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Temps de lecture estimé : 21 mn
20/08/13
Résumé:  J'embarque un autostoppeur qui mate un peu trop ma compagne pour ne pas avoir envie d'elle. En aprenant qu'il est puceau, je m'arrange pour lui offrir Véro, avec sa complicité...
Critères:  fhh extraoffre cocus inconnu voiture voir noculotte fellation cunnilingu pénétratio init -prememois -couple+h
Auteur : 1bichon  (Homme de maintenant 48 ans aimant les femmes et le triolisme)      Envoi mini-message
Sur le chemin du retour de vacances

Nous avions 27 et 26 ans lorsque cette aventure s’est produite. Nous revenions de quelques jours de vacances dans l’est de la France à bord de ma 104 coupé-sport, en passant par Colombey-les-Deux-Églises. Nous étions en septembre, le soleil était au rendez-vous. Du coup Véro, ma fine muse d’un mètre cinquante-six, avait revêtu avant de partir une tenue adéquate : courte jupe portefeuille, style paréo, de couleur bleu turquoise et haut en coton jaune pastel qui ne couvrait pas ses épaules puisqu’il tenait par deux fines bretelles. Pour plus de praticité, elle avait noué ses cheveux châtain clair en queue de cheval. Petit détail qui a son importance, pour me faire plaisir, elle n’avait pas mis de sous-vêtement, comme cela lui arrivait parfois.


Nous avions cinq heures de route à effectuer et n’étions pas pressés. La route défilait et comme à mon habitude sur les longs trajets, je posais de temps à autres ma main sur la cuisse de ma passagère pour établir un contact avec sa peau chauffée au soleil. Vint aussi le moment où elle posa ses pieds sur le tableau de bord, ce qui exhiba ses jambes au soleil, provoquant la satisfaction des routiers que je doublais en prenant mon temps, ou de cet homme qu’elle n’avait pas vu à sa fenêtre du premier étage, lors d’un arrêt à un feu rouge. Nous avions l’esprit guilleret suite au beau temps et à la musique estivale que nous fredonnions ensemble au gré de la diffusion sur la bande FM.


Dix minutes après la petite pause des deux heures de route, j’ai aperçu un jeune auto-stoppeur présentant un panneau « Paris ». Sans demander son avis à ma passagère, j’ai décidé de m’arrêter quelques mètres plus loin pour dépanner ce jeune gars qui n’avait qu’un petit sac en bagage… (le mini coffre de la voiture était plein). Elle fut surprise de mon idée, se réajusta à contrecœur en se redressant sur son siège et baissa sa vitre lorsque le jeune gaillard se pointa au niveau de sa porte. Après un regard vers ses cuisses, en se penchant dans la voiture, il nous demanda si nous pouvions le rapprocher de Paris. Véro me regarda et, devant mon signe affirmatif de la tête – il paraissait propre et sympa – ouvrit sa porte pour le laisser passer à l’arrière. Il posa son petit sac sur la banquette côté Véro et se faufila derrière moi.


Je suppose qu’elle avait dû temporairement oublier sa tenue très décontractée et l’absence de sous-vêtement car en se penchant pour mettre sa ceinture de sécurité, elle provoqua le bâillement de son petit haut. Je ne fus pas le seul à m’en rendre compte en la regardant se redresser à en croire le regard que j’ai croisé juste après dans le rétro. Pour ne pas mettre Véro ou le stoppeur mal à l’aise, je me tus, en me faisant la réflexion que ce petit veinard venait certainement de voir le sein de ma compagne.


Véro assise, nous quittâmes notre stationnement en discutant avec ce jeune homme de 18 ans. Il était saisonnier et remontait en grande banlieue pour reprendre ses études dans quelques jours. Le manque de place à l’arrière l’obligeait à se mettre de biais pour nous faire la conversation. Il pouvait donc, de sa place, à loisir regarder les jambes de Véro et admirer le galbe de son sein gauche sous le coton de son petit haut. Volontairement j’avais rehaussé le volume de la radio pour l’obliger à s’avancer entre les sièges pour couvrir la musique que diffusaient les quatre haut-parleurs. Il pouvait peut-être même en voir plus que je ne l’imaginais car Véro se retournait de temps à autre sans prêter attention à sa tenue pour lui répondre. Cette idée m’effleura l’esprit quelques secondes en regardant notre auto-stoppeur dans le rétro.


L’ambiance était détendue car après une cinquantaine de kilomètres en sa compagnie, pour faire bonne figure je pense, Véro se tourna à moitié sur son siège et recroquevilla son pied gauche sous sa cuisse droite. Cet action, sans penser à mal, ouvrit légèrement le compas de ses cuisses et tira un peu sur sa courte jupe. Ceci eut aussi pour effet immédiat de faire glisser un pan du tissu et de découvrir plus de la moitié de sa cuisse. Même si Jonathan s’était rassis au fond de la petite banquette arrière en posant son bras sur la lunette arrière, il ne pouvait pas ne pas voir entre les sièges ce que moi je voyais. Quelques petits centimètres de tissu masquaient le buisson de ma compagne et, si visiblement elle feignait de ne pas y penser, je savais que peu de choses suffirait pour que notre stoppeur puisse se rincer agréablement l’œil.


Après une petite conversation sur la musique durant laquelle Jonathan s’était rapproché de mon siège, Véro se remit correctement pour le passage d’un village. Sa position initiale me permit, après le passage d’une vitesse, de reposer ma main droite sur sa cuisse le plus naturellement du monde. Vu que j’ai pour habitude de laisser ma main au contact de sa peau, elle ne dit rien. Elle posa simplement son bras droit sur le montant de la porte, vu que la conversation était temporairement épuisée.


Chacun regardait le paysage autour de lui, n’oubliant pas la route bien entendu, mais la faible densité de circulation sur cette nationale me demandait moins de concentration et me laissait un peu plus de liberté. D’inertes, mes doigts s’amusèrent à caresser doucement par petits cercles l’intérieur de la cuisse de ma compagne pour établir un contact avec sa peau en glissant sous le tissu. J’étais à mi-cuisse, aussi me laissa-t-elle agir sans intervenir, mais mon bras capta le regard de Jonathan et je vis dans mon rétro intérieur que son champ de vision se restreignait de plus en plus à l’intérieur de l’habitacle. Cela me stimula un peu car j’avais un atout qu’il ne connaissait pas, je savais que Véro était nue sous sa jupe. Pour ne pas risquer de tout gâcher, il eut l’intelligence de se faire oublier et de ne pas bouger, si bien qu’après un changement de vitesse, je pus poser ma main un peu plus haut et dévoiler un peu plus sa cuisse en faisant glisser un peu de tissu sous ma main.


Lorsque du bout du doigt je pus effleurer ses lèvres vaginales… que je crus découvrir humide…. elle retira ma main pour la mettre sur le volant. Puis, gênée par le soleil, elle baissa son pare-soleil sans remettre sa jupe en place. Après avoir observé de près son front, ce qui tendit son petit haut et moula sa poitrine, et peut-être aussi notre passager, elle se recolla au dossier du siège et disposa, volontairement ou non, le miroir de courtoisie vers ses cuisses. Quelques kilomètres passèrent puis ses jambes s’écartèrent comme par inadvertance, ce qui permit, via le miroir, de réfléchir une vue stimulante à notre stoppeur. Il avait entrevu sa poitrine, il pouvait dorénavant imaginer son sexe ou du moins deviner la présence de poils pubiens.


La route se poursuivit en silence jusqu’à ce que je fasse une petite halte pour acheter du pain à la sortie d’un village. Cet arrêt me permit de rester seul quelques minutes avec Jonathan tandis que Véro se rendait à la boulangerie. Il me dit en voyant ma compagne s’éloigner que j’avais de la chance d’être si bien accompagné… Je n’en doutais pas… puis ajouta après quelques banalités qu’il trouvait Véro charmante…



Ce qui aiguisa sa curiosité, mais le retour de ma compagne mit un terme à nos propos que je destinais grivois. Elle lui tendit les baguettes en se penchant un peu à l’intérieur pour qu’il les pose sur la lunette arrière puis nous reprîmes la route sans épiloguer. Je me fis la réflexion, en le regardant dans le rétro épier Véro, qu’une petite partie de jambe en l’air ne serait pas malvenue. À l’entrée de Nogent-sur-Seine, Jonathan nous ayant informé au début du trajet que sa destination réelle était Montereau, je lui ai proposé de le déposer chez lui en précisant que cela ne nous ferait pas un grand détour. Nous n’étions pas attendus, pas pressés et je trouvais ce gars sympa. Il fut heureux de gagner une étape et nous proposa de nous offrir à boire pour nous rafraîchir sitôt arrivés, en précisant… en fonction de ce qui reste dans le frigo.


Arrivé chez lui, je m’assis sur une chaise et pris Véro par la taille pour l’asseoir sur mes genoux, de biais, avant qu’elle ne saisisse une autre chaise. Ce stratagème réfléchi eut pour effet de tirer sur sa jupe et d’en écarter à nouveau les pans. Je la tins de suite dans mes bras pour ne pas qu’elle puisse s’échapper sans écarter franchement les cuisses… Avec tout ce que cela comportait pour sa tenue.


Le frigo étant vide, Jonathan nous proposa une bière tiède chacun… Il nous informa de la cuisine qu’il venait de le rallumer et de vider le reste du pack pour en avoir trois bières plus fraîches, plus tard…


Me faisant subitement un petit film, il me vint l’idée de profiter de l’absence temporaire de Jonathan pour renverser ma chérie en arrière dans le but de lui faire écarter les cuisses et révéler… comme par inadvertance à mon tour, son nid d’amour à notre compagnon de voyage. Cette idée germa en quelques secondes car j’avais de plus en plus envie de faire l’amour et d’offrir Véro à ce jeune, sûrement en mal de sexe, qui nous avait avoué être célibataire de longue date. Son absence durait un peu et je me doutais qu’il ne pouvait être loin vu la taille de la petite maison de ses parents. Il cherchait vraisemblablement à se rincer l’œil à nos dépends. Pour lui faire plaisir et l’exciter un peu plus, j’eus l’idée de faire basculer Véro en arrière. Profitant de sa distraction, je mis mon bras derrière son cou avant de la pousser en appliquant mon autre main sur sa poitrine. Pour l’empêcher de regarder en direction de la porte, je me mis en charge de l’embrasser. Ma manœuvre avait pour but de lui faire perdre légèrement l’équilibre, de l’obliger à écarter les cuisses pour se rétablir et de l’empêcher d’utiliser ses mains pour retenir sa jupe. Bien entendu, il fallait aussi que je détourne son attention pour ne pas la soustraire au regard de Jonathan que j’espérais attentif.


Même si elle avait déjà goûté en ma compagnie à beaucoup plus chaud qu’une simple exhibition, j’avais envie d’offrir à ce jeune l’envie d’aller plus loin en notre compagnie. Sachant que Véronique avait toujours pris un minimum de plaisir au cours des différents trios que nous avions partagés par le passé, que ce soit avec Laurent le campeur, Damien un de ses collègues, Géraldine une amie ou lors de notre unique partie à cinq avec eux deux et l’ami du moment de Géraldine, je savais qu’elle ne m’en voudrait pas de provoquer ce voyeur providentiel.


Ma main sur son sein et la vue de son entrejambe dut satisfaire Jonathan car je pus constater à son retour une déformation révélatrice. Cela n’échappa pas non plus à Véro, vu la direction de son regard, lorsqu’elle se redressa avant de se rendre plus présentable en refermant les cuisses et rabattant sa jupe. Ma compagne, que je maintenais sans la serrer entre mes bras, me sermonna, mais plus pour le principe je pense car le ton n’était pas vraiment aux reproches, pendant que Jonathan s‘asseyait face à nous. Il venait certainement de voir son petit buisson châtain, j’avais envie de lui offrir une vision directe de sa poitrine mais cela n’était pas si facile à provoquer. La chance fut toutefois de mon côté car Véro me tendit une perche inespérée en disant :



Aussitôt je trouvais la répartie en répliquant pour lui forcer la main.



Chacun savait qu’un petit rien suffirait pour que la situation dégénère en lupanar mais Jonathan semblait intimidé et cela m’excitait de plus en plus. Il me vint à l’esprit qu’il était simplement puceau et aussitôt, en posant ma main à même la peau sur la cuisse de ma compagne, je ne pus m’empêcher d’imaginer que l’initier ne pourrait que nous faire du bien. J’ai donc cherché à le provoquer en bougeant légèrement ma main, remontant lentement le tissu léger de la jupe sur la cuisse tout en m’efforçant de détourner l’attention de Véro vers notre hôte :



Jonathan, surpris, ne savait comment réagir en nous regardant mais je me doutais qu’il rêvait d’être à ma place et de mettre sa main à la place de la mienne. Le contact avec la vulve de Véro fut établi juste après et comme je m’y attendais en voyant ses tétins tendre son petit haut, elle n’était pas indifférente à ce qui se préparait. Elle mouillait, tout en essayant de conserver les cuisses fermées pour ne pas se dévoiler. Fier de cette constatation, je m’étais retourné vers Jonathan pour lui demander :



Alors que je me demandais comment déclencher les hostilités, il venait de me tendre une perche que je me devais de saisir illico :



Après avoir rougi, il fit un signe positif de la tête en levant les yeux, signe qui en disait long sur son abstinence.



Cette phrase lui fit perdre les pédales et sa tête s’agita d’elle à moi pour réaliser qu’il ne rêvait pas. Véro, qui m’avait vu venir, faisait de rapides signes affirmatifs de la tête, pinçant les lèvres en me regardant, comme si elle attendait que je dévoile mon idée.



Véro écarta soudain un peu les cuisses, ne cherchant plus à dissimuler son entrejambe même si elle ne s’exhibait pas vraiment, ce qui me permit de toucher franchement sa vulve et constater qu’elle perlait d’envie. Tout comme moi, je me doutais que Jonathan bandait de plus en plus en fantasmant sur ce qui allait suivre. Ses yeux focalisaient sur la main que j’avais glissée sous le pan de la courte jupe paréo. Du coup, pour lui donner un avant-goût et lui prouver qu’il ne rêvait pas, l’idée de dévoiler à nouveau le chaton de ma belle me reprit et je lui offris cette émotion en relevant ma main. Aussitôt le pan de jupe glissa et par la même occasion, le petit buisson qui recouvrait la naissance de la vulve se divulgua à la vue du puceau qui nous faisait face. Véro accepta cette exhibition en souriant. Elle était dans le même trip que moi, c’était donc gagné pour une partie de jambe en l’air si notre hôte se décidait.



Puis dans un souffle, j’ai rajouté à l’oreille de ma compagne :



Sur ce, complice et sachant qu’elle devait y trouver son compte, Véro se leva et se déplaça doucement vers Jonathan pour, de sa main, préparer son assise de biais sur les genoux de ce jeune qui n’osait croire à sa bonne étoile.


Jonathan, un peu gauche peut-être du fait de ma présence, réussit tout de même à poser sa main sur la cuisse quasi dénudée de Véro en regardant de près sa poitrine couverte par le petit haut de couleur pastel. Ma compagne se laissa caresser la peau et alla même jusqu’à passer son bras derrière la tête du jeunot pour lui caresser les cheveux, ce qui sembla lui donner confiance. Du coup, la main masculine se faufila vers sa chatte assez rapidement. Bien entendu, j’observais ma compagne se laisser faire en ouvrant les cuisses, cette dernière me souriant de manière complice en sentant les doigts toucher son sexe.


Jonathan devait vraiment être en rut car son empressement faisait peine à voir, aussi pour le calmer un peu, je lui ai demandé comment il trouvait la poitrine de Véronique. Ma manœuvre avait pour but de lui faire toucher ses seins et calmer un peu son ardeur à vouloir lui masser trop prestement la vulve. Vu qu’elle était assise sur lui et par conséquent que son bras gauche ne pouvait rien faire si ce n’était lui caresser les fesses, il libéra sa main droite et palpa le sein gauche de mon amour. Cette dernière nous regarda, visiblement décidée à le laisser faire.



Sitôt dit, sitôt réagi, Jonathan s’empara du top et souleva le tissu pour mettre à nu la poitrine qui pointait sous ses yeux. Véro se libéra les mains et me lança son haut pour ne pas le retrouver par terre. Elle regarda ensuite son futur amant qui se pâmait sur sa poitrine érigée, comme s’il n’en avait jamais vue, en en évaluant le galbe de la paume de sa main. Elle voulut le mettre à égalité et, pour ce, lui retira son tee-shirt, preuve qu’elle aussi désirait aller plus loin. Sa position n’était pas idéale, mais elle gardait l’équilibre en ayant le pied gauche au sol ce qui permettait à Jonathan de profiter de l’écartement de ses cuisses pour revenir caresser son buisson qui ne demanderait que cela quand bon lui semblerait.


Jonathan soupesait le sein et mourait d’envie de le goûter, ce que lui proposa aimablement Véro en le voyant saliver d’envie. Le laissant faire quelques instants en le regardant relever le sein de la main et savourer le tétin érigé de la bouche, je vis qu’ils souffraient de leur position inconfortable sur la chaise. Je ne pus m’empêcher de lui demander pour permettre à chacun de nous de se mettre plus à l’aise :



Ce qui conduisit Véro à se relever. Elle vint m’embrasser sous le regard médusé de Jonathan qui se voyait certainement déjà la pénétrer sur son lit. Il ne lui restait plus que sa courte jupe paréo ce qui me facilita la tâche pour tâter son sexe et lui montrer que j’aimais la voir se faire caresser devant moi. Effectivement elle était bien mouillée, ma petite cochonne…



Il nous entraîna vers une chambre munie d’un grand lit de 160, peut-être celle de ses parents car dans cette pièce où se dérouleraient nos ébats, je le sentis tout à coup gêné. Pour ne pas laisser le malaise s’installer vu que j’étais le dernier à entrer, je lui ai demandé de faire comme moi en retirant mon pantalon. Avec un temps de retard, il m’imita alors que j’en profitais pour retirer mon tee-shirt et être à égalité avec eux. Véro vint juste après se pendre à mon cou en frottant sa petite poitrine contre moi pour m’embrasser. Puis, après un mouvement de rotation et un sourire engageant, elle dirigea sa bouche vers celle de Jonathan qui s’interrogea un peu avant de lui rendre son baiser, vraisemblablement du fait de ma présence. Elle reposa ses lèvres sur les siennes et se pendit à son cou pour se frotter la poitrine contre son torse. Ce jeune puceau répondit au baiser, mais sembla hésiter avant de poser ses mains sur le corps de ma belle qui le regardait de très près, se faisant chatte contre son sexe dressé.



Son sourire valut la meilleure des réponses et rassura Jonathan qui se décida enfin à la prendre par la taille d’une main, et à caresser un sein de l’autre. Véro savoura la caresse et lui redonna sa bouche pour de petits effleurements sensuels dont elle raffole puis, répondant aux caresses, dirigea sa main vers la protubérance de notre amphitryon pour tâter l’érection de ce jeune puceau. D’abord au-dessus, la main glissa à l’intérieur du slip pour s’emparer de la queue et nous révéler ce qu‘elle comptait en faire. La voyant dégager le sexe du tissu, cela m’amena pour ne pas bloquer Jonathan, à enlever moi-même mon slip avant de me rapprocher derrière mon amour pour pouvoir moi aussi bénéficier de ses faveurs. Me sentant derrière elle, Véronique tourna la tête en continuant de branler doucement Jonathan et me donna sa bouche à embrasser.


Comprenant qu’il avait carte-blanche, notre ex stoppeur, que je regardais de façon aléatoire, engagea sa main entre les pans de la jupe. Il s’appliqua à dénicher le clitoris tout en parcourant la vulve excitée, tout du moins aux mouvements que je devinais. Ma belle rompit naturellement notre baiser alors que je lui caressais les deux seins par derrière, pour savourer nos mains sur son corps. Elle ferma progressivement les yeux sous l’action de cette main amicale devenue curieuse. Même si elle avait pris nos sexes dans ses mains, elle se gardait bien de nous masturber pour ne pas nous faire venir trop vite. Puisque nous étions toujours debout et presque tout nus, je me suis arrangé pour dénouer le lien de la jupe pour me permettre de voir la main de Jonathan œuvrer sur la vulve adorée et ne pas tacher la jupe avec une malencontreuse projection de sperme prématurée.


Toute pudeur évacuée, me voyant lui dévoiler le sexe de ma compagne, Jonathan retira aussitôt son slip et ses chaussettes en observant le pubis féminin. En me voyant embrasser Véro, il comprit sûrement qu’il allait bientôt devenir un homme.


Toujours derrière elle pour l’offrir à notre petit jeune, je roulais ses deux tétins entre mes doigts en la serrant contre moi pour qu’elle sente mon excitation. Une fois nu, Jonathan se rapprocha à nouveau de nous. Il ne connaissait pas le goût prononcé de ma compagne pour la fellation, véritable gourmandise qu’elle a découvert avec moi. Il sembla surpris sitôt le contact établi de la voir s’agenouiller en tenant son sexe entre ses doigts. Le regard qu’il eut vis-à-vis de moi fut éloquent. Après avoir décalotté et embrassé son gland, la femme de ma vie ouvrit la bouche pour gober uniquement le gland et effectuer quelques lents allers-retours. Pour un homme qui n’avait pas joui depuis longtemps c’est déjà un supplice, mais pour un jeune puceau c’est un risque d’éjaculation immédiate supplémentaire. Heureusement elle savait y faire et exerçait une pression sur la circonférence du pénis pour ne pas avoir de surprise.

Jonathan n’en revenait pas. Il me regardait avec des yeux embués qui m’incitèrent à lui donner l’estacade finale :



Ma compagne se releva pour s’allonger au milieu du lit ce qui nous permit de l’encadrer et de pouvoir la caresser ensemble. Jonathan, et c’était bien normal, fut attiré par sa chatte ruisselante. Il l’observa de près en la masturbant puis profita du fait que j’embrassais ma partenaire pour glisser un ou deux doigts en elle. Nous étions tous sur la même longueur d’onde, nous voulions jouir, aussi ne fus-je pas étonné d’entendre Véro lui dire en écartant les cuisses :



De tel propos ne pouvait que l’encourager à s’exécuter. Il me jeta toutefois un petit regard pour obtenir, me semble-t-il, mon assentiment.


Un simple signe positif de la tête de ma part l’encouragea à enjamber Véro et à orienter son gland turgescent contre la vulve enflée qui n’attendait que cette intromission. Le visage réjoui de Jonathan lorsqu’il sentit son gland s’insérer entre les muqueuses gonflées nous fit plaisir à voir. Comme moi, il regardait son pieu disparaître en ayant l’avantage de ressentir la chaleur et l’humidité du corps de Véro en bonus. Nous faisant volontairement discret dans nos gestes, nous l’observions se mettre en mouvement en observant sa queue disparaître puis réapparaître entre les lèvres vaginales recouvertes de quelques poils. Chauffé à bloc, il explosa bien trop tôt pour donner un orgasme à Véro mais peu importait, il nous avait dit qu’il avait la maison pour lui et nous avions le temps. Lorsqu’il s’éjecta, un peu penaud, je me fis un devoir de le rassurer en lui disant que c’était normal la première fois, qu’il retrouverait vite de la vigueur et serait plus endurant une fois la première semence évacuée.


Véro, après s’être essuyée, vint se blottir amoureusement contre moi pour m’embrasser et n’ayant joui ni l’un ni l’autre, nous nous mîmes à nous caresser comme si nous étions chez nous avant de faire l’amour. Notre jeune amant prit mentalement des notes car je sentis son regard sur moi lorsque je m’appliquais à stimuler le clitoris de ma belle en jouant de mon doigt, de ma langue. Relevant temporairement la tête pour regarder le visage de ma maîtresse, j’ai croisé son regard paisible et surpris ses bras s’ouvrir en l’air en direction de notre spectateur. Elle quémandait un baiser ainsi que sa participation.


Observateur stoïque de notre union, je me fis la réflexion : va-t-il se joindre à nous ? Le petit « Viens » qu’elle prononça quelques secondes plus tard le décida. Il se pencha sur Véro pour l’embrasser en prenant son téton érigé entre ses doigts. Reprenant mon cunni, je savais que d’ici peu de temps un orgasme allait secouer ma compagne car être caressée par plusieurs bouches, comme lors de nos trios précédents, l’excitait particulièrement. Me concentrant sur son clitoris, j’obtins gain de cause et Jonathan découvrit, pour la première fois je pense, qu’une femme pouvait jouir assez violement.

Notre ex stoppeur étant proche de son visage, par un rapide pivot, Véro reprit le gland en bouche en vue de lui administrer une fellation dont elle voulait qu’il se souvienne. C’est une experte et à son tour elle obtint gain de cause tandis que de mon côté je commençais à la pénétrer en levrette. Il explosa dans sa bouche en lui tenant sans exagération la tête tout en la regardant. Elle le but comme si elle me buvait, en le masturbant jusqu’à la dernière goutte, ce qui me laissa le temps de jouir à mon tour en elle. Nous étions assoiffés, souillés, aussi l’idée de prendre une douche fut évoquée par Véro qui coulait de nos spermes mélangés.


Intérieurement je me dis que nous avions peut-être, des années après Damien, retrouvé un amant pour ma compagne, à approfondir, mais quoiqu’il en fût, je voulais d’abord le voir la faire jouir. Nous prîmes une longue douche commune à trois, sur ma demande. Le fait d’utiliser la baignoire nous permit de nous laver mutuellement, tout du moins homme-femme puisque Véro était au milieu. Elle se tournait de temps à autre pour nous faire alternativement face et profiter de nos caresses et inversement.


Une fois séchés, nous hésitâmes à nous rhabiller car même si la soif nous tenaillait, l’envie de voir Jonathan honorer de nouveau ma compagne me tenait à cœur. C’est donc enroulés dans nos serviettes que nous gagnâmes le salon pour nous désaltérer autour d’une autre bière… Debout, les serviettes nous ceignant la taille, Véro nous exhiba son joli 85B sans retenue. Jonathan la dévorait à nouveau des yeux et volontairement, pour relancer nos ébats, je pris notre maîtresse sous mon bras pour, d’une main pendant négligemment, caresser à nouveau son sein. Son tétin s’érigea rapidement tant l’envie lui reprenait.


Remarquant que la serviette de notre amphitryon se tendait et qu’il ne pouvait retenir une érection naissante, pour accélérer les choses, j’ai soufflé à l’oreille féminine :



Comprenant mon message, elle vida le reste de son verre d’un trait et reprit la direction de la chambre en disant simplement, ce qui me cloua sur place :



Après un échange de regard, nous ne pûmes que lui emboîter le pas et sitôt le seuil de la chambre franchi, retirer nos serviettes pour la rejoindre sur le lit. Désirant laisser Jonathan choisir ce qu’il aimerait lui faire, je me suis contenté d’effleurer le corps féminin en évitant la poitrine et le sexe. Véro se laissa caresser pour faire remonter la tension et je constatai que Jonathan semblait de plus en plus attiré par la découverte de son vagin. Pour lui donner le coup de grâce, je ne pus m’abstenir de lui donner ce conseil :



Prenant volontairement des mots crus pour montrer sa soumission à notre nouveau compagnon de jeu. N’attendant que cet ordre, le nouvel homme se concentra sur la vulve, me laissant le plaisir d’embrasser et peloter Véro à ma guise. D’abord maladroit, il s’améliora graduellement car mon amour se mit progressivement à gémir. Les gémissements se transformèrent en spasmes lorsque Jonathan inséra plusieurs doigts en elle. Lorsqu’elle sentit l’orgasme monter, Véro repoussa son amant pour l’enjamber et comme je lui avais demandé, chevaucher son corps. Vicieusement elle orienta elle-même le pénis en elle puis s’activa doucement sur le pieu dressé en s’appuyant sur la poitrine de son amant. Ce dernier la tenait par les fesses et cherchait à lui faire accélérer le rythme mais Véro voulut le dominer et imposer sa cadence. Il dut accepter de la laisser faire et se contenter de stimuler sa poitrine qui dansait sous nos yeux.


Comme moi, Jonathan cherchait à observer à travers leurs poils l’union de son pénis avec la vulve qui lui donnait du plaisir. Véro, fière d’elle, me regardait en jubilant alors que je me masturbais doucement pour lui montrer que je partageais son plaisir. Quitte à paraître caudaliste et à lui montrer que j’appréciais qu’elle me trompe sur mon initiative, j’étais excité la voir honorer cet ex-puceau.


Le plaisir vint progressivement pour chacun de nous mais je me retins pour ne pas éjaculer ailleurs que dans sa bouche lorsqu’elle en aurait fini avec Jonathan. Elle s’en rendit compte et s’activa de plus en plus sur ce pieu qui la pénétrait sûrement profondément car ce jeunot avait un sexe long et fin. Parvenu à sa troisième jouissance, ce dernier déclara forfait, ce qui conduisit Véro à revenir vers moi, en attente, en situation d’observateur debout à côté du lit. Après m’avoir embrassé sur la bouche, à genoux sur le lit, cette coquine se mit à quatre pattes et, se servant de sa main et de sa bouche, me gratifia d’une fellation dont elle a le secret. Elle sait que je raffole de cet acte et ne se prive jamais de me faire plaisir.


Jonathan observait mais ne participait pas, se contentant juste de lui caresser les seins ou les fesses d’une main. Il était HS.


Une fois l’orgasme passé, nous nous rhabillâmes en souhaitant une bonne soirée à notre charmant auto-stoppeur. Après lui avoir demandé son numéro au cas où nous aimerions le revoir, nous regagnâmes notre logis le corps et l’esprit apaisés.


Au cours des quelques kilomètres qu’il nous restait à parcourir, nous échangeâmes nos impressions et nous aperçûmes que l’idée de dépuceler ce jeunot fut un facteur stimulant pour l’un comme pour l’autre. Je ne pus m’empêcher de féliciter Véro en lui rappelant que Jonathan, grâce à elle, allait beaucoup se masturber les jours à venir, ce qui la fit sourire avant de coller sa tête contre mon épaule pour me répondre :



Avant d’échanger un sourire de complicité en posant sa main le plus haut possible sur ma cuisse.