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Temps de lecture estimé : 21 mn
04/07/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  Evolution sensuelle d'un couple uni.
Critères:  extracon voir exhib lingerie ffontaine cunnilingu fdanus jeu
Auteur : Hiram69      Envoi mini-message

Série : Séduction et Candaulisme

Chapitre 01 / 03
Ma femme comble ses fantasmes et mon côté candauliste

Couple de la mi-quarantaine, nous nous sommes connus il y a 16 ans. Moi, Marc, en train de divorcer et elle, Virginie, ayant fait de même une dizaine d’années plus tôt. Nous nous sommes rencontrés dans le cadre professionnel ; elle était responsable de l’agence de communication qui prenait soin de l’image de ma société.


Virginie est une jolie femme blonde de 1,70 m, profil à la fois mince et voluptueux qui dégage une classe naturelle et fait gamberger l’esprit de beaucoup de ses clients masculins. Sa poitrine 90C n’y est sans doute pas pour rien.

Quant à moi, les affaires ne me laissent que peu de temps pour me donner un corps d’athlète, légèrement entretenu par l’unique pratique du golf, mais il semble que mon 1,80 m et mes cheveux poivre et sel plaisent à la gent féminine.


Le coup de foudre s’est passé en douceur et nous n’avons pas tardé à nous marier pour recommencer tous deux une nouvelle vie, pleine d’amour, mais aussi de plaisirs que nous ne nous étions pas accordés dans nos couples précédents, sans doute trop conformistes. Pleinement comblée sur le plan sexuel, notre complicité nous a menés très vite à imaginer d’autres aspects plus pimentés à notre sexualité.


Je savais évidemment que Virginie était une grande séductrice et que le regard des hommes ne lui était pas indifférent, comme c’est le cas de la plupart de femmes bien dans leur corps. Très vite, je me suis mis à lui poser quelques questions sur son passé…



Virginie me dévisagea avec un demi-sourire, essayant de trouver dans mes yeux le fond de ma pensée.



Comme nous étions seuls à la maison, je revins habillé d’un tee-shirt et d’un boxer-short afin d’être à l’aise pour le repas que nous prîmes sur la terrasse du jardin. Virginie avait fait de même et avait revêtu une courte robe d’été noire, moulante s’arrêtant à mi-cuisses et découvrant ses jambes fuselées et légèrement bronzées.


Nous nous étions assis l’un à côté de l’autre afin d’admirer la tombée du jour sur notre grand jardin isolé du voisinage. La traditionnelle bouteille de rosé, incontournable par ce climat, avait atteint son niveau le plus bas et j’étais perdu dans mes pensées lorsque Virginie relança le sujet interrompu par mes ablutions.



Je quittai aussitôt mes pensées.



Traditionnelle question… Sourire.



Là, je me sens tout de même un peu hypocrite dans mon désintérêt.



Cette histoire titillait mon côté coquin, et mon sexe commençait à me trahir, fort peu dissimulé par mon boxer-short. Évidemment, Virginie s’en rendit compte…



Là, plus moyen de cacher quoi que ce soit ; les boxers ont une ouverture utile : elle servit d’échappatoire à ce traître de sexe qui bondit à la verticale. Virginie me regarda droit dans les yeux, avec un sourire des plus coquins…



Nos ébats furent particulièrement longs cette nuit où Virginie parvint à entretenir mon excitation en distillant avec art les détails de la main de cet homme qui, explorant son soutien- gorge, lui titilla longuement le téton ainsi que son entrejambe où elle le laissa toucher brièvement son slip avant de mettre fin au jeu qui dépassait un peu trop le simple flirt.



—ooOoo—



Dans les mois qui suivirent, nous agrémentions à chaque fois nos ébats de récits réels de son passé ou de fantasmes communs. Mais en vrai épicurien, je ne me sentais pas vraiment rassasié de ces aventures somme toute virtuelles. Petit à petit, j’ai commencé à tâter le chemin sulfureux que j’imaginais dans mes fantasmes… Un soir, après une soirée un peu chaude, j’ai tenté ma chance.



Virginie eut un petit sourire et fit mine de réfléchir.



Ces paroles entraînèrent de nouveau une certaine agitation dans mon jeans, et je ne sais si Virginie s’en aperçut ou si c’est mon air ravi qui lui fit dire :




—ooOoo—



Le temps passa, et je croyais de plus en plus qu’elle avait esquivé cette vague promesse sans y croire elle-même.

Mais un soir, lors de l’anniversaire d’une amie où nous étions séparés à table, je me suis aperçu qu’elle était particulièrement attentive à la conversation que lui tenait un convive assis en face d’elle.


Pascal était un proche de l’amie qui nous avait invités, homme charmant d’origine italienne, et donc naturellement charmeur ; il lui expliquait les liens possibles entre son métier de professeur de physique à l’université et l’étude de l’ésotérisme, passion bien connue de Virginie.


Heureux de voir Virginie en grande forme, j’éprouvais un certain plaisir à la voir si séduisante face à ce gentil dragueur. Ce qualificatif prit encore plus d’importance lorsque notre amie me glissa plus tard à l’oreille



Voilà qui mit tous mes sens en éveil et je me mis à les observer discrètement sous un autre angle. Les yeux de Virginie me semblaient plus pétillants ; réalité, ou était-ce mon imagination qui gambergeait ?


Le soir, sur le chemin du retour, je demandai à Virginie si elle avait passé une bonne soirée ; elle me répondit que son cavalier était particulièrement érudit, et séduisant. Je saisis l’occasion au vol pour lui demander s’il « aurait » été son type.



Pour toute réponse, Virginie m’embrassa violemment sur les lèvres et me dit « Je t’aime ». Il n’y a pas que la voiture qui fit une embardée à ce moment ; mon cerveau fit de même…

Arrivés à la maison, je proposai à Virginie de prendre un dernier verre avant d’aller dormir, avec l’intention à peine dissimulée d’approfondir ce sujet particulièrement brûlant.

Assis à notre bar, dans notre intérieur style « côté ouest », avec l’éclairage en mode tamisé, je repris le sujet.



Virginie se resservit un gin-tonic et ses yeux brillèrent de plus en plus…



Dès le lendemain, Virginie devint amie avec Pascal et lui envoya un premier message comme convenu, auquel il répondit sur le même ton en insistant qu’il avait trouvé Virginie charmante et en la complimentant sur sa beauté. Lorsque Virginie me fit le récit de cet échange lors du repas du soir, je l’incitai à lui faire dire un peu plus sur ce qu’il aimait chez elle.


En quelques jours, leurs échanges étaient devenus plus précis et Pascal lui avait avoué son côté libertin et que son physique ne le laissait pas indifférent. Il se souvenait parfaitement de son chemisier blanc et de sa jupe noire qu’elle portait durant la soirée, en ajoutant qu’il avait souvent laissé son regard plonger dans son décolleté, lui permettant d’entrevoir son soutien-gorge noir dévoilé par le deux boutons ouverts de son chemisier, et qu’il s’était demandé si ses bas étaient des Dim-Up.

Virginie lui répondit qu’effectivement, elle avait mis des Dim-Up, comme souvent lorsque nous sortions ensemble le soir.


Pascal lui demanda alors quelques précisions quant à notre vision du libertinage, ce à quoi elle répondit que nous étions quelque peu libertins nous aussi. Évidemment, Pascal répondit immédiatement qu’il aimerait la revoir…


Virginie me fit part de tout ça, et nous avons convenu d’une date pour l’inviter chez nous. Je lui demandai entretemps de continuer à le séduire et de faire monter la température… Virginie me répondit,



Sur ce, elle proposa une date à Pascal en lui envoyant une photo d’elle de dos, uniquement vêtue d’un string noir, avec comme légende « hors-d’œuvre. »


Le rendez-vous était fixé pour le samedi soir suivant. Entretemps, Virginie interrogea Pascal sur ses préférences ; il lui fit part de son amour pour le mélange subtil entre classe et porno.


Nous étions excités autant l’un que l’autre, et nous avons décidé de ne plus nous toucher pendant les quatre jours restants afin de faire encore monter la tension. Virginie s’empressa de communiquer à Pascal qu’elle se « réservait » pour sa venue, ce qui l’excita au plus haut point lui aussi.



—ooOoo—



Le samedi suivant arriva. Nous avions prévu un souper avec des huîtres en entrée et un homard pour suivre. Virginie et Pascal seraient assis l’un à côté de l’autre, face à la grande fenêtre du jardin, et moi en face d’eux.


Déjà 18 heures ; dans deux heures, notre ami allait arriver.



Nous décidâmes de faire « salle de bain à part » ; je pris celle de la chambre d’amis afin de lui laisser toute l’intimité pour se rendre désirable.


À 19 heures, j’étais habillé d’une chemise blanche et d’un pantalon en flanelle, comme elle aime ; je l’attendais entre notre salon et notre bar. Vingt minutes plus tard, j’entendis le bruit typique de hauts talons descendant l’escalier, et Virginie m’apparut comme issue d’un film d’Andrew Blake : chemiser blanc corsaire qui s’échancre au moindre mouvement, mini-jupe noire en tissu décoré de fines bandes d’un beau cuir italien, bas noirs et escarpins à talons très hauts. En un instant, mon sexe se trouva être fort à l’étroit dans ce pantalon pourtant pas spécialement moulant.

Je voulais en savoir plus sur les détails et je lui demandai de me montrer ce qu’elle avait en dessous…



Je ne pus que répondre par un sourire émerveillé ; et lorsqu’elle passa près de moi, elle effleura mon sexe en me disant :



À 20 heures pile, le vidéophone nous annonça l’arrivée de Pascal ; je descendis d’un étage lui ouvrir la porte. En homme galant, il était porteur d’un énorme bouquet de fleurs et de deux bouteilles de champagne Ruinart Blanc de Blancs.


Je l’introduisis à l’étage où l’attendait Virginie, rayonnante malgré les éclairages fortement atténués par nos multiples gradateurs électroniques. Virginie accueillit les fleurs et notre hôte les bras ouverts, ce dernier l’embrassant à la commissure des lèvres.


Après avoir mis le bouquet dans un grand vase, Virginie nous rejoignit au bar et prit place sur un tabouret haut face à Pascal, dont les yeux brillaient d’un air très coquin. Quant à moi, derrière le bar, je servais le champagne à nos deux complices. Un doux éclairage bleuté émanait du dessous du bar ; allié à l’éclairage tamisé chaud des autres spots directionnels, cela donnait une ambiance très « bar lounge » en milieu de nuit.


Virginie et Pascal échangeaient quelques banalités sur la soirée où ils s’étaient rencontrés ; mais bien que proches l’un de l’autre, ils gardaient une attitude très neutre. Prétextant aller chercher de nouveaux amuse-bouches à la cuisine, je les quittai un instant pour traverser la salle à manger vers notre cuisine américaine. Le premier étage de notre maison est aménagé selon un concept « loft » : aucune porte ou cloison ne masquait la vue du bout du salon jusqu’à la cuisine, ce qui me laissait le loisir de jouer le voyeur depuis la cuisine. En me retournant, je vis que Pascal avait posé la main sur le genou de Virginie et l’embrassait délicatement du bout des lèvres tout en tenant sa coupe de champagne de l’autre main.


Je pris mon temps pour disposer les autres mignardises sur un plateau afin de permettre à Pascal de se sentir plus à l’aise dans son rôle de troisième larron. Je le vis se pencher un peu plus encore vers Virginie et j’appris par la suite qu’il lui avait dit doucement qu’elle était resplendissante et qu’il voyait son sein gauche pointer sous son chemisier ; étrange, puisqu’il avait remarqué la bretelle d’un soutien-gorge… Pour toute réponse, elle ouvrit un peu son chemisier corsaire pour qu’il puisse entrevoir son soutien-gorge qui laissait libre les trois quarts de son sein. Ce qui expliqua son léger sursaut lorsqu’il découvrit cette image des plus hard. Virginie referma aussitôt son chemisier ; à mon retour, elle me jeta un regard entendu.


Nous passâmes à table pour entamer les huîtres fines de claire agrémentées d’un Sancerre à bonne température. Nous prenions notre temps et, en faisant une pause après quelques huitres, je remarquai que Pascal, assis à la droite de Virginie, avait une main en dessous de la table… En regardant Virginie, je vis que ses yeux étaient légèrement fermés. En fait, notre ami avait posé sa main sur sa cuisse et était remonté juste à la lisière du bas et de la peau nue et douce de Virginie. Je fis semblant de rien et resservis les verres déjà vides. La main de Pascal réapparut et les huîtres furent englouties.


Ayant décidé d’assurer le service ce soir, je desservis la table et partis m’occuper des homards à la cuisine, les laissant discuter et faire plus ample connaissance. Je ne me privais pas de jeter des coups d’œil dans leur direction, guettant le progrès de leurs avances qui m’excitaient au plus haut point ; je n’étais pas très rapide pour le service, j’en conviens !


Terminant le dressage de la dernière assiette, je jetai un dernier coup d’œil vers la salle à manger ; je découvris que Pascal s’était penché vers Virginie pour l’embrasser dans un mélange de langues des plus sensuels. Sa main droite était à présent sous son chemisier dont le pan me laissait voir ses doigts tirant sur son téton. Virginie avait les yeux fermés ; sa bouche légèrement ouverte trahissait son excitation…


Je leur laissai quelques instants avant de revenir avec les assiettes décorées de somptueux homards. Pascal se redressa, mais Virginie ne referma que partiellement son chemisier, un grand sourire aux lèvres. Au moment où je m’asseyais à table, elle me dit :



Ne m’attendant pas à cet imprévu, je la laissai faire.


Elle tourna alors sa chaise vers Pascal et lui demanda de se lever en se tournant vers elle. Tout en restant assise, elle le regarda droit dans les yeux et lui dit en lui caressant le dessus du pantalon :



Pascal lui répondit d’un sourire ; elle ouvrit son pantalon pour en sortir une queue de belle taille. Virginie prit un peu de recul pour apprécier cette grosse verge qu’elle tenait en main et qui avait la particularité d’avoir un gland très marqué en forme de fraise bien mûre… Elle entreprit alors une exploration avec sa langue des moindres recoins de son gland, tout en s’attardant sur le dessous qu’elle sait être un endroit des plus sensibles. Pascal avait les yeux fermés et profitait pleinement de cette fellation exécutée par une experte ; mais sentant ce sexe durcir encore, Virginie arrêta en lui disant :



Virginie se leva et un instant se débarrassa de son chemisier, nous exposant ses seins nus juste soutenus par dessous, ce qui les faisait remonter de manière plus que provocante.


Nous décidâmes alors d’entamer les homards et la conversation redevint anodine. Comme pour les plats précédents, à un moment il manqua des mains à table : la gauche de Pascal et la droite de Virginie. Cette fois-ci, les tétons durcis de Virginie me firent comprendre ce qui se passait en dessous… Comme Pascal avait les yeux fermés, je n’hésitai pas à jeter un œil sous la nappe où je vis la main de Virginie caressant le dessous du gland de notre ami avec son pouce. Quant à la main de Pascal, elle avait réussi à descendre la fermeture Éclair du slip de Virginie et il lui pinçait le clito entre deux doigts.


Je me redressai ; notre ami nous annonça que c’était à lui de demander maintenant un break. Je regardai Virginie qui lui répondit :



Il ne se fit évidemment pas prier… Cette fois-ci, c’est lui qui tourna sa chaise vers Virginie.



Elle s’exécuta et Pascal découvrit ce slip moulant dont il ouvrit l’entrejambe.



Là, je fus un peu étonné, car si je me doutais vaguement de quelque chose, elle ne me l’avait jamais avoué. Mais Pascal continua :



Pascal se leva et prit un téton de Virginie dans chaque main en les pinçant assez fort, à la limite de la douleur qui devenait assez vite plaisir.



Comme il laissait ses mains à la même hauteur, le mouvement eut pour effet de tirer un peu plus sur les seins de Virginie qui grimaça un peu, mais qui retrouva rapidement un sourire de satisfaction.



Ils se quittèrent et chacun reprit son siège pour s’attaquer aux pattes des homards, repas sensuel comme tout le monde le sait. Très vite, l’un prit une patte pour la mettre dans la bouche de l’autre qui la suça d’une manière de plus en plus érotique, léchant la mayonnaise par-ci ou le cocktail par-là… À un moment, il n’y eut plus de pattes, mais toujours les sauces. Pascal se leva pour se déshabiller complètement ; il se tourna alors vers Virginie, le sexe à nouveau tendu, et mit quelques gouttes de sauce cocktail sur son gland en disant à Virginie qu’il venait de trouver le pré-dessert. Il lui mit la main dans les cheveux pour l’approcher et lui dit d’un ton ferme :



Elle ne se fit pas prier et entreprit une pipe d’enfer à la sauce cocktail. Après quelques minutes, il la fit se relever, se mit à genoux devant elle et lui enduisit la chatte à son tour, puis il poussa Virginie sur sa chaise et lui releva les jambes pour introduire sa langue dans son vagin ruisselant d’excitation.



Virginie était renversée sur sa chaise la tête en arrière, les seins dardés ; elle tenait la tête de Pascal afin que sa langue ne quitte pas son clito. Après quelques instants, elle poussa un énorme cri de jouissance qui secoua tout son corps. Pascal se redressa avec un sourire de satisfaction ; et lorsqu’il voulut prendre sa serviette pour s’essuyer la bouche, Virginie se releva pour l’embrasser et passer la langue sur ses lèvres qui brillaient de sa jouissance.


De mon côté, j’avais retiré mon pantalon et j’essayais de calmer mon sexe qui voulait soulever la table… Quel spectacle !


Pendant une pause – une vraie, celle-là – je repartis avec les plats vers la cuisine pour préparer les sorbets du dessert.


Pascal vint me rejoindre à la cuisine et me dit que j’avais une femme extraordinaire et qu’il voulait être certain que j’étais d’accord pour qu’il la baise sans restriction devant moi ; ce à quoi je lui répondis par l’affirmative. Il me tendit alors le papier plié qu’il avait au creux de la main. Il s’agissait d’un certificat médical datant de la veille qui garantissait qu’il était séronégatif. Je luis assurai qu’il en était de même pour nous et que j’avais compris ce qu’il appelait « sans réserve » : il voulait que Virginie connaisse son sperme. Cette situation rendait l’atmosphère encore plus excitante…


Pascal retourna vers Virginie.



Virginie s’exécuta, écarta ses longues jambes, cambrée sur ses escarpins, et les plia légèrement.



Pascal s’approcha ; son sexe était devenu énorme. Il releva une jambe de Virginie et son gland se fraya un passage entre les petites lèvres luisantes de mouille.



Pascal s’activait à grands coups de reins ; ils étaient en sueur tous les deux. Je devenais fou en les regardant, la main sur mon sexe hypertendu… Ils criaient ensemble ; ils jouirent au même moment tout en flirtant, leur langue enfoncée au plus profond de leur bouche…

Pascal se retira et dit à Virginie :



Virginie s’exécuta avec une vitesse étonnante, tout excitée par la situation.


Nous étions assis dans le fauteuil. Une goutte commença à perler hors de sa chatte.



Il se leva et lui introduisit deux doigts dans la chatte, ce qui manqua de la faire jouir une nouvelle fois sur le champ, puis il la retourna et lui demanda d’ouvrir la bouche dans laquelle il introduisit ses doigts.



J’étais effectivement repassé derrière le bar pour servir trois nouvelles coupes ; Virginie était toujours vêtue de son soutien-gorge provocant, de son slip ouvert, de son porte-jarretelles et de ses escarpins. Pascal et moi étions entièrement nus ; nous entamâmes une nouvelle conversation anodine. Pascal caressait les fesses de Virginie, très cambrées par sa position sur le tabouret. À un moment, je la vis se redresser un peu pour redescendre doucement, très doucement… Ses seins me semblaient particulièrement pointer, dans un état où je les avais rarement vus. Pascal sourit et demanda à Virginie d’un air coquin :



Virginie s’exécuta et Pascal vint se mettre à califourchon sur ses bras pour les bloquer ; il posa ses couilles sur sa bouche. Je vins entre les jambes de Virginie, la queue rendue énorme par cette soirée dépravée… Virginie était immobilisée, et Pascal lui pinçait les tétons en les tirant. Virginie émit un petit cri.



De mon côté, je m’enfonçai d’un coup dans sa chatte encore ruisselante du sperme de son amant et entrepris de la baiser à grands coups de reins pendant que Pascal, ayant un peu reculé, se faisait sucer la queue par Virginie.


Au bout de quelques minutes, ne résistant plus, je jouis à grands coups au fond d’elle, sentant son point G se resserrer et elle se transformer en fontaine pendant que Pascal, se retirant de sa bouche, éclaboussait de sperme ses seins… Nous nous redressâmes tous les trois, et Pascal lui demanda d’étendre son sperme sur ses tétons et de rester ainsi jusqu’à ce que nous ayons terminé notre verre… Virginie s’exécuta lentement avec un regard coquin ; elle s’appliqua à bien étendre la semence de son amant tout autour de ses tétons rougis par le traitement que Pascal leur avait infligé.


Après avoir terminé son verre, Pascal décida de se rhabiller et nous dit que la prochaine fois il aimerait nous inviter chez lui… ce que nous avons bien entendu accepté.

En partant, il chuchota à l’oreille de Virginie :



La prochaine histoire risque d’être chaude…


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