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n° 15718Fiche technique12152 caractères12152
Temps de lecture estimé : 8 mn
27/07/13
Résumé:  Un couple amoureux et curieux se laisse entraîner dans les folies d'un club.
Critères:  fh 2couples couple inconnu boitenuit amour exhib fellation 69 préservati échange init -entrecoup -boitenuit
Auteur : Fonzie  (Couple épicurien)      Envoi mini-message
Première expérience en club

Ça y est, nous avons décidé de franchir le pas. Après en avoir parlé longuement, déjà comme d’un fantasme, puis en l’imaginant, nous avons décidé d’aller en club échangiste. Nous avons discuté de ce que nous voulions : principalement regarder d’autres couples, nous exhiber un peu et pourquoi pas échanger quelques caresses. Marion est assez tentée par des caresses féminines mais pas plus. Pas de rapport, digital ou oral avec une autre femme et pas de contact avec un autre homme. De mon côté, je suis attiré par l’exhib’ et le voyeurisme, pas par le contact.


Nous avons donc choisi un jour de semaine ; comme ça, il y aura moins de monde, en début d’après-midi. Ensuite, c’est le choix du club. Terrible, sans personne pour nous guider, c’est l’aventure. Nous avons donc arpenté les forums, lisant les avis puis nous nous sommes décidés pour un club du côté de la Bourse, réservé aux couples. Hors de question de rencontrer des hommes seuls !


Pour l’occasion, Marion s’est habillée sexy. Jupe en cuir, bottes, bas noir, bustier, sans aucun sous-vêtement. Bon, nous apprendrons plus tard que c’est une erreur de débutants. Les habitués s’habillent de façon classique et ne mettent des tenues sexy qu’à l’intérieur.


Nous arrivons donc devant le club et sonnons, un peu fébriles. Un judas s’ouvre, on nous observe. L’angoisse monte : et si on nous refusait l’entrée ? Notre attente ne dure que quelques secondes et là, un homme nous ouvre la porte et nous invite à entrer. L’intérieur est sombre, on n’y voit pas grand-chose. Il y a un grand bar et un rideau dans le fond, on ne voit rien d’autre. Le serveur nous invite à nous dévêtir et nous propose une boisson (offerte avec l’entrée). Je choisis non alcoolisé car je voudrais bien être le plus lucide possible. Marion, elle, choisit la voie inverse et demande une vodka ! Le serveur nous amène nos verres et nous propose de passer derrière le rideau.


Je passe le premier, soulève le rideau : là, stupeur, rien, personne, nous sommes les premiers ! Le club est composé en banquettes formant deux rangées. Il y a des sortes d’alcôves avec des ouvertures rondes sur certaines. On suppose que c’est pour les couples qui veulent communiquer et échanger et que les alcôves fermées doivent être pour les solitaires. Comme il y a le choix, nous décidons d’aller tout au fond du club, sur la dernière banquette. Je suis un peu déçu mais presque rassuré que nous soyons seuls. Je me dis que ce sera l’occasion de faire l’amour, « presque » en public et que, à cette heure et ce jour de la semaine, il est peut-être courant qu’il n’y ait personnes.


Au bout d’un moment, je me décide donc à m’occuper de Marion, je lui enlève son haut et lui fais écarter les jambes afin de pouvoir la caresser. C’est excitant de la voir, dans un lieu presque public, ainsi exhibée. Elle n’a aucune retenue et je constate que la situation l’excite. Je me mets à ses genoux et entreprends de lui faire un cunnilingus, qu’elle aime tant.


L’excitation gagne Marion et elle commence à gémir, et comme son sexe s’ouvre, j’en profite pour y insérer les doigts comme elle aime, à savoir deux doigts de chaque mains de chaque côté de son sexe, afin de l’ouvrir bien. Puis je me recentre sur une main et insère deux, trois, puis quatre doigts. Je sais qu’elle aime. Elle semble très excitée car son sexe s’ouvre et je suis près de rentrer le poing entier (ce que je n’ai jamais fait, même si on a souvent failli).


Pendant ce temps, je continue de lui lécher le clitoris. Marion gémit de plus en plus, elle crie même mais malgré tout j’ai entendu la sonnette de la porte retentir et un couple rentrer. Je pense que Marion va se retenir mais il n’en est rien, elle m’encourage par ses cris à continuer et elle a un énorme orgasme alors que j’entends le couple dans l’allée.


La situation est alors cocasse : je suis partagé par l’excitation d’avoir eu ce rapport devant ce couple et presque gêné. Le couple à entre 35 et 40 ans, lui grand, baraqué, cheveux rasés, elle brune, très grande, avec un corps ferme. Pas du tout fine mais pas grosse non plus. Ce doit être des habitués car ils ne nous ont même pas jeté un regard.


Alors que nous redescendons de notre excitation, nous les voyons se déshabiller de façon très collégiale, rangeant leurs affaires. Monsieur est nu, dans l’alcôve juste à côté de la nôtre mais la femme garde ses sous- vêtements : un beau bustier noir à dentelles et un string très joli. Sans aucune préparation, elle se met à quatre pattes et monsieur la prend en levrette !


C’est très troublant mais pas forcément excitant car cela fait mécanique. La scène dure un bon quart d’heure, monsieur est très endurant et habitué à ce genre de prestation, a priori. Madame s’est à moitié glissée dans l’ouverture entre nos alcôves et elle a donc le haut de son corps sur notre banquette. Cependant, elle ne nous adresse pas un seul regard. Marion regarde de temps en temps et j’entreprends donc de recommencer à la caresser. Elle se met alors en 69 et je glisse deux doigts dans son sexe. Puis je me relève et la prends en levrette.


Bizarrement, je suis très excité par la situation mais j’arrive à peine à tenir mon érection. J’arrête donc la levrette au bout de quelques minutes et allonge Marion sur la banquette tandis que je reprends un cunnilingus. Marion est allongée à un bon mètre du couple mais il n’y a aucune tentative de rapprochement. J’aime bien ça en fait, faire l’amour à côté d’un couple qui fait de même, sans contact. J’aurais juste aimé quelques échanges de regards mais il n’y en a pas ! Le couple continue sa levrette avec une mécanique de hardeurs pro ! Je m’allonge à la place que tenait Marion et l’invite à venir s’asseoir sur ma bouche. Je sais qu’elle adore ça.

Ce n’était pas voulu mais cette position fait que nous sommes plus près du couple. Marion ondule donc son corps au-dessus de ma bouche et elle commence à mouiller fortement à nouveau.


J’entends la femme du couple crier, lui par contre, semble impassible, pas un son ne parvient jusqu’à moi. Dans ma position, j’en profite pour caresser les seins de Marion et tout à coup, sans que je ne me sois aperçu de rien, je sens une main près de la mienne, une main qui parcourt le corps de Marion, de façon assez gauche. Je regarde, c’est une main de femme. Je pense à Marion, me demande si elle s’est rendu compte et me dis que dans l’affirmative, elle doit aimer cette réalisation de fantasme dont elle m’a tant parlé : se faire caresser de façon « chaste » par une femme.


Petit à petit, les mains prennent de l’assurance. Je les vois maintenant clairement serrer les seins de Marion. Marion, elle, a ses mains le long du corps. La main de la femme descend sur le ventre de ma femme et arrive vers ma bouche. J’embrasse alors ses doigts et guide légèrement sa main avec une des miennes vers le mont de Vénus de Marion. Elle reste au-dessus, effleurant le clitoris sans le caresser franchement.


Marion bouge, se lève, et descend sa bouche vers mon sexe. Je ne suis pas dans une forme terrible et j’ai un peu honte d’être si peu vigoureux, surtout à côté de cet étalon. Marion entame une fellation qui me redonne du cœur à l’ouvrage et là, à ma stupéfaction, je vois le visage de la femme s’approcher. S’ensuit une sorte de ballet des plus jolis, son visage s’approche de celui de Marion, leurs lèvres s’effleurent, tout ça contre mon sexe. Au bout d’un moment, je ne sais plus quelle bouche me caresse. Puis je vois le sourire de Marion alors que je sens une bouche sur mon sexe. Cette inconnue est en train de me faire une fellation !


Je ne sais combien de temps cela dure mais au bout d’un moment mes mains commencent à caresser les seins puis le corps de la femme. C’est bizarre car elle a gardé ses sous-vêtements. Dans l’intervalle, je n’ai pas vu ce que Marion faisait. Je vois juste un sexe d’homme, à quelques centimètres à côté de moi. Je n’ai jamais vu de sexe d’homme d’aussi près, à part le mien ! Il bande comme un fou, on dirait un hardeur ! Et là, à ma stupéfaction, je vois Marion se pencher vers lui. Je n’arrive pas à voir si elle le suce ou pas mais en tout cas, elle s’est penchée vers lui. De mon côté, je commence à caresser ma femme qui est maintenant à quatre pattes, j’arrive vers son sexe et je sens qu’il y a déjà une main : celle de la femme. Je me dis que Marion qui ne voulait que des caresses s’est bien laissé aller.


Mais je ne suis pas au bout de mes surprises. Lorsque je la pénètre avec mon doigt, j’en sens déjà un dedans. C’est très troublant car mon doigt caresse celui de la femme, à l’intérieur du sexe de Marion. Sa technique est particulière. Son doigt est recroquevillé comme une pince mais Marion semble apprécier. J’entends l’homme gémir. Je ne le vois pas mais j’imagine que Marion a englouti son sexe dans sa bouche !


J’invite donc la femme à se coucher devant moi et me glisse vers son sexe avec ma bouche (toujours pas assez de vigueur pour la pénétrer et pas forcément l’envie). J’entame donc un cunnilingus, la pénétrant aussi de deux, trois, voire quatre doigts. Elle se laisse aller et me guide même, écartant son string quand il la gêne (mais sans l’enlever) ou m’encourageant par des « oui » évocateurs. Son plaisir grimpe et j’en profite pour regarder à côté : l’homme est allongé, et Marion l’enfourche ! Mon premier réflexe est la crainte et je regarde attentivement pour voir si l’homme a bien un préservatif. Je ne sais pas comment ça s’est fait (tout à l’heure il n’en avait pas) mais il en a mis un. Son sexe est énorme et il donne de grands coups de reins que Marion semble apprécier, elle gémit puis crie.


Son visage se tourne vers moi et sourit ! Je continue alors à m’occuper de madame. Au bout d’un moment, l’orgasme arrive, son sexe se contracte autour des quatre doigts qui sont alors en elle. Elle a beaucoup mouillé, presque éjaculé je trouve. Elle me regarde, retrouve ses esprits petit à petit et me glisse un merci, gentil et… inattendu !


Ce qui est étrange, c’est que pendant ce temps, Marion n’a pas fini. Elle est maintenant accroupie sur l’homme et s’agite en poussant d’énormes cris. L’homme, lui, gémit tout en lui donnant des coups de boutoir ! La scène dure quelques minutes (vraiment une sacrée endurance, monsieur) et je l’entends se crisper dans ce qui doit être un orgasme. Marion hurle et se crispe aussi. Je pense qu’elle vient aussi.


Elle se lève, vient vers moi, m’embrasse sur la bouche et me prend la main. Sans un regard pour le couple, nous prenons nos habits et entamons la recherche d’une éventuelle douche. Les banquettes se sont remplies : une avec deux couples âgés et une autre, en retrait, avec un couple seul qui fait l’amour. Nous trouvons la douche et la prenons ensemble. On se regarde et partons dans un fou rire délirant ! Nous n’échangeons pas un mot mais c’est un moment d’échange fort. Nous ressortons habillés et croisons le couple qui s’est aussi rhabillé. C’est là que je me rends compte que la femme a une tenue des plus classiques, avec un pantalon au-dessus de ses bas et un petit pull. Il passe près de nous sans un regard. C’est très troublant. À part ce merci, il n’y a pas eu un seul mot entre nous. Nous ne savons rien d’eux, ni leur âge, ni même leur prénom.


Nous réglons au bar et quittons les lieux. Le retour à la lumière est brutal mais nous rentrons chez nous, pour pouvoir parler entre nous de ce moment intense.