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n° 15666Fiche technique22530 caractères22530
Temps de lecture estimé : 14 mn
24/06/13
Résumé:  Enfin, Sylvie répond à mes désirs de la voir faire jouir d'autres hommes que moi.
Critères:  fhh hagé couplus extracon cocus voisins laid(e)s jardin fsoumise chantage contrainte voir exhib noculotte fellation init confession -cocucont -fsoumisah -exhib
Auteur : Jerosex      Envoi mini-message
Sylvie me comble

Ma femme : Sylvie, objet de mes fantasmes, vingt-sept ans, très jolie, brune, les yeux bleus, un caractère plein de retenue et un corps de sportive, une poitrine raisonnable qui attire souvent mes mains.


Moi, Jérôme, son mari qui aimerait (depuis longtemps) la voir se dissiper et profiter enfin de son corps avec d’autres que moi ; elle acceptait de temps en temps de dévoiler à des copains le haut de ses cuisses ou leur laisser deviner ses seins nus sous des tee-shirts transparents ou entrevoir avec des corsages bien ouverts, mais rien de plus. J’en voulais davantage.


Alors j’ai concocté un plan qui a marché au-delà de mes fantasmes !


J’ai invité pour l’apéritif un voisin que j’avais un peu « chauffé » sur ma femme, par plaisir purement vicieux, désirant la voir se dévoiler aussi à cet homme. Il était seul ce dimanche. C’était un homme de cinquante-huit ans, bedonnant, à moitié chauve, de grosses lèvres sous sa petite moustache, l’air particulièrement vicieux, les yeux toujours à l’affût d’un coin de chair féminine nue, et doté d’un caractère particulièrement autoritaire. J’avoue que je le trouvais laid ! Mais bon, il nous avait déjà rendu service en nous fournissant de la viande à prix exceptionnel, étant livreur – bientôt à la retraite – dans une société de distribution alimentaire.


J’avais convaincu Sylvie de ne mettre que sa petite robe très courte, très légère et d’une transparence certaine, avec un grand décolleté, qu’elle mettait seulement quand nous étions avec des amis (je ne lui avais jamais dit qu’elle était beaucoup plus transparente qu’elle ne le pensait). J’avais eu du mal quand même car elle avait remarqué les nombreux coups d’œil insistants de monsieur F. (appelons-le comme ça) sur son corps ; cela l’avait troublée. Elle le trouvait d’un abord vraiment repoussant.


Elle avait quand même accepté, sur mon insistance, mais à contrecœur en mettant un soutien-gorge très sage.


Je lui parlai de F. en plaisantant sur son « charme » relatif (!), lui vantant les services qu’il nous avait rendus très gentiment, et son empressement auprès d’elle. Je la trouvais un peu énervée ; à cause de cette invitation, peut-être ? Ou de mes propos sur lui et de ce que je lui demanderais de faire pour mon plaisir ?


F. arriva enfin. Il la prit dans ses bras et lui fit la bise ; je vis qu’il l’embrassait sur la commissure des lèvres. Cela m’excita déjà un peu.


Les banalités d’usage furent échangées et, tous les trois assis devant la table en verre transparent du jardin, nous discutions de choses et d’autres. Elle était super bandante, son corps moulé dans cette robe ! Je remarquai que F. louchait souvent sur les cuisses nues, et surtout sur sa poitrine ; mais il n’y avait pas grand-chose à voir : elle avait mis un soutien-gorge opaque alors que je lui avais proposé d’en mettre un transparent, ce qu’elle m’avait refusé tout net.


Elle avait remarqué son regard appuyé et semblait un peu troublée ; je lui trouvai le teint un peu coloré et les yeux un peu brillants…


Avec elle, nous allâmes dans la cuisine pour chercher les amuse-gueule. Je la trouvai légèrement fébrile (excitée ?). Alors, j’en profitai pour lui dire :



Elle me coupa la parole :



Je sautai sur l’occasion, saisissant l’opportunité.



Elle fit la grimace, prête à refuser, mais je lui dis :



Alors, aussi surprenant que cela puisse paraître, elle me dit en soupirant :



Ravi de cette aubaine, en la prenant dans mes bras je lui dis :



En souriant, elle partit dans la salle de bain ; je rêvais déjà à la suite de cette aventure !


Je revins sur la terrasse avec l’autre. Un instant plus tard, Sylvie nous rejoignit, mine de rien. Je me demandais si elle avait bien fait ce que je lui avais demandé ; mais, à travers la robe légère, j’aperçus les petites taches plus sombres des aréoles de ses seins clairs quand elle se rassit auprès de nous. Je plaisantais avec notre invité en parlant de la chaleur qu’il faisait, que l’on avait envie de ne mettre que peu de vêtements et que l’on pouvait profiter de ça pour voir plus du corps des jolies femmes !


Sylvie sourit et dit :



À ce moment, Sylvie gonfla ses poumons, faisant pointer ses seins fièrement vers lui avec un sourire coquin, comme pour le provoquer. Excité en voyant cela, pour tester sa bonne volonté je dis à Sylvie :



Ils se levèrent et je constatai que Sylvie se penchait face à lui pour montrer ses fleurs ; avec le décolleté ouvert, il devait avoir une vue directe sur les seins nus de ma femme. J’étais heureux de la voir enfin obéir pour mon plaisir. Elle restait penchée face à lui en le fixant dans les yeux avec un sourire coquin.


Je me levai enfin et, m’approchant d’eux, je jetai un coup d’œil à ma femme. Je vis ses seins ronds et fermes, les bouts tendus comme des pointes et… surprise : elle avait aussi retiré sa petite culotte ! La robe ample ouverte laissait apercevoir l’ombre noire des poils de sa chatte.


C’était la première fois qu’elle faisait cela de sa propre initiative. Elle était prête ! Elle allait plus loin que je ne rêvais… Je bandais de plaisir de voir ma femme exaucer mes désirs de s’exhiber à F. ! F. était écarlate, les yeux fixés sur le corps dévoilé de Sylvie, un vague sourire aux lèvres et le souffle court. Cette présentation dura un petit moment, Sylvie s’étant laissée admirer, presque caresser par des yeux vicieux, semblant y prendre plaisir.


Nous sommes revenus à la table pour boire nos alcools. Sylvie avait aussi les joues rouges et respirait rapidement. Elle but très vite son apéritif. Je lui en resservis un autre bien tassé, sentant que le moment était propice pour qu’elle réalise mon fantasme. Elle avait laissé sa robe remonter en s’asseyant, et nous voyions une bonne partie de ses cuisses bronzées sous la table.


J’en voulais encore plus ; et d’un regard appuyé vers elle (que F. remarqua) je l’encourageai ; me comprenant, elle croisa les jambes en les écartant un peu, faisant volontairement remonter sa robe, laissant apercevoir le haut de ses cuisses à F. assis face à elle. J’étais aux anges.


Il était vraiment troublé par ce spectacle offert.


Enfin elle se leva pour chercher quelque chose dans la maison. J’en profitai pour dire à notre invité :



Je rejoignis Sylvie dans la cuisine et la pris dans mes bras. L’embrassant sur sa bouche chaude, je glissai une main sous sa robe légère et je sentis sa chatte humide. Je lui fis constater mon excitation de la voir faire tout cela, me serrant contre sa cuisse pour qu’elle sente mon érection. Je profitai de son trouble :



Elle ne dit rien ; juste un regard que je trouvai un peu bizarre. Je rejoignis F. et lui fis part de mon accord par un signe du pouce. Sous un prétexte quelconque, je les quittai et me rendis dans le grenier. J’écoutais leur conversation.


Sylvie avait dû recommencer ses exhibitions (il m’a dit après qu’elle avait largement écarté les cuisses, cette fois de façon provocante, lui exhibant sa chatte noire en souriant. Il avait compris à ce moment qu’il avait une chance inespérée). Il lui demanda si elle était heureuse d’être dehors seule avec lui et avec si peu de vêtements. Elle lui répondit :



Il se leva et vint derrière Sylvie, lui entourant les épaules ; il se pencha et l’embrassa sur la bouche. Elle fut surprise et eut un mouvement de recul, mais ne se déroba pas et accepta le baiser du vieil homme. Sans quitter sa bouche, elle se leva et le serra dans ses bras. Il lui saisit un sein qu’il sentit durcir entre ses doigts. Elle ne bougea pas, la bouche collée sur la sienne, semblant prendre plaisir aux attouchements du vieux porc. Enfin, elle dit :



Ils montèrent dans la chambre attenante à la mienne. J’avais laissé la porte de séparation entrouverte et je les vis face à face. Aussitôt dans la chambre, il l’attira contre lui et reprit le baiser, la langue introduite profondément dans la bouche de ma femme. Elle s’écarta légèrement de lui et dit :



Elle se mit à genoux devant lui et ouvrit son pantalon, qui tomba à ses pieds. Le gros ventre blanc du vieux sortit ; il descendit son slip et une petite bite toute molle se présenta devant le visage de ma femme. Elle n’osait la prendre (je sus plus tard qu’elle sentait très fort l’urine). Il saisit sa queue et la promena sur la figure de Sylvie.



Elle la prit entre deux doigts, approcha sa bouche et passa la langue dessus. L’agitant un peu, elle dit d’une petite voix :



Je constatai un changement important dans son attitude, un ton très ferme. Je sentis qu’elle se laissait dominer. Elle obéit et se releva. Il saisit sa robe qu’il lui ôta, la mettant nue devant lui. Le corps de ma femme apparut, ses seins blancs et la toison noire de sa chatte tranchant sur la peau bronzée. Le maillot de bain deux pièces avait délimité et protégé ses parties intimes ; elle n’avait jamais voulu se mettre nue au soleil dans le jardin ni ailleurs. C’était réellement la première fois qu’elle était intégralement nue face à un autre homme que moi. Je sentis F. excité. Il lui dit d’une voix forte :



Il lui saisit les seins et les tripota fébrilement, brutalement, pinçant très fort les tétons, lui arrachant un cri de douleur. Il prit un sein dans sa bouche et le téta lentement ; je vis le visage de Sylvie s’illuminer de plaisir. Elle lui pressa la tête contre sa poitrine. Il s’écarta un instant après. Il palpa tout son corps, descendit une main jusqu’à sa chatte où il introduisit violemment un gros doigt après qu’elle eût largement écarté les cuisses, ce qui me surprit de la voir répondre autant aux désirs de F…



Sentant son envie, il en introduisit un deuxième sans ménagement ; il les fit aller et venir violemment. Elle tremblait de plaisir et de souffrance. Il les enfonça avec force et elle jouit intensément quelques instants plus tard en se collant à lui.



Retirant brutalement ses doigts, il reprit la bouche de ma femme qui s’ouvrit et y plongea sa langue. Elle lui prit la tête entre ses mains et l’embrassa avec force, la bouche grande ouverte pour un baiser violent, passionné, pour le remercier du plaisir qu’il lui avait donné. S’écartant en la repoussant, il lui dit :



Ce qu’elle fit. Et alors, il cracha dans cette bouche grande ouverte ! Elle ne bougeait pas, la gardant ouverte, souillée du crachat du vieux. J’étais abasourdi de voir ce qu’il faisait à Sylvie, prêt à intervenir si cela dégénérait mais excité en même temps de voir le degré de vice de cet homme et ce qu’elle était capable d’accepter ! Je bandais de plus en plus.



Elle s’exécuta. Avec plaisir (me dit-elle plus tard) elle avala, soumise devant moi à l’autorité de son amant.



Il avait pris un peu de vigueur ; alors Sylvie s’agenouilla et reprit le sexe de F., le gland encore recouvert de sa peau. Elle prit en bouche le bout du gland, aspirant cette petite queue. Je voyais les joues de Sylvie se creuser tellement elle la suçait fort ! Elle allait et venait sur ce gland en levant des yeux pleins de désir vers la face du vieux. Il lui dit :



Elle n’obéit pas. Alors le vieux lui prit la tête, et d’un coup de reins força sa queue dans la bouche. Elle laissa la queue rentrer pratiquement en entier !



J’admirais ma femme toute nue à genoux devant un homme vieux et laid encore à moitié habillé qui s’excitait de cette situation digne d’un film porno. Quelques secondes après il dit :



Il écarta les jambes et elle introduisit son doigt dans le fondement du vieux.



Elle s’exécuta, lui rentrant profondément dans l’anus, la bouche toujours occupée par la tige du vieux. Il l’encourageait :



Elle redoubla d’efforts buccaux et enfin la bite atteignit une taille normale. Elle allait et venait sur la tige, ses joues toujours creusées par la succion. Il lui recula la tête en la tirant brutalement par les cheveux, sortant sa queue de la bouche ; il la prit entre ses doigts et commença à se branler devant. Elle l’ouvrit en grand, tendant la langue pour agacer le méat d’où une goutte de sperme sortit, qu’elle recueillit avec plaisir.


Il se branlait de plus en plus vite, le gland à moitié dans la bouche ouverte, langue toujours tendue, de Sylvie.



Elle leva les yeux vers les siens, le regardant, complètement soumise au plaisir du vieux. Il accéléra son mouvement, la tête penchée vers ma femme et il lui dit, dans un râle :



Et il déchargea en jets spasmodiques sur la langue tendue, tendant son ventre et sa bite vers elle, un large sourire de satisfaction sur son visage. Elle en avait plein la bouche. Une fois tout déversé (il en avait une bonne dose) elle garda la bouche ouverte ; le sperme visqueux du vieux la dégoûtait certainement, mais elle était maintenant complètement soumise, prête à tout ce qu’il lui imposerait.



Ce qu’elle fit. Et au bout de quelques instants :



Et je vis aux mouvements de sa gorge qu’elle avalait le foutre de F…



Rouvrant la bouche, elle lui montra qu’elle avait fait ce qu’il voulait. Il récupéra avec ses doigts le sperme qui avait giclé sur le nez de Sylvie et les lui fit sucer. Il en profita pour les lui enfoncer dans sa bouche, ce qu’elle lui laissa faire. J’étais aux anges : elle n’avait avalé mon sperme qu’une seule fois depuis que nous étions mariés.


À ma grande surprise, elle reprit la queue toute molle du vieux dans sa bouche et téta le morceau de chair en le branlant lentement, comme si elle voulait le vider de toute sa semence. Il lui tira la tête, la saisissant par les cheveux.



Elle abandonna la petite queue du vieux, ramassa avec ses doigts le sperme tombé sur son sein et, les portant à sa bouche, elle les lécha. Il remonta slip et pantalon, ma femme toujours nue à genoux devant lui.


Je compris que ma petite femme si prude jusqu’à aujourd’hui avait glissé dans le plaisir en se soumettant à F. (qu’elle m’avait souvent dit détester), étonné de voir jusqu’où elle pouvait s’avilir, mais en même temps heureux de la voir sortir de l’attitude si prude qu’elle avait habituellement à la maison. Je jouis enfin, projetant mon sperme sur la moquette, n’ayant pu profiter moi aussi de sa bouche.


Il la fit relever en la tirant par les cheveux ; il reprit ses seins à pleines mains et les tritura, les pinça très fort pour lui faire vraiment mal. Elle grimaça de douleur mais elle lui sourit aussitôt après. Lui donnant une claque violente sur la fesse en pinçant toujours un téton, il lui dit :



Elle lui dit d’une petite voix :



Je sortis de ma cachette, faisant sursauter le vieux. Il la lâcha. J’avais un grand sourire. Je me tournai vers Sylvie, toute nue entre nous.



Elle ne répondit pas, baissant la tête.



Elle se pencha en avant sur le lit, lui présentant sa croupe. Il lui écarta les fesses et introduisit un doigt, puis deux dans son anus et lui frotta le clitoris de l’autre main. Devant moi ! J’étais surpris par son audace et encore plus par la soumission de Sylvie.



Elle poussa un gémissement et je vis son visage s’illuminer d’un grand sourire : elle aimait ces doigts qui la fouillaient.



Et sans attendre il nous quitta.


Je pris Sylvie, toujours nue, abasourdie, dans mes bras pour la féliciter pour son comportement. Je lui fis boire un alcool fort avant de l’embrasser.


Pour la première fois, elle resta nue une grande partie de l’après-midi au soleil, quitte à être vue des voisins, mais insouciante et joyeuse. Elle ne me dit rien, et c’est bien plus tard qu’elle m’a livré ses sentiments sur ce moment-là ; mais j’en appris plus après qu’il l’eût effectivement livrée à des copains, et même à un voisin détesté, dès le lendemain.