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n° 15749Fiche technique29332 caractères29332
Temps de lecture estimé : 17 mn
20/08/13
Résumé:  Sabrina, mal dans sa peau, découvre les plaisirs charnels et gagne en confiance en elle.
Critères:  fh jeunes copains fellation préservati pénétratio init confession -prememois -initfh
Auteur : Jake23  (Anonyme)
Sabrina

Sabrina était dans la même classe de latin que moi, nous nous mettions souvent côte à côte aux derniers rangs de cette matière que nous détestions.


Physiquement, elle était brune, de taille moyenne, un peu ronde, à la peau mate et aux cheveux plutôt frisés, très coincée et mal mise en valeur (toujours en survêt’ ou jean large, jamais maquillée). Bref, pour beaucoup de garçons, Sabrina était jugée comme un « thon » alors que pour moi ce n’était pas vraiment le cas. Je l’appréciais comme bonne camarade, et je sentais que je lui plaisais : un jour, une connaissance commune me fit passer une lettre où Sabrina me déclarait son amour. J’en fus très touché, et après réflexion lui fis savoir qu’elle n’était certes pas la femme de ma vie (trop de différences culturelles…) mais que je l’aimais bien quand même et que cela ne changerait rien aux relations que nous avions.


Bien que timide et plutôt pudique, néanmoins, je décidai de jouer un peu sur la provoc pour qu’elle se détourne de moi ou au moins lui montrer en douceur à quoi s’attendre avec les hommes…



***



Quelques jours après, nous nous retrouvâmes pour suivre le pénible cours de latin. Comme à notre habitude, nous nous plaçâmes au dernier rang. Juste devant Sabrina se trouvait une fille à la réputation notoire d’allumeuse. Effectivement, ce jour-là, elle avait mis un jean taille basse qui laissait dépasser un superbe string blanc, composé d’un petit triangle de cinq centimètres de côté reliant trois fines bandes de dentelle. De plus, son dos étant partiellement découvert, on voyait également dépasser son soutien-gorge assorti.


Dès qu’elle remarqua mon regard, Sabrina déplaça ma trousse pour ne pas que j’admire ce minimaliste mais fascinant spectacle. Je poussai ma trousse pour retrouver cette superbe vue, Sabrina manifesta sa désapprobation. Je lui répondis :



Je sentis qu’elle était à la fois choquée et curieuse… Peu après, j’ajoutai :



Elle me lança un regard noir mêlant colère et envie, je sentis que j’avais touché une corde sensible (c’est le cas de le dire) et j’espérais qu’elle réagirait.



***



Malgré ces provocations, Sabrina passait de plus en plus de temps avec moi. Je sentais qu’au fond elle manquait de confiance en elle, brimée par son milieu familial et mal à l’aise avec son corps. J’avais bien de l’affection pour elle sans en être amoureux pour autant.



***



Un jour, nous eûmes un exposé à faire en binôme, et je décidai de me mettre comme d’habitude avec Sabrina. Un après-midi où nous n’avions d’ordinaire pas cours, elle me rejoignit à la bibliothèque pour travailler un peu, et je fus surpris par sa tenue inhabituellement soignée.


Outre son traditionnel jean, elle avait mis de petites chaussures noires, bien frisé ses cheveux et surtout mis un haut noir mais à deux couches : un décolleté opaque recouvert d’un tissu à demi transparent laissant voir son entre-deux seins et le bas de son soutien-gorge noir.


C’était la première fois que je la voyais se rendre désirable, d’ordinaire on ne pouvait jamais entrevoir sa poitrine. Troublé par cet effort et ses deux globes, je me mis face à elle, elle remarqua que je la regardais souvent, elle me regarda dans les yeux intensément plusieurs fois, me semblant hésiter à me parler.


À la fin de la séance je la complimentai pour son travail, puis nous sortîmes du bâtiment. Au moment de lui dire au revoir, je lui dis :



Elle me regarda à nouveau longuement puis me serra dans ses bras et m’embrassa. Je lui dis que je l’aimais bien, mais qu’elle ne devait se faire aucune illusion à long terme. Elle fut d’accord, me dit :




***



Dès lors, quand nous étions seuls, nous nous tenions la main et embrassions et évitant tout de même d’être vus, sa famille aurait très mal pris une telle relation. Au cours de dessin, elle osa même représenter un homme nu (un objet étant judicieusement placé…) qu’elle me montra : je me sentis visé et la sentis déjà bien « débridée », un tel dessin si suggestif me semblant jusqu’à présent impensable de sa part…



***



À la sortie du cours, un camarade assez extravagant (une fois, il était même arrivé en cours en rampant), nous rejoignit pour nous annoncer fièrement qu’il avait été viré de cours par un prof qui l’avait traité de branleur. Joignant le geste à la parole, il imita les gestes de l’acte d’Onan, ce qui me fit éclater de rire, puis s’en alla raconter l’événement à d’autres personnes.


Sabrina se mit à rire elle aussi mais d’un air gêné, je lui répondis :



Alors que nous nous dirigions à l’écart, elle n’osa répondre sur le moment, je dis :



La sentant confuse, et pour une fois que ce thème était évoqué, j’insistai :



Au moment de nous quitter, je lui rappelai tendrement :




***



Nous nous revîmes le lendemain, l’exposé n’étant pas terminé. Cette fois-ci, nous décidâmes de nous retrouver chez elle, dans son studio. Elle s’était habillée comme le jour où nous nous étions embrassés pour la première fois, avec un jean et le décolleté noir semi-transparent. Dès que j’arrivai, nous nous embrassâmes puis nous commençâmes à travailler. Au bout d’un moment, on s’est levés pour boire, puis embrassés à nouveau. Sentant que cela lui plaisait beaucoup et étant pour une fois seuls, je me dis que c’était le bon moment pour aller plus loin sans pour autant la brusquer vu qu’elle était totalement novice.


Je lui caressai la nuque et le dos puis descendis ma main jusqu’à sa ceinture. Après avoir hésité, je continuai plus bas, rentrant une main dans une des poches arrière de son jean et sentant à travers le tissu la bordure de sa culotte puis m’amusant à la longer. Avec mon autre main, je lui caressai un de ses seins sans qu’elle ne se détourne. Au contraire, elle me serrait de plus en plus fort, je la sentis troublée.


Au bout d’un moment, je lui demandais :



À ma grande surprise, elle me répondit sans gêne :



Je lui ai alors confié que moi aussi je l’avais fait en pensant à elle.


Nous étions debout depuis pas mal de temps, aussi je lui proposai de s’asseoir. La prenant par la taille, passant ma main sous son décolleté que je lui remontai. Après que je l’ai embrassée, elle l’enleva, je lui embrassai son ventre (certes légèrement dodu mais malgré tout joli à regarder), remontant à ses seins puis allant dans son dos. Je la tournai et me plaça derrière elle, lui embrassant le cou et caressant ses deux seins avec mes mains. Au bout d’un moment, je jouai avec la fermeture de son soutien-gorge, où je lus 95C (je ne la pensais pas si bien fournie, quelle belle surprise !) avant de le dégrafer puis de le lui enlever.


La saisissant à pleine mains, jouant avec ses tétons et l’embrassant goulûment, je la serrai contre moi, elle me sentait tout dur contre ses fesses. Au bout d’un moment, après s’être un peu calmés, je sentis qu’elle était intriguée par ma bosse mais n’osait rien dire. Aussi je décidai de prendre les devants en lui demandant :



Sans attendre, je me mis debout, lui pris sa main, la mis sur ma braguette et lui fis enlever mon pantalon et mon slip. Mon membre déjà à demi-durci émergea, Sabrina me dit après un long silence :



Je lui dis :



Je lui expliquai alors les différentes parties de mon anatomie, qui continuait à grossir et se durcir, puis je lui expliquai que le gland était très sensible et que le découvrir puis recouvrir me faisait beaucoup de plaisir. Étant bien dur, je lui dis alors :



Tâtonnante, elle réussit néanmoins à bien maintenir ma vigueur, lui disant quand accélérer ou diminuer la cadence. Au bout d’un moment, ses doigts m’échauffant la peau, je lui dis :



Après avoir hésité quelques instants, elle s’agenouilla torse nu devant moi, saisit ma queue, joua un peu avec puis lui fit quelques bisous. Ensuite, encouragée par mes « C’est bien, Sabrina ! », elle la lécha sur toute sa longueur, ce qui me fit un bien fou. Puis lentement elle mit le gland dans sa bouche, resserrant ses lèvres autour et bougeant la langue. Après un bon moment, elle en enfonça davantage et me donna un intense plaisir. J’avais posé une de mes mains sur une de ses épaules, l’autre lui caressant la tête ; j’essayais de lui donner la cadence à avoir sans pour autant la forcer à tout engloutir. Au bout d’une dizaine de minutes, l’extase montant en moi, je prévins Sabrina que ça allait sortir, puis me retirai juste à temps avant d’éjaculer.


Après sa première fellation si réussie, je complimentai Sabrina et lui embrassai le front puis lui annonçais que c’était maintenant à moi de lui faire des gâteries après avoir pris des mouchoirs en papier pour essuyer les preuves de son nouveau talent.


Elle restant debout, je lui embrassai les seins, le ventre puis arrivai au niveau de sa ceinture. Je lui défis les boutons de son jean, puis le tirai vers le bas et me mis debout. Comme je le pressentais, Sabrina portait des dessous très simples, avec une très sage culotte beige sous laquelle on distinguait une ombre noire.


Pour la rassurer, ayant bien débandé, je remis mon sous-vêtement avant de lui enlever le sien. À juste titre je la complimentai sur son physique puis lui demandai de s’asseoir au bord du lit. Me mettant à genoux entre ses jambes, je commençai par lui embrasser alternativement l’intérieur de chacune de ses cuisses puis frôlai ses lèvres avec mes doigts. Très vite, Sabrina poussa des exclamations de plaisir jusqu’alors inconnus pour elle. Mes doigts fouillèrent sa toison à la recherche de son bouton magique tandis que mes lèvres rencontrèrent ses grandes pendant de longues minutes… Je la sentis à la fois timide, gênée, étonnée d’elle-même et déjà pleine de sensations.


Je n’osais aller plus loin, la journée était suffisamment remplie en nouveautés pour une pucelle comme elle, qui ne s’était encore jamais touchée il y a quelques jours.


Nous étions face à face, presque nus, nous étant donnés mutuellement du plaisir, mais je lui dis que je ne voulais pas aller plus loin pour aujourd’hui, elle fut tout à fait d’accord (je la sentais réticente pour passer à l’acte) et me remercia pour le plaisir que je lui avais donné. Je lui demandai alors si elle avait déjà eu de telles expériences, elle me répondit que non, tout était nouveau pour elle aujourd’hui, jusqu’à présent elle savait à peine que ces choses-là existaient. Après un long câlin, nous nous rhabillâmes puis ce fut l’heure de se quitter.



***



Le lendemain, quand je revis Sabrina, je lui demandai si elle n’avait pas mal pris ce que nous avions fait la veille. Elle me chuchota que non, que de toute façon il fallait bien que ça arrive un jour alors autant que ce soit avec quelqu’un qu’elle aime bien, comme moi. Je lui répondis que je ne voulais pas la brusquer, que je voulais qu’elle soit heureuse et que nous passions du bon temps ensemble. Aussi, plusieurs semaines se passèrent sans que rien de charnel ne se passe à nouveau, je sentais qu’elle hésitait à passer à l’acte.



***



Une demi-journée de temps libre s’annonçant, je proposai à Sabrina d’aller se promener. Elle me répondit qu’elle aurait bien aimé mais qu’elle préférait qu’on se voie chez elle, comme la fois passée. La sentant fiévreuse, je lui demandai si elle voulait qu’on fasse la même chose que la fois passée, voire plus… Elle ne me répondit pas mais me regarda intensément, si bien que je décidai d’aller acheter ce qui risquait d’être nécessaire…



***



Ce qui serait (peut-être) le grand jour arriva ; Sabrina me serra fiévreusement dès qu’elle m’ouvrit la porte. Côté vestimentaire, en revanche, elle n’avait guère fait d’effort (elle m’expliqua que, juste avant, elle avait dû aller voir quelqu’un de sa famille qui l’aurait tracassée au sujet de sa tenue « trop provocante ») : tee-shirt et survêt, ce dernier ayant tout de même l’avantage de ne pas être un obstacle pour les caresses. Très vite, le haut fut enlevé, mes mains dégrafant d’abord le soutien-gorge avant d’ôter le tee-shirt, puis je n’eus qu’à tirer le bas pour voir apparaître une très basique culotte, rose cette fois-ci.


De son côté, elle déboutonna ma chemise puis mon pantalon, puis nous nous étendîmes sur le lit à se prodiguer moult caresses. Au bout d’un moment, les effets devenant très visibles, je me redressai et lui dis :



Alors, elle s’assit au bord du lit, je me mis debout puis me rapprochai d’elle, elle reproduisit les gestes que je lui avais enseignés la fois passée, d’abord avec sa main puis avec sa bouche. Je sentis qu’elle avait gagné en assurance et semblait même prendre un peu de plaisir à le faire mais cette fois-ci, je me retirai bien avant d’atteindre l’orgasme car voulant garder des munitions pour la suite…


Quand elle eut terminé, je lui dis :



Je la saisis par les cuisses, la mis au bord du lit, et lui enlevai sa culotte bien mouillée. M’agenouillant devant elle, comme la fois précédente je commençai par frôler avec mes doigts le pourtour de son abricot, hélas toujours surmonté par une grande forêt vierge (pour combien de temps ?). N’osant pour le moment introduire un doigt en elle (j’avais peur de lui faire mal), je lui embrassai les lèvres et alternai les coups de langue entre celles-ci et son clitoris.


Même si je dus souvent m’arrêter à cause de poils venant se mettre sur ce doux chemin, je lui fis bien davantage d’effets (hélas trop entrecoupés) qu’à la première tentative. Sabrina poussa des petits cris de plaisir. Au bout d’un moment, n’en pouvant plus, dur comme un âne, je me relevai et lui demandai la question fatidique :



Pour réponse, elle m’embrassa puis je me levai chercher de quoi se protéger. Après l’avoir mis en place sur moi, je demandai à Sabrina de s’allonger et d’écarter un peu les jambes. Je me mis à genoux entre celles-ci, caressai la poitrine, le ventre et les jambes de Sabrina en me rapprochant toujours plus de son lieu jusqu’à présent inviolé. Je lui refis un cunni mais cette fois j’aventurai mon doigt à son entrée, mais je sentis que mon ongle, pourtant très court, la griffait. Je me relevai alors, m’étendis sur elle et l’embrassai sur la bouche, alors que pendant ce temps une de mes mains positionnait mon engin face à son entrée. Notre étreinte gagnant en intensité, je commençai à lui introduire mon gland pour qu’elle mouille bien sans qu’elle ne manifeste de gêne pour le moment. La serrant dans mes bras, j’essayai au bout d’un petit moment de m’enfoncer davantage mais je la sentis très serrée, je donnais des petits coups de rein pour essayer de lui élargir l’hymen sans lui faire trop de mal.


Je sentais qu’elle avait mal, je m’arrêtai en lui demandant s’il fallait continuer. Elle me répondit que oui, alors je pris un peu de recul et donna un coup de rein beaucoup plus fort, je pus m’enfoncer bien davantage et je sentis que Sabrina avait eu mal mais elle se mit à gémir « Je t’aime ». Après m’être un peu arrêté, je repris les va-et-vient en essayant d’avoir une pénétration plus profonde pour que Sabrina soit bien ouverte et qu’elle puisse rentrer entièrement mon membre.


Voyant qu’elle continuait à avoir mal, je décidai de m’arrêter. Elle saignait un peu, j’amenai de quoi la soigner. Elle me sourit puis m’embrassa. Quand tout fut fini, après avoir somnolé l’un contre l’autre, il se faisait tard. Au moment de m’en aller, je lui dis :



Elle me dit qu’elle avait beaucoup aimé et que c’était un grand jour pour elle : Sabrina était devenue femme !



***



Les jours suivants, Sabrina se montra plus que jamais ardente, et nous convînmes vite d’un autre rendez-vous en lui disant que ce serait beaucoup plus agréable pour elle vu qu’elle n’aurait plus les douleurs de la défloration. J’espérais même lui donner son premier orgasme.



***



Cette fois-ci, Sabrina vint chez moi, portant classiquement un jean et un col roulé ne laissant hélas rien entrevoir (mais c’était déjà bien mieux que la fois passée). Pendant notre embrassade, mes mains descendirent à nouveau le long de son dos, une d’entre elles s’aventurant à longer le haut de son pantalon, puis à s’y risquer sur quelques centimètres côté intérieur. Mes doigts sentirent une rangée de dentelle qu’ils longèrent à leur tour horizontalement. Continuant leur exploration verticalement, encore quelques centimètres plus profondément, ce fut avec stupeur que je sentis une seconde rangée de dentelle puis à nouveau sa peau… Je ne pus m’empêcher de pousser un cri d’exclamation, Sabrina portait un string, quelle surprise !


Elle me dit alors :



Puis elle déboutonna son pantalon ce qui me permit d’y passer les deux mains puis, après plusieurs minutes de caresses, de l’enlever. Je lui enlevai aussi son haut, découvrant un ensemble coordonné beige. M’amusant à frôler les contours de son string, je lui caressai longtemps les fesses et lui dit qu’elles étaient très belles et bien mises en valeur. Lui dire ceci l’émut très profondément, elle qui était souvent méchamment traitée de « grosse » et avait du mal à accepter son corps joliment et justement arrondi, potelé comme il le fallait sans excès. La contemplant sous tous les angles, je lui dis :



En réponse à mes propos, alors que j’étais assis, elle s’agenouilla face à moi et me fit une superbe fellation avec une superbe vue sur son fessier stringué rejeté en arrière. Me retirant juste à temps, je lui ôtai son soutien-gorge, jouai un peu avec ses seins puis décidai à regret de lui enlever son string. C’est alors qu’une seconde surprise apparut : son pubis était tout lisse, elle n’avait plus un poil.



Pour la récompenser de cet effort, je me mis à ses pieds et la poussai sur le lit. Après avoir commencé par les pourtours, cette fois-ci j’avais bien accès à sa fente et à son bouton d’amour ; je pouvais rester longtemps sur lui si bien que Sabrina put gémir longuement.


Sabrina étant bien chaude et humide, nous décidâmes de passer à la pénétration, toujours en missionnaire. J’entrai facilement en elle, qui poussait des cris de plaisir et m’entourait même avec ses jambes. Au bout d’un moment, je la sentis au bord de défaillir, puis elle cria mon nom et se contracta autour de mon membre : Sabrina avait son premier orgasme.



***



Sabrina prit vite goût à ces activités et apprit à mieux connaître son corps. Même si elle restait timide elle gagna en assurance, et même si notre position était généralement le missionnaire, il lui arrivait de se mettre sur moi.


Du côté vestimentaire, elle restait cependant discrète de peur d’être jugée par les siens et les autres élèves ; une de ses rares fantaisies eut lieu un jour où la fille habituellement devant elle en latin (elle qui me fit le magnifique spectacle du début de ce récit) fut absente. Elle me dit :



Puis elle s’assit devant moi. Une fois assise, j’eus l’impression qu’elle déboutonnait son pantalon puis se cambrait bien en rejetant ses fesses bien rondes en arrière sans se lever : son pantalon était devenu bien taille basse, et alors je vis dépasser un string bleu dessinant sur son postérieur deux superbes asymptotes. Passant toute l’heure à admirer cette merveille, je ne pus m’empêcher d’en prendre une photo avec mon téléphone, que je lui envoyai avec des compliments.



***



Un jour où nous devions nous voir, je fus surpris de voir que Sabrina portait un pantalon noir moulant. Marchant devant moi dans un couloir, Sabrina passa dans un rayon de lumière provenant d’une fenêtre. À ce moment-là, alors que je m’attendais à ce qu’elle porte comme trop souvent une disgracieuse culotte, je pus bien distinguer les contours de son string, le pantalon formant à chacun de ses pas un joli arrondi attirant l’œil. Lorsque nous montâmes chez elle, je la fis passer devant moi dans l’escalier pour profiter un peu plus de ce spectacle ; inutile de dire qu’à l’arrivée j’étais déjà très dur…


Les préliminaires achevés, nous commençâmes le rapport en missionnaire ; comme la fois passée, Sabrina serra ses jambes autour de moi. Voulant un peu innover, je me relevai, saisis ses jambes par les chevilles puis repris la pénétration en restant à genoux. Ces sensations nouvelles semblant avoir beaucoup d’effets sur Sabrina, je me rapprochai d’elle et lui repliai les jambes en posant ses pieds sur mes épaules. La pénétration était très profonde, j’espérais qu’elle trouve son point G et effectivement Sabrina eut un long orgasme presque en même temps que moi.


Je me retirai puis nous restâmes l’un contre l’autre plusieurs dizaines de minutes, à bavarder et s’embrasser. Reprenant vigueur, je lui proposai de remettre ça en sachant que cette fois-ci je tiendrai beaucoup plus longtemps avant de céder. Aussi, j’osai lui demander :



Je craignais que cette position l’effraie voire lui fasse mal. Elle me répondit :



Je lui expliquai alors :



Je me plaçai derrière elle, mes deux mains caressant ses fesses et ses reins. Pour la chauffer un peu, mon membre frottait quelques instants son pubis glabre puis je lui demandai de me guider en elle. Avec une de ses mains, elle saisit ma queue puis la recula, la lâcha et fit comme un « V » pour entrouvrir son passage.


Je me mis bien en face, elle s’appuya sur ses deux coudes, je la saisis par les hanches et m’enfonçai d’un coup, totalement, mon bassin touchant ses fesses. Nous poussâmes en même temps un cri de plaisir, Sabrina n’avait jamais été aussi satisfaite. J’entamai les va-et-vient, une de mes mains lui caressant le dos, puis au bout d’un moment je me rapprochai d’elle pour l’embrasser dans le cou, une de mes mains lui caressant les seins. Des fois, je me redressai, l’empoignant par la taille ou les hanches et donnant quelques à-coups bien profonds la faisant hurler de plaisir (heureusement, le logement à côté était vide).


Ayant peur que nous finissions par casser le lit, je proposai à Sabrina que nous nous mettions par terre, sur un tapis étendu au pied du lit. Sabrina se remit en place, je lui dis qu’elle pouvait s’amuser à varier l’angle de la pénétration en variant la hauteur de ses épaules par rapport au sol. Elle tendit ses bras devant elle, s’accrochant au radiateur juste placé devant elle, j’entamai les va-et-vient en la tenant par les épaules. Elle poussa des cris d’extase, subissant mes mouvements.


Après m’être arrêté pour pouvoir encore faire durer le plaisir un bon moment, nous reprîmes, Sabrina cette fois posant sa tête par terre et étant bien cambrée pour que je lui caresse le dos.


Au bout d’un moment, je lui dis de mener le jeu en m’imposant sa cadence. Elle arqua ses deux bras, serrant ses deux mains au-dessus de sa tête, je la sentis très concentrée sur ses mouvements pour nous satisfaire au mieux.


Elle fit elle-même les va-et-vient, je lui caressai sa fente et son bouton et la complimentai régulièrement. La sentant haleter de plus en plus fort, tout à coup elle se contracta autour de moi et poussa un grand cri de plaisir. Au même moment, moi aussi j’en poussai un, surpris par un orgasme fulgurant. Nous avions atteint l’apogée, terminant par un sage câlin.



***



De nombreuses fois encore nous eûmes du bon temps ensemble, Sabrina prenant de plus en plus souvent l’initiative, la levrette étant notre position préférée. Elle s’habillait parfois avec des tenues aguicheuses, variant ses sous-vêtements et se montrait d’une manière générale, beaucoup moins timide.



***



À la fin de cette année scolaire, nos études et nos tempéraments étant différents, nous décidâmes de rester en contact et de se voir régulièrement car nous gardions de l’affection mutuelle, en attendant que chacun trouve l’âme sœur. Sabrina avait gagné suffisamment de confiance en elle et arrivait même à s’émanciper du joug de sa famille. Au bout de plusieurs mois, elle me dit qu’elle voyait souvent un garçon qui pourrait bien aller avec elle, je lui dis alors de tenter et que je serai très heureux pour elle. Plusieurs mois encore, elle me dit qu’elle avait réussi à l’avoir et que ce que nous avions appris ensemble lui avait bien servi.


Aujourd’hui encore, Sabrina souvent me remercie pour tout ce que j’ai fait pour elle, et souvent je sens une connotation particulière lorsqu’elle évoque notre scolarité…