n° 15665 | Fiche technique | 15996 caractères | 15996Temps de lecture estimé : 10 mn | 22/06/13 |
Résumé: Tout est dans le titre. | ||||
Critères: f inconnu copains sport exhib noculotte préservati | ||||
Auteur : Babethdelaude Envoi mini-message |
Adepte de la randonnée, il y a trois ans, alors que nous étions partis faire une escapade de deux jours dans les Pyrénées au-dessus de Perpignan, j’ai fait tomber mon sac avec toutes mes affaires de rechange au bas d’un précipice. L’endroit étant trop escarpé pour pouvoir y descendre, j’ai fait une croix sur quelques affaires et mon téléphone portable (moins drôle).
Comme nous avions pas mal transpiré, le soir pour me coucher, je me suis fait prêter un tee-shirt propre et des chaussettes, mais pour le slip, je n’ai pas pu en faire de même. Résultat, je l’ai retiré et le lendemain matin, volontairement ou pas, j’ai oublié de le remettre. Je me suis donc baladée toute la journée avec le bas des fesses qui dépassait du bas du short, sans que cela ne choque grand monde car je vais souvent à la plage avec eux et je n’ai pas toujours un maillot qui couvre grand-chose. Par contre pour moi de savoir que j’avais les fesses à l’air sous mon short, m’a procuré une certaine excitation.
J’ai donc peu à peu pris l’habitude lors de mes randonnées estivales de me balader les fesses à l’air sous mes shorts.
Jusqu’au jour ou par mégarde, je me suis accroché la poche arrière de l’un d’eux dans un fil de fer et déchirure oblige, je me suis retrouvée réellement avec une fesse à l’air. Cela a tout d’abord surpris mes copines et bien fait rire les garçons qui nous accompagnaient, mais cela s’est arrêté là, j’ai remis un autre short et puis basta. Mais cela est quand même revenu en sujet de discussion au bivouac du soir, où pour faire mon intéressante, j’avouai ne jamais mettre de culotte sous mes vêtements. J’ai bien évidemment eu droit au couplet sur l’hygiène de mes copines et aux sous-entendus de cochonne des garçons, mais rien de bien méchant.
Mais c’est devenu un sujet rengaine qui excitait les mecs et générait une petite jalousie chez mes copines qui un jour m’ont provoquée en me suggérant de porter une jupe si je voulais vraiment montrer mes fesses à tout le monde. Elles m’ont alors mise au défi de le faire, et je me suis exécutée à la sortie suivante.
La jupe n’était pas trop courte et elles se sont empressées de vérifier que je ne m’étais pas dégonflée avant de partir. Au début, cela se passa très bien car je m’arrangeais pour n’avoir personne derrière moi et je la tenais quand le vent me la relevait. Mais au fil des heures, j’y faisais de moins en moins attention et bien entendu, une bourrasque en refaisant mes lacets et ce fut l’éclipse de lune en plein jour. Résultat, on me fit passer devant pour que tout le monde puisse profiter du panorama. Au début, j’étais super gênée et mes copines jubilaient de la situation dans laquelle je m’étais mise. Mais bizarrement, l’idée que tout le monde me mate les fesses et le reste par la même occasion, commençait sévèrement à m’humidifier l’entrejambe.
Le soir dans ma tente, je me suis imaginé les quatre garçons qui nous accompagnaient se masturbant en pensant à mes fesses et je n’ai pas pu m’empêcher d’en faire de même.
Le lendemain matin, Julie une de mes copines me confia que j’avais mis son copain dans un tel état, qu’il lui avait fait l’amour comme un dieu et aux petits yeux de Stéphanie, je crois bien qu’il en a été de même. Je n’étais pas peu fière de moi, même si finalement, je fus celle qui en profita le moins.
Dans la semaine, j’invitai un garçon sur qui j’avais des vues à m’accompagner le week-end suivant pour faire quelques lacs de montagne. Il s’appelait Jérémie, plutôt beau gosse, sportif et quand je l’ai connu, je pensais même qu’il était homo.
Hormis les chaussures de randonnée et les chaussettes adéquates, obligatoires pour ce genre de ballade si l’on ne veut pas revenir les pieds en sang, j’avais une petite jupe mi-cuisses et un petit débardeur bien décolleté qui mettait bien en valeur le petit balconnet que je portais en dessous.
Quand vers les 10 heures, j’ai mis ma veste dans le sac, il m’a découverte dans toute ma splendeur. Surtout que l’on commençait à attaquer les chemins plus étroits et qu’il s’est retrouvé plusieurs fois avec mon postérieur sous les yeux.
Mais toujours pas de réaction, jusqu’au moment où, pour franchir un passage plus escarpé, il m’a attrapé les fesses sous la jupe pour me pousser. J’étais aux anges et je m’écartai plusieurs fois du chemin pour qu’il ait l’occasion de recommencer.
Au bout du cinquième passage, je me suis retournée et c’est sa bouche qui est allée retrouver mon entrejambe enflammé. Il m’a dévoré le minou pendant plus de vingt minutes en équilibre sur les rochers. Moi qui habituellement ferme les yeux pendant ce type de caresse, là je regardais l’immensité du paysage qui s’étendait devant moi et je savourais les ondes de plaisir qui me parcouraient la colonne vertébrale.
Il m’a ainsi bien fait jouir et pour le remercier, on a échangé nos places et je l’ai gratifié d’une belle pipe, jusqu’à ce qu’il se vide dans ma bouche. On s’est ensuite embrassés alors que j’avais encore du sperme plein la bouche, ce que les garçons n’aiment pas trop d’ordinaire, mais cela n’eut pas l’air de le gêner vraiment.
Il devait être quatorze heures quand nous sommes arrivés au premier lac où la baignade nue fut retenue. L’eau était glaciale et je confirme que le sexe d’un mec se recroqueville rapidement dans sa coquille, quant à moi j’avais les tétons gonflés comme des olives par le froid.
On s’est enlacé tendrement et je savourais la douceur de ses baisers. Preuve s’il en faut que je devais l’intéresser, je n’ai pas eu besoin de sortir les préservatifs que j’avais emportés, il avait les siens. Il m’a fait l’amour plutôt classiquement en missionnaire, mais dans un tel cadre, ses coups de reins avaient une saveur délicieuse et sans avoir un orgasme sensationnel, j’ai ressenti un doux état de plénitude.
On est reparti car le refuge était encore à plus quatre heures de l’endroit où nous nous situions.
On y est arrivé autour des vingt heures, mais pendant le trajet j’ai eu droit à nombre de caresses furtives ou plus appuyées et je n’avais qu’une hâte, c’était qu’il me prenne à nouveau.
Le refuge était plutôt spartiate, mais pour mon plus grand bonheur, il était désert.
On a grignoté un peu, avant que je me foute à poil et qu’il vienne me lécher l’abricot et me labourer ensuite avec beaucoup de vigueur le minou. Ce soir-là j’aurais adoré qu’il me la mette dans le cul car j’aime ça après un coït un peu viril, mais je ne me voyais pas carrément lui demander de m’enculer comme ça la première fois.
Nous nous sommes endormis ivres de fatigue et quelle ne fut pas ma surprise le matin, de voir deux hommes déjeuner à moins de deux mètres, moi complètement nue avec mes fringues un peu partout dans la pièce. Alors que la situation aurait pu paraître gênante ou scabreuse, ils m’ont dit bonjour en me remerciant pour cette douce vision de beau matin. J’aurai dû me précipiter pour récupérer mes affaires et me couvrir, mais je pris volontairement mon temps, pour leur laisser l’opportunité de me reluquer un peu, en forçant même le trait en remettant mon soutien-gorge pour leur remuer mes nichons presque sous le nez. Ils ont bien ri et moi aussi, et nous avons fini le petit déjeuner ensemble.
Seule ombre au tableau, une petite remarque de jalousie de Jérémie quant à mon comportement. J’avoue ne pas y avoir prêté une grande attention, mais je suis restée avec lui pendant trois mois, mais sa jalousie et aussi son manque d’imagination ont rapidement mis un terme à notre relation (dommage, il plaisait bien à mes copines).
Et me voilà pendant huit mois sans mec attitré et sans montagne (je ne suis pas fan du froid et de la neige).
Je me suis bien fait quelques plaisirs en boîte deux ou trois fois, mais c’était de l’exhibition juste pour moi, car personne ne pouvait imaginer que je n’avais pas de dessous.
Le printemps suivant, notre groupe s’était étiolé, il ne restait plus que moi, deux copines et leurs mecs. Je me voyais donc mal, jouer les « chaudasses » avec eux et je ne trouvais pas un mec qui me branchait plus que ça. La montagne étant un endroit dangereux pour faire de la randonnée seule, je me suis rabattue sur l’arrière-pays pour mes nouvelles balades.
Et me voilà repartie seule au milieu de la garrigue avec le sac à dos et les fesses à l’air.
Je faisais parfois des rencontres, mais c’était rarement des gens de mon âge.
Contrairement à la montagne où l’on a toujours une perspective, là au milieu des pins et des chênes verts, on a l’impression d’être au milieu de nulle part.
Au milieu de cet isolement, le premier soir j’ai carrément dormi nue dans ma tente.
Le matin au réveil, je suis restée en tenue d’Ève pendant plus d’une heure avant de repartir.
En fin de matinée et malgré l’ombre des arbres, il faisait une chaleur épouvantable. Me sachant loin de tout, je décidai de continuer mon périple sans mes fringues. J’étais pourtant seule, mais cela m’excitait beaucoup surtout au début car mon imagination travaillait à plein régime. Je me voyais déjà surprise par des beaux mecs, abordée par un pervers ou encore bousculé par un beau Black.
Au fil des kilomètres, je commençai à ne plus tenir compte de ma tenue et seul le balancement de ma poitrine dans les descentes un peu tendues me le rappelait.
En début d’après-midi, j’ai fait une petite sieste à l’ombre des pins, quand je fus tirée de ma torpeur par deux garçons en VTT. J’ai discuté avec eux comme si j’étais habillée, leur expliquant que je faisais du naturisme sauvage et je leur proposai d’essayer, s’ils le voulaient.
Le premier n’hésita pas une seconde, pour le second, ce fut plus long car je le voyais à son short, il était en érection.
Et je réussis à l’amener à se déshabiller aussi. Il avait un beau sexe assez long, fin et un peu tordu, tandis que son ami l’avait plus court mais plus épais.
Je ne l’avais encore jamais fait, mais l’idée de baiser avec ces deux mecs me branchait bien.
Ils ne se sont pas vraiment fait prier, quand je leur ai moi-même enfilé les préservatifs (truc que j’adore faire).
C’est surprenant au début de sucer un sexe pendant qu’un autre se frotte doucement à l’entrée de ma caverne et surtout d’attendre qu’il me pénètre. Par contre quand il est rentré et qu’il a commencé à s’activer, c’était divin et même un peu dangereux pour celui en bouche car on a alors une folle envie de mordre.
Il a éjaculé un peu trop vite à mon goût, mais le second a rapidement pris sa place pour me faire jouir à mon tour, pendant que je retirais le latex du premier pour le nettoyer avec ma langue.
Ils se sont alors encapuchonnés une nouvelle fois et alors que je m’allongeais sur le premier, le second présenta son gland à l’entrée de mon petit trou et s’y enfonça très lentement.
J’ai eu mon second orgasme juste au moment où elle fut rentrée entièrement.
Ils ont alors commencé à remuer en cadence, et pour toutes celles qui n’ont jamais connu cela, c’est monstrueux de plaisir. Ces deux colonnes de chair qui se frotte l’une contre l’autre à l’intérieur de vous, c’est un véritable cataclysme des sens. Les « oh oui » que j’ai poussés à cet instant, n’avaient rien à voir avec ceux que l’on balance pour faire plaisir à un amant, ils venaient du plus profond de mon être. Je crois que même mes masturbations solitaires ne m’avaient jamais procuré un plaisir aussi long et surtout aussi fort. J’en avais pourtant souvent rêvé, mais seulement comme un fantasme, mais là c’était une véritable révélation.
Je regrette pourtant que cela n’eût pas duré plus longtemps.
J’ai eu le culot de leur demander de recommencer, mais ils devaient partir.
Je leur ai fixé rendez-vous le soir à l’endroit où était garée ma voiture, l’un d’eux refusa, mais le second me fit un clin d’œil.
J’étais super excitée au point que j’ai léché l’intérieur des préservatifs qui jonchaient le sol en me masturbant avec ma petite bouteille d’eau minérale qui s’est un peu écrasée car pas suffisamment remplie.
Le retour à la voiture fut fait au pas de course, j’avais le cœur qui battait la chamade, mais j’ai fait tellement vite que j’ai dû attendre deux heures avant de voir arriver une voiture.
Ils étaient deux, mais un seul de l’après-midi, l’autre était un inconnu, mais plutôt pas mal, grand et baraqué comme je les aime. J’ai donc perdu la lance fine au profit d’une autre, pas très longue mais avec un gland gros comme un petit abricot, une véritable friandise en bouche.
Passé les présentations, j’ai jeté mes fringues dans la voiture pour m’enfoncer un peu dans le sous-bois avec eux. Il commençait à faire un peu sombre et cette semi obscurité me rendait encore plus électrique.
Ils m’ont présenté une boîte de dix préservatifs réservés rien que pour moi.
Ce fut plus sensuel que dans l’après-midi, car on s’est embrassé, quatre mains qui vous caressent le corps c’est divin. L’acte sexuel fut aussi bien meilleur car ils m’ont prise debout, couchée, à quatre pattes et même une sodomie penchée les mains au sol. Je dois admettre que mon petit cul a opposé une petite résistance au gros gland du balèze, mais quand il a passé ce premier barrage, quel bonheur.
Le dernier venu a réussi à jouir trois fois, tandis que l’autre s’est limité à deux.
Mais moi par contre, ils m’ont fait jouir presque une dizaine de fois et pas des orgasmes un peu tièdes, mais le truc qui vous laisse la bouche grande ouverte et la tête en vrac.
Quand on a eu fini, il faisait nuit noire et j’étais complètement vannée, d’ailleurs les cinquante kilomètres du retour m’ont parus interminables.
On s’est échangé nos numéros de téléphone et presque tous les week-ends de cet été, je les ai passés avec eux, dont une semaine entière en juillet sans la moindre fringue avec moi au milieu des bois au bord d’un ruisseau. Entre la peur et la baise, ce fut un truc de fous où j’ai même eu droit à un troisième invité le samedi.
Cet hiver, j’ai refait l’amour chez moi avec ce grand balèze qui me plaît tant, mais je n’ai jamais réussi à retrouver les mêmes sensations.
Les beaux jours sont de retour, et je n’ai qu’une hâte, recommencer, car j’ai passé des nuits et des nuits à fantasmer dessus. Je ne vous dévoilerai pas jusqu’où vont mes fantasmes, mais c’est beaucoup plus hard que la réalité.
Je ne l’ai jamais raconté à personne de mon entourage, mais je me suis sentie obligée de le partager avec d’autres, d’où cette publication sur un site d’histoires érotiques.
Babeth