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Temps de lecture estimé : 7 mn
19/07/13
Résumé:  Les sens de mon amie Éléonore - jeune épouse rangée - ont explosé en cédant à son irrésistible beau-frère, l'antithèse de son mari.
Critères:  fh alliance grossexe fellation cunnilingu anulingus fdanus fsodo confession -initfh -extraconj
Auteur : Pia12
Révélation

Jamais je n’aurais imaginé cela de mon amie Éléonore, si discrète sur sa vie personnelle. Son divorce d’avec un mari la délaissant à l’approche de la quarantaine l’a toutefois amenée à quelques confessions qui m’ont autant étonnée qu’émoustillée…


C’était le genre d’histoire qui débutait par « Il était une fois »… Un joli conte de fées comme il n’y en a plus, juste pour quelques familles de l’aristocratie provinciale où les « bons » mariages existent encore…


Amies de lycée, Éléonore – ma « Léo » – et moi étions inséparables et totalement complémentaires. Moi la scientifique, elle la littéraire. Sportive émérite et un peu cash, elle calmait mon tempérament en m’amenant voir des expos, jouant divinement du piano lors de nos pauses en pleines révisions. Bref, on s’entendait à merveille.


Nos études supérieures entamées, je quittais Orléans pour la fac de médecine d’Angers tandis qu’elle se lançait dans les lettres. Un parcours brillant et sa maîtrise en poche, elle déménageait à Paris, entrant dans une maison d’édition. On continuait à s’appeler toutes les semaines et, bien que discrètes sur nos vies amoureuses – un comble ! –, elle me dit avoir recroisé un garçon. Sans grande passion, elle m’expliquait que Charles était un ami d’enfance, fils d’un couple d’amis proches de ses parents. Du même milieu social, donc… et du même âge qu’elle. Bingo ! À l’hiver, ils annonçaient leur mariage pour Juin. J’avoue avoir été totalement décontenancée, tant mon amie semblait lointaine aux préparatifs…


Ce fut bien sûr fastueux, très « comme il faut » – un peu chiant, en fait… – et la vie sembla d’un coup établie pour Léo. Il aura fallu attendre quinze ans pour que Charles, trop obnubilé par sa carrière, jette l’éponge en lui disant « Si tu es malheureuse, pars ». Et à sa grande surprise, Éléonore a fait ses paquets… débarquant chez moi le soir même ! J’ai vu une petite chose au regard perdu débarquer dans mon appartement dont le salon prenait des allures de cour des miracles, ma fille ayant fait de la pièce le temps d’un après-midi sa salle de jeu. J’installai Léo, emmenai rapidement la petite chez ma mère afin que l’on se retrouve toutes les deux. Guillaume – mon mari – étant absent jusqu’à la fin de la semaine, on aurait tout le temps de discuter calmement.


Je rentrai et trouvai Léo douchée, souriante et apaisée, dans des vêtements nettement moins guindés. Deux tasses de thé plus tard, on se calait dans mon canapé ; et le récit que j’allais entendre ne tarda pas à me sidérer…



François. Le frère de Charles. Que dis-je… le sublime frère de Charles. Autant le mari de Léo était petit, assez quelconque, autant François était, n’ayons pas peur, « bombesque ». Un mètre quatre-vingt-dix, fin, musclé, des yeux vert clair à tomber, un sourire faisant craquer hommes et femmes de tous âges, un rire troublant. Bref, l’antithèse de son frère qui – aussi brillantissime et intelligent soit-il – se retrouvait à chaque fois dans l’ombre de ce mâle solaire.



On était en Sologne, tu sais, dans leur maison de campagne. J’avais préparé le dîner, François me disait se régaler à chaque bouchée tandis que Charles ne pipait mot… Et puis François a sorti une bouteille de champagne au dessert : il avait quelque chose à nous annoncer. Il prenait la direction générale du groupe pour lequel il travaille, une énorme promotion. On a trinqué, et rapidement Charles est allé se coucher à l’étage. Sans « Bonne nuit », sans rien. C’était trop et, la fatigue aidant, François a vu une larme couler.


Il m’a prise dans ses bras, versé une nouvelle coupe de champagne et glissé à l’oreille :


  • — Une beauté comme toi doit s’épanouir, sourire, jouir de la vie.

J’ai rigolé et nous avons parlé deux bonnes heures de nos vies passées, toujours une coupe à la main.


En me levant pour porter les coupes dans l’évier, mon talon s’est pris dans les tomettes et j’ai atterri dans ses bras, ma robe portefeuille s’ouvrant au passage. J’ai vu son regard sur mon string, mon ventre, mes seins bombés par mon soutien-gorge. Il ne m’a pas lâchée, et sans un mot m’a portée jusqu’à son lit, au fond du couloir. L’étonnement a fait place au désir dans son regard, puis à cet air mutin irrésistible dont il a le secret. Je te jure, j’ai failli défaillir tant l’envie me rongeait.


Il a ôté ma robe, mon soutien-gorge… et c’est tout. Lui s’est intégralement déshabillé. Devant moi ! Sans pudeur, en pleine lumière. Il était sublime. Son caleçon ôté, je n’ai pu m’empêcher de rester béate. Charles a un sexe long, peu large, avec un gland effilé. J’avais sous les yeux un membre veiné au gland rouge violacé, presque agressif. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je l’ai empoigné ; ma main ne suffisait pas à l’enserrer. Il a gémi, approché ma tête de ce sexe si désirable.


  • — Suce-moi, ma belle… me chuchota-t-il.

J’ai perdu pied, sa bite brûlante dans ma bouche faisant sauter les ultimes rambardes. Je ne voulais qu’une chose : qu’il fasse de même avec moi. Il écarta mon string, et dans un grand sourire ajouta :


  • — Je suis très étonné… Je n’imaginais pas ta petite chatte sans poils…

Sans que je puisse répondre, il la lapa, elle qui était déjà ruisselante. Je ne pouvais plus bouger, en extase. Il suçait mon clitoris comme jamais. Charles ne supportait pas cette pratique ; lui, c’était missionnaire et levrette, pas plus… Je le dis sans pudeur à François qui s’arrêta et me fixa en me disant :


  • — Je vais t’apprendre la jouissance sans limite, beauté.

Il reprit son cunnilingus avec ferveur, quand je sentis sa langue remonter jusqu’à mes seins. Une décharge électrique m’enserra, me faisant échapper un râle de plaisir. Il ne lui en fallut pas plus pour s’enfoncer en moi. Jamais je n’avais eu une telle sensation. Écartelée, remplie ; il glissait sans difficulté pendant que j’astiquais mon bouton.


  • — Oui, c’est ça, lâche-toi…

Me cramponnant par les hanches, moi les cuisses ouvertes à l’extrême, je ne me reconnaissais plus. C’est alors qu’il vint triturer mes tétons et me fit jouir comme jamais. Je sentais mon vagin si lubrifié que même son énorme engin ne peinait plus à me défoncer.


  • — Encore, ma belle ? me susurra-t-il.

Pantelante, il me retourna pour insérer son dard sans prévenir. Accompagnant ses coups de reins de fessées, je me surprenais à être traitée de la sorte, à lui avouer à quel point j’aimais sa grosse bite. Moi, dire ça ? Une nouvelle vague de jouissance venait avec le rythme frénétique de ses assauts.


  • — Je veux jouir sur tes seins, m’implora-t-il.

Une semence abondante vint arroser mes seins tendus et soudain, j’imaginai que ce rêve était fini.


  • — Pourquoi cette moue ? Tu crois que j’en ai fini de toi ?

Avec autorité, il me tira par le bras sous sa douche, faisant couler l’eau chaude du pommeau, se calant contre moi.


  • — Laisse-moi faire…

Je n’étais plus que sa poupée, me laissant savonner, caresser, pénétrer par ses doigts indécents. Je me cambrais, proposant ma croupe rebondie à ses assauts salaces. Son index vint alors titiller mon petit trou.


  • — Hummmm… C’est tellement serré. Jamais rien ni personne n’a dû s’immiscer par là… Je vais commencer doucement…

Quoi ? Son énorme pénis, là ? Jamais je ne pourrais… et pourtant je n’ai su que feuler de plaisir quand sa langue vint lubrifier ma rondelle, rapidement forcée d’un doigt.


  • — C’est bon, n’est ce pas, beauté ? souffla-t-il en ajoutant un nouveau doigt.

Je me sentais tellement salope que cela m’excita encore plus, imaginant mon mari si distant à dix mille lieues de cet intense moment de plaisir…


  • — Attends là, je reviens…

Je me retournai, à peine le temps de constater que son braquemart avait repris sa taille pleine de désir. Je fermai de nouveau les yeux sous cette douche torride quand sa main vint appuyer sur le bas de mon dos, l’autre ouvrir mes fesses.


  • — Regarde comme tu es belle.

Dans la vitre, je voyais une fille trempée, ses seins gonflés, une main sur son clitoris pendant qu’un apollon s’apprêtait à lui enfoncer un gode dans l’anus. Sans difficulté, l’engin entra dans mon fondement et François débuta les allers-retours…


  • — Touche-toi, continue, c’est bien, ça va te préparer…

Il arrêta la douche, prit ma main et me montra comment me faire du bien. Obscène et tellement excitante, la situation le rendait encore plus dur et gros.


  • — Viens…

Je retirai le gode, prête à l’impossible pour moi il y encore quelques heures.


  • — Mais que veux-tu donc, petite Léo ? Moi qui te désire depuis le premier jour, cette envie de faire honneur à ce corps si bandant, me voilà prêt à te sodomiser… Je n’en espérais pas tant… Que veux-tu alors ?
  • — Oui, encule-moi, je te veux là aussi.

Une giclée de lubrifiant sur mon trou désormais bien plus large, et je sentis l’énorme gland se frayer un passage. Délicieuse douleur… François m’encourageait à coups de « c’est bon, bébé ; ton cul est parfait, j’y suis tellement bien ». Totalement possédée, il me pilonna jusqu’à ce que nos jouissances s’unissent.


  • — Comment mon frère a-t-il pu laisser tout cela en friche ? Voilà ce que tu dois faire : jouir. Jouir de tout dans ta vie.



Je restai interdite, la fin de son histoire me laissant autant heureuse pour mon amie que ma culotte trempée. Et vu le regard désormais enflammé de Léo, je suis persuadée que ce ne sera pas sa dernière histoire à me raconter…