n° 15672 | Fiche technique | 13883 caractères | 13883Temps de lecture estimé : 9 mn | 29/06/13 |
Résumé: Deux amis parlent librement de sexe et commencent à avoir des jeux sexuels sans que leur conjoints ne soient au courant. | ||||
Critères: fh copains fépilée vacances bain exhib intermast jeu | ||||
Auteur : Nimportenawak (Homme 45 ans.) |
Nous étions en vacances depuis presque deux semaines quand il m’est arrivé cette petite histoire. Nous étions dans l’ouest de la France avec un autre couple d’amis dans une maison avec piscine.
Ma femme et moi avons deux filles, et nos amis ont deux garçons du même âge.
Depuis en certain nombres d’années, j’ai envie de voir la chatte d’Élise, notre amie, car je sais qu’elle se rase entièrement. Et comme ma femme, Carole, ne veut pas, alors j’essaie de voir celle des autres. Il faut dire qu’avec Élise, nous parlons facilement de sexe mais ni ma femme, ni son mari ne sont au courant. On en parle quand on se retrouve tous les deux.
La première fois que l’on avait trouvé une affinité à parler de sexe, c’était lors de vacances qu’on avait passées ensemble il y a sept ou huit ans. Nous étions allés nager au large tous les deux et j’avais enlevé mon short de bain pour nager nu, car j’adore la sensation de l’eau sur mon corps et mon sexe. À ce moment-là, je lui avais dit :
Je lui montrai alors mon maillot et levai un peu mon bassin pour qu’elle voie bien que je n’avais rien.
Elle enleva alors son bas de maillot et me le montra aussitôt. J’essayai de voir sa chatte à travers l’eau mais je ne voyais pas grand-chose. L’eau n’était pas assez claire. Nous n’étions pas dans les Caraïbes.
Nous avons donc commencé à nager vers la plage l’un à côté de l’autre. Je voyais juste la blancheur de ses fesses à travers l’eau.
C’est à partir de cette date que nous avons commencé à avoir nos petits secrets et nos discussions sur le sexe.
Avant d’arriver sur la plage et d’être vus par son mari et ma femme, nous avons remis notre bas de maillot de bain.
Deux jours plus tard, elle me dit derrière le bar de la cuisine alors que nous n’étions que tous les deux dans la pièce :
Elle regarda autour d’elle dans la pièce puis baissa son maillot un bref instant.
Je n’ai pas vu grand-chose, à part qu’il n’y avait pas de poils sur le haut du pubis. Je commençais à bander dans mon short.
Elle recommença, mais là un peu plus longtemps et baissa son maillot un peu plus bas. Je vis alors bien sa fente qui n’avait plus un poil. C’était magique. Je bandais dur. C’était presque irréel de voir la chatte de la femme de son ami. À ce moment-là, quelqu’un entra dans la salle et mon érection retomba instantanément.
Et puis on vient de passer un cap ; du moins, c’est moi qui ai réussi à faire passer ce cap. Je ne savais pas comment arriver à ce qu’elle me montre sa chatte de nouveau, et surtout je ne savais pas comment je pourrais toucher et voir si c’était doux une fois rasé. Je savais que l’été elle se faisait épiler entièrement depuis peu au lieu de se raser elle-même le reste de l’année, afin que ça dure plus longtemps.
Un jour, vers la fin du séjour, je ne sais pas pourquoi, j’ai décidé d’aller me baigner nu dans la piscine en plein après-midi devant Élise qui était à l’ombre sur un transat en train de se reposer. Ma femme était partie faire une course ; les enfants jouaient dans la maison et son mari faisait plus ou moins la sieste en regardant la télé (qui diffusait une étape du le tour de France). Je m’assis au bord de la piscine, Élise dans mon dos.
J’enlevai mon bas très vite et je rentrai dans l’eau rapidement. Elle n’avait pu voir que mes fesses, en principe. Et puis de toute façon, j’espère bien qu’elle en avait vu plus. C’était un peu ce que je recherchais. C’est mon côté exhibitionniste.
Je nageais, fis quelques longueurs et décidai de sortir de l’eau. Je savais très bien que la serviette pour m’essuyer était sur le transat à côté d’elle. J’étais près des marches et j’allais sortir ; alors je lui dis :
Je savais très bien que derrière ses lunettes elle regarderait.
Je suis alors sorti, sans me presser, face à elle pour aller prendre ma serviette et m’essuyer, sans cacher mon sexe avec mes mains. Je me suis allongé sur le transat à côté d’elle avec la serviette autour de la taille et j’ai entamé la conversation.
Elle regarda autour d’elle et abaissa son maillot. Je ne vis pas bien sa fente. Comme la dernière fois.
Elle baissa mieux son maillot et je vis cette fois-ci sa fente, et qu’elle était rasée de près. Je commençais à bander sous ma serviette.
Après, j’ai posé plein de questions intimes ; j’avais envie d’en savoir plus sur sa vie sexuelle. Disons que je suis très voyeur.
Je bandais de plus en plus. Et j’avais envie de mettre mon doigt dans sa fente entre ses lèvres.
Je décidai de remettre mon maillot et ne fermai pas bien ma serviette pour qu’elle voie mon sexe en érection rentrer dans mon maillot.
À ce moment-là, nous avons entendu du bruit ; la porte s’ouvrit et Philippe sortit pour aller se baigner.
J’arrivais presque à mon but : toucher sa chatte. Et apparemment, elle n’était pas contre ; c’était juste une question de temps, le bon moment et l’endroit à trouver.
Deux jours après, le soir avant de se coucher, les enfants étaient couchés, ma femme aussi et Philippe était parti faire des longueurs dans la piscine afin de se rafraîchir.
Nous étions tous les deux sur le canapé à regarder la télé. Elle était encore en maillot de bain, avec une chemise, et moi j’avais pris ma douche et j’étais nu sous ma serviette. Peut-être une idée derrière la tête. Oui, j’avais fait exprès de ne pas m’habiller. Je me tournai vers elle et me lançai :
Je soulevai ma serviette et lui montrai mon sexe en érection.
Elle abaissa son maillot d’une main. Je voyais bien sa fente ; et puis, de l’autre main, elle commença à écarter ses lèvres pour me montrer son clitoris qu’elle titilla d’un doigt. Puis remonta son maillot.
Je bandais comme un fou. Je ne pensais pas qu’elle le ferait comme ça. Je cherchais un moyen de toucher. Alors j’entamai une conversation à laquelle j’avais pensé maintes et maintes fois pour en arriver là.
Et, en joignant le geste à la parole, elle baissa son maillot et je la vis mettre un doigt entre ses lèvres et le ressortir tout humide.
À ma grande surprise, elle accepta. Je mis alors mon doigt dans sa fente ; il glissa tout seul. Il glissait même mieux que dans celle de ma femme. Elle était vraiment excitée, et moi aussi. Je ressortis mon doigt et le suçai. C’était bon. Nous avons échangé un regard complice et coquin.
Elle mit sa main sur la serviette pour vérifier. Je soulevai la serviette et elle mit sa main directement sur ma verge en complète érection. Sa main était chaude et douce. J’aurais voulu qu’elle me branle mais on entendit un bruit. Elle enleva sa main ; je me levai pour aller voir.
Je n’entendais rien, que le clapotis de l’eau dans la piscine, ce qui voulait dire que Philippe ne viendrait pas encore et qu’on pouvait continuer un peu notre petit jeu.
Je ne m’assis pas et restai debout devant elle. J’ouvris complètement ma serviette ; mon sexe était droit comme un « i », pointé vers le plafond. Je ne pensais pas être capable de me mettre nu en érection devant une autre fille que ma femme. Je caressai ma verge, la décalottai pour qu’elle voie bien mon gland gonflé et turgescent. Elle n’en perdait pas une miette…
Je ne sais pas si elle m’avait dit ça pour me faire plaisir ou si c’était vraiment ce qu’elle pensait, vu que je lui avais dit un peu plus tôt que je la trouvais petite. D’ailleurs, elle n’est pas grande : quatorze/quinze centimètres en érection et à l’horizontale. Après tout, c’était venu spontanément ; alors, elle ne me le disait sûrement pas pour me faire plaisir. Il faudra que je lui demande une prochaine fois. Je refermai la serviette et m’assis de nouveau à côté d’elle.
Elle m’avait répondu avec un air complice. Je ne me fis pas prier et je remis mon doigt. Je montai et redescendis une fois, essayai d’avancer plus loin dans l’intimité de son vagin mais elle me retint la main. Peut-être avait-elle peur que Philippe n’arrive, ou c’était trop tôt pour aller plus loin.
Je retirai doucement mon doigt en passant sur son clitoris où elle eut une petite secousse. Mon doigt était tout mouillé. Sa chatte aussi, d’ailleurs. Je le suçai doucement en la regardant droit dans ses yeux remplis de désir, d’envie et de complicité. Elle me souriait. Je lui montrai de nouveau mon sexe.
Un « Tu veux ? » qui voulait dire « Est-ce que tu veux toucher mon sexe ? ».
Elle prit ma verge dans sa main et commença à me branler doucement. Je fermais les yeux. C’était trop bon.
Nous avons entendu Philippe sortir de la piscine, alors nous avons tout arrêté. Philippe est revenu et elle est partie se coucher.
Cette nuit, je me suis réveillé plusieurs fois, mais elle n’est pas venue. Elle avait bien dormi ou elle n’avait pas osé venir.
J’espère que nous repartirons ensemble une autre fois en vacances ; j’aimerai bien recommencer et aller un peu plus loin, comme par exemple : mettre de nouveau mon doigt, lécher son clitoris, avoir une fellation, la pénétrer…
Je vous raconterai lors de mon prochain récit quand nous serons repartis ensemble en vacances, en espérant que ça vienne vite.