n° 15667 | Fiche technique | 8907 caractères | 8907Temps de lecture estimé : 6 mn | 24/06/13 |
Résumé: Le fantasme d'un couple, réalisé dans la vie réelle. | ||||
Critères: fhhh fsoumise hdomine facial fellation pénétratio gangbang sm attache yeuxbandés -totalsexe -groupes -fsoumisah | ||||
Auteur : Diablocor |
Elle était là. Elle attendait. Elle attendait son bon vouloir, l’instant où il se déciderait à lui donner son plaisir. Elle attendait depuis si longtemps déjà…
Quand soudain, la porte s’ouvrit d’un geste vigoureux et sans appel. Il se tenait là, debout dans l’encadrement de la porte. Son bel amant, yeux de braise, barbe de trois jours bien entretenue, tout de latex vêtu et muscles saillants, pantalon moulant qui épousait parfaitement ses formes viriles et assumées, jambes écartées et bras croisés. Il la regarda, l’œil amusé et conquérant.
Elle tressaillit à la vue d’un éclat brillant jaillissant de la main droite de son homme. Un cliquetis, un entrechoquement métallique se fit entendre, accompagné d’un petit rire cynique. Il sentait son envie grandissante, mêlée d’une peur qu’elle tentait désespérément de dissimuler. Elle subodorait qu’il n’était pas seul. Il jeta un œil furtif de côté : des pas, puis des voix étouffées. Des voix d’hommes, rauques, bestiales. Elle décrypta au moins quatre tons différents. Une porte claqua. D’autres pas, d’autres voix. Son cœur se fit soudain plus rapide, tous ses sens étaient en éveil.
Elle était vêtue d’un long manteau de fourrure noire, le col légèrement ouvert qui laissait entrevoir une peau lisse et blanche, aussi blanche que celle de son amant était brune. Ses longues jambes fines étaient recouvertes d’un voile noir transparent avec un subtil liseré brodé derrière la cheville. Ses escarpins à talons vertigineux, cette pose savamment étudiée, faisaient d’elle une véritable femme fatale, malgré l’appréhension qui la tenaillait. Elle portait ses longs cheveux noirs et lisses attachés en une queue de cheval haute. Ses yeux clairs étaient soulignés de khôl, ce qui rendait son regard intensément profond.
Il la regardait, la dévisageait. Il l’aimait.
Il s’avança, regarda une dernière fois ses yeux d’un vert limpide, passa derrière elle, lui effleura la base du cou d’un geste tendre, remonta le long de son oreille et caressa sa tempe. Elle discerna alors un morceau d’étoffe soyeuse et fraîche. Il lui banda les yeux.
Une bouffée de chaleur monta en elle, et elle esquissa un mouvement pour entrouvrir son manteau, mais déjà son maître bloquait un de ses poignets. Il l’enserra dans une des menottes et la ferma. Puis l’autre. Son souffle se fit plus court, plus saccadé, mais l’envie augmentait. Quand elle palpa un déplacement d’air. Des pas, des présences, des respirations, des chuchotements, des fragrances de musc et de cèdre… Son long manteau était à présent plus ouvert, du fait de ses poignets entravés en arrière. Ses jambes étaient maintenant décroisées, laissant apparaître la naissance de la dentelle d’un bas, retenu par l’attache du porte-jarretelles.
Elle sursauta à la sensation d’une main chaude qui finissait de dévoiler le haut de sa jambe droite, passa le long de sa cuisse offerte et termina sa course sur son intimité, recouverte encore pour un temps, d’un mini shorty ouvert en latex noir. Une autre main, à gauche cette fois, fit tomber la fourrure de son épaule, découvrant un bustier également en latex, dégagé au niveau des seins. Sa poitrine était magnifique, opulente, ferme et ronde. Ses tétons déjà dressés, promesses de désirs à venir.
Une bouche, cette fois, happa ce sein bandé et des bruits de succion furent bientôt audibles. Son autre mamelon s’offrit aux doigts experts d’un quatrième protagoniste, qui s’empressa de le malaxer, le pincer et le torturer. Elle commença à gémir, le désir montait en elle. Son amant, toujours derrière elle, regardait la scène superbe qui se déroulait sous ses yeux : il offrait sa compagne à ses plus proches amis.
Il caressa sa toison et dénoua la queue de cheval, libérant ainsi la masse épaisse de cheveux ébène qui descendirent jusqu’à terre. Ses lèvres pulpeuses rehaussées d’un rouge écarlate qui mettait en valeur sa peau diaphane et sa chevelure couleur de jais, laissèrent passer un gémissement plus âpre. Ses deux seins étaient pris par deux hommes différents, un troisième lui effleurait amoureusement les cheveux et la nuque, tandis qu’un quatrième lui enfonça deux doigts, puis trois dans sa bouche suave, les tourna, les imprégnant de salive. Au même instant, un cinquième amant chercha sa chatte mouillée à souhait de plaisir.
Pour la première fois, elle tenta de se libérer de ses entraves, mais en vain. Son homme lui lécha le lobe de l’oreille et lui susurra quelques mots. Elle gémit à nouveau. Les doigts dans son sexe se faisaient plus insistants, plus pénétrants, plus violents. Son bas-ventre chauffait, la brûlait même, autant que ses tétons durcis et enflammés.
Les hommes tournaient autour d’elle, elle percevait leur râle, leur odeur de fauves en rut. Elle aimait ça. Son cœur palpitait. Quand sa main gauche se dégagea, puis la droite. Elle eut alors le réflexe de se masser les poignets pour les apaiser le temps d’une minute ; mais c’était sans compter son bel étalon. Trois autres hommes étaient là, excités d’avoir trop attendu à la vue de ce spectacle sensuel. Leur désir pour cette déesse vêtue intégralement de latex les rendait fous. Il guida la main gauche de sa compagne sur le membre dur du premier, l’autre main sur celui du second. Elle les branla tous les deux d’une façon à la fois ferme et douce. Son compagnon lui tourna la tête et le troisième individu posa son gland chaud et humide sur les lèvres charnelles. Elle le lécha, le titilla du bout de sa langue habile et l’enfourna pour le sucer avidement.
Trois hommes s’occupaient de son plaisir, elle s’occupait du plaisir des trois autres. Son conjoint jubilait, matait sa chère et tendre moitié se faire baiser la bouche, la vulve et se faire maltraiter les seins. Elle branlait, elle gémissait, soupirait, haletait, prenait un plaisir fou. À présent, les mots crus avaient remplacé les mots doux du début. Son excitation était à son comble au même titre que celles de tous les hommes présents. Soudain, elle fut basculée en arrière et les doigts qui emplissaient sa belle fente rasée, laissèrent la place à une belle queue friande de coups de boutoir. Elle hurla et le mâle s’empressa de lui remplir la bouche, un instant dégagée, avec ses doigts imbibés de mouille.
Submergée par la surprise et la violence soudaine, elle avait arrêté de branler les gros calibres dressés et veinés. Elle reçut alors une gifle magistrale qui la rappela à l’ordre. Ses tétons étaient douloureux, à force d’aspiration et de morsures, sa joue la brûlait, sa chatte était limée par autant d’amants qui s’étaient relayés. Mais elle aimait ça. Elle était au bord de la jouissance, son ami le savait. Il se fraya alors un chemin dans la cohorte de tous ces assoiffés de sexe, et tandis qu’un chibre bien dur et large continuait de l’avilir et que deux autres bêtes avides se laissaient masturber, deux pénis raidis vinrent à l’unisson se vider de leur jus chaud et crémeux dans la bouche largement béante.
Les lèvres de son sexe étaient aussi rouges que celles de sa bouche. On l’avait burinée, écartelée, défoncée et chacun alla donner sa semence dans cette bouche offerte et sur ses seins, tandis que son bel étalon branlait son clito ressorti par le plaisir. Elle recracha le jus et tout le sperme coula sur ses seins, descendit le long de son bustier et finit sur ses cuisses. Il continuait de titiller ce clito affamé de caresses, embrassa langoureusement sa bien-aimée et s’introduisit profondément et violemment en même temps. Elle poussa un cri déchirant sous les martèlements de cet homme qu’elle connaissait pourtant si bien.
L’excitation de voir tous ses amis la prendre par tous les orifices, avait décuplé ses pulsions. La bête sauvage qui était en lui avait fait surface. Il la fourra longtemps, lui tétant tour à tour les seins, la bouche, la traitant de salope, de chienne en chaleur, de sale putain. Son clito branlé, ses mamelles gonflées, son intimité ruisselante, tous les mots crus eurent raison d’elle. Elle jouit enfin et il en profita pour se retirer de cette cavité si chaude et si accueillante et gicler dans sa bouche. Il y déversa tout le foutre chaud qu’il gardait pour elle. Elle avala, s’en délecta, le suça, le lécha.
Tous deux étaient épuisés mais ils avaient pris un plaisir furieux et incomparable à ce scénario de gang-bang et de viol collectif. Leur fantasme commun était réalisé.