | 11488Temps de lecture estimé : 8 mn | 21/06/13 |
Résumé: Un jeune homme se retrouve à coucher avec la mère d'un de ses amis. | ||||
Critères: fh fagée jeunes fdomine lingerie fgode pénétratio | ||||
Auteur : Gauthier |
Je m’appelle Gauthier et j’ai 29 ans. Je voulais raconter ici comment à l’âge de 19 ans, j’ai couché avec la mère d’un de mes amis.
Un samedi soir, nous nous étions retrouvés à quatre copains chez l’un d’entre nous pour une soirée jeux vidéos. La soirée battait son plein et nous étions acharnés après un tournoi de foot sur console dans le salon quand Isabelle, la mère de celui d’entre nous qui recevait, rentra. Isabelle était brune, avec une chevelure abondante, de jolis yeux marron, des seins de taille moyenne et surtout un cul rebondi à croquer ! Nous trouvions tous Isabelle très jolie, mais par respect pour notre pote, nous n’en parlions pas.
Quand elle entra, elle se dirigea vers le salon pour nous dire bonjour. Elle portait un jean bleu et un chemisier blanc assez moulant. Perchée sur de jolis escarpins rouges, elle mettait d’autant plus ses fesses en valeur. Elle se pencha et enjamba les uns les autres pour nous faire la bise à tous. Nous arrêtâmes le jeu le temps d’échanger quelques paroles avec elle, puis elle nous fit savoir qu’elle était fatiguée et qu’elle allait se coucher. Nous lui assurâmes que nous essaierions de ne pas faire trop de bruit et lui souhaitâmes bonne nuit.
La soirée continuait avec des matches de plus en plus disputés quand mon téléphone sonna pour me signaler un texto. Il s’agissait d’un message de Laure, une fille de ma classe que je draguais depuis plusieurs semaines avec peu de résultats. Et là, elle me proposait d’aller au cinéma avec elle. Je n’en revenais pas ; je partageai le message avec mes potes et nous avons débattu longuement sur ce que je devais faire. Finalement, je décidai de l’appeler pour programmer la séance avant qu’elle ne change d’avis. Mon ami me proposa d’aller téléphoner dans une chambre à l’étage pour être plus tranquille. Je montai donc l’escalier, encouragé par mes potes qui se replongèrent dans le jeu.
J’arrivais sur la pièce palière et entrai dans la première pièce devant moi. Et là, je tombai sur Isabelle, assise sur son lit, en sous-vêtements, en train de se faire les ongles. Je restais interdit et, lorsqu’elle me vit, au lieu de crier ou de s’énerver, elle m’adressa la parole :
Je pris l’objet en question et m’approchai pour le lui donner.
Elle me donna en échange son coupe-ongles et je restai devant elle, ne sachant quoi faire, me contentant de la regarder. Elle portait un string et un soutien-gorge en dentelle mauve. Elle était vraiment très excitante et je me mis rapidement à bander, essayant de cacher comme je pouvais cette excroissance au niveau de mon bas-ventre.
Au bout de quelques minutes à m’ignorer royalement, elle me regarda dans les yeux et me sortit de but en blanc :
Je ne répondis pas, estomaqué par ce qu’elle venait de me dire.
Sur ces mots, elle se leva, alla fermer la porte de la chambre et me tira vers le lit en me saisissant par la ceinture. Elle se rassit sur le bord du lit et me positionna debout face à elle. Sans un mot, elle fit tomber mon pantalon sur mes chevilles et sortit mon sexe tendu de mon caleçon. Tout en me branlant, elle commenta ma verge :
Puis elle l’engouffra dans sa bouche et me suça avec la plus grande des délicatesses. Je n’avais pas encore une grande expérience à cette époque, mais c’était de loin la meilleure fellation qu’on ne m’ait jamais faite. Sa langue dansait sur mon sexe et elle n’avait aucune difficulté à l’avaler entièrement. Au bout de quelques minutes qui me parurent bien trop courtes, elle arrêta de me sucer, fit glisser son string le long de ses cuisses et l’envoya voler dans un coin de la pièce. Elle s’allongea au milieu du lit, écarta les cuisses et m’ordonna :
Je m’allongeai sur elle et présentai mon sexe à l’entrée de sa grotte. Elle l’attrapa et le guida en elle. D’un coup de reins, je rentrai en elle. Oh, quelle divine sensation que de glisser dans ce vagin humide ! Ses mains se crispaient sur mon dos alors que je caressais ses cuisses et ses fesses. Elle me murmurait à l’oreille ce qu’elle voulait que je fasse, comment et à quelle vitesse bouger. Je restai à ses ordres quelques minutes, puis elle me demanda de rouler sur le lit pour qu’elle puisse me chevaucher. Je m’exécutai et, alors qu’elle commençait à s’agiter sur moi, mes mains glissèrent dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge toujours en place et libérer ses jolis petits seins.
Je la laissai bouger sur moi, à son rythme, tandis que mes mains couraient sur son corps, s’attardant beaucoup sur ses fesses que je trouvais étonnamment fermes pour son âge et ses seins dont les tétons pointaient fièrement vers l’avant ! Isabelle ne s’occupait pas de moi, se concentrant uniquement sur son plaisir, laissant échapper de petits cris par moments. Imperceptiblement, elle accélérait le rythme et je sentais que mon plaisir aussi montait. Je faisais tout pour me retenir, mais je sentais qu’un tel traitement n’allait pas tarder à me faire exploser. Elle s’en rendit compte aussi et ralentit le rythme :
Elle se retira et vint se placer à quatre pattes sur le lit. Alors qu’elle me présentait sa croupe tout près du visage, elle fouilla dans la table de nuit et en sortit un godemichet qu’elle me tendit. L’objet en question était de taille moyenne, bien plus petit que ce que l’on peut voir dans des films X.
Je me mis donc à genoux derrière elle et appliquai l’objet en question sur ses lèvres intimes. Il glissa sans soucis dedans et je commençai à faire faire des va-et-vient assez rapides en elle. En effet, j’avais hâte de pouvoir replonger mon sexe tendu dans son vagin brûlant ! Avec mon autre main, je continuais de la caresser, essentiellement ses seins et aussi son clitoris. Ses gémissements montaient doucement en puissance. Alors que ma main se baladait sur ses fesses, je voulus glisser un doigt sur sa rondelle. Au début, elle ne dit rien ; mais quand j’essayai de le rentrer, elle saisit ma main et l’enleva pour la replacer sur son clito :
Je continuai donc à agiter en elle le gode, sentant qu’elle approchait elle aussi du plaisir.
Effectivement, au bout de quelques minutes, elle m’arrêta :
Ravi, je retirai l’objet pour le remplacer par mon sexe toujours tendu. Je le rentrai d’un coup et restai quelques secondes bien fiché en elle. Je me contentai d’abord de caresser son bouton. Elle me laissa faire puis me demanda de bouger en elle. Je la saisis alors fermement par les hanches alors qu’elle s’appuyait sur les coudes, la tête légèrement rentrée entre les bras. Cette position faisait encore plus ressortir sa magnifique croupe ! Je bougeais lentement en elle, car dès les premiers mouvements je sentis que j’étais à nouveau prêt à jouir. Mais elle aussi avait envie de plus, et elle me demanda :
Je ne me fis pas prier et je m’agitai de toutes mes forces en elle. Mes cuisses venaient taper contre ses fesses et elle criait beaucoup plus fort que précédemment. Alors que je me déversais en elle, je la vis jouir, essayant d’étouffer ses cris en plaquant sa tête contre un oreiller. Mais les contractions de son vagin autour de mon sexe étaient la preuve que je l’avais bien emmenée au septième ciel. Je continuai à bouger en elle quelques secondes, le temps de me vider complètement. Après ces derniers mouvements, je restai planté en elle, reprenant mon souffle. Je sentais mon sexe ramollir et finis par le retirer de ce vagin brûlant. Un fin filet de sperme s’étira entre mon gland et son sexe pour venir finalement s’étaler sur ses fesses. Alors que je m’attendais à m’allonger contre elle et profiter encore de ce corps de femme mûre, elle se leva et alla chercher son string qui traînait par terre. Alors qu’elle le mettait, elle m’ordonna :
Tout en parlant, je m’étais rhabillé et rapproché de la porte. Isabelle vint se coller à moi et m’embrassa longuement.
Puis elle ouvrit la porte et me poussa hors de la chambre. Encore sous le choc, je redescendis l’escalier, cherchant ce que j’allais raconter. Revenu dans le salon, mes amis me demandèrent ce que ça avait donné avec Laure. Je leur mentis en disant qu’elle devait me confirmer demain si c’était toujours bon. Je rejoignis les parties de console, mais avec beaucoup de difficultés pour me concentrer, vous vous doutez…
C’est la seule fois où j’ai fait l’amour avec une femme avec autant de différence d’âge, mais quel magnifique souvenir, que je conserverai toute ma vie !