Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15700Fiche technique9307 caractères9307
Temps de lecture estimé : 6 mn
17/07/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  Seule en juillet, mon homme étant en déplacement pour trois semaines, mon désir était trop fort pour patienter sagement... Et mon imagination m'a souvent permis de satisfaire mes envies...
Critères:  f ffh fépilée revede ffontaine fmast légumes fdanus
Auteur : Pia12
Solitude incandescente

Quelle chaleur étouffante… Suite à mon déménagement dans le sud, mon corps n’était absolument pas habitué à ces températures cuisantes…


Et que dire ! Enfermée dans ma nouvelle villa, seule, je tourne en rond… Les meubles sont posés, les affaires amenées, mais la déco attendra. Pourquoi ? Je veux choisir l’environnement de mon nouveau nid avec mon mari, malheureusement en déplacement pour trois semaines. Il ne sera resté que deux jours, le temps de boucler le « bazar » du déménagement… Un vrai crève-cœur que de le voir partir, malgré l’habitude. Cette fois, nous prenons un nouveau virage dans nos vies, découvrons une nouvelle région et me voilà seule face à tout cela. Nos enfants – l’aîné de sept ans et les jumeaux de cinq ans – en vacances avec mes parents, je me retrouve face à moi-même jusqu’à la semaine prochaine…


Les trois premiers jours passent tranquillement, optant pour quelques passages sur le net pour trouver des idées déco, mon loisir favori (avouable…), ou au bord de la piscine. Pas avant 17 h, la chaleur écrasante de l’arrière-pays héraultais bannissant toute idée de plein soleil !


Après plusieurs longueurs et quelques chapitres d’un bon thriller, je mis mon portable à charger afin d’être sûre de ne pas tomber en rade de batterie quand mon amour téléphonerait ce soir. En ce samedi, je le savais au golf avec des collègues, ce qui me faisait lâcher un soupir de dépit. Extrêmement sportif, j’imaginai ce moment que j’adore tant à ses retours de séances, transpirant, son torse bombé et ses bras protecteurs ruisselants me tendant ses vêtements à laver. Un moment divin pour moi qu’il n’a jamais compris et qui, en voyant mon regard fier et plein de désir, je le sais, le rend tout chose…


Perdue dans mes pensées, le bip d’un message me réveillait alors. Quand on parle du loup…


« Je sais que tu aimes ce moment, toujours. »


Mon homme, torse nu, visiblement éprouvé, en serviette.


« Tu n’as fait que du golf ??!!!! »

« Non, je sors du… hammam… Ne m’en veux pas stp… »


Il le sait, le hammam reste l’un de mes préliminaires favoris, laissant présager un tout autre type de chaleur dans le vestiaire ou la douche ensuite…

De quoi ressentir illico une manifestation physique, mes seins se trouvant bien à l’étroit dans mon petit haut de maillot triangle, ne cachant rien de mes tétons avidement dressés. Et le message suivant illustrait sans hésitation cette envie partagée de mon mari.


« Je suis dans une forme olympique… »



Et s’accompagnait d’un cliché, cette fois-ci serviette tombée, de son athlétique corps, mais surtout de ce long membre parfaitement bandé, au gland turgescent, collé littéralement à son ventre. Une telle perfection mériterait qu’on en fasse un moulage.


Une vague m’emportait l’estomac, mon cœur s’affolait. Malgré le torride au-revoir lors de notre dernière nuit, mon corps ne pouvait résister à ce sublime spectacle. Paupières closes, deux secondes suffirent à mon esprit pour « sentir » sur ma cuisse ce sexe dur, épais, sa divine courbure stimulant à l’extrême mon antre dès qu’il me pénétrait… Sans m’en rendre compte, ma main avait déjà investi ma culotte, ma fente ruisselante détrempant mon entre-jambe.


Je me jetai sur le lit, arrachant mes liens, libérant mes seins durs comme des pierres, sensibles au moindre effleurement. Je me délectais sans honte de mon corps, une glace voyeuse me reflétant et me renvoyant les images incendiaires de notre première nuit ici…


Je suis « modèle réduit », certes, mais musclée, à la taille extrêmement fine contrastant avec ce postérieur bombé appelant au vice. Mes petits seins arrogants répondirent instantanément aux caresses répétées, comme si mes tétons étaient directement reliés à mon clitoris. Mon bouton dépassait de mes lèvres où une fine bande de très courts poils m’offraient d’électriques sensations, ma main stimulant cette petite zone. La douceur de mon sexe parfaitement épilé, me faisait déraper, mon jus dégoulinant par saccades. Je trouvais alors ma rondelle, un simple glissement sur elle m’arrachant un cri.


Ma langue trouva alors mon sein droit, et je léchais, aspirais, inlassablement ce téton surexcité tandis qu’un doigt distendait en tournoyant mon petit trou. Ma tête s’emplissait d’images de mon homme, son braquemart distendant ma chatte trempée, sa langue et ses doigts s’acharnant sur mes seins. Je me voulais remplie, mes doigts ne suffisaient plus. Ivre de désir, je rêvais de m’empaler sur ce sexe si large. N’y tenant plus, même si la honte me tiraillait, je pensai aux courgettes achetées le matin même au marché et dégoulinai de plus belle. Me ruant dans la cuisine, je choisis la plus « convenable », la nettoyai. J’osais à peine me regarder lorsque que j’enduisis de lubrifiant cet énorme pénis de substitution. Reprenant mes caresses, je ne tardai pourtant pas à m’enfoncer dans un feulement le divin légume. En quelques allers retours je jouis, arrosant de ma mouille les draps, mon clito en feu ne semblant pas vouloir s’arrêter.


Ma tête explosait et pourtant ma soif de sexe n’était pas rassasiée. Nous discutons de tout avec mon homme et à l’instant, ce sont ses fantasmes qui me hantaient, en plus de cette image de lui prêt à me prendre…

Je me levai, allai boire, enfilai une robe et tentai de me calmer.


Les heures passaient, sans pour autant que le film de ma pause salace ne s’efface, se mêlant des bribes de souvenirs aussi chauds que la météo. Je me disais qu’un film romantique, historique et prude allait me calmer. Jane Eyre au programme : parfait !


Vers 22 h 45, mon mari m’appela, s’étonnant de n’avoir pas eu de réponse à son texto.



Je raccrochai, de nouveau inondée, ma machine à fantasme s’emballant.

Ce vestiaire… Mmmmmmm… Et être surpris par l’une des employées du spa pendant que je prodiguerais une divine fellation. Que j’aime l’avoir en bouche, le sentir grossir, encore, et voir la tête de mon amour basculer en arrière et gémissant de plaisir.


Me caressant les tétons parfaitement mouillés après les avoir léchés avec délice, j’imaginai la demoiselle en question s’occuper de mes seins pendant que mon homme écarterait mes globes léchant dans ma fente, de mon petit trou encore serré jusqu’à mon clito. Cette image me rendit dingue, je lâchai sans interruption de petits cris, des « encore » dans le vide mais m’excitant. Puis j’imaginai ses seins à elle et ces images saphiques redoublèrent mon plaisir. Je sentis mon nectar ruisseler le long de mes cuisses, mes seins gonfler encore en me « voyant » laper ses deux mamelles. Jamais je n’étais partie dans tel fantasme…


Je délirais complètement, frictionnant mon sexe comme une furie, ne voulant désormais qu’une chose : me sentir prise par derrière. J’implorai mon amant absent de me sodomiser, deux doigts allant et venant désormais tandis que mon autre main échauffait mon bouton. Une fois de plus, il me fallait être remplie. Mais cette fois je n’hésitai pas, saisis une brosse à cheveux au manche aux proportions parfaites, le recouvris de lubrifiant et, me mettant comme une chienne attendant d’être saillie, cherchai en haletant mon trou brûlant.


J’effleurai mon clitoris, hurlai, et commençai à forcer doucement la porte entrouverte de mon fondement. Le mirage de mon homme, le regard vicieux et gourmand, m’emporta, et je suppliai sa queue de me baiser. Je m’empalai sur cette brosse, rêvant de cette bite prête à se déverser au fond de moi tout en donnant mes ultimes caresses me menant à un premier orgasme aussi intense que bruyant. Retirant mon gode de fortune, je sentis une nouvelle rafale m’assaillir et bloquant entre deux doigts mon clitoris, un orgasme encore plus fort me fit cette fois-ci littéralement éjaculer, un flot de cyprine inondant mes cuisses.


Finalement, l’absence a parfois du bon…