n° 15710 | Fiche technique | 15327 caractères | 15327Temps de lecture estimé : 9 mn | 23/07/13 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Après un trio très chaud, l'épouse de notre ami nous rejoint. | ||||
Critères: fh 2couples fbi hbi voisins intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo -entrecoup | ||||
Auteur : Mongil |
À la fin du récit précédent, Être modèle pour un artiste (n°14405), vous vous rappelez…
Nous sommes tous trois au bord du non-retour et je sens à la crispation de ses muscles vaginaux que Nat jouit une nouvelle fois. Guy et moi suivons et explosons en elle en de longs jets brûlants, lui au fond de sa gorge et moi dans sa chatte. Elle est obligée d’avaler tout son sperme pour ne pas étouffer. Enfin, nous relâchons notre étreinte et nous nous écroulons sur le lit.
C’est à ce moment que l’on sonne à la porte ; par l’espion, je vois que c’est Huguette : depuis le temps elle doit s’inquiéter… Je lui ouvre la porte et laisse entrer la femme de Guy.
Huguette entre. Tout en parlant, nous avons totalement oublié de nous rhabiller et c’est nus que nous l’accueillons. Elle sourit et nous dit :
Rapidement, elle se débarrasse de ses vêtements. Nous laissant admirer son corps très désirable pour sa cinquantaine. Elle est de la taille de Nat, des seins en forme de poire et un petit cul bien rebondi. À ses cheveux châtain sont mêlés de quelques fils d’argent.
Je lui offre un verre que nous dégustons ensemble. Je suis assis à côté d’elle et, très vite, ma main se pose sur sa cuisse sans qu’elle ne fasse un geste pour l’ôter. Mes doigts courent sur sa peau, remontant lentement vers son sexe.
Elle obéit et ouvre le compas de ses jambes, autorisant ainsi l’accès. C’est maintenant son mont de Vénus que je caresse, le massant lentement ; elle laisse échapper de légers soupirs. Nat – comme Guy – nous regarde en souriant ; leurs mains sont posées sur leur sexe, Guy présentant tout comme moi déjà une belle érection. Nat se lève alors et s’agenouille face à notre amie, le visage à quelques centimètres de sa fente.
Doucement, ma chérie approche sa bouche, et sa langue se pose sur le sexe de notre amie, lui tirant un gémissement. Huguette tourne la tête vers son mari, un sourire éclairant son visage, et lui lance un clin d’œil coquin. Il lui répond avec un sourire et regarde Nat qui s’applique à explorer son intimité dans les moindres recoins, allant même jusqu’à déposer de légers bisous sur son œillet. Guy, comme moi, regarde les deux femmes puis je lui demande :
Ça, pas besoin de le dire : il suffit de baisser les yeux vers son sexe en érection pour en être convaincu.
Comme Nat, je m’agenouille face à lui, je prends possession de son phallus et le branle légèrement ; il semble apprécier. Puis, la tête entre ses cuisses, je le prends entre mes lèvres. Tournant les yeux, il voit le regard de sa femme ; elle semble avoir entendu notre dialogue, nous regarde et, au moment où je l’avale, elle lui lance un nouveau clin d’œil.
Il baisse les yeux et regarde son membre aller et venir, pour la première fois, dans la bouche d’un homme. Il semble apprécier la pipe magistrale que je lui fais. Ma langue virevolte autour de sa hampe et mes mains, loin de rester inactives, lui flattent les bourses, s’aventurant même parfois plus bas pour qu’un doigt lui titille la rondelle, lui procurant des sensations aussi agréables qu’inédites. Ses yeux vont de moi à nos épouses et je remarque que Nat flatte maintenant la poitrine d’Huguette, pinçant légèrement les tétons et les étirant, encouragée par les gémissements de notre voisine.
Ils n’auraient sans doute pas cru, une heure plus tôt, que nous serions, Nat et moi, en train de les sucer, de plus par la personne du même sexe.
Guy me surprend en caressant mes cheveux. Relevant la tête, je lui dis:
Il se retrouve sur la moquette et je le reprends vite en bouche. Notre nouvelle position, tête-bêche, lui à côté de moi, lui fait comprendre ce que j’attends de lui. Il hésite un peu, n’ayant – à part le sien – jamais caressé un sexe masculin puis, timidement, il avance la main et ses doigts caressent mon phallus. Il s’enhardit et referme la main avant d’entamer de lents va-et-vient que j’apprécie ; je laisse même échapper quelques gémissements étouffés pour le lui faire comprendre. Il me masturbe longuement et, peu à peu, mon corps se rapproche du sien, et donc mon sexe de ses lèvres.
À nos côtés, Huguette est en train de jouir sous les coups de langue de Nat.
Et Nat de s’exclamer :
Guy aussi est proche de l’orgasme. Aux soubresauts de sa verge, je m’en rends compte et j’accélère mes mouvements de succion. Il me prévient qu’il va venir. Quelques coups de langue sur son gland le font jouir. Ses premiers jets s’écrasent au fond de ma gorge. Le sortant de ma bouche, je le branle pour qu’il continue à éjaculer sur son torse, le maculant de traînées blanchâtres. Les yeux fermés, il reste quelques instants le souffle court puis, tournant la tête, il se retrouve la bouche à quelques millimètres de ma queue bien raide. Sans plus réfléchir, ses lèvres s’ouvrent et il avale lentement mon gland, goûtant pour la première fois une queue. Un long soupir accueille son initiative et l’encourage. Il fait aller et venir mon membre dans sa bouche comme il aime qu’une femme le lui fasse, sans oublier de flatter mes bourses. Concentré sur sa fellation, j’entends comme dans un brouillard la voix d’Huguette :
– Vas-y, mon chéri ! Pompe-le bien… Fais-le jouir!
Il n’en revient pas ! Sa propre femme l’encourage à sucer la bite d’un homme ! Cette soirée semble avoir un effet des plus inattendus chez elle ! Toujours est-il qu’il s’applique à sucer du mieux qu’il peut cette verge au goût qu’il semble trouver très agréable.
Il sent bientôt que je parviens au stade de non-retour. Et comme moi tout à l’heure, après avoir avalé une première giclée de mon foutre, il sort mon sexe de sa bouche et le caresse. Je continue d’éjaculer et mon sperme arrose ma poitrine. Il ne cesse ses caresses que lorsque plus une goutte ne sort de mon sexe.
Nat – la seule à ne pas avoir encore pris son pied – s’approche alors de nous et s’exclame :
Sans autre forme de procès, elle prend le sexe de Guy entre ses lèvres et le suce avec délectation. Il ne lui faut guère de temps pour afficher à nouveau une érection digne de ce nom. Elle lâche son sexe maintenant tendu et, le maintenant à la verticale, le présente à l’entrée de son vagin. Elle descend lentement ; son long membre, moins épais que le mien, la pénètre tout au fond de sa grotte. Lorsque leurs deux ventres se touchent enfin, elle commence à monter et descendre sur lui, s’empalant chaque fois jusqu’à la garde en poussant de légers gémissements.
Lui, il tourne la tête et voit sa femme qui les regarde, souriante, la main négligemment posée sur sa fente. Je la regarde également à ce moment et, voyant qu’elle semble bien esseulée, m’approche d’elle. Presque naturellement, Huguette pose sa main sur ma verge et la caresse lentement, la faisant petit à petit se durcir davantage. J’entends Guy lui dire :
Il tourne à nouveau la tête et regarde mon sexe s’enfoncer dans la chatte de sa femme, qui l’accueille avec un long soupir de plaisir. Elle est tellement excitée que quelques minutes suffisent pour l’emmener au septième ciel.
Je ne me fais pas prier et la reprends, accroché à ses hanches.
Nat, elle, continue ses va-et-vient sur Guy ; ses gémissements s’amplifient au fil des minutes. Soudain, elle s’affale contre son torse, s’empare de sa bouche et, l’embrassant goulûment, jouit. Guy sent ses muscles se contracter sur sa verge et sa liqueur couler le long de sa hampe ; il la rejoint dans le plaisir et répand son jus dans son vagin.
Assez vite, elle se relève, le laissant quelque peu frustré, et s’allonge face à Huguette, tend sa chatte vers son visage. Après quelques secondes, la bouche de celle-ci se pose, d’abord timidement, sur la fente offerte puis les coups de langue se font plus francs et elle suce le sexe de Nat avec application, la faisant gémir. Elle y recueille le mélange de la cyprine de Nat mélangé au sperme de son mari.
Guy regarde le trio ainsi formé. S’approchant, il admire ma verge qui va-et-vient profondément dans le vagin de sa femme. Mes mains, fermement agrippées aux hanches, écartent les fesses, dévoilant son petit œillet sombre. Guy ne résiste pas au plaisir de le caresser, parvenant même à y enfoncer une phalange qu’il fait aller et venir, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Contre toute attente, Huguette non seulement gémit, mais l’incite à poursuivre la caresse :
Il lui masturbe le cul quelques minutes puis lui demande :
Il retire son doigt et empoigne lui-même ma verge. Il présente mon gland contre la rondelle et il pousse doucement. Il regarde le gland écarteler le muscle pour s’enfoncer dans l’étroit écrin. Il faut quelques secondes pour qu’enfin mes bourses butent contre son cul. Huguette, en nage, semble supporter cette délicate pénétration. Guy se penche vers elle et, lui caressant les seins, lui demande si elle ne souffre pas trop.
Je commence à aller et venir en elle plus franchement, m’enfonçant à fond entre ses fesses et, après quelque temps, je lui arrache des soupirs d’aise.
À côté de moi, Nat me regarde elle aussi sodomiser, maintenant vigoureusement, la femme de notre ami et lui propose de lui offrir le même traitement. Comment pourrait-il lui refuser cela ? Elle s’installe face à sa femme, le visage à quelques centimètres du sien et, se cambrant, me lance :
Effectivement, son sexe la pénètre sans aucun problème et il la pilonne avec ardeur sous mes yeux. Je ne peux, pendant que nous les sodomisons, m’empêcher de dire :
Notre séance dure de longues minutes. Pendant que nous les sodomisons, nos femmes s’embrassent, mélangeant leurs langues, les suçant comme de petits phallus. Guy, le premier, parvient à l’orgasme. Dans un râle, il se fiche au fond de Nat et se déverse en elle, le corps tendu. Son éjaculation provoque le plaisir de ma femme, qui crie à son tour et jouit bruyamment avant de s’affaler, presque inerte, sur le ventre, faisant sortir le sexe de son amant de son derrière.
Huguette, elle aussi, sent monter une vague de plaisir :
Sous l’effet de l’orgasme, son cul serre ma verge et déclenche mon éjaculation. Je me vide à longs jets dans ses entrailles, provoquant un second orgasme. Je fais encore quelques va-et-vient puis sors, admirant son anus d’où coulent des filets de sperme.
Une pause s’impose et Guy file chez eux, revenant bien vite avec une bouteille. Comme il a oublié de s’habiller, heureusement il n’a rencontré personne dans la volée d’escaliers qui sépare nos appartements.