n° 15662 | Fiche technique | 16467 caractères | 16467Temps de lecture estimé : 11 mn | 22/06/13 |
Résumé: La lecture de la trilogie des 50 Nuances de Grey a redonné le goût de séduire à ma compagne ! | ||||
Critères: fhh cocus sauna init | ||||
Auteur : Couplelibertinquebec Envoi mini-message |
L’histoire que je vais vous raconter est arrivée au début du mois d’avril. Nous sommes un couple uni depuis une quinzaine d’années. Physiquement, je ne suis pas très grand et je suis quand même assez svelte pour mon âge. Pour sa part, ma conjointe est une femme très sexy avec ses cheveux blonds bouclés et des yeux verts perçants avec de belles courbes et des seins à faire rêver (36 D*) tous les hommes. Tous les deux, nous sommes dans la fin de la trentaine et nous n’avons jamais eu de secrets l’un envers l’autre. Enfin, nous habitons la région de Québec depuis une dizaine d’années.
Dernièrement, ma femme a lu la trilogie des 50 Nuances de Grey et cela lui a redonné le goût de séduire, m’a-t-elle dit. Bien que notre vie sexuelle soit toujours très épanouie, faisant l’amour sur une base régulière malgré nos deux enfants, il faut avouer que ce n’était pas comme dans les débuts de notre relation. Avec la lecture de ces livres, j’avais retrouvé la femme en feu qui est toujours prête à se faire prendre ou toucher à n’importe quel moment de la journée. Nos sourires et nos regards complices en disaient long sur ce qui pouvait arriver une fois les enfants couchés ou en train de jouer dans le sous-sol.
L’événement déclencheur s’est produit lors d’un souper bien arrosé au restaurant. Nous avions amené les enfants chez ma belle-mère pour la soirée et la nuit. Pendant ce souper, nous avions encore une fois échangé des regards coquins et des fous rires. Bref, nous passions une très belle soirée et j’en profitais pour remplir sa coupe de vin à chaque fois que son niveau descendait un peu. Elle m’a même dit : « Tu veux me saouler et profiter de moi, mon cochon ! ». Nous nous étions esclaffés encore une fois. Lorsque je sentis qu’elle était dans un état d’ébriété assez avancé, je lui reparlai de son goût de séduire à nouveau.
Il y a un spa libertin dans la ville de Québec que nous avions déjà visité à nos débuts. Nous avions fait l’amour passionnément sous le regard des couples présents, sans plus. Je lui proposai quelque chose qu’elle allait refuser, j’en étais convaincu. Je lui dis que nous pourrions aller y terminer la soirée, mais que je la laisserais entrer seule avant d’entrer à mon tour une demi-heure plus tard. À ma grande surprise, elle accepta sans même rechigner. Je demandai la facture rapidement avant qu’elle ne change d’idée et nous partîmes en direction de cet établissement.
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Nous voilà devant l’établissement ; je suis nerveux mais tellement excité que je laisse ma belle entrer en premier. Tel que convenu entre nous deux, elle doit louer une chambre en vue de nos futurs ébats. Les minutes paraissent des heures dans l’auto. J’attends quand même une quarantaine de minutes en me disant que je vais la faire languir à son tour. Lorsque j’entre enfin dans l’établissement, on m’explique les règlements, on me donne une serviette et un casier. Du coin de l’œil, je vois ma conjointe dans le spa situé au fond de la salle ; trois hommes sont aussi en train de profiter des remous du bain. Par le regard que nous nous échangeons, je sais qu’elle m’a vu aussi. Je me change et place mes effets personnels rapidement dans mon casier.
Lorsque j’entre dans le spa, elle me dit qu’il y a une place disponible près d’elle. D’ailleurs, à sa droite se trouve un très bel homme, fin quarantaine, cheveux grisonnants, larges épaules et qui semble assez grand. C’est difficile à déterminer puisqu’il est assis. J’accepte volontiers son invitation. Je vois que les deux hommes assis en face de nous aimeraient bien changer de place avec moi ; ils jettent souvent des regards appuyés vers ma femme en espérant probablement un signe de sa part. Je suis très excité, et seules la vapeur et l’écume des bulles cachent une puissante érection de ma part.
Après quelques minutes, je me décide à tenter ma chance comme si je ne connaissais pas cette femme à côté de moi. Elle ne m’a pas regardé une seule fois et elle a les yeux continuellement fermés. Je caresse sa jambe gauche qu’elle a assez rapidement posée sur mes genoux pour m’inviter à la caresser. Je lui fais frôler mon érection de temps à autre, mais elle ne réagit toujours pas. Les hommes en face regardent toujours sans rien faire. Très lentement, je me prépare à remonter vers sa superbe chatte qu’elle a toujours épilée pour mon plus grand bonheur. Cependant, arrivé à mi-cuisse, je rencontre la main d’un homme qui semble s’attarder dans l’entrejambe de ma compagne. C’est impossible qu’elle ne sache pas que ce n’est pas ma main. Mon cœur se met immédiatement à battre la chamade. J’éprouve des sentiments contradictoires : jalousie et excitation profonde.
Depuis que nous sommes en couple, je la talonne pour qu’un homme se joigne à nos ébats sexuels. Même si elle est très ouverte d’esprit, elle m’avait toujours refusé cette fantaisie. Je ne peux dire pourquoi. Je pense que c’est parce qu’elle craint qu’après lui avoir demandé de faire l’amour à trois, je lui propose ensuite de le faire avec une autre femme. Ou peut-être est-ce à cause de ses petites rondeurs que les hommes trouvent tellement sexy, mais que les femmes aimeraient faire disparaître ? Pourtant, si elle avait une grande confiance en elle, elle verrait qu’elle peut faire craquer n’importe quel homme. En ce moment, à voir le regard des hommes dans le spa, elle doit sûrement le réaliser !
Toujours est-il que l’autre homme est en train de la doigter devant moi et que je ne peux rien faire, ni même dire, puisque je suis considéré comme un homme célibataire à qui une femme a offert de partager d’agréables moments. Après quelques secondes d’hésitation, je me décide enfin à lui caresser ses énormes seins. C’est en me penchant pour lui mordiller les bouts comme elle aime que j’ai une deuxième surprise : elle ne se contente pas de se faire fouiller la chatte et caresser le clito, mais elle branle doucement l’homme assis à côté d’elle ; les bulles et la vapeur m’empêchaient de voir ses légers mouvements. C’est pour cette raison que les hommes assis en face n’arrêtaient pas de la regarder. Je crois également que c’est parce qu’elle ne voulait pas briser ce moment exquis qu’elle n’a jamais ouvert les yeux depuis que je suis assis à ses côtés. La vicieuse… J’approche sa main pour qu’elle me caresse à mon tour mais elle l’enlève, se contentant de branler l’autre homme ! J’apprendrai plus tard qu’il s’appelle Daniel et qu’il a 49 ans.
Après quelques minutes, elle propose à Daniel d’aller dans sa chambre, et ce n’est qu’une fois séchée qu’elle m’invite à mon tour. Daniel ne semble pas très content, mais il n’a pas le choix car il pourrait se retrouver seul et, en ce moment, il est assuré de passer du bon temps. S’il savait comment il va être choyé, il ne ferait pas la gueule, le pauvre !
Nous montons dans sa chambre, et dès que la porte se referme elle s’assoit sur le lit, enlève sa serviette, et nous dit :
Ma femme a toujours apprécié de pratiquer la fellation et, avec le temps, elle est devenue une experte. À ces mots, je ne me fais pas prier : en moins de deux, je suis debout devant elle avec une érection digne d’une mention. À ma grande surprise, elle choisit de débuter sa fellation par l’autre homme. Le salaud ! Il est bien monté, avec une bite de longueur comparable à la mienne, mais beaucoup plus épaisse. Voir ma femme s’appliquer – parfois lentement parfois rapidement – sur sa verge m’excite au plus haut point. Je l’ai toujours trouvée belle avec un pénis dans la bouche, et le fait que ce soit le pénis d’un autre homme ne change rien à la chose : elle est superbe ! Je lui caresse les seins pendant qu’elle s’attarde sur la verge de Daniel.
Enfin, elle daigne s’occuper de moi. Elle sait que je ne tiendrai pas longtemps si elle continue à ce rythme ; aussi elle ralentit la cadence pour ne pas que j’éjacule en moins de deux minutes. Pendant ce temps, Daniel a fait coucher ma compagne sur le lit et il s’attarde à son tour sur sa poitrine généreuse. Parfois, je vois disparaître sa main dans l’entrejambe de ma compagne. Me montrant sa main luisante comme preuve de son excitation, il dit d’une voix ferme en la regardant dans les yeux :
Comme seule réponse, ma femme lâche un soupir de satisfaction, ferme ses yeux, acquiesce d’un léger signe de tête et reprend aussitôt sa fellation sur moi.
Daniel se met à genoux entre ses jambes et entreprend de lui faire un cunnilingus. Elle a toujours aimé cette caresse et elle le démontre par des râles de plaisir et un mouvement régulier du bassin. Il n’y a aucun doute sur les sons qu’elle émet : elle va bientôt jouir et elle me suce d’ailleurs de plus en plus vite. Lorsqu’elle jouit, je ne peux résister et je lui envoie une grande salve de sperme dans la bouche et une autre partie sur la figure. Elle n’a jamais rechigné à ce genre de pratique, et ce soir ne fait pas exception à la règle.
Après s’être essuyé la figure avec une serviette, elle regarde Daniel qui n’a pas encore joui et lui dit :
Pour ma part, elle me dit avec un beau sourire :
C’est donc à ses côtés que je vois Daniel qui, après avoir enfilé un condom, pointe son large pénis à l’entrée de la chatte de ma femme. Elle est tellement excitée qu’il entre sans problème. Je vois cependant le faciès de ma femme changer un peu lorsqu’il est complètement au fond de sa chatte et qu’il se met à la ramoner de plus en plus profondément. Il va lentement en elle et je sais qu’elle aime ces moments ; mais cela a pour effet d’amplifier son excitation car ce qu’elle aime le plus, ce sont les coups de reins violents, rapides et profonds.
Daniel s’est aperçu de son impatience et il la fait languir. C’est alors qu’elle dit une phrase qui résonne toujours à mes oreilles :
En homme expérimenté, il n’allait pas laisser passer pareille occasion. Daniel se déchaîne carrément entre ses jambes ! Je vois ses seins ballotter dans tous les sens ; je les caresse en pinçant les pointes, qu’elle a très sensibles. Parfois, je lui caresse la figure ou les cheveux ; elle est tellement belle, en train de prendre son plaisir… Dieu, que je l’aime ainsi, en femme libérée et épanouie ! J’entends le bruit que produit sa chatte détrempée à chaque va-et-vient.
Ce qu’elle n’avait pas prévu par exemple, c’est l’endurance peu commune de Daniel. Je suis même un peu jaloux. Il va à une cadence infernale depuis quelques minutes et il n’a toujours pas joui. C’est alors qu’il lui dit sur un ton qui ne permet pas de réplique :
Sans même dire un mot elle se retourne, offrant sa belle croupe aux puissants assauts de Daniel. Voyant qu’elle est très coopérative, il vérifie sa résilience en lui assenant quelques claques sur ses fesses qui prennent rapidement de belles rougeurs. Comme seule réponse, elle continue à râler comme une chatte en chaleur, ce qui a pour effet d’encourager Daniel. Ses seins se balancent encore une fois dans tous les sens. Daniel comprend que ma femme aime agir en soumise à l’occasion. Il lui dit :
Elle ne répond pas. Il lui dit la même phrase à nouveau en ajoutant :
Dans la pièce, résonne le son du contact peau à peau et des claques sur ses fesses. Entre temps, j’ai repris des forces ; je lui caresse les seins par en-dessous et je l’embrasse à quelques reprises en me penchant à hauteur de son visage d’ange. Je lui fais sentir mon érection sur le côté de son corps. Daniel commence à montrer des signes de jouissance évidente et c’est à ce moment-là que je me souviens d’une scène de la trilogie qui l’avait beaucoup excitée, même si elle n’aime pas les caresses sur son anus. En effet, elle avait joui, un soir, en me disant qu’elle s’imaginait à la place d’Anastasia dans Les 50 nuances de Grey au moment où Christian lui met un doigt dans l’anus. Je prends rapidement un peu de salive comme lubrifiant et, sans faire pénétrer mon doigt dans son anus, je me contente de le caresser assez fermement. Cette caresse et l’ardeur peu commune de Daniel qui jouit en elle dans un condom avec un râle de mâle alpha lui procurent son premier orgasme vaginal.
Elle se laisse complètement aller dans un cri de jouissance fantastique et elle s’affaisse, complètement vidée et anéantie. Encore une fois, elle est tout simplement d’une beauté exquise ! Cependant, je n’ai toujours pas profité de sa chatte, moi, son mari ! Avant qu’elle ne reprenne ses sens, j’enfile un condom et je la pénètre sans aucun problème. Il faut dire que Daniel avait ouvert le chemin et qu’elle était toujours lubrifiée. Elle ne réagit presque pas, se contentant d’émettre quelques sons pour me signifier son approbation. Après une ou deux minutes, j’ai un des plus gros orgasmes de ma vie. Je me retire de ma femme et je regarde cette chatte qui demeure ouverte à cause des nombreux assauts qu’elle a subis au cours de cette folle soirée.
Nous discutons pendant quelques minutes puis nous prenons une douche tous les trois. Daniel et moi lavons ma conjointe de façon très sensuelle, comme une marque de respect pour les bons moments qu’elle vient de nous faire vivre. Pour sa part, elle s’amuse à nous laver la bite à tour de rôle. Ce qui devait arriver arrive, et Daniel a encore une érection digne d’une mention. Il me demande d’aller chercher un condom, retourne ma conjointe face au mur et lui écarte les jambes avec ses genoux en la tirant vers lui pour qu’elle se penche vers l’avant. Ils sont beaux à voir sous l’eau ruisselante ; mais cette fois-ci, je me contente de regarder. D’ailleurs, les cris de ma conjointe ont attiré des curieux : un autre couple regarde la scène. Daniel la prend rapidement à nouveau, et elle a un second orgasme alors qu’elle se masturbe et que Daniel s’active en elle. Après avoir joui à son tour, Daniel l’embrasse tendrement et ils se séparent.
Par la suite, nous nous séchons et nous nous rhabillons. Je sors le premier, et mon épouse quelques minutes plus tard. Dans l’auto, elle me dit que Daniel a voulu avoir son numéro de téléphone cellulaire, mais qu’elle a refusée. De plus, elle me dit avoir adoré cette expérience, sans nécessairement vouloir la recommencer. J’espère qu’elle changera d’idée avec le temps.
Pour ma part, les seuls mots qui me viennent en tête en la regardant et en pensant à notre soirée, ce sont les paroles de deux chansons de Francis Cabrel : Je l’aime à mourir et Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai toujours, ma belle grippette** au sirop d’érable !
* Ce qui, dans le système métrique, correspond à un 90 D.
** Enfant malicieuse.