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n° 15733Fiche technique10264 caractères10264
Temps de lecture estimé : 7 mn
10/08/13
Résumé:  Un ciné, le DVD était de trop.
Critères:  fh cinéma massage intermast
Auteur : E-perdu  (Amateur voulant mettre sur le papier ses expériences)      
Rendez-vous au Cinéma

Nous avions décidé d’aller au cinéma, c’était l’automne, nous étions habillés simplement, jean, petit blouson. Le film était un film du dimanche soir, comédie française avec un humoriste connu et une jeune actrice en devenir. Nous bavardions pendant les publicités, progressivement nos épaules s’étaient jointes, juste pour mieux écouter ce que disait l’autre, juste pour sentir la présence de l’autre dans la pénombre, c’était agréable.


Une dizaine de minutes après le début de la séance, je sentis que ma main était délicatement transportée jusqu’à sa cuisse. Je n’osai pas la regarder, laissai ma main posée, sentant la souplesse de sa peau à travers le tissu. Le film permettait d’entrapercevoir la plastique de la jeune actrice et, c’est vrai, je n’étais pas insensible ; mon esprit commençait à vagabonder. Ma main aussi. Plutôt que de rester plaquée, je décidai de la faire plus légère, de n’avoir qu’un ou deux doigts en contact sur son jean, lentement je commençais par des petits cercles, dans un sens puis dans l’autre, attentif à une réaction. Aucune négative, je poursuivis donc, toujours en fixant l’écran mais sans pouvoir exactement situer l’action de ce film. Mes doigts décidèrent d’aller explorer un peu plus près de son genou, toujours avec de légères pressions, des lignes préférées commençaient à se former, de la naissance du genou jusqu’à la moitié de sa cuisse. Je sentis que ces douces caresses n’étaient pas désagréables.


Pour plus de confort je posai ma paume sur le haut de sa cuisse, si bien que le bout de mes doigts se retrouva à mi-cuisses, à l’intérieur, au niveau, je l’espérai, d’une zone plus sensible. Je recommençai un massage doux et léger, de petits cercles. Quelques contractions me donnèrent raison sur la sensibilité de cette zone. J’essayai de suivre la couture de ce jean, vers le genou, puis en sens inverse, alternativement. Le film passait très rapidement. L’ensemble de mes doigts un par un participait à ces mouvements, mon petit doigt, lui, pouvant s’aventurer au plus proche d’une couture stratégique. Je souhaitai garder une frontière de quelques millimètres tout de même, mais les mouvements de son bassin (ou bien était-elle mal assise ?) avaient failli le provoquer plus rapidement. Était-ce la présence de spectateur ou bien simplement l’envie de rester sur un désir suspendu ? J’avais le sentiment que la pression sur nos épaules avait augmenté, je sentais sa chaleur à travers ma chemise. Fin du film : nous nous regardons l’œil malicieux, sans échanger sur le film ni sur autre chose.


Sur le parking, nous allions nous dire un au revoir, j’étais sur un petit nuage de ce voyage sur la cuisse de ma camarade. Elle se colla à moi et m’embrassa. Un « smack », je posai mes mains sur ses hanches, pour la rapprocher de moi. Je sentais sa poitrine sur mon torse, je l’embrassai de nouveau. Mon sexe était réceptif à cet échange, elle ne pouvait pas ne pas le savoir. Rapidement elle me proposa de venir chez elle. Je ne me souviens plus exactement du motif. J’acceptai. Nous prîmes nos voitures respectives. Ma crainte était de la perdre dans la circulation.


Chez elle, elle avait organisé son séjour pour permettre de laisser une chambre pour sa petite fille. Son lit était en mezzanine, en dessous une télé, en face de celle-ci un canapé. Nous nous mîmes à l’aise. Elle me proposa à boire et de voir un autre film sur un DVD pour continuer cette soirée ciné. Aucune idée du film, je ne sais plus si nous avons vu la fin de la musique du générique de début.


Côte à côte, dans ce canapé, le DVD commença, il n’y avait plus un millimètre entre elle et moi, ma main reprit le chemin de sa cuisse, mais là, restant sur le succès du « smack » du parking, mes doigts n’étaient plus les seuls à parcourir son corps, ma langue elle aussi chercha un endroit accueillant à explorer. Nous nous embrassions, nos lèvres s’unirent, nos langues se mêlèrent. Mes mains pouvaient librement caresser ses hanches, ses cuisses. Elle aussi se promena sur mon torse. Le DVD n’avait plus d’importance. Elle était sur moi, mes mains sur ces fesses, je caressai, je comprimai ce jean comme si je voulais qu’il disparaisse.


Ma langue elle aussi cherchait de nouveaux terrains à conquérir, je cherchai dans son cou ces zones douces et sensibles, et m’orientai vers le lobe de son oreille. Je cherchais le maximum de contact avec elle. Ma cuisse trouva son entrejambe, je sentais sa chaleur traverser le tissu. J’avais passé mes mains sous son top à la recherche de peau à la place de coton. J’exerçai une pression dans son dos pour ressentir sa poitrine sur mon torse, douce chaleur encore une fois. Nous nous frottions l’un à l’autre, ses tétons devenaient sensibles. Nous retournions puiser de l’énergie entre nos langues. Je fis une tentative pour glisser mes mains sous son pantalon, peut-être pour lui montrer qu’il valait mieux ouvrir quelques boutons, ce qui fut fait par mes soins. Un mouvement de bassin me fit comprendre qu’elle en avait envie tout autant que moi. Je pus avoir accès au contact direct de ses fesses car sur le parcours de mes doigts je ne découvris aucun rempart sur la douce peau de ses fesses. Elles étaient rondes, fermes, juste ce qu’il faut. J’en profitai pour baisser un petit peu cet obstacle, sa peau était à l’air libre.


Elle aussi cherchait à vérifier ce qu’elle avait pu ressentir par nos contacts tactiles, elle me caressa les cuisses, trouva rapidement coincé, mon sexe, bandé, déjà perlant de désir. Elle me massa à travers mon jean, prit sa forme, sa longueur. Je l’en remerciai par un baiser et la libération de sa poitrine de son soutien-gorge devenu inutile. Une de mes mains quitta ses fesses, toujours glissée dans sa culotte (la main bien sûr), elle fit le tour de sa hanche, tout doucement, trouva une peau aussi douce que ses lobes. Elle frémit dès lors que je fus à quelques centimètres de son sexe, je pouvais sentir sa chaleur, son odeur, ou bien sa réaction était due au léger pincement de mes dents sur un de ses tétons.


Une ondulation de sa part et mes doigts trouvèrent un petit duvet. Je décidai de sortir cette main pour caresser à travers le petit bout de tissu qui restait, cette moiteur qui le traversait. Dès que ma paume fut à quelques millimètres, elle plaqua son sexe d’un rapide mouvement, elle coulait, sa culotte était humectée de sa cyprine naissante. Je massai avec ma paume, essayant d’avoir le plus de contact avec ses chairs à travers ce dernier rempart. Je décidai de remplacer ce dernier par ma cuisse pour que mes mains puissent prendre largement ses seins qui étaient devant moi.


Elle semblait apprécier avoir ma cuisse entre ses jambes qui par petites contractions, montrait mon désir. J’avais une main sur chacun de ses seins, ma langue venait les embrasser un par un ; ma langue se faisait plus large sur ces lobes, plus petite lorsque j’agaçai ses tétons. Je les tétai un par un avec application. Ses cuisses se serrèrent sur la mienne. Je retournai à ce puits d’émotion, comme pour recharger ma langue avant d’aller parcourir avec elle son corps tout entier. Cela ne lui suffisait pas, moi non plus. Elle prit l’initiative de retirer mon jean. Nous étions nus. À quatre pattes à côté d’elle, j’allai à sa découverte. Je commençai par ses lèvres, par un baiser tout doux. Son menton, ma langue dardée glissa sur son épaule, une main faisait le tour d’un de ses seins, j’essayai d’être le plus léger possible, de lui donner l’impression qu’elle n’était touchée que par des petites pointes chaudes et humides ou bien douces. Ma langue retrouva un de ses tétons alors que ma main était déjà dans le creux de sa hanche. Un petit tour de mes doigts, un frémissement, une chair de poule.


Sa main à elle cherchait mon sexe, elle m’enserra de sa main, et provoqua quelques pressions comme pour me tester. Avec son pouce, elle étala ce que mon excitation avait fait apparaître au bout de mon méat. Ma bouche était sur son ventre, ma main sur l’intérieur de sa cuisse. Ma langue retrouva le petit creux de hanche, le dessus de mon pouce, tout en caressant ses cuisses, trouva son sexe, elle coulait. Ma langue glissa lentement sur son mont de Vénus, trouva un peu plus bas quelques poils, y déposa un baiser. Là, je pus voir mon doigt à la lisière de son sexe, il cherchait par quelques petits mouvements à trouver la pulpe de celui-ci. Maintenant, elle me branlait sans mal, lubrifié que j’étais par mes sécrétions.


Dommage que nous ne nous connaissions que depuis peu, ma bouche s’arrêta au-dessus de son clitoris à quelques centimètres de mon doigt qui allait de haut en bas sur ses petites lèvres. Désœuvrée, ma langue repartit à l’assaut de ses seins tandis que j’avais progressé dans son sexe, aucune résistance, c’était onctueux, chaud, tropical. Je sentis son corps se raidir lorsque simultanément j’aspirai son téton et je vis entrer « l’entièreté » de mon doigt dans son vagin. Elle plaqua ma tête contre son sein et son bassin se souleva comme si la pénétration n’était pas suffisante. Elle avait pris dans sa paume mes testicules, doucement elle me massait. Mon doigt trempé alla chercher son clitoris. Doucement je le sortis et l’étirait sur tout sa longueur entre ses petites lèvres, par petites pressions ; progressivement j’essayai de trouver l’endroit où sa respiration était plus haletante. Afin de confirmer ma trouvaille, ma langue alla trouver sa collègue, je fus accueilli par une pelle magnifique. Mon doigt la branlait lentement, je décollai de temps en temps pour créer un petit manque pour y revenir immédiatement. Je bandais, elle le sentait. Mon doigt de nouveau se ficha dans son sexe. Elle leva légèrement la tête, me sourit et dit :