n° 15688 | Fiche technique | 16322 caractères | 16322Temps de lecture estimé : 11 mn | 10/07/13 |
Résumé: Les femmes ont besoin de tendresse, de gentillesse, de parler, il faut pouvoir assumer. | ||||
Critères: fh rousseurs extracon copains hotel travail voiture collection fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo -totalsexe -extraconj | ||||
Auteur : Steve Envoi mini-message |
Dimanche matin, 5 h 30 ; je m’éveille naturellement, comme tous les matins. Je suis sur le flanc ; je commence à reculer délicatement pour ne pas éveiller ma femme, qui dort à mes côtés sur ce clic-clac inconfortable. Rien à faire : elle me sent bouger et émet un gémissement désapprobateur tout en me rattrapant avec son pied. J’ai compris. Je viens me coller dans son dos. Cette fois, le gémissement est de contentement. Je dors nu, elle a juste un tee-shirt. Évidemment, mon corps contre le sien, mon sexe contre ses fesses et mon désir se manifeste en quelques instants. Elle aime cela. Elle commence à onduler du bassin, je me frotte de plus en plus amplement. Au bout d’un moment, elle s’écarte de moi, prend mon sexe entre ses doigts et le présente à « l’antre du diable » (c’est le nom que je lui donne depuis toujours) et je l’enfile doucement jusqu’à la garde, elle s’est enfoui le visage dans l’oreiller pour étouffer ses soupirs, nous sommes à la mer, dans un petit appartement, dans le salon, les beaux-parents dorment dans la chambre à côté, cela me gêne un peu, pas envie de leur faire comprendre que leur fille et moi on aime cela (c’est bête). Je commence un lent va-et-vient, je glisse ma main sous son tee-shirt et empoigne un sein que je caresse doucement, bientôt, c’est elle qui impose le rythme, je la sens accélérer, le souffle court, elle m’enserre une jambe, c’est le signal, elle va venir, elle adore me sentir, son sein devient dur comme la pierre et je me laisse aller, je me déverse en elle en retenant mes grognements de satisfaction. On ralentit, on retourne au calme, je m’arrête, je savoure ce moment, je lui caresse doucement le dos.
Au bout de quelques minutes, elle me tend un Kleenex, je sors. Je l’embrasse, on se souhaite bonne journée, elle se rendort. Cela fait 30 ans que nous sommes ensemble, 30 ans que de nombreux matins j’ai la chance d’avoir ce genre de réveil et ce n’est qu’un apéro, quand nous sommes seuls, elle se déchaîne et nous avons des heures de sexe sans tabous. Je suis un homme heureux et chanceux, je le sais.
Bon ce n’est pas tout cela mais la journée sera longue, 120 km de voiture pour rejoindre les hauteurs de Nice où j’ai rendez-vous avec des amis pour une ballade en vélo. (Le col de Vence !)
Terminée la ballade, retour chez les amis, on mange une méga-salade et puis un peu de relax au bord et dans la piscine.
15 heures ! Je dois y aller. Je reprends la route, je m’arrête à 50 km de la maison, j’ai rendez-vous avec Suzanne, une amie de longue date, qui ne réussit jamais à trouver l’homme de sa vie, je la retrouve sur la plage, elle est toujours aussi désirable, 51 ans, comme moi, une vraie rousse, un corps d’une belle femme de 35 ans, elle était dans l’équipe nationale de ski alpin, elle n’a jamais arrêté de s’entraîner, alternant natation, course à pied et ski (en saison). Elle m’invite chez elle, pour un thé. Nous sommes très pudiques, mais nous savons très bien comment cela va se terminer, arrivés chez elle, elle me laisse la cuisine et elle prend sa douche. Je prépare le thé, elle arrive pieds nus, petite robe noire, les longs cheveux tirés sur la tête, je vois immédiatement qu’elle n’a pas de soutien-gorge, ses seins sont libres et se balancent langoureusement lorsqu’elle marche. Elle me rend fou, je dois me contrôler pour ne pas lui sauter dessus. Nos regards se croisent, nous prenons notre temps, nous savons que dans quelques instants ce sera l’extase. Elle cherche le sucrier dans l’armoire, sa robe se soulève quand elle atteint la planche. Je n’y tiens plus, je me colle à elle, je lui prends les seins à pleines mains, elle reste les bras en l’air, me demande ce que je fais, si cela est bien raisonnable, ce que je veux… elle me rend fou.
Elle se retourne et m’embrasse, ses lèvres couvrent mon visage, elle déboutonne ma chemise, embrasse mon torse, remonte, sa langue investit ma bouche, son bassin se frotte contre mon sexe, elle halète, je sais qu’elle va venir tout de suite, même à travers les tissus, son sexe est très sensible, elle ne peut résister longtemps et voilà, elle se bloque, se met à trembler, son gémissement est une longue plainte. Elle s’affale dans mes bras, je dois la soutenir, je la porte dans la chambre, sur le lit. Elle me regarde avec des yeux qui me font craquer. Je lui enlève la robe, je me déshabille moi aussi, je commence à l’embrasser, à la caresser, chaque centimètre carré de son corps, de sa peau pleine de taches de rousseur, j’évite les mamelons, j’évite son sexe, quand je m’en rapproche, elle se tend pour chercher ma bouche, ma main, mon torse, mais je résiste. Mais devant ces jambes de plus en plus écartées, avec ses mains qui conduisent ma tête, je craque, je commence à l’embrasser doucement entre les poils, à donner des petits coups de langue qui la font sursauter, puis je n’y tiens plus, je m’installe et je lèche, je lèche tout en lui caressant les seins, elle gémit sans arrêt, après deux nouveaux orgasmes, elle me tire la tête vers elle, et en me couchant sur elle, je la pénètre, ses yeux se révulsent, elle aime ! Je lui en donne pour son argent, je la tourne et la retourne, mais je sens que je vais craquer, elle le sent, me demande de la prendre par-devant, elle veut me voir jouir pour elle, ce qu’elle obtient rapidement. Nous reprenons notre calme, je la retourne, je la caresse, je la masse, elle ronronne.
Je dois partir, elle le sait, elle m’accompagne sous la douche, nous nous savonnons mutuellement. Je reprends la route. J’appelle ma femme, j’arrive. Je me couche tôt, je dois partir à 5 h du matin, 2 heures de route pour rentrer à la maison, heureusement je travaille de chez moi ce lundi, merci Skype !
10 heures, je m’octroie une pause café, c’est à ce moment que m’appelle Gabrielle, elle me propose de manger au chinois ce midi. J’accepte volontiers. Elle arrive vers 12 h 30, avec elle c’est le sexe et rien que le sexe, elle a 56 ans, cela fait 20 ans que nous baisons, son mari, plus âgé, la délaisse depuis trop longtemps. Elle arrive, m’entraîne dans la chambre d’amis, se déshabille tout de suite m’obligeant à faire de même, elle se met à me sucer goulûment, elle aime cela puis se tourne et se présente en levrette, « Prends-moi comme cela aujourd’hui ! » À vos ordres ma chère ! Elle est un peu sèche, je dois la préparer, quelques coups de langue bien placés ont raison de sa résistance et je la prends en levrette, elle aime, j’ajoute mon pouce dans son œil de bronze, il ne faut pas longtemps pour qu’elle externe son plaisir, je me retire et me présente dans sa rosette, elle me traite de cochon, mais ses mouvements m’encouragent, il ne faut pas longtemps pour que je m’enfonce jusqu’au fond (l’avantage d’avoir un sexe dans la moyenne), elle me demande si elle est ma putain, si elle est ma salope, elle se caresse le clitoris, je lui attrape les seins, je ne peux résister, je décharge longuement dans son fondement. Elle se lève et va se laver, je fais de même, nous allons manger.
18 heures, un petit jogging tranquille, 12 km, une heure.
Mardi, je me lève à 5 heures, je vais au bureau, 150 km de voiture, 10 heures de boulot. Heureusement je passe deux nuits à l’hôtel !
Ce soir, dîner avec Élise, elle est jeune, 32 ans, fiancée mais apparemment assez libre. Elle me rejoint à mon hôtel, nous ne traînons pas, après une dure journée de labeur, je m’allonge sur mon lit, bras en croix et je fais semblant de dormir. Elle enlève son tee-shirt, son soutien, elle a de magnifiques petits seins très fermes, avec une petite aréole très sombre, j’adore ! Elle me défait la ceinture, déboutonne mon jeans, baisse mon pantalon et mon slip, je l’aide un peu même si je suis censé dormir. Elle approche son visage de mon sexe, déjà au garde-à-vous, elle commence par de petits coups de langue qui me font frémir, sa bouche s’arrête toujours plus sur mon gland, je n’en peux plus, mon bassin se soulève pour aller au-devant de ses lèvres, je sais qu’elle me regarde, puis, enfin elle m’embouche de tout son long, c’est une véritable décharge électrique, j’ouvre les yeux, mon regard croise le sien, elle me regarde avec un air de défi, un regard qui dit « maintenant tu m’appartiens, je fais ce que je veux de toi ! » Elle a probablement raison, je ne désire qu’une chose, qu’elle ne s’arrête pas ! Après quelques minutes de ce traitement, je le sens venir, inexorable, profond, il vient de loin, un orgasme puissant, ma respiration s’accélère, la sienne aussi, ça y est, je crie, j’inonde cette bouche langoureuse, elle frémit de tout son corps, je retombe pratiquement inanimé, elle achève goulûment d’avaler ma sève. Elle se couche sur moi, m’embrasse délicatement.
Il est temps de sortir manger, on se rhabille, on sort. Ce soir japonais. Après le repas, nous rentrons en chambre, comme un vieux couple, nous occupons la salle de bain chacun son tour, puis nous gagnons le lit, nus. Couchés l’un à côté de l’autre, nous parlons, nous parlons, nos boulots sont similaires, nous adorons ces moments d’intimité où se mêlent discussions et caresses, caresses de moins en moins innocentes, puis ce qui doit arriver arrive, je me place sur elle et je la pénètre directement, elle était prête, elle m’attendait, je la tourne et la retourne, ses orgasmes se suivent, ses cris doivent ravir les oreilles des voisins, en levrette, je ne tiens plus, je me laisse aller, nous nous écroulons l’un sur l’autre. Nous sommes trempés, nous prendrons une douche (sage). Je m’endors comme une masse.
5 h 30 ; je m’éveille, elle est là, elle dort profondément, sur le ventre, je me mets à la caresser, les épaules, le dos, la nuque, les bras, les fesses, les cuisses, ses jambes s’ouvrent légèrement, de plus en plus, laissant son sexe de plus en plus exposé, mes doigts s’insinuent, elle est humide, mes doigts se font de plus en plus inquisiteurs, elle est trempée, mon majeur entre complètement, mon pouce se risque sur sa rosette, pas de réaction (elle m’a toujours refusé cette porte), progressivement, mon pouce entre totalement et mes deux doigts vont et viennent délicieusement, je n’y tiens plus, je la tourne sur le côté et je la pénètre, elle gémit, m’encourage, il ne me faut pas longtemps pour jouir avec elle. Pas le temps, je la laisse se rendormir, je dois aller au boulot et je rassemble mes affaires, je dois changer d’hôtel.
10 heures de boulot, je me rends à mon nouvel hôtel, je déballe mes affaires et je vais manger, j’ai rendez-vous sur le parking avec Roxanne. Elle a 40 ans, célibataire (je ne comprends pas pourquoi) mignonne, pas très grande, mais avec une paire de seins incroyable, un 90D. La première fois que j’ai eu la chance de les découvrir je les croyais siliconés tant ils étaient fermes. C’est tellement triste un sein siliconé, ils ont tous la même forme, toujours la même forme, debout, couché, sur le côté, toujours identiques, sans vie, sans particularité. J’aime les seins, les vrais ! Bref on mange et puis elle me rejoint à mon hôtel, on se regarde, on rit, nous sommes heureux de nous retrouver, on s’embrasse, on se touche, on se déshabille mutuellement.
Elle ne perd pas de temps, elle se dirige vers mon sexe et se met à s’en frotter le visage, les seins, elle ferme les yeux, elle l’embrasse, elle le suce, elle l’engloutit, c’est la reine de la pipe langoureuse, elle donne vraiment l’impression d’être amoureuse de mon sexe, c’est divin. Je l’arrête dans son élan, je vais venir, je sais qu’elle n’aime pas cela, c’est mon tour, elle est nue, affalée sur le lit, je la caresse, je l’embrasse, les yeux, les joues, la bouche, je joue avec sa langue, avec ses lèvres, son cou, ses épaules, ses gros seins, ses mamelons, son ventre, ses cuisses, je remonte, je redescends, je remonte, inlassablement, ma bouche s’approche insidieusement de son sexe dont je me régale déjà des effluves, de temps en temps un coup de langue appuyé sur son clitoris la font sursauter et planter ses ongles dans mes cheveux, j’insiste de plus en plus, je finis par m’installer confortablement entre ses cuisses, les mains empoignant ses seins et je la lèche, la suce, la mordille, je sais que je me régalerai au moins dix minutes, c’est le temps qu’il faut pour que soudainement sa respiration s’accélère, son souffle se fait plus court et puis elle part d’un long feulement rauque et se redresse par la puissance de l’orgasme.
Elle me prend la tête et m’attire à elle, mon sexe trouve le chemin, je la pénètre doucement, elle m’attendait, je reste immobile tout au fond d’elle, je la laisse reprendre son souffle, elle me remercie, me dit que jamais personne ne l’a fait jouir comme cela, je commence doucement de longs va-et-vient, je sens que je ne tiendrai pas longtemps, je la fais passer au-dessus, j’aime la voir se trémousser sur mon sexe, j’aime voir ses seins qui tremblent au-dessus de moi, j’aime la voir se caresser les yeux fermés, elle me dit qu’elle me sent bien, qu’elle aime, je sais qu’elle ne jouira plus, elle ne jouit jamais avec pénétration, c’est bientôt mon tour, je me laisse aller, je me vide en elle. Elle se couche sur moi, on se repose, on parle. Elle se lève, elle doit rentrer chez elle. Je dors.
Jeudi matin, petit jogging léger, 5 km puis je me rends dans un de nos sites de production, vers 10 heures, je croise Éliane, un sourire, un bonjour, un café. Puis elle m’envoie un SMS ; « J’ai envie de toi, parking même heure ? », je réponds : « Idem, ok au parking ». 12 h 30 ; je suis au parking dans ma voiture, elle arrive ; Éliane, 42 ans, mariée, 2 enfants, un mari « con comme un balai » (ses propres paroles), elle adore le sexe (avec moi et seulement avec moi, dit-elle), après un baiser et quelques caresses, je démarre, direction le motel à quelques kilomètres de là, entretemps, elle a ouvert ma braguette et s’est penchée sur moi, il ne faut pas longtemps pour que mon sexe soit en érection et elle s’en donne à cœur-joie, elle c’est une goulue, moins sensuelle, plus mécanique, mais le résultat est le même, il ne faut pas longtemps pour que j’inonde sa bouche tout en gardant mon attention sur la conduite, elle sort un Kleenex et m’essuie avant de me rendre une apparence acceptable.
Nous arrivons au motel, cartes d’identité, les clefs et nous rejoignons la chambre, nous nous déshabillons rapidement, elle est affamée, moi aussi j’ai très envie d’elle, je la caresse et l’embrasse partout, je la retourne dans tous les sens, j’aspire ses seins, ils sont très petits mais étrangement allongés, un vrai régal, je ne tarde pas à retrouver un sexe bien dur, elle ne peut plus attendre, je la prends de suite par-devant, je la fais passer au-dessus, elle aime, puis elle me dit : « Baise-moi » (avant c’était quoi?) alors je la retourne et la place à quatre pattes et je la pénètre d’un coup jusqu’à la garde, elle paraît sans voix, mais elle reprend vite ses gémissements suite à mes coups de boutoirs elle me dit « Mais baise-moi ! ». Bon tu vas voir, je sors, je la soulève, je la plaque debout contre le mur et je la pénètre violement, c’est cela qu’elle voulait, un peu de violence, je ne tiens pas longtemps, malheureusement je dois sortir pour m’épancher entre ses fesses (pas de pilule). On se recouche, elle se love sur ma poitrine, elle parle, de son boulot, de son couple, de ses enfants.
Bon il faut que l’on y aille tous les deux, je la ramène au parking et je vais au bureau. Cet après-midi je rentre à la maison, ce soir, ma femme viendra se lover contre moi, il va falloir assurer ! Et nous ne sommes que jeudi !