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n° 15745Fiche technique24791 caractères24791
Temps de lecture estimé : 15 mn
17/08/13
Résumé:  Envoûtement...
Critères:  f fh ff ffh couplus fellation 69 pénétratio fsodo échange confession fantastiqu -amiamour -couple+f
Auteur : MariaBlack  (Maria, black, 23 ans, 1,70 m pour 51 kilos)
Mes meilleurs amis

Bonjour,


Je m’appelle Maria, je vais vous révéler une histoire qui s’est produite il y a un an avec ma meilleure amie.


Tout d’abord je me présente, je suis black, 23 ans, 1,70 m pour 51 kilos. J’ai de magnifiques seins ronds très fermes ainsi que des fesses « à tomber par terre » comme disent mes amants. Malheureusement je ne suis pas très heureuse en amour, je rencontre rarement des garçons qui me plaisent et ça ne dure jamais très longtemps. Comme je suis la seule célibataire de notre groupe d’amis, à chaque soirée on me charrie sur quand je rencontrerai le grand amour.


En fait, je pense que la plupart de mes amies sont jalouses et craignent pour leur couple. Certaines évitent même de m’inviter pour éviter que les regards de leurs copains ne se baladent sur mon corps en passant par mes jambes dénudées (j’adore les mini jupes et les talons hauts), mes petites fesses, et ma poitrine que mes décolletés très amples laissent voir en grande partie.


Cela dit, elles n’ont pas tort pour leurs copains, qui me regardent souvent avec beaucoup d’insistance. Parfois, lors de nos soirées, pour me venger d’elles, je m’habille de façon très sexy avec des robes courtes à dos nu. Il y en a une que j’adore particulièrement. Elle est noire et me dénude le dos presque jusqu’aux reins. Pour ne pas casser l’effet, je ne porte pas de soutien-gorge avec cette robe. Et là c’est garanti, tous leurs mecs passent la soirée à me déshabiller du regard.


Enfin, tous sauf Marc, un beau brun ténébreux de 26 ans. Environ 1,80 m, musclé, drôle, des yeux bleus, bref, tout à fait mon genre. Lui me regarde peu ou alors je ne l’ai jamais surpris. En fait, selon moi, son seul défaut c’est d’être le mec de Camille depuis cinq ans.


Camille, c’est ma meilleure amie. Elle a 25 ans, elle est un peu plus petite que moi, 1,63 m pour 47 kilos. Elle est vraiment très belle. Elle a des seins superbes qui n’ont pas besoin d’un décolleté pour être mis en valeur. Elle a une cambrure d’enfer et de longs cheveux bruns qui lui tombent presque aux fesses. Ils forment un très beau couple, un peu bcbg selon moi mais je leur souhaite que du bonheur.


De toutes mes amies, Camille est la seule qui ne me juge pas et qui m’accepte telle que je suis. Elle connaît tout de moi, mes rencontres foireuses sur internet ou en boîte, comment elles se sont passées et comment mes histoires finissent. À chaque fois que je commence à m’attacher, je me fais lourder sans crier gare.


La seule chose que je lui cache, c’est à quel point j’en pince pour son mec. Lors des soirées c’est pour lui que je ne mets pas de soutien-gorge et que je me penche en avant vers lui. C’est à lui que je fais du pied « sans faire exprès ». Ça ne le met même pas mal à l’aise et Camille ne se rend compte de rien.


Le lendemain d’une soirée, je suis allée boire un verre chez elle, elle était triste et m’a avoué que tout n’était pas rose entre eux. En fait ils ont des désirs très différents. Lui aimerait lui faire l’amour trois fois par jour tandis qu’elle n’a qu’une petite libido et ne lui accorde qu’un à deux câlins par semaine. Je me suis dit que ça doit vraiment être dur pour lui ! Être avec une aussi belle femme et en profiter aussi peu, c’est un peu comme si un boulimique au régime vivait dans une pâtisserie.


C’est là que j’ai compris. Il est très amoureux d’elle et se force à ne pas regarder ailleurs, car sinon avec si peu de sexe, il finirait par aller voir ailleurs. Ce soir-là, une fois chez moi, je me suis caressée longuement en m’imaginant dans la peau de Camille à faire l’amour au beau Marc, à profiter de tout ce désir qu’il devait taire, le prendre au plus profond de moi, le lécher… Mmmmmmmmm, j’en avais tellement envie !


Le lendemain, j’étais invitée à manger chez mon grand-père. Beaucoup moins glamour n’est-ce pas ? Il avait perdu ma grand-mère plusieurs années plus tôt et déraillait complètement avec son Alzheimer. Il disait que ma grand-mère avait été une sorcière dotée de pouvoirs surnaturels. Il était complètement disjoncté cette fois-là. Mais en partant, il m’a donné un livre qu’il disait avoir appartenu à ma grand-mère. Je partis en le prenant sous le bras, en étant triste de le voir dans un état pareil. Il me disait que moi aussi j’étais une sorcière et que je n’avais qu’à lire ce livre pour m’en persuader.


Une fois chez moi, j’ouvris le livre dont le nom était évocateur : « Charmes et sortilèges ». Je commençais à le feuilleter, il contenait des tonnes de recettes de potions d’amour avec des annotations manuscrites du type « amour d’un soir », « amour éternel »…


Je n’y croyais pas vraiment mais après tout, d’après les recettes ce n’était pas à moi de le boire, alors je me préparai une petite fiole d’amour d’un soir et je sortis en boîte. Je partis seule vers le Pim’s, habillée avec ma petite robe blanche, des talons hauts, une perle autour du cou et en boucles d’oreilles, les yeux maquillés juste comme il faut. J’étais prête à relever le défi, trouver un mec maqué, lui faire boire la potion et voir l’effet produit.


Jérôme était le stéréotype du voileux, blond aux yeux bleus, musclé, frimeur dont tous les mecs sont jaloux. Si seulement ils savaient comme moi que ces mecs sont de sales cons qui ne pensent qu’à eux. J’étais sortie avec lui quelques mois plus tôt, ça avait duré deux mois, jusqu’à ce que je découvre qu’il était déjà fiancé. Sur le coup j’étais partie sans rien faire, pour ne pas casser son couple. C’était un véritable salop… mais un bon amant ! Notre histoire s’était terminée deux mois avant cette soirée et son mariage était prévu pour dans deux semaines. Ce soir-là, il était là avec ses amis et sa future femme. Je le choisis donc pour tester mon élixir et le faire souffrir autant qu’il m’avait fait du mal. Au pire ça permettrait à sa femme de voir quel genre de mec il était et lui éviter de faire une grosse connerie, non ?


J’allai vers lui avec deux verres à la main, une Smirnoff ice pour moi et une vodka pure avec un peu d’élixir pour lui. Prétextant que je le connaissais via le yacht-club, je m’installai à sa table, face à lui, et lui offris le verre. Il était très embarrassé mais il se dit que pour que sa femme ne se doute de rien, il devait jouer le jeu. Je réussis donc à m’asseoir face à lui pour être la première personne qu’il vît après avoir bu dans le verre. Il plaisanta sur un faux souvenir commun qu’on aurait dû avoir puis il attrapa le verre et le but d’un trait. En posant son verre, ses yeux se posèrent sur les miens. Il était tétanisé ! Il commença à me mater très ostensiblement et à me draguer ouvertement. Sa copine ne manqua pas de le lui faire remarquer. Ça fonctionnait !


Au début de leur dispute, je décidai donc de m’éclipser en allant aux toilettes. En revenant, il était seul. Son ex-femme était partie avec ses amis. Pourtant il arborait toujours son sourire en me voyant, et il me demanda si je ne voulais pas qu’on aille prendre un dernier verre chez moi… Ce que j’acceptai très volontiers. En passant la porte de mon appartement, il m’arracha littéralement la petite robe blanche et commença à me faire l’amour de façon endiablée. Il commença par un très long et fortement jouissif cunnilingus qui se transforma rapidement en un 69 de fou. Il s’efforçait de lécher ma petite chatte et mon clito pendant que je parcourais son phallus très dur avec ma langue, puis que j’aspirais ses couilles avant de reprendre profondément sa bite dans ma gorge.


C’était la première fois que je faisais une gorge profonde à un mec. Il a adoré ! Aussitôt après il enfonça son index dans mon anus puis son majeur histoire de le dilater progressivement. Il savait que j’appréciais la sodomie. N’y tenant plus je lui ai crié :



Il me retourna et me prit violemment en levrette. Mes fesses tapaient contre ses hanches à un rythme soutenu, je jouissais encore et encore en un orgasme qui ne semblait pas vouloir s’arrêter. Je dus lui demander une pause pour attraper un petit tube de lubrifiant que je lui tendis en lui disant :



Il saisit le pot, enduisit son dard et me pénétra. Putain, c’était trop bon ! J’étais en train de baiser avec un super amant, je me vengeais en lui brisant son couple et je jouissais en continu. Il ne tarda pas à venir jouir dans ma bouche après m’avoir pilonné l’anus. Il ne m’avait jamais fait ça mais comme le goût ne me dérangeait pas, je décidai de l’avaler. Aussitôt il se retira, en disant :



J’ai éclaté de rire.



Il se rhabilla rapidement et partit précipitamment. Mon grand-père avait donc raison, ma grand-mère était une sorcière et maintenant j’avais son livre de sortilèges. Je décidai de le lire avec plus d’attention. C’est là que je me suis rendu compte d’une note manuscrite sur la potion, « Pour annuler brutalement le charme, la femme devra avaler la semence ». Tout était vrai !


Après avoir feuilleté les diverses potions faites pour déclencher l’amour, l’attirance ou simplement attirer l’attention, je suis tombée sur une recette indiquant « Possession », avec en lettres manuscrites de ma grand-mère, « dangereux, ne pas utiliser, provoque une forte nymphomanie ». Cette recette indiquait qu’elle permettait l’échange de corps. La méthode indiquée pour annuler le charme était la même que précédemment. Je me mis en tête d’aider ma meilleure amie à sauver son couple grâce à cette potion.


Une semaine plus tard, Camille vint chez moi, plus triste que jamais, Marc devait nous rejoindre plus tard dans la soirée. Je lui ai alors raconté mes histoires, que bien sûr elle refusa de croire. J’avais préparé la fameuse potion et je comptais procéder comme indiqué : « Partagez la potion en deux parts égales, les deux personnes voulant se posséder doivent s’embrasser, l’une deviendra l’autre et l’autre deviendra l’une ». Lui faire boire la potion ne fut pas difficile, elle était là pour prendre un verre. Il ne me restait plus qu’à l’embrasser, me taper son mec, le rendre heureux et sauver leur couple.



Elle fondit en larmes et me prit dans ses bras. Je reculai alors un peu ma tête. Elle pleurait, doucement je m’approchai de sa tête et l’embrassai sur la bouche. Elle me repoussa immédiatement.



Elle ne put terminer sa phrase, elle était toujours dans ses vêtements mais ce n’était pas son corps, c’était le mien. Je me regardai dans le miroir, j’étais dans son corps et dans mes vêtements, ses seins, enfin les miens maintenant, débordaient largement du décolleté, je n’étais pas à l’aise avec un soutien-gorge trop petit.



Elle resta médusée.



On alla dans ma chambre pour se changer, elle se déshabilla sans me regarder. Elle était de dos et je voyais mon petit cul. Pour la première fois de ma vie je pouvais le regarder librement, c’est vrai qu’il était pas mal, je me mis à sourire. Elle se retourna, intégralement nue, en me demandant où était ma robe, je la lui tendis. En l’attrapant je la vis regarder mes seins, puis parcourir mon (son) corps.



On s’embrassa à nouveau, on se caressa longuement les seins, les fesses… Mes mains glissèrent vers son (mon) pubis. J’en connaissais bien le goût mais je n’avais jamais pu le regarder comme ça. Camille s’allongea et je commençai à la lécher. Très vite je me tournai pour qu’elle puisse me rendre la pareille. C’était trop bon, on commençait vraiment à prendre un plaisir non dissimulé quand tout à coup quelqu’un frappa à la porte.



C’était Marc, il était arrivé. On se rhabilla rapidement et on lui ouvrit la porte.



Il était super bien habillé avec son costard et une chemise sans cravate légèrement ouverte. Une petite barbe de trois jours pour lui faire un côté sale-gosse. Il s’approcha de moi et m’embrassa langoureusement. Je faillis le repousser en oublient mon rôle. Camille s’approcha et lui fit la bise en me jetant un regard noir. Elle était dégoûtée mais elle ne pouvait rien faire.



En cuisine on s’isola avec Camille, et on essaya alors d’organiser la soirée.



Elle me regarda, troublée, je l’embrassai en la caressant.



On passa une bonne soirée, en réussissant à faire illusion auprès de Marc, même si Camille dérapait de temps en temps. La potion entraînait en effet une très forte envie de sexe, ce qui fut donc notre principal sujet de conversation. Camille parlait de mes histoires en donnant une foule de détails à Marc. J’étais en train de passer pour une vraie salope. Marc était très avenant, malgré l’alcool et les quatre mains plus ou moins baladeuses qui traînaient, il ne trahit pas son manque de sexe, mais il profitait de moi comme jamais je ne l’avais vu faire en soirée avec Camille. Ces histoires le mettaient en forme, je sentais bien que son caleçon avait une énorme bosse… que je caressais parfois.


Quand elle en eut assez vu, Camille nous indiqua qu’elle était fatiguée et qu’on pouvait profiter de la chambre d’amis. C’était une belle pièce avec une armoire couverte de miroirs, j’aimais y venir avec mes amants pour en profiter. Une lampe living colors permettait d’avoir une lumière rouge et très faible, on se voyait à peine en ombre chinoises.



Je souris puis le déshabillai avant de prendre son pénis dans ma main. Il était énorme, long et dur. Je commençai à le sucer comme jamais je ne m’étais déchaînée sur une bite. Il gémissait, il adorait.



Je m’allongeai sur lui pour entamer un 69. Je n’en revenais pas, il était super doué, il me caressait les fesses et ses doigts s’approchèrent de mon anus. J’eus un moment de doute. J’aime le sexe anal, mais Camille ? Il sentit mon trouble et me dit :



Il me léchait très bien et ses doigts me caressaient la rondelle, j’adorais, je gémissais de plus en plus fort. Je jouis en un râle très fort. Je tournai la tête et c’est là que je vis Camille. Elle était là dans le passage de la porte, on la distinguait à peine mais je savais que Marc l’avait vue.



Je me relevai et m’assis sur lui en enfonçant son phallus dans ma chatte trempée. Camille s’approcha et l’embrassa à pleine bouche. Je ne savais pas quoi dire ! Elle s’assit sur lui pour qu’il lui fasse un cunni et m’embrassa.



On continua de se caresser. Marc me baisait dans le corps de Camille et lui léchait la chatte dans mon corps. C’était dingue. Je jouis une nouvelle fois.



Marc n’en revenait pas mais il ne dit pas non ! Camille s’allongea sur lui, dos à lui jambes écartées, Marc attrapait ses (mes) seins à pleines mains et la baisait vraiment fort, j’entamai alors un cunni qui provoqua un orgasme incroyable à Camille. Elle peinait à reprendre son souffle tellement l’orgasme avait été violent.



Elle se tourna et baisa avec Marc en le regardant dans les yeux, il profita de mon corps, j’adorais le regarder ainsi. Je me disais que ce genre de soirée devrait forcément se reproduire à l’avenir. Je mis du lubrifiant sur l’anus de mon amie, donc le mien, et lui introduisit un doigt. Elle s’arrêta et me regarda, interloquée.



Je retirai le pénis de sa chatte, lui posai un préservatif et l’introduisit… pour son plus grand plaisir. Elle ne tarda pas à jouir encore plus fort que précédemment, puis explosa de rire.



La salope ! Elle me demandait de me faire enculer par l’énorme bite de son mec dans son corps avec un anus qui n’avait jamais été pénétré. Ça allait faire mal… mais bon. On prit notre temps pour me dilater progressivement l’anus avec un petit gode que Camille partit me chercher… Sur mes indications. Marc était très attentif et très surpris de mon savoir-faire, mais il n’a pas posé de question.


Il mit un nouveau préservatif et entra lentement dans mon anus, on dut remettre plusieurs fois du lubrifiant mais au final ce n’était pas trop douloureux. Le plaisir était intense avec son petit cul. Bien plus que dans son sexe. En fait sans le savoir, elle était faite pour prendre plus de plaisir en sodomie que dans le sexe. C’est pour ça qu’elle n’avait pas une grosse libido, elle connaissait mal son corps !


Camille s’installa devant moi pour que je lui fasse un cunni, ce que j’acceptai volontiers. Marc en profitait pour mater Camille en me prenant en levrette dans l’anus. Progressivement, il accéléra les coups de boutoirs et je jouis comme une vraie salope, je lui criais :



Les gémissements de Marc étaient de plus en plus forts, il allait bientôt jouir, je me retournai, lui enlevai son préservatif et le suçai pour le faire jouir dans ma bouche.


Camille vint me rejoindre. Marc était aux anges, il était sucé par deux femmes qu’il venait d’enculer l’une après l’autre. Il ne tarda pas à jouir dans ma bouche, je gardai tout en bouche sans avaler et j’embrassai Camille. On partagea le sperme de Marc et on l’avala toutes les deux. Marc releva la tête après son orgasme :



On éclata de rire, Camille et moi avions enfin retrouvé nos corps. Transis de plaisir, on s’endormit chacune à côté de Marc… Qui profita à nouveau de chacune de nous plusieurs fois dans la nuit.



Une semaine plus tard, Camille était rayonnante, sa vie sexuelle était épanouie avec Marc, et on s’était promis de se refaire ça de temps en temps. Mais ce soir on avait juste prévu de sortir en boîte et c’était Camille qui était en charge de choisir la boîte. Je suis allée chez elle me préparer, on a pris un verre puis furtivement… je l’ai embrassée… En la regardant avec ses yeux…




Je vous laisse imaginer et écrire la suite selon vos fantasmes.

Bisous !